Partie de strp-poker

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Proposée le 17/01/2010 par mariepat17

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Patrick raccrocha le téléphone, songeur... Pascal, un copain de longue date, venait de lui demander si lui et Marie Hélène accepteraient de participer à une soirée strip-poker qu'il organisait avec Virginie, son épouse, le samedi suivant. Patrick avait dit qu'il allait en parler à Marie Hélène, et qu'il le rappellerait. Il était tenté par l'expérience, surtout depuis que sa femme et lui avaient fait quelques pas vers un plaisir différent de tout ce qu'ils avaient vécu ensemble depuis un certain temps, et il se dirigea vers le salon pour en parler à Marie Hélène. Tout d'abord un peu réticente, elle accepta finalement d'essayer, pour voir, et fit confiance à Patrick pour prendre soin d'elle si besoin était...

Le samedi arriva très vite, et tous deux se rendirent chez leurs amis, un peu nerveux tout de même, et se demandant ce qui les attendaient. Marie Hélène avait fait des frais pour sa toilette; elle portait une courte robe de satin noir, très moulante, dont le corsage échancré laissait entrevoir la naissance de ses seins, et elle avait pris soin de mettre des Dim-up, qui soulignaient le galbe de ses jambes fuselées, avec un string noir en dentelle et le soutien-gorge coordonné. Patrick avait apprécié d'un oeil gourmand la tenue de sa femme, et il se demandait quel effet cela aurait sur le déroulement de la soirée si son épouse perdait au poker et devait ôter ses vêlements.

Ils sonnèrent à la porte de leurs amis, et Virginie vint leur ouvrir... Elle aussi était très en beauté, avec un chemisier en soie blanche transparente, qui laissait apercevoir le soutien-gorge blanc qui soutenait sa poitrine tendue, et une jupe fendue sur le devant en satin bordeaux, sur des bas noirs et brillants.

- Nous vous attendions, dit-elle, tout le monde est arrivé.

Elle les précéda dans le salon où les attendaient Pascal et un couple qu'ils ne connaissaient pas, François et Agnès, très beaux tous les deux, qui les saluèrent avec un sourire ravageur. Pascal servit à tous une coupe de champagne, et les invita à s'installer sur le tapis de haute laine devant la cheminée allumée, sur lequel avait été disposé le jeu de cartes. Tous s'assirent en rond autour du jeu, et Pascal précisa les règles de la soirée. Tout d'abord l'ordre des cartes, paires, brelans, etc..., puis, pour le moment ou plus personne n'aurait de vêlements à mettre en jeu, il montra une boite ou Virginie et lui avaient disposé des papiers pliés sur lesquels ils avaient inscrit des gages à effectuer par les perdants.
Tout le monde accepta les règles et il commença à distribuer les cartes, mais comme dans tout poker, il convient de mettre la mise de départ, et chacun du déposer une pièce de vêtement sur le tapis. Les hommes mirent leur veston, et les femmes leurs chaussures, ( il faut bien commencer par quelque chose non ?... ) et tous se précipitèrent vers leurs cartes pour essayer de gagner. François fit monter les enjeux en pariant sa chemise, et seuls Patrick et Pascal osèrent le suivre. Finalement, ce fut Pascal qui remporta ce premier tour, et les trois hommes étaient alors torse nu. Après une nouvelle tournée de champagne, les langues commençaient à se délier, et Pascal redonna les cartes aux participants. Nouvelle mise de base, et cette fois, les trois hommes n'eurent d'autre choix que de miser leur pantalon, qu'ils ôtèrent sous les regards amusés de leurs compagnes, mais les dames, quand vint leur tour, furent bien obligées d'ôter quelque chose. Virginie choisit d'ôter son chemisier, Agnès et Marie Hélène durent quant à elles enlever leur robe. Immédiatement l'ambiance changea... Les seins de Virginie, mis en valeur par le soutien-gorge à balconnets, se soulevaient au rythme de sa respiration légèrement oppressée; Agnès était en soutien-gorge et string bleus, et ses bas étaient soutenus par un porte-jarretelles de la même couleur, tandis que Marie Hélène dévoilait ses dessous avec un trouble sensible. Patrick, qui se tenait à coté d'elle, perçut le trouble de sa femme, et l'embrassa avec tendresse. Les trois hommes avaient quelques difficultés à rester impassibles. La présence de toutes ces jeunes femmes en petite tenue les émoustillaient plus qu'ils n'auraient voulu le laisser paraître, et la bosse qui commençait à déformer leurs caleçons était là pour en témoigner. Un premier tour passa sans que personne ne fasse d'annonce, et Pascal relança le jeu en misant son caleçon. Il se leva et fit glisser la pièce de tissu sur ses jambes musclées, en mimant un strip-tease qui fit rire l'assemblée, et les dames semblèrent apprécier le spectacle, découvrant un sexe de taille intéressante, déjà gonflé de sève, qui battait sur sa cuisse. Ne voulant pas être en reste, Patrick et François firent de même, et les trois hommes, entièrement nus, n'eurent bientôt plus rien pour cacher l'émoi que suscitait en eux la présence de leurs jolies femmes. Virginie fit glisser sa robe, découvrant, comme Marie Hélène des bas qui tenaient tout seuls sur ses cuisses, et une petite culotte de dentelle blanche entièrement transparente. Marie Hélène et Agnès choisirent d'en rester là, et la partie continua à quatre participants. Cette fois, ce fut Patrick qui remporta la mise, et Pascal se précipita sur la bouteille de champagne pour resservir tout le monde, histoire de faire diversion. Virginie alluma une cigarette, profitant de la pause, tandis que François et Agnès parlaient de leurs dernières vacances avec Patrick et Marie Hélène.

