Les leçons particulières - 7

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Proposée le 31/01/2010 par Cidoux

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LES RESULTATS DU BAC


Stéphane n'a pas la patience d'attendre qu'un de ses trois élèves lui téléphone le résultat. Ses pas le conduisent devant le lycée, comme s'il se promenait par hasard, juste à l'heure présumée de l'affichage. Les lycéens bruissent d'énervement malgré leur allure désabusée. Stéphane aperçoit Pascal et l'interpelle.
- Alors confiant ?
- Je? Je crois.
- As-tu vu Chantal et Marc ?
- Non, ils doivent êtres perdus dans la foule? Ah ! Le voilà ! Marc ! hèle-t-il.
Le jeune homme les rejoint. Chantal se pointe.
- Ah ! Vous êtes là ?
- Oui, nous sommes impatients du verdict.
- Toi aussi Stéphane ?
- Oui, je brûle de contrôler l'efficacité de mes leçons.
- Pour ça, elles ont été efficaces ! s'exclame Chantal.
- Oui, renchérit Marc, Cracra avait fait l'impasse sur la partie de cours concernée par le problème et ne nous avait pas parlé de ces fonctions.
- Heureusement que toi, poursuit Chantal, t?avais expliqué.
Pascal opine du chef.
- Oui, nous avons eu de la chance de t?avoir comme prof. Dans la classe nous sommes les seuls à avoir fait la seconde partie du problème.
La foule frémit. Les conversations cessent : Une employée agrafe des feuillets dactylographiés. Les élèves s'agglutinent près du tableau d'affichage. Chantal se précipite suivie de Marc.
- Tu n'y vas pas ? demande Stéphane à Pascal.
- Oh ! Je saurais par eux le résultat aussi vite que si j'y allais.
- On dirait que tu as confiance.
- Oui, d'après moi j'ai répondu correctement en math et en physique. Je suis pas trop mauvais en langues, il y a que la philo qui me pose problème.
Chantal revient toute excitée, suivie de Marc un sourire satisfait aux lèvres. Stéphane est rassuré. Rien qu'à les voir, on devine qu'ils ont leur diplôme.
- Alors ? interroge-t-il pour faire plaisir à la jeune fille qui n'attend que ça.
- On l'a ! Et avec mention qui plus est.
- Mention ? s'étonne Pascal. Qui ? Moi ?
- Oui, toi et moi mention assez bien, Marc mention bien. Quand je pense qu'il nous a fait la vie toute la semaine, celui-là ! Soi-disant qu'il avait tout loupé !
- Je vous félicite, déclare Stéphane. Allez rejoindre vos camarades, je vous attends jeudi prochain.
- On y sera sans faute !
- A quelle heure voulez-vous venir ?
Les trois jeunes gens se consultent du regard.
- Vers trois heures de l'après-midi ? suggère Chantal qui reçoit l'approbation des autres.
Elle donne un baiser sur la joue de Stéphane avant de se fondre dans la foule avec ses deux camarades. Stéphane sourit de les voir recevoir d'un air blasé les congratulations de leurs condisciples. Ils méritent la petite fête qu'il projette. Un peu d'alcool est tolérable dans ce contexte. Il décide leur préparer un cocktail, pourquoi pas un punch à base de rhum blanc et de jus de fruits ? Il lui faudra s'approvisionner mercredi...

Chantal rencontre Marc et Pascal juste devant l'immeuble de Stéphane.
- On t?attendait, déclarent les deux garçons.
Pascal s'approche des sonnettes. Il cherche le nom de Stéphane.
- Attends une seconde.
- Qu'est-ce qu'il y a Chantal ?
- Dis Pascal, c'est grâce à Stéphane qu'on a eu le bac avec mention n'est-ce pas ? Comment tu penses le remercier ?
- Euh? Je sais pas.
- Moi j'ai bien une idée, mais j'ai besoin de toi.
- A quoi penses-tu ?
- T?as remarqué combien il bandait pendant que tu l'enculais ?
- Ouais, c'est même étonnant. Tu crois que c'est ça qui lui ferait plaisir ?
- Oui, surtout si je participe.
- Comment ? Ah ! Je comprends ! Tu voudrais qu'il te baise en même temps ?
- On pourrait essayer.
Pascal n'est pas contre. Un fin sourire se dessine sur ses lèvres.
- Et moi dans tout ça ? Qu'est-ce que je deviens ? rouspète Marc.
Chantal s'empresse de le rassurer.
- Toi, mon gros, je te ferais un énorme câlin après. Vous venez ?
- Eh ! Attends ! Comment le lui dire ? Je me vois pas lui annoncer que je l'encule pour le remercier!
- T?occupes, j'ai mon idée. Alors ? Vous arrivez ? Il va croire qu'on vient pas.
Elle appuie sur le bouton de la sonnette.
- Oui, c'est nous, répond-elle à l'interphone.
Le pêne s'ouvre dans un grésillement électrique.

