Les leçons particulières - 6

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Proposée le 30/01/2010 par Cidoux

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ILS ONT GAGNE !


Stéphane est fébrile en attendant ses élèves. Comme le mardi précédent il s'est soigneusement lavé et parfumé. Il a même pour essayer, introduit un doigt dans l'anus. Déception, mais se console-t-il, cela ne veut rien dire car les caresses sont de loin meilleures si c'est autrui qui les prodigue. Dans le réfrigérateur, il place en évidence deux packs de jus d'orange et une soucoupe avec un peu de margarine. Il demandera à un de ses élèves de venir le chercher. Après réflexion il ajoute plusieurs préservatifs. Il dépose un plateau sur la table avec quatre verres. Cela fait, il retourne dans le salon et trompe son impatience en lisant jusqu'à la sonnerie de la porte d'entrée. Il doit se contraindre à rester calme en introduisant les trois jeunes gens.
- Ce coup-ci, nous allons gagner, déclare Chantal. n'est-ce pas les copains ?
- Je ferais tout pour, affirme Pascal.
Marc ne dit rien mais son regard déterminé parle pour lui. La peur s'empare de Stéphane. Et s'il annulait l'épreuve ? Non, ce ne serait pas juste. s'ils gagnent, ils auront mérité une récompense. Ce sont des jeunes gens raisonnables qui ne le tortureront pas. Il sort d'un cahier la série de question préparée la veille quand il avait hâte qu'ils réussissent. Ne sont-elles pas trop faciles ? Et puis zut ! Advienne qui pourra !
- Prenez une feuille de papier, je dicte les énoncés'

Rien qu'à voir leurs mines satisfaites, il comprend que le moment tant redouté est arrivé. Un coup d'oeil à la copie de Marc, aucune faute. Pas d'erreur non plus chez Chantal. Il regarde celle de Pascal par acquis de conscience, tout est juste.
- j'ai le plaisir de vous annoncer que vous avez brillamment répondu.
- Nous avons gagné alors ? demande Chantal.
- Plus exactement il a perdu, corrige Pascal dont le sourire sardonique fait frissonner Stéphane.
Pourvu qu'il se contente de l'enculer, espère-t-il. Pour masquer son trouble il réclame le calme et commence la révision. Au début ils sont tout énervés puis la proximité de la date de l'examen les assagit. Ils suivent avec attention les démonstrations de Stéphane et sont tout étonnés quand celui-ci après avoir jeté un oeil à la pendule, se renverse sur son siège et déclare :
- Nous avons bien travaillé. Voulez-vous un rafraîchissement ?
- c'est pas de refus, approuve Pascal.
- Un de vous pourrait aller chercher à boire dans le réfrigérateur ?
Chantal se précipite. Elle a hâte d'en terminer avec les formalités et est impatiente de commencer la partie intéressante de l'après-midi. Elle sourit en découvrant les préservatifs et la soucoupe à coté du jus de fruit. Elle dépose le tout sur le plateau préparé par Stéphane.
- Voilà de quoi désaltérer ces messieurs.
- As-tu tout pris ? interroge le professeur. Oui je vois.
Les yeux de Pascal brillent à la vue de la margarine. Stéphane devine ce qui l'attend, raison de plus pour ne pas le décevoir décide-t-il. Le garçon termine rapidement son verre et se tourne vers Chantal. Il a plus confiance dans la jeune fille qu'en Marc pour obtenir de l'aide.
- Si nous passions aux choses sérieuses ?
- j'allais te le proposer.
Elle comprend que son copain se réserve le prof. Tant mieux, elle aura Marc à sa disposition.
- Si on se mettait à poils ? continue-t-il.
- Pas d'objection pour ma part, réplique la jeune fille. Allez Marc, du courage, ajoute-t-elle devant le peu d'enthousiasme de son copain, tu le regretteras pas.
La promesse de futures réjouissances emportent les réticences du garçon. Les trois jeunes gens se déshabillent.