Lorsque le champagne fut absorbé, le jeu reprit ses droits et Pascal fit de nouveau circuler les cartes. Cette fois, les hommes n'avaient plus rien à miser, et il fut décidé que celui ( ou ceux ) qui perdrait serait soumis à un gage. Marie Hélène défit les attaches de son soutien-gorge, qu'elle lança bravement au centre du tapis, tandis que les trois hommes admiraient la courbe de ses seins, dont les pointes étaient tendues par le trouble qui l'envahissait. Elle fit mine de ne pas remarquer les regards qui se posaient sur sa poitrine et se plongea dans l'étude de ses cartes. Virginie et Agnès firent de même, et bientôt les hommes ne surent plus ou poser leurs regards, tant le spectacle était captivant, et leurs sexes étaient maintenant tendus vers le plafond, comme pour confirmer leur intérêt. Une nouvelle fois le premier tour ne donna rien, et les jeunes femmes durent se résoudre à ôter leur dernier rempart. Virginie fut la première à se décider, et elle fit glisser le voile de tissu jusqu'à ses chevilles, tandis que François, à ses cotés, s'en saisissait pour le déposer sur les soutiens-gorge. S'enhardissant, Pascal aida Marie Hélène à ôter son string, et en profita pour déposer un baiser chaste sur sa fesse gauche, sous le regard trouble de Patrick, qui aida à son tour Agnès à faire glisser sa dentelle. L'ambiance était de plus en plus lourde, tous avaient l'impression soudaine d'étouffer. Le jeu repartit, et cette fois ce fut Marie Hélène qui aligna une superbe suite aux rois, remportant le tour. Les trois hommes ayant perdu sans rien miser durent piocher dans la boîte un morceau de papier, et Pascal lut le sien d'une voix un peu rauque. Le gage qui lui incombait lui imposait de tenter de reconnaître sa femme en utilisant uniquement sa bouche, les yeux bandés et les mains derrière le dos.

Les trois jeunes femmes se mirent debout, cote à cote, tandis que François bandait les yeux de Pascal avec un foulard. Puis il le fit tourner sur lui-même, et le mit face à Agnès. Tous retenaient leur respiration, attendant la suite. Pascal s'agenouilla devant la femme de François, et, s'avançant doucement, posa ses lèvres sur le haut des cuisses de la jeune femme. Celle-ci eut un tremblement au contact de cette bouche inconnue, mais elle ne bougea pas. La langue de Pascal remonta vers la toison brune, et s'enfouit dans le triangle sombre, remontant le long du sexe offert, et Agnès du se mordre les lèvres pour ne pas gémir sous la caresse. Puis il se redressa et sa langue vint agacer les pointes des seins lourds et gonflés par le désir, tandis qu'Agnès se tordait sous la bouche de Pascal. François ne pouvait plus quitter sa femme du regard, comme hypnotisé, et son sexe était tendu à lui faire mal, pendant que Patrick regardait son épouse en se demandant comment il allait réagir lorsque Pascal se mettrait devant elle. Délaissant la poitrine de la jeune femme, Pascal s'empara de sa bouche et l'embrassa goulûment, avant de se déplacer vers la gauche pour se retrouver face à Marie Hélène...