Stéphane inspecte le salon. Sur la table basse, un plateau de canapés, des verres et une cruche de jus de fruits. Il réserve le punch mis au frais dans le réfrigérateur pour une surprise en milieu d'après-midi. Il se précipite à la porte à l'appel de la sonnerie. Derrière le battant il perçoit les voix de ses invités, ils semblent excités. Lui aussi est impatient de les recevoir.
Il ouvre fébrile. Il serre les mains reçoit un baiser mouillé sur la joue et entraîne ses élèves au salon. Tout en grignotant les canapés, il dirige la conversation sur l'examen récent et laisse les jeunes gens commenter les épreuves. Pascal manifeste des signes d'impatience, ils ne sont pas venus pour ça. Chantal le calme d'un clin d'oeil. Elle se lève.
- Dis, Stéphane t?as pas de la musique ?
- Si, allume la chaîne stéréo.
- Qu'est-ce que t?as comme disques ?
- Ils sont là, désignant la pile de CD.
Elle choisit une pochette, insère la galette dans le lecteur. Un slow rythmé emplit la pièce. La jeune fille commence à danser avec des gestes lascifs. Elle déroule l'écharpe qui ornait son cou et la lance sur le dossier de son fauteuil. Puis face à Pascal elle se déhanche. Il comprend l'invite et déboutonne le chemisier. Avant qu'il écarte les pans sur la poitrine, elle s'échappe et donne ce plaisir à Marc. Puis elle danse devant Stéphane en lui tournant le dos pour qu'il ôte le vêtement. Elle passe devant les hommes abandonnant à chacun une pièce de sa tenue. Une fois dévêtue, elle s'affale nue dans son fauteuil. Elle prend son verre sur la table basse et le tend à Stéphane.
- j'ai soif ! Donne-moi à boire.
- Le jus d'orange est chaud. Va chercher un nouveau broc que j'ai préparé dans le réfrigérateur? Oui, vas-y toi? Je t?en prie.
Il veut lui faire la surprise de la boisson alcoolisée. Elle fronce les sourcils puis se lève.
- d'accord je me dévoue pour chercher à boire mais pendant ce temps déshabillez-vous. Je veux tout le monde à poil à mon retour de la cuisine.
Ils s'empressent de lui obéir, secrètement heureux qu'elle en fasse la demande, et soulagés qu'elle n'exige pas un strip-tease.

