Alicia, jeune bachelière

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Proposée le 22/01/2010 par sluttygirl

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Petite précision :
Les histoires racontées dans cette série, même si elles sont inspirées de faits réellement vécus, sont en partie voir totalement remaniées selon mon envie, mes fantasmes. Ces histoires restent donc de pures fictions. C'est pour cela que je m'amuserai à décrire les évènements de différents points de vue et parlerai de moi (Alicia) de temps en temps à la 3eme personne au lieu du "je" habituel.
(Tous les personnages ont plus de 18 ans)



L'histoire du point de vue d'Alicia

Je dansais et me déhanchais au rythme de la musique. Je venais d'avoir les résultats du bac le matin même et j'étais au rattrapage. Loin d'être découragée, il me fallait ce soir me défouler. Ainsi lorsque mon meilleur ami me proposa d'aller à une soirée pour fêter les résultats du bac, j'acceptai sans aucune difficulté.

Je me retrouvais donc là, au milieu de la piste de danse, dans mon petit haut blanc à bretelle et ma mini jupe bleu claire. Il faut croire que je plaisais assez, je sentais plusieurs regards brulants se poser sur moi. Du coup certaines filles me jetaient des regards furieux. Plusieurs garçons tentèrent de m'aborder mais je les rejetai tous. J'étais là pour m'amuser pas pour me trouver un copain (surtout que j'en avais déjà un).
Au bout d'un moment, un peu fatiguée, je partis à la recherche de Benoit (mon meilleur ami), que j'avais perdu de vue depuis un moment. Après l'avoir décrit à quelques inconnus qui croisèrent ma route, je le retrouvai finalement dans une chambre avec deux autres de mes camarades de classe Thibault et Maxime. Je jetais un coup d'oeil par la porte légèrement entrouverte. Ils fumaient (et au vue de la fumée, cela ne devait pas être de simples cigarettes), pendant que devant eux dansait Jessica. Cette pétasse, je ne pouvais pas la blairer, j'avais toujours pensé que c'était une salope. Et vu la façon dont elle dansait et l'orientation que prenait la soirée dans cette chambre, cela ne faisait que confirmer mes soupçons. Je partis au moment où Jessica, à quatre pattes sur le sol, se diriger sensuellement vers Benoit, tout en se passant la langue sur les lèvres.
J'étais très énervée... Où était ce de la jalousie ? Voir mes trois camarades de classe regarder le corps de Jessica avec de l'envie, du désir... cela me donnait envie d'être à sa place...

Pfff quelle conne ! Elle avait réussi à m'exciter. Non, ce qu'il me fallait c'est de la détente pas de l'exercice. Fumer, c'est ça qu'il me fallait, mais pas des cigarettes. Je me voyais mal retourner dans la pièce en demander à Benoit qui était surement très occupé à l'heure qu'il est. De toute façon, ça ne devait pas être bien compliqué de trouver du shit ici.
Après avoir scrupuleusement observé la salle, je trouvai enfin le « fournisseur » de la soirée, il était plutôt mignon et me regardai de temps en temps. Je l'abordai sans aucun complexe.
- « Salut » dis-je bêtement avec mon plus beau sourire
- « Salut » répondit il béatement
- « Dis moi, j'aimerai me détendre un max, et j'ai cru comprendre que tu avais tout ce dont j'ai besoin... »
Je rougis instantanément en comprenant l'horrible double sens de ma phrase. Il éclata de rire devant ma gêne.
- « Ne t'inquiètes pas, j'ai compris ce que tu voulais. C'est 50 euros la dose. »
- « Aie... je n'ai que 20 euros sur moi. Tu peux me faire une ristourne ? Ou alors je te paye le reste plus tard. »
- « Non, je suis désolé, on me fait tout le temps ce genre de coups, je serai un peu fou d'accepter mais... »
- « Mais ?... » repris je plein d'espoir
- « Je pense qu'on pourrait s'arranger pour ce qu'il te manque »
Voyant assez rapidement où il voulait en venir, je lui répondis
- « Heu... Non, je ne suis pas vraiment ce genre de filles, je vais m'arranger pour trouver la somme manquante. »
Je m'éloignai sans lui laisser le temps de répondre.