- Hé ! s'insurge la jeune fille, toi aussi Stéphane ! Je te rappelle que tu as perdu et que tu dois nous obéir. Allez ! Plus vite que ça !
Quelques minutes plus tard ils sont tous les quatre nus. Le plus gêné est Stéphane qui ne sait comment dissimuler le sexe rabougri dont il a honte devant les verges dressées de ses compagnons. Pascal ne le laisse pas réfléchir.
- Mettez-vous à quatre pattes sur le tapis' Oui. Chantal, apporte-lui un coussin' Place-le entre ses mains' Maintenant, appuyez votre joue dessus' c'est bien.
La tête et les coudes au sol, le cul proéminent, Stéphane a conscience de ne pas être à son avantage dans cette posture mais puise une joie trouble à être ainsi humilié. Il tremble plus d'excitation que de crainte. Pascal étend un peu de margarine froide. Stéphane frémit à la fraîcheur douce entre ses fesses. Le garçon tartine le pourtour et inspecte l'anus d'un index indiscret.
- Aah !
- On dirait qu'il aime ça hein ?
Chantal vérifie l'effet de la caresse en passant la main sous le ventre du professeur.
- Continue Pascal !
- Tu verras que ce sera encore meilleur quand ma queue entrera, promet le garçon en tournant le doigt.
- Aahh !? Vous' Vous mettrez? Aah !? Un préser?
- Oui mon gros, il va enfiler une capote, le calme Chantal, je m'en occupe personnellement? tourne-toi, demande-t-elle à Pascal' Non, continue à le doigter? Montre ta queue? Oui.
Pour la durcir, elle embrasse le gland. La hampe hoche de plaisir. Elle déchire l'enveloppe du préservatif et le déroule sur la queue raide. Pascal la présente devant l'anus.
- Une seconde, s'il te plait.
Chantal enduit le latex d'un peu de graisse.
- Comme ça, ça entrera tout seul et il aura pas mal' Là? Je le mets devant ton trou du cul' Ne bouge pas !? Tu peux y aller Pascal !
Le garçon donne un coup de rein. Le sexe pénètre de plusieurs centimètres.
- Aaaahh !
- T?as mal ? interroge Pascal qui interrompt la poussée.
Stéphane ne peut parler. Il secoue la tête. Pourvu qu'il comprenne et ne se retire pas. Chantal et Marc se sont rapprochés fascinés par le spectacle de la queue qui écarte les chairs brunes de l'anus. Le garçon presse plus fort. La tige disparaît peu à peu. Il n'arrête que lorsque son ventre appuie sur les fesses.
- Qu'est-ce qu'il dit le cochon avec une grosse queue dans le cul ?
Pascal retire son engin.
- Aah !
- Hein qu'il aime ça, se faire défoncer le fion !
- Aah !

Chantal se secoue. Elle aussi a besoin d'une bonne queue dans le ventre. Elle empoigne la verge de Marc.
- Viens ici toi.
Pour ne pas faire de la peine à Stéphane elle déchire l'enveloppe d'un autre préservatif et habille le garçon. Il veut l'embrasser et la coucher sur le canapé.
- Non pas comme ça.
La jeune fille prend un coussin qu'elle dispose à coté de celui de Stéphane et s'installe dans la même position.
- Tu veux? Dans le cul ? balbutie Marc.
- Non si tu y tiens pas. Prends-moi en levrette.
Il n'a pas besoin d'explication pour comprendre. En deux coups de poignets, il redresse sa verge un instant défaillante, se place derrière Chantal et trouve la bonne entrée.
- Aah !
La jeune fille sourit à Stéphane qui rend le sourire. Elle avance sa figure, il fait de même, leurs lèvres se touchent mais ils ne peuvent échanger de baiser, malmenés qu'ils sont par leurs cavaliers. Les deux garçons coordonnent leurs coups de rein. Ils se sourient également, leurs mains se frôlent.
- Caresse-moi.
Marc comprend que c'est à lui que s'adresse la prière de Chantal. Il se penche au-dessus de la jeune fille et des doigts fouille les poils du pubis. Il trouve le petit bouton sensible et l'agace de l'ongle.
- Ouiii !
Pascal imite son voisin. Sa main découvre une hampe droite et la masturbe en cadence. Stéphane est tout heureux de son érection. Il ne peut en contrôler la rigidité mais pense qu'elle serait suffisante pour une pénétration. En effet la caresse de Pascal n'est pas douce, ses doigts serrent la queue, tirent dessus sans la faire fléchir. La prochaine fois, il essayera de baiser Chantal en même temps. La prochaine fois... A cette pensée un fourmillement envahit son bas ventre. Le va et vient dans son sphincter lui procure une jouissance profonde, les doigts sur son sexe pompent son énergie vitale. Il doit résister ne pas succomber avant les autres...