A peine se sont-ils rassis sur leur siège qu'elle entre. Stéphane devine qu'elle a attendu derrière la porte qu'ils soient tous déshabillés. Elle dépose le broc au punch et une petite soucoupe sur laquelle elle a déposé une noix de margarine. Elle regarde d'un air de triomphe Stéphane qui, gêné, détourne les yeux. La couleur est annoncée ! Il remplit les verres. Pascal avale une gorgée et manque de s'étouffer. l'alcool le surprend.
- Qu'est-ce que t?as ? demande Chantal, c'est pas bon ?
- Si, goûte, tu verras.
Elle trempe des lèvres circonspectes avant de sourire. Marc l'imite et sourit à son tour.
- j'ai pensé qu'un jus de fruit amélioré serait de circonstance pour fêter votre succès, explique Stéphane.
Ils dégustent leur breuvage à petites lampées savourant le mélange d'alcool et de jus de fruits sucrés.
- Viens m'embrasser, tu le mérites, déclare Chantal en ouvrant les bras à son professeur.
Il s'avance. La jeune fille est enfoncée dans son fauteuil. Il se penche pour atteindre ses lèvres de la bouche. Il doit s'appuyer sur les accoudoirs pendant le baiser. Pascal qui n'attendait que ce signal, se place derrière Stéphane. Ses paumes qui caressent les fesses, déclenchent un frisson qui les couvre de chair de poule. Il trempe son doigt dans la margarine qui fond sur la soucoupe et en tartine autour de l'anus.
- Aah !
Stéphane soulève la figure. Chantal qui croit qu'il veut s'échapper, le retient.
- Reste, on te veut aucun mal.
Il le sait et se prépare à l'introduction. Marc vient en renfort et écarte les fesses. Pascal promène le bout du gland sur la rosette saillante avant de l'enfoncer d'un petit centimètre.
- Aah !
En même temps que la hampe pénètre dans son intestin, la main de Chantal contrôle l'érection de sa verge.
- Oui, Pascal ! continue, ça vient ! déclare-t-elle excitée.
Le garçon tenant Stéphane par les hanches avance puis recule plusieurs fois, s'enfonçant plus profondément à chaque coup de rein.
- Oui ! Je crois que c'est bon. Ne bougez pas !
Le couple suspend tout geste dans l'attente. La jeune fille empoigne la queue que la pénétration anale a durcie et la place devant l'orifice du vagin.
- Allez-y !
Stéphane tremblant est bien incapable de réagir. Heureusement Pascal vient à la rescousse. Il donne un violent coup de rein qui propulse sa victime contre la jeune fille.
- Aaah !
- Aaah !
Double cri de satisfaction. Chantal d'être enfin baisée par son professeur, et celui-ci de faire l'amour à son élève. Pascal recule. Il permet à Stéphane d'en faire autant. Après quelques tâtonnements, les deux hommes conjuguent leurs mouvements, alternant retrait et pénétration. Leur excitation est contagieuse. Marc s'approche. Il calme son désir de faire jouir la jeune fille en lui embrassant la figure, les yeux et en caressant sa poitrine.
Stéphane est ému. Il est capable de baiser à nouveau ! Quelle joie de sentir sa queue enveloppée par les muqueuses d'un vagin féminin ! Dire qu'il pensait avoir perdu à tout jamais cette merveilleuse sensation. Le frottement de la verge dans son sphincter décuple son bonheur.
Les trois protagonistes gémissent et halètent de conserve. Pascal est infatigable. Stéphane s'efforce de suivre. Le picotement de la jouissance proche envahit son bas ventre. Il tente de retarder la montée de la sève. Sans succès. Le poignard du plaisir le transperce et le laisse pantelant, aussi actif qu'une poupée de son, entre ses deux partenaires. Sa verge ramollie s'échappe de la jeune fille pendant que Pascal continue ses coups de rein avec la régularité d'un métronome. Chantal maintient et cajole Stéphane, déçu de n'avoir pas résisté plus longtemps. Enfin le garçon gémit plus fort, accélère et se libère dans un cri.
Le silence n'est troublé que par la musique qui continue d'égrener ses notes. Pascal se redresse. Sa queue en se retirant laisse une trace humide sur les fesses. Chantal repousse Stéphane qui s'écroule inerte sur le tapis.