Je retournai du côté de la chambre où j'avais laissé Benoit espérant qu'il soit sorti. Ouf, c'était le cas.
Benoit, le sourire béat, continuait à fumer devant la chambre. Vu son visage, aucun doute qu'il avait du avoir une belle pipe dans les règles de l'art. Et mes autres camarades ne devaient être laissés pour compte si je me référais aux sons que produisait Jessica criant son plaisir au travers de la porte.
- « Dis-moi Benoit, tu en as encore ? » lui demandais-je en pointant du doigt son joint
- « Désolé ma belle, c'est le dernier. »
Il dut lire la déception sur mon visage, car il enchaina rapidement
- « Mais tu peux en obtenir facilement ici tu sais. »
- « Oui je sais, mais je n'ai pas assez d'argent »
- « Ahlala Alicia, tu ne prévois jamais rien, combien il te faut ? »
- « 50 euros » (oui je sais, 30 euros auraient suffit mais bon, autant en profiter, non ?)
Il sortit un billet de 50 de sa poche et me le tendit.
- « Merci merci merci. Merci mille fois. » lui dis-je en lui sautant au cou.
Puis je récupérai le billet et m'empressai de retrouver le fournisseur.

Entre temps, il avait changé d'endroit, il se trouvait dans une chambre. Un gars en sortait juste avec une barrette.
- « Voilà ! » dis-je triomphant en lui tendant le billet de 50.
Il sourit.
- « C'est bien joli tout ça, mais ça ne suffit plus, mes prix ont augmenté, je suis passé à 100 euros. »
- « Quoi ??? » criai-je
- « Oui, j'ai presque tout vendu, et pour les dernières j'augmente toujours mes prix »
- « Je n'ai que 50 euros, c'est à prendre ou à laisser » lui lançai je sur un air de défi
- « En réalité, ce n'est pas l'argent qui m'intéresse le plus chez toi... mais ça je pense que tu l'as compris »
- « Tu peux toujours rêver, je ne suis pas ce genre de filles ! »
- « En attendant, il semblerait que tu en es vraiment envie de ton joint, et je suis le seul à en fournir dans le coin. »
Je ne dis rien, il continua
- « Moi je t'aide à te détendre, il est donc normal que tu m'aides à me détendre également » lâcha-t'il avec un sourire.
J'étais furieuse et je le lui montrai du regard. Mais j'avais vraiment envie de cette barrette.
Je m'allongeai comme une pierre sur le lit de la chambre et lâcha à mon tour :
- « Vas y fais ce que tu veux mais en échange je veux deux barrettes »
- « Non non non » dit il en souriant « C'est moi qui dicte les règles, et je veux que tu me détendes sans rien avoir à faire. Et ce que tu y gagneras dépendra de ta prestation »
Je me relevai encore plus furieuse que jamais face à lui. Il me regarda droit dans les yeux. Il était devenu très sérieux.
- « A genou » m'ordonna-t-il
Je fus pris de court par cet ordre. Ne sachant pas trop comment réagir, toute trace de colère partie de mon visage, j'obéis sans poser de question. Il me regardait et semblait attendre. Je n'avais maintenant plus de doute sur la façon dont il voulait que je le détende.

Je n'avais fait une fellation qu'une fois auparavant, l'année dernière, j'avais 17 ans et mon copain 21. On était en voiture un soir alors qu'il me ramenait, et avait commencé à me faire des avances devant chez moi. Ne voulant pas céder à ses avances, j'avais du trouver un autre moyen pour le contenter, je ne suis pas allée jusqu'au bout mais il m'a semblé qu'il avait très apprécié ses 10 mn de plaisir devant chez moi. Par la suite, il m'avait pressé plusieurs fois pour que je recommence, mais même si je n'avais pas trouvé l'expérience désagréable, je n'y avais pas tellement pris gout.

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Je voulais mes deux barrettes et pour cela, j'étais prêt à y mettre le paquet. Me rappelant des mimiques de Jessica, je commençai par lui jeter un regard torride tout en passant ma langue sur mes lèvres. Puis je commençai à frotter délicatement mon visage sur son entrejambe, je sentis alors quelque chose gonflée à l'intérieur. A en voir son visage, il semblait déjà ressentir du plaisir.

Sans plus attendre je déboutonnai son jean puis sortis sa queue qui arrive à quelques millimètres de mes lèvres. Instinctivement je sortis ma langue qui vint caresser le bout de son gland. Je sentis sa respiration s'accélérer. Je le fis entrer doucement dans ma bouche tout en poussant un soupir de désir. Cela dut achever de l'exciter, je sentis une main se poser sur ma tête et commençait à exercer une pression. Je me laissais faire et engloutis bientôt la quasi-totalité de sa queue.
Il devait être en train de jubiler. Quelques temps plus tôt, je me refusais à lui en faisait ma vierge effarouchée et là je me retrouvais à genou devant lui, bien soumise, en train de le sucer. A ces grognements et ses soupirs, je pouvais dire qu'il y prenait beaucoup de plaisir. A ce moment là je me sentis aussi salope que Jessica que je critiquai peu avant. Je voulus reprendre les choses en main si je suis puis dire. J'attrapai sa queue avec ma main gauche et commença à intensifier mes vas et viens. A chaque fois, je sortais presque entièrement sa queue de ma bouche et la reprenait aussitôt le plus profondément possible, ce qui avait pour résultat de lui faire lâcher un « Ahhhhhh » évocateur. Je dois dire que cette situation commençait sérieusement à m'exciter et je ne pus m'empêcher de faire plonger ma main droite vers mon entrejambe. Je me caressai tout en lui prodiguant une fellation magistrale.