Marc n'en peut plus. Le plaisir de baiser Chantal l'empêche de contrôler la montée de la sève. Il va succomber avant la jeune fille et cela le désole. Celle-ci est heureuse. Heureuse qu'une bonne queue taraude son vagin, heureuse qu'un doigt titille son clitoris, heureuse de sentir le garçon vibrer dans son dos. Elle laisse les vagues du plaisir l'envahir.
Pascal sent dans la paume le gonflement de la verge de Stéphane prémisse à l'éjaculation. Il est fier de faire jouir son professeur et manifeste sa joie dans un grognement vainqueur.
- Mmmmhh !
c'est le signal que tous attendaient. Avec un ensemble presque parfait les hommes délivrent leur semence et Chantal est secouée par une décharge de plaisir. Entraîné par l'élan les garçons donnent encore quelques coups de rein libérateurs avant de s'effondrer sur le dos de leurs victimes consentantes.

Le silence après les gémissements et halètements qui ont ponctué les étreintes leur permet de reprendre leurs esprits. Chantal se secoue la première.
- Ote-toi de mon dos, commande-t-elle à Marc. Le garçon s'écarte mais reste à genoux. Pascal se retire. Sa queue fait plop ! en sortant du cul de Stéphane. La jeune fille s'approche de celui-ci. Il est pâle le souffle court.
- On l'emmène à la salle de bain.
Les deux garçons ôtent leur préservatif. Marc se charge de les jeter à la poubelle pendant que Pascal aide Chantal à transporter Stéphane. Ils le font entrer dans la baignoire où ils l'aspergent d'eau tiède. l'ondée bienfaisante réveille le bonhomme.
- Ça va mieux ?
- Oui Chantal, je survivrai.
Il sourit car la jeune fille en profite pour le caresser doucement.
- On peut dire que cela vous a fait de l'effet, commente Pascal. Vous avez l'habitude ?
- Non' Euh? c'est la première fois.
- La première fois que vous vous faites enculer ? c'est pas vrai !
Pascal est sceptique. Chantal accentue ses caresses que Stéphane brûle de rendre.
- Je vous assure, arrive-t-il à répondre.
- Ben vous êtes doué y-a pas à dire !

Il se désintéresse d'eux et se tourne vers Marc qui les rejoint dans la baignoire. Il passe la main sur le torse lisse, caressant les petits tétons qui se fripent, descend vers le ventre et parvient aux poils du pubis. Les doigts tentent de serrer la verge souple. Marc veut reculer. Le bord de la baignoire où ils sont entassés l'en empêche. Pascal lui prend la main et la porte à son ventre.
- s'il te plait.
Marc soupire. Oui, il aime toucher cette queue qui l'a possédé les semaines précédentes, oui, il aime sentir les doigts de Pascal sur son sexe. Les deux couples se caressent doucement indifférents à leur voisin. Stéphane réagit le premier.
- Il est tard. Vos parents vont s'inquiéter.
- Oh ! Ils s'en foutent ! déclare Pascal dont la caresse tourne à la masturbation.
- Pas les miens !
Marc prend prétexte pour se lever. Son copain l'imite malgré lui. Stéphane sourit de voir les deux verges droites qui pointent impudiques.

- Hé ! Hé ! Regarde ces deux petits cochons qui se caressaient ! s'amuse Chantal. Vous en avez pas eu assez ?
- Parle pour toi, réplique Pascal. Qu'est-ce que tu faisais à Stéphane hein ?
- Allons, allons ! Pas de dispute, temporise celui-ci. Habillez-vous, il est l'heure.
Ils rejoignent le salon où sont restées leurs affaires.
- Le baccalauréat est bien dans deux semaines n'est-ce pas ?
Ils lui en veulent de leur rappeler l'inquiétante échéance.
- Jeudi prochain sera la dernière leçon. Révisez bien. Je vous interrogerai plus longuement, au moins cinq à six exercices. Dans ce cas je suggère de ne pas tenir compte des gages.
- Et pourquoi ? s'étonne Chantal. Ce sera une bonne occasion de voir ce dont nous sommes capables, n'est-ce pas les copains ?
Les deux garçons sourient. Eux aussi sont prêts à affronter le challenge.
- Bon, d'accord, on fera comme d'habitude. Tans pis pour vous.
- Tant pis pour toi car nous sommes sûrs de réussir, fanfaronne la jeune fille.
Elle entraîne ses copains sans même donner le traditionnel baiser sur la joue.