Il revient à lui. Une lavette fraîche bassine ses tempes. Il ouvre un oeil pour voir trois visages inquiets penchés sur lui.
- Ça va ? lui demande Chantal.
Incapable de répondre, il ferme et rouvre les paupières en signe d'assentiment.
- Vous nous avez fait peur, vous êtes sûr que ça va ? interroge Pascal.
- Ou.. Oui parvient-il à balbutier.
Avec l'aide des trois jeunes gens il s'assied sur un fauteuil. Chantal présente un verre de punch. Il boit une gorgée.
- Non, de l'eau s'il te plait, je finirai ce verre après.
Elle s'empresse de le servir. Il reprend peu à peu ses esprits et prend conscience de sa performance.
- Vous savez?
Ils s'approchent de lui.
- Je vous remercie. De tout mon c'ur. Je ne me croyais plus capable de faire l'amour. Merci à vous de m'avoir détrompé.
- Tu te défends pas mal, sourit la jeune fille.
- Tu me flattes. j'ai bien vu que je n'étais pas parvenu à te faire jouir. Je n'ai pu me retenir et me suis effondré avant.
- c'est pas grave, tu auras d'autres occasions de te racheter.
Elle dépose un baiser sur son front.
Chantal se place devant Marc.
- A nous deux ! Tu as été brimé pendant le premier épisode. Il est temps que tu te rattrapes.
Il l'attire à lui. Leurs lèvres se soudent. Les remous des joues trahissent le ballet des langues dans les bouches. Chantal pousse Marc vers le plus grand canapé. Elle le force à s'allonger sur le dos. Leur baiser se prolonge, puis la jeune fille glisse peu à peu. Sa bouche s'attarde sur le lobe d'oreille, sur le cou les tétons du jeune homme. La langue tente de s'introduire dans le nombril, descend vers le pubis pour béqueter le gland turgescent. Au lieu de le prendre en bouche, elle empoigne la verge et remonte doucement sans la lâcher. Elle refait le parcours inverse ne s'arrêtant que lorsque ses lèvres se posent sur la bouche de Marc. Sa main prisonnière entre leurs corps serrés place la verge du garçon. Elle n'a plus qu'à l'enfoncer dans le vagin.
- Aah !
Elle remue le bassin, assurant la majeure partie de la danse d'amour étouffant sous ses baisers les plaintes et gémissements.

Pascal depuis un moment se trémousse sur son siège. Il a pleinement récupéré de ses efforts précédents et caresse doucement la hampe de son sexe en regardant l'étreinte qui se prolonge. Tout à coup, il se lève, se place derrière Chantal et chatouille ses fesses du gland.
- Non ! s'écrie Stéphane. Laisse-les tranquille !
- Si ! l'interrompt Chantal qui quitte les lèvres de Marc. Il peut venir.
- Tu veux qu'il t?en' Euh? Qu'il te sodomise ?
- Oui, qu'il m'encule comme tu n'oses pas le dire.
- n'as-tu pas peur qu'il te fasse mal ?
- Non, je les veux tous les deux ensemble.
- Puisque tu le dis'
- Je t?assure.
- Attendez juste une minute que je prépare mademoiselle.
Marc et Chantal suspendent leurs mouvements pendant que Pascal se retire un peu. Stéphane prend sur le doigt de la margarine dont il enduit l'anus de la jeune fille, puis la verge du garçon. Il espère que celui-ci sera prudent.
- Tu promets de te retirer si je te fais signe ?
- Oui, sois sans crainte.
- Alors ça vient ? s'impatiente Chantal.
- Oui, la rassure Stéphane qui écarte les fesses de la jeune fille et place le sexe devant le petit trou. Vas-y doucement, ordonne-t-il à Pascal.
Celui-ci avance le ventre. Le gland bien enduit pénètre facilement.
- Ooh ! Gémit Chantal.
Le garçon s'arrête.
- Vas-y ! Crie-t-elle.
Pascal pousse, revient un centimètre puis pousse à nouveau jusqu'à disparition totale de la queue.
- Ça va ma chérie ? s'inquiète Stéphane. Pas trop de mal.
- No? Non.
- Ils peuvent aller et venir ?
- Oo? Oui.
- Vous avez compris les garçons, pas de brutalité. Restez doux, faites-la jouir sans lui faire de mal. Je vous fais confiance.
Pascal se retire lentement jusqu'à voir la base du gland à l'orée se l'anus puis renfonce le dard à la rencontre de l'obstacle formé par la queue de Marc dans l'orifice voisin. Chantal ouvre et ferme la bouche dans un cri silencieux. Elle a l'impression que son ventre va éclater quand les deux sexes sont enfoncés mais cela n'est rien en regard de la fierté de satisfaire les deux garçons en même temps. Elle comprend que les efforts de Marc pour bouger sont vains. Le pauvre, il est écrasé sous le poids de ses partenaires. Elle compense en remuant le bassin lorsque Pascal en reculant, lui en donne la possibilité.
Le trio glisse sur le canapé et s'approche du bord. Un coup de rein plus appuyé de Pascal fait gémir Chantal.
- Attention ! Tu lui fais mal !
Stéphane applique une claque sonore sur les fesses du fautif. Le mouvement de surprise de celui-ci déséquilibre le groupe qui roule sur le tapis sans se désunir. Ils se retrouvent couchés sur le coté. Marc peut enfin remuer. Il résiste aux efforts de son copain qui aimerait retrouver la position dominante. Stéphane vient à sa rescousse.
- Reste couché sur le coté Pascal. Ainsi tous les deux vous pourrez bouger.
Les deux garçons coordonnent leurs mouvements. Tantôt ils s'avancent ensemble, tantôt il pénètre à tour de rôle.
- Oui, très bien encourage Stéphane? Lentement? Non ! Pas si vite !? Oui? Comme ça !
Le rythme lent imposé contraint les deux garçons à un contrôle vigilant qui accroît leur excitation. Ne pouvant s'extérioriser par une accélération des coups de rein, elle se traduit par une vibration de chaque verge, vibration ressentie par l'autre partenaire à travers la fine paroi qui sépare les deux queues.
- Mieux vous vous maîtriserez, plus vous jouirez? Là? Bien' Ça va ma chérie ?
- Ou' Ou' Oui, balbutie-t-elle.
Son ventre s'habitue à la grosseur des verges. Les chairs tiraillent moins. La douleur s'estompe laissant place à une jouissance profonde. Les vibrations engendrées par les deux verges se propagent dans tout le bassin et de là à tout son corps, d'abord aux seins qu'elle sent durcir, puis à l'ensemble de son être depuis la pointe des pieds aux racines des cheveux.
- Aaah !
Marc gémit. Il n'en peut plus. Il tente d'amplifier ses mouvements.
- Non, pas si vite ! le calme Stéphane attentif au bon déroulement de l'étreinte. Maîtrise-toi... Toi aussi Pascal... Respirez profondément.
- Aaah !
Envahis par le plaisir, les trois jeunes gens ne savent plus où ils en sont et suivent mécaniquement les conseils de leur mentor.
- Sentez comme la jouissance augmente? Continuez? Oui? Bien'
- Aaaaah !
Marc éclate soudain. Il tremble de tous ses membres, immédiatement suivi par Pascal qui donne en plus des petits coups de queue spasmodiques.
- Ouiiii !
Chantal succombe à son tour. Ses ongles s'impriment dans le dos de Marc qui halète indifférent à la douleur.