- « Attention, je sens que je viens » me dit-il tout d'un coup
C'était sympa de sa part de prévenir, beaucoup de garçons n'auraient pas eu cette courtoisie (surtout dans cette situation). Mais j'étais trop excitée, j'intensifiai mes vas et viens. Je pris sa queue à deux mains pour continuer à le sucer je m'agrippai à ses fesses de la main droite. Il posa ses deux mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements.
- « Oui vas y, suces moi, je viens ! »
Je sentais à présent un certain pouvoir sur lui, le pouvoir de lui donner du plaisir. A chaque aller retour, je poussais maintenant des soupirs de plaisir de plus en plus pervers pour montrer que j'aimais ça. Je faisais tourner ma langue autour de sa queue tout en le suçant afin de lui donner le maximum de plaisir.
Je sentis ses mains se crispaient dans mes cheveux, je sentis sa queue frémir dans ma bouche puis je sentis sa semence chaude atteindre mon palais. Je continuai à le pomper plus lentement cette fois tout en continuant mes tours de langue.
- « Ahhhhhhhh » lâcha-t'il enfin
Quand ma bouche fut pleine, je sortis sa queue de ma bouche, recula légèrement et le regarda, là j'ouvris ma bouche pour lui montrer tout ce que j'avais récolté et passa une nouvelle fois ma langue sur mes lèvres avant d'avaler (J'avais vu ça dans un film X et j'avais cru comprendre que les hommes adoraient ça).
Il reboutonna son jean et s'assit sur le lit pour reprendre son souffle. Puis il me sourit.
- « C'était incroyable ! Tu as bien mérité tes barrettes. »
Il me tendit deux barrettes de shit (surement les dernières) que je pris avant de partir rapidement. Je réalisai à peine ce que je venais de faire. Tout ça pour fumer un coup.

Je sortis de la maison en prenant soin d'éviter Benoit ou toute personne que je connaissais. Pensant à mon copain, j'avais honte.
Je venais de me prostituer juste pour un peu de drogue. Et pourtant... j'avais adoré...



L'histoire du point de vue de Thomas

J'étais venu à cette soirée sans grande conviction. J'avais 23 ans et me retrouver au milieu d'ado de 17-18 ans ayant passés le bac ne m'enchantait guère. Mais je savais cependant que ce serait le meilleur endroit pour dealer ce soir. Je dois avouer qu'il y avait quand même quelques jolies filles. Une en particulier attira mon attention.

Elle dansait et se déhanchait au rythme de la musique. A voir son énergie, elle était vraiment là pour se défouler. Elle était ravissante dans son petit haut blanc à bretelle et sa mini jupe bleu claire. Sa longue chevelure blonde descendait jusqu'au milieu de son dos. Ses mouvements étaient d'une sensualité hors du commun, ce qui avait pour résultat que la plupart des mâles à proximité ne pouvaient s'empêcher de garder leurs yeux fixés sur son corps. Certaines filles, mêmes semblaient subjuguées (lorsqu'elles n'étaient pas jalouses). Plusieurs garçons tentèrent de l'aborder mais sans succès.

Au bout d'un moment, surement fatiguée, je la vis s'éloigner. Je repris donc mes affaires et chercha de nouveaux clients. Les affaires allaient plutôt bien, légèrement plus tôt un gars était venu m'acheter une grosse quantité pour lui et ses deux potes. Ils étaient accompagnées d'une fille habillée de manière très sexy voir indécente, j'en avais profité pour la mater discrètement. Puis ils étaient monté tous les quatre à l'étage en direction des chambres, la suite des évènements pour eux avait surement du être très agréable, songeai-je.