Stéphane passe un mauvais week-end. Malgré ses multiples tentatives il n'arrive pas à retrouver seul la raideur qui l'avait réjouie pendant que Pascal l'enculait, ni même celle moins puissante quand Chantal le caressait. Il a beau se masturber, enfoncer le doigt dans le cul rien n'y fait. Il essaye avec une bougie. Le frémissement qui le parcourt lui donne espoir, mais cette sensation fugitive disparaît vite et ses manipulations désordonnées ne lui permettent pas de le retrouver. Il faut se faire une raison, il faut qu'on l'encule pour qu'il bande à nouveau, et encore il n'est pas sûr que cette érection provoquée soit suffisante pour baiser. Il a hâte de le contrôler jeudi prochain. Tant pis pour le résultat des exercices, s'il le faut, il implorera Pascal et demandera à Chantal de se prêter à l'expérience. Il est persuadé que la jeune fille ne le décevra pas. En attendant, mardi avec la jeune fille, il contrôlera que les caresses anales font encore de l'effet?

Son élève arrive préoccupée dans l'après-midi.
- Qui a-t-il ? Ce sont tes révisions qui te perturbent ? j'espère que mes leçons de math ne t?empêchent pas d'étudier les autres matières. Elles sont aussi importantes pour l'examen.
- Non, c'est pas ça.
- Alors ?
- c'est la dernière fois que tu me donnes des cours.
- Non, jeudi prochain.
- Je veux dire des cours' Euh? Particuliers.
- Sans tes copains ? Eh oui, tu n'auras plus besoin de leçons, après le bac se sont les vacances.
- Oh ! Ce n'est pas à ça que je pensais. Ça me fera de la peine de ne plus te voir.
- Je te promets de ne plus refuser les invitations de tes parents. Cela m'aurait gêné pendant les révisions, mais après j'accepterai avec plaisir.
- Vrai ?
- Je t?assure. Bon, pour la dernière nous deux seuls, on fait des exercices ?
- Tu n'en as pas préparé ?
- Si, mais si tu le désires, on s'en passe.
- Ah ! Non, ! Pour une fois où je suis pratiquement sûre de réussir !
- Tant mieux, tant mieux. Prends donc ta feuille de papier?

Chantal avait raison, elle ne fait aucune faute. Il la félicite et tempère son impatience en promettant une leçon courte. Au bout de trois quarts d'heure, elle a de la peine à se concentrer. Stéphane prend pitié et abrège la révision.
- Nous verrons les derniers points jeudi avec tes copains. Aujourd'hui ça suffit.
- On peut passer à la suite ?
- Quelle suite ?
- Oh ! Mais j'ai gagné, tu as l'air de l'oublier.
- Je ne l'oublie pas, je te taquine. Que dois-je faire ? Me déshabiller ?
- Entre autre.
Ils ôtent leurs vêtements chacun de leur coté. La jeune fille vient se blottir dans ses bras.
- Tu sens bon.
Le compliment l'émeut.
- Embrasse-moi, quémande-t-elle.
Il prend ses lèvres. Tout en fouillant la bouche de la langue, il patouille le corps délicat. De penser que c'est la dernière fois qu'il tient Chantal ainsi dans les bras le rend fébrile. Jeudi avec les deux garçons ce ne sera pas pareil.
Elle se dégage.
- j'ai une surprise pour toi.
Elle fouille dans on sac et sort un godemiché emballé dans du papier de soie.
- Que vas-tu faire ?
- Je vais voir si j'arrive à te faire bander aussi fort que quand Pascal t?encule.
Il frémit. Chantal a pensé la même chose que lui.
- Tu as du beurre ?
- Je crois, dans le réfrigérateur.
Elle s'éclipse pour revenir en frottant la tige de plastique d'un bout de doigt graisseux.
- Je pense que ça suffira. Mets-toi en position.
- Tu veux que je me mette à quatre pattes ?
- Non, Allongeons-nous tête-bêche comme mardi dernier.