Ils restent enlacés, immobiles le souffle court. Stéphane écarte Pascal. Avec précautions; il retire la verge encore dilatée. Chantal soupire. Elle ne saurait dire si c'est de soulagement ou de regret. Il l'allonge sur le dos. Elle gît les jambes écartées, pâle, les paupières fermées, le corps encore parcouru de frémissements convulsifs.
- Là, là, calme-toi. c'est fini. Peux-tu venir jusqu'à la salle de bain ? propose-t-il.
Elle s'assied sur les talons. Il l'aide à se relever et l'entraîne. Il la porterait bien, mais a peur de glisser et de faire mal à la jeune fille en tombant. Il la fait entrer dans la baignoire où elle s'allonge. Il l'asperge d'eau tiède.
- Brrr ! c'est froid ! Un peu plus chaud s'il te plait.
- Non, je le fais exprès, Cela te calmera mieux.
Armé d'une main éponge, il essuie l'entrejambe.
- Doucement s'il te plait.
- Tu as mal ?
- Non, mais c'est sensible.
- Tourne-toi coté pile.
- Quoi ?
- Tes fesses ! Je contrôle que Pascal ne t?a pas blessé.
- Je pense pas.
- Dans l'état où tu étais, tu ne t?en serais pas rendue compte ! Laisse-moi voir.
Elle se met à plat ventre.
- Ecarte un peu les cuisses' Oui? On dirait que ça va? As-tu mal ? interroge-t-il en présentant l'index devant l'anus.
- Non.
Il enfonce l'ongle.
- Aïe !
- Excuse-moi, tu es encore trop sensible.
- Ce n'est rien.
La jeune fille s'assied dans la baignoire. Elle a repris des couleurs. Elle attire Stéphane qui résiste.
- Pourquoi ? Tu mérites une récompense car tu nous as bien aidés.
- Je n'aime pas aller dans la baignoire.
- Allons dans la douche alors.
- Non, retournons dans le salon. Nous ne devrions pas laisser Marc et Pascal seuls. Ils doivent s'ennuyer.