Le temps passa un peu. La soirée allait bon train lorsque j'aperçus de nouveau la blonde sensuelle qui m'avait ébloui par ses mouvements de danse. Elle semblait chercher quelque chose ou quelqu'un. Au bout d'un moment son regard se posa sur moi, j'étais alors en affaire avec un étudiant. Je jetai de temps en temps des coups d'oeil vers elle pour voir si elle me regardait toujours. Et c'était le cas. Elle commença à avancer vers moi, je la regardai approcher avec curiosité.
- « Salut » dit-elle d'une voie enjouée avec un sourire à faire fondre un moine tibétain.
- « Salut » répondis-je un peu pris au dépourvu
- « Dis moi, j'aimerai me détendre un max, et j'ai cru comprendre que tu avais tout ce dont j'ai besoin... »
Je la vis rougir instantanément en comprenant l'incroyable double sens de sa phrase. La voir ainsi si timide, elle, la blonde sensuelle, me fit éclater de rire. Puis pour la rassurer, je lui répondis :
- « Ne t'inquiètes pas, j'ai compris ce que tu voulais. C'est 50 euros la dose. »
- « Aie... Je n'ai que 20 euros sur moi. Tu peux me faire une ristourne ? Ou alors je te paye le reste plus tard. »
J'avais pris l'habitude de ne jamais faire crédit même dans ce genre de cas.
- « Non, je suis désolé, on me fait tout le temps ce genre de coups, je serai un peu fou d'accepter mais... »
Je réfléchissais à toute allure à ce que je pouvais lui proposer comme solution, je ne voulais pas qu'une aussi jolie fille ne puisse pas se détendre comme elle le voulait.
- « Mais ?... » Reprit elle plein d'espoir
Je n'avais qu'à lui proposer de ne prendre que la moitié d'une dose, ce qui lui suffirait largement pour se détendre.
- « Je pense qu'on pourrait s'arranger pour ce qu'il te manque... »
Avant que je puisse finir ma phrase, elle me coupa :
- « Heu... Non, je ne suis pas trop ce genre de filles, je vais m'arranger pour trouver la somme manquante »
Elle s'éloigna avant que je n'ai le temps de répondre. Elle avait mal interprété ce que j'allais dire, même si je dois admettre que j'aurai pu tourner ma phrase autrement. L'idée qu'elle puisse m'offrir son corps en échange de ma marchandise me fit frissonner et, je dois l'avouer, commença à faire naitre des images dans mon esprit. Je commençai à espérer qu'elle ne trouve pas l'argent manquant.

Je ne l'aperçus plus pendant un moment. Elle avait du partir. Un peu déçue, je montai dans une chambre pour être un peu au calme. Un gars entra dans la pièce peu après derrière moi, il voulait m'acheter un peu de mon stock. Au moins la soirée aura été bonne financièrement.
Je fus assez surpris de voir réapparaitre la belle blonde dans l'encadrement de la porte au moment où le mec sortait. Une agréable surprise je dois dire.
- « Voilà ! » Dit elle triomphant en me tendant un billet de 50 euros.
Un peu déçu en voyant qu'elle avait trouvé finalement la somme, j'eus une idée. Je souris.
- « C'est bien joli tout ça, mais ça ne suffit plus, mes prix ont augmenté, je suis passé à 100 euros. »
- « Quoi ??? » Cria t'elle
- « Oui, j'ai presque tout vendu, et pour les dernières j'augmente toujours mes prix. »
J'étais si convaincant que j'aurai pu réellement croire ce que je disais.
- « Je n'ai que 50 euros, c'est à prendre ou à laisser » me lança-t'elle sur un air de défi.
Je décidai qu'il était temps de rentrer dans le vif du sujet.
- « En réalité, ce n'est pas l'argent qui m'intéresse le plus chez toi... mais ça je pense que tu l'as compris. »
- « Tu peux toujours rêver, je ne suis pas ce genre de filles ! »
- « En attendant, il semblerait que tu en es vraiment envie de ton joint, et je suis le seul à en fournir dans le coin. »
Elle ne dit rien, je continuai
- « Moi je t'aide à te détendre, il est donc normal que tu m'aides à me détendre également » lâchai je avec un sourire, satisfait de ma phrase.