Ils s'installent sur le canapé, Stéphane dessous. Le sexe rose attire ses lèvres.
- Ouiii ! Continue de me caresser.
Elle manipule la queue de Stéphane encore souple. Elle promène le bout du godemiché sur l'anus.
- Oui ! Ça a de l'effet !
Satisfaite, elle introduit le bout. Les chairs résistent. Elle pousse.
- Je ne te fais pas mal ?
- Non, tu peux y aller.
- n'oublie pas de me caresser !
Il s'applique à sucer le clitoris pendant que Chantal pousse plus fort. Le sphincter se dilate et aspire le godemiché comme une petite bouche.
- Aaah !
Stéphane frémit. Presque la même sensation qu'avec la queue de Pascal.
- Tu bandes ! Oui ! Tu bandes !
Elle pistonne avec l'engin. Stéphane tremble, il ne peut poursuivre les caresses.
- Oui ! Tu as une vraie queue ! Prends-moi !
Elle se couche sur le tapis, cuisses écartées.
- Viens !
En l'absence de mouvement, le sexe artificiel n'a plus d'effet. La raideur de Stéphane retombe comme un soufflet.
- Oh ! Mets-toi à quatre pattes.
Elle fait jouer le godemiché. Immédiatement la queue de Stéphane réagit mais s'affaisse dès que Chantal cesse le mouvement de va et vient.
- On n'y arrivera pas ! Je suis désolée.
- Contentons-nous de caresses comme mardi dernier, tu veux bien ?
- Moi qui me faisait une joie d'être baisée par toi.
- Nous trouverons une solution, garde confiance !
Il l'entraîne vers le canapé. c'est lui qui se place au-dessus. Avec les doigts, il écarte les lèvres du sexe rose et assèche de la langue la rosée du plaisir, pendant que Chantal suce la verge dilatée mais toujours souple malgré l'introduction d'un index dans le sphincter.

Le jeudi suivant, il prépare une série de questions couvrant tout le programme. Il prévoit que cela les occupera pendant une bonne demi-heure. Ensuite il abordera les derniers points de la révision et ses élèves seront fins prêts pour l'examen. Il les regrettera. Ils lui ont fait découvrir des facettes du plaisir qu'il ne connaissait pas. Il sourit. Ce sont les jeunes qui l'ont initié, le monde à l'envers ! Aura-t-il l'occasion de les revoir. Chantal oui, chez ses parents mais les autres ? Peu probable. Il devra se contenter du souvenir de la queue de Pascal s'enfonçant entre ses fesses.

Les trois jeunes gens s'installent autour de la table. Personne ne dit mot. l'ambiance est morose. Stéphane distribue à chacun une feuille avec les énoncés des exercices qu'il leur propose. Ils ne font aucun commentaire et se plongent dans la résolution des problèmes. Au bout d'une demi-heure, il les arrête et corrige avec eux. Il est fier du résultat car ils ont presque tout fini correctement.
- c'est comme si nous avions gagné ? demande Chantal.
- Oui, on peut dire ça.
- Moi je ne pourrai pas rester à la fin du cours, déclare Marc. j'ai encore des matières à revoir.
- Moi aussi, renchérit Pascal.
- Vous nous laissez tomber ?
Chantal est déçue. Elle voulait faire l'amour à Stéphane et pour cela projetait d'obtenir l'aide de Pascal pour qu'il encule leur professeur et lui rende sa virilité.
- Ils ont raison, déclare celui-ci. Il faut avoir l'esprit libre pour les dernières révisions. La leçon d'aujourd'hui sera courte. Je veux juste qu'on étudie le chapitre des'

Une demi-heure après, il leur prodigue les derniers conseils.
- Lisez bien vos énoncés. Essayez de voir quelle partie du cours est concernée et souvenez-vous bien des exercices que nous avons faits. Généralement le problème comporte plusieurs questions indépendantes. Si vous coincez sur une n'insistez pas, passez à la suivante. Vous pourrez y revenir par la suite. Je vous souhaite bonne chance.
- Dis, Stéphane, demande Chantal, si nous réussissons'
- Vous réussirez, c'est sûr.
- On pourra venir ici ?
- Cela me ferait plaisir mais vous n'êtes pas obligés.
- Si, pour te remercier. Vous êtes d'accord les garçons ?
Pascal et Marc se regardent en souriant. Après le bac, ils auront l'esprit dégagé surtout s'ils ont le diplôme.
- Pas de problème.
- Convenons d'un jour, propose Stéphane.
Ils regardent le calendrier et fixent le rendez-vous au jeudi suivant la proclamation des résultats, quelque en soit l'issue.

A suivre