Stéphane s'arrête étonné au seuil du salon.
- Tu avais tort, déclare Chantal qui appuie les seins sur son dos, Ils ne s'ennuient pas.
En effet, les deux garçons, épaule contre épaule se caressent mutuellement. Ils semblent ne pas avoir conscience de l'arrivée de Stéphane et de la fille. Les doigts jouent dans les poils à la base des sexes qui commencent à grossir. Pascal prend l'initiative d'un baiser que Marc subit sans oser le rendre.
- Tu crois qu'ils vont s'enculer ? murmure la jeune fille.
- Ça m'en a tout l'air.
Sans cesser de caresser son copain, Pascal le fait descendre du canapé et le dispose à genoux sur le tapis, les coudes reposants sur l'accoudoir. Prenant conscience des deux spectateurs, il leur adresse un sourire triomphant en enfonçant dans le sphincter un index fouisseur.
- Aaah !
- Regarde qui vient admirer comme tu jouis !
- Oh non ! Pas eux ! Pas Chantal !
Malgré la dénégation, le garçon ne change pas de position. Il n'en a pas la force. Juste tourne-t-il la tête pour ne pas voir leurs regards.
- Pourquoi tu veux pas de moi ? reproche la jeune fille. Je t?ai pas toujours aidé ?
Elle tire sur les lobes du postérieur pendant que Pascal écartent les genoux pour dégager la rosette de l'anus. La jeune fille avise la soucoupe ou fond un reste de margarine. Elle trempe un doigt et graisse le sphincter.
- Là, Pascal te fera pas mal.
- c'est pas mon intention, affirme celui-ci.
Il se met en place. A l'aide de quelques coups de poignet, sa queue atteint une raideur suffisante et sans attendre, il l'enfonce dans le cul offert.
- Aaah !
Double cri de satisfaction.
- Hein que tu aimes te faire enculer !
- No? non !
- Comment non ? Ose dire que tu n'aimes pas ma queue.
- Ta? Aah? Ta queue? Aah? Ou' Oui.
Chantal promène la main sous le ventre de Marc.
- Oui, il aime ta queue. La sienne est là pour le confirmer.
Elle manchonne doucement la verge raidie.
- Attend mon gros, j'ai mieux que ma main.
Elle s'allonge sur le dos et rampe sous le garçon. Elle soulève la figure pour embrasser le gland, mais la position n'est pas confortable et elle doit reposer la tête sur le tapis. Stéphane se précipite à son secours. Il apporte trois coussins qu'il empile.
- Merci.
La jeune fille peut sans fatigue sucer le pénis. Le garçon gémit.
- Est-ce que je te fais mal ? s'étonne-t-elle.
- No? Aah ! Non !
Encouragée, elle s'amuse à mordiller le gland.
- Aaaah !
Stéphane amusé par le spectacle veut y prendre part. Comment ? Un instant il a la tentation de caresser le cul de Pascal qui continue ses coups de rein réguliers. Il avance la main, la retire. Non ! Pas Pascal. Si cela avait été Marc, peut-être, mais pas Pascal. Il ne saurait dire pourquoi. Chantal absorbée par sa sucette, roule sur les fesses découvrant aux hasards de ses mouvements son sexe rose. Oui ! c'est elle qu'il va caresser ! Il s'installe, les cuisses de la jeune fille sur les épaules, la bouche tout près du sexe.
- Aah ! Oui ! parvient-elle à murmurer entre deux léchages.
Marc et Pascal sont les seuls à gémir mais font du bruit pour quatre. Le plaisir est long à venir après les efforts passés. Chaque participant peut sentir la jouissance s'amplifier, doucement d'abord, puis avec plus d'intensité. Les gémissements augmentent, les mouvements s'accélèrent. Pascal s'épanche le premier dans un cri rauque. La pression des jets de sperme déclenche l'éjaculation de Marc dans la bouche de Chantal qui tressaille et serre convulsivement les cuisses sur les joues de Stéphane. Il reste seul lucide s'efforçant de poursuivre ses caresses buccales malgré la pression des jambes de sa partenaire?
Ils se retrouvent tous les quatre dans la salle de bain à s'asperger.
- Du calme, les enfants ! Ce n'est pas vous qui nettoyez !