Elle semblait furieuse et me fusillait du regard. Mais j'avais vraiment envie d'elle.
Je la vis s'allonger comme une pierre sur le lit de la chambre et déclarer :
- « Vas y, fais ce que tu veux mais en échange je veux deux barrettes. »
Cela eu pour réaction de me faire sourire. Elle devait avoir à peine 18 ans et j'en avais 23. Je savais que j'avais l'avantage dans ce genre de discussion.
- « Non non non. C'est moi qui dicte les règles, et je veux que tu me détendes sans rien avoir à faire. Et ce que tu y gagneras dépendra de ta prestation. »
Elle se releva encore plus furieuse. C'était le moment ou jamais de tenter ma chance. J'essayai de devenir le plus sérieux possible en la regardant droit dans les yeux. Je rassemblai toute l'autorité que je pouvais avoir et ordonna :
- « A genou. »
Je vis que je l'avais déstabilisé. Elle hésita un moment, toute trace de colère partie de mon visage, puis se mit à genou devant moi. « Bingo » me dis-je.
Je la regardais en attendant qu'elle commence. A ce stade, il ne faisait aucun doute qu'elle avait compris ce que j'attendais d'elle.
Tout à coups, quelque chose changea dans son regard. Il était devenu sauvage, torride même. Elle commença à passer sa langue sur ses lèvres. Doucement. Je sentais mon sexe gonfler dans mon pantalon à la vue de cet appel à la luxure. Elle frotta doucement son visage contre mon entrejambe. Je sentais sa bouche s'entrouvrir comme pour mesurer mon excitation à travers mon pantalon. Je sus à ce moment là que je m'apprêtai à vivre quelque chose de fantastique.

Elle commença à déboutonner mon jean puis sortit rapidement ma queue qui arriva juste devant sa bouche. Je vis sa langue sortir de sa bouche et venir au contact de mon gland. Ce contact m'électrisa, mon c'ur s'emballât et ma respiration s'accéléra. Je sentis ma queue commencer à entrer dans sa bouche doucement. Elle poussa un « Mmmm » si sexy, que je ne pus me retenir de poser une main sur sa tête pour l'inviter à me prendre plus profondément en bouche. Elle n'opposa aucune résistance et engloutit bientôt la quasi-totalité de sa queue.
« Quelle salope tout de même » songeai-je en sentant sa langue caresser mon gland dans sa bouche. Elle me fait le coup de la vierge effarouchée et maintenant elle semble plus perverse que jamais. « En tout cas, j'ai touché le jackpot » me dis-je intérieurement.
Elle s'occupait tellement bien de moi que je ne pouvais m'empêcher de lâcher des « Ahhh » de satisfaction. Puis elle sembla vouloir redoubler d'effort, elle attrapa ma queue avec sa main gauche et commença à intensifier ses mouvements. Elle sortait ma queue presque entièrement de sa bouche avant de la reprendre chaque fois un peu plus profondément. C'était un véritable délice ! Sentant ma jouissance venir, je pensai qu'il était bon de l'avertir. Je préférai qu'elle aille jusqu'au bout mais je ne voulais pas gâcher ce moment magique, surtout qu'elle semblait prendre autant de plaisir que moi.
- « Attention, je sens que je viens » dis-je d'un coup

Alors que je m'attendais à la voir ralentir, elle intensifia ses vas et viens à ma plus grande surprise et pour mon plus grand bonheur. Elle prit ma queue à deux mains pour continuer à me sucer puis s'agrippa à mes fesses de la main droite. Je décidai d'en profiter un maximum et posa mes deux mains sur sa tête pour accompagner ses mouvements.
- « Oui vas y, suces moi, je viens ! » criai-je.
A chaque aller retour, elle poussait des soupirs de plaisir de plus en plus pervers. Cela m'excitait au plus haut point. Je sentais sa langue tourner autour de ma queue tout en me suçant. Cela eut raison de moi. Mes mains se crispèrent dans sa chevelure puis je me sentis jouir dans sa bouche. Elle continua sa fellation et ses caresses buccales pendant un moment. C'était divin !
- « Ahhhhhhhh » lâchai je enfin pour reprendre ma respiration.

Elle sortit ma queue de sa bouche, recula légèrement et me regarda. Elle ouvrit la bouche pour que je puisse voir qu'elle n'en avait pas perdu une goutte et passa une nouvelle fois sa langue sur ses lèvres avant d'avaler. Si j'avais pu, je crois que j'aurai eu un second orgasme.
Je reboutonnai mon jean et m'assit sur le lit pour reprendre mon souffle encore tout étourdi par cette prouesse buccale. Je tournai la tête vers elle en souriant.
- « C'était incroyable ! Tu as bien mérité tes barrettes. »
Je lui tendis deux barrettes de shit (elle les avait amplement méritées). Elle les prit et s'en alla en un éclair sans me laisser le temps de réagir. Je partis à sa poursuite mais ne put la rattraper à cause de la foule.

C'était de loin la plus belle fellation que l'on m'est faite.
Une fille comme ça, on en trouve une sur des milliers...
La reverrai-je ?


J'espère que vous avez apprécié ce texte. Si vous désirez me faire part de vos critiques, commentaires voir même de vos fantasmes, si vous aimez ou que vous n'aimez pas, n'hésitez pas à m'écrire : slutty.girl@ymail.com