Une fois tout le monde rhabillé, Stéphane sert les sandwichs qu'il avait préparés et termine de vider le broc à punch.
- Dis Stéphane, déclare Chantal en reposant son verre. Parrain et Marraine veulent te remercier.
- Ce n'est pas la peine.
- Si ! Tu es invité dimanche? Ils insistent, ajoute-t-elle devant l'air indécis de Stéphane, et moi ça me fera plaisir.
- Bon, j'accepte.
- Mes parents aussi vous remercient, ainsi que ceux de Marc, lui dit Pascal.
- Oh ! Vous auriez de toute façon réussi le bac j'en suis sûr.
- Peut-être mais pas avec mention, n'est-ce pas Marc ?
- c'est l'avis de ma mère qui est enchantée de m'avoir offert ces leçons.
- Tu lui as dis comment elles finissaient ? s'amuse Chantal.
- Euh? Non.
- On dirait que tu regrettes.
- De ne lui avoir rien dit ?
- Non, comment les leçons se terminaient.
- Comment ? Tu regrettes ? s'étonne Pascal. Cette blague ! Avoue que pour rien au monde t?aurais voulu rater ça !
Le garçon baisse la tête. Il a encore du mal à accepter que son copain, un homme, le fasse jouir. Stéphane vient à sa rescousse.
- Qu'allez-vous faire maintenant ?
- Maintenant ? Ben partir en vacances ! s'étonne Chantal.
- Je voulais dire à la rentrée.
- Je me suis inscrite hier en fac de science. j'aimerais faire de la recherche.
- Et vous ? Interroge Stéphane.
- Marc et moi sommes acceptés dans une classe préparatoire.
- Quelle école aimeriez-vous intégrer ?
Les deux garçons se dévisagent. Ils n'en ont pas encore parlé. Marc s'excuse.
- On sait pas, on verra au moment de s'inscrire pour les concours.
- Tu as raison, vous avez le temps de vous décider. Profitez de vos vacances bien gagnées.

Les trois jeunes gens prennent congés. Chantal retarde son départ.
- Passez devant, je vous rejoins.
Elle attend qu'ils aient disparus au tournant de l'escalier pour demander à Stéphane :
- Alors ça t?a plu ? Tu vois que t?es encore capable de faire jouir une femme !
- Tu ne peux pas savoir le plaisir que tu m'as fait. Je t?en serais éternellement reconnaissant.
- Merci. Ah ! j'oubliais. Olivia veut te voir en particulier avant dimanche.
Stéphane fronce les sourcils. Cela ne lui dit rien d'affronter son ancienne maîtresse surtout après avoir fait l'amour avec sa filleule !
- Elle propose demain après-midi. Qu'est-ce que je lui dis ?
- Euh?
- Bon, ben je lui dis que t?es d'accord. Elle t?attendra à trois heures.
Elle dévale les marches à la poursuite de ses deux copains. Stéphane s'en veut. Il aurait du refuser. Cette entrevue ne lui dit rien qui vaille. Olivia se douterait-elle de quelque chose ? Il rentre à la cuisine pour ranger les verres. Les préservatifs préparés sont encore sur la table.
- Merde ! Les capotes ! On ne les a pas utilisées.
Pris dans le tourbillon du désir, il ne s'en était pas rendu compte.
- Sacrée Chantal, je suis sûr qu'elle l'a fait exprès.
Il doit s'avouer qu'il ne regrette pas : Les muqueuses du vagin et la queue de Pascal étaient si douces' Et puis, quel risque ? Les jeunes gens sont sains et Chantal prend la pilule, du moins il l'espère. Il range les préservatifs dans sa poche.

Fin des leçons particulières