Virginie n'avait rien perdu des agissements de son mari, et elle aussi ressentait un trouble profond à le voir caresser son amie. Elle n'osait pas bouger, mais elle serrait et desserrait ses cuisses dans un mouvement spasmodique, qui lui procurait des bouffées de chaleur dans le bas-ventre. Pascal avait recommencé son manège, et, à genoux devant Marie Hélène, il promenait sa langue dans l'intimité de la jeune femme. Il lui embrassait la chatte à pleine bouche, sa langue remontait le long de la fente humide et revenait s'enfoncer dans la grotte d'amour qui ruisselait de plaisir. Marie Hélène se tortillait sur place, cherchant à s'offrir plus profondément à la caresse, écartant les cuisses autant qu'elle le pouvait, en serrant les dents pour ne pas gémir. Pascal remonta doucement vers les seins, embrassant le ventre doux et chaud, et il entrepris de mordre doucement les pointes dressées, les faisant rouler sous sa langue, puis il pris les lèvres de Marie Hélène et leurs langues s'accrochèrent dans un baiser enflammé. Etant sensiblement de la même taille que son tourmenteur, sa chatte se trouvait en face du sexe tendu de Pascal. Elle sentait le gland qui appuyait sur l'entrée de son sexe et elle avait du mal à ne pas s'empaler dessus. Patrick était tétanisé, sa queue lui faisait mal, et il se caressait doucement en regardant sa tendre épouse se tordre sous les caresses de son copain. François, quant à lui, promenait sa verge contre les fesses de sa femme en ne perdant rien du spectacle. Pascal se déplaça à nouveau et entreprit de faire subir à Virginie, son épouse, les mêmes supplices qu'auparavant. Sous la tension accumulée, celle-ci ne put retenir la vague de jouissance qui la submergea et lui fit pousser un cri strident, trahissant son identité. Il fut donc accepté que Pascal avait gagné le gage, et François fut prié de lire le sien à haute voix, pendant que Pascal remplissait à nouveau les verres de ses invités.

François avait un gage légèrement similaire au précédent, mais lui ne devait utiliser que ses mains, n'avait pas le droit de toucher le visage ni les cheveux, et bien sûr ses yeux devaient être bandés. Les trois jeunes femmes se remirent en place, en changeant l'ordre initial. Virginie se mit en premier, suivie d'Agnès, et Marie Hélène fut placée en dernière position. François, les yeux recouverts du foulard précédemment utilisé par Pascal fut mis en face de Virginie, et ordre lui fut donné de commencer. Un peu hésitant, il commença par promener ses mains sur tout le corps de Virginie, caressant la peau nue, appréciant le velouté de l'épiderme sous ses doigts. Puis il s'attarda sur le cou, et descendit envelopper les seins lourds qui frémirent sous l'attouchement; il prit son temps, prenant plaisir à sentir les pointes dressées, les faisant rouler sous ses paumes. La jeune femme se retenait pour ne pas faiblir, mais le plaisir la gagnait, et elle avait le plus grand mal à ne pas défaillir. Pascal regardait la scène en se masturbant vigoureusement sous les regards intéressés de Marie Hélène et Agnès, tandis que Patrick, assis sur le canapé, observait le corps de Virginie qui se tortillait de plus belle sous les attouchements dont elle était l'objet. Les doigts de François avaient pris possession du sexe brulant, ils s'enfonçaient doucement pour ressortir et replonger à nouveau, tandis que son autre main malaxait les fesses rebondies. Pendant ce temps, Agnès promenait sa main sur la poitrine de Marie Hélène, agaçant les pointes, et lui arrachant de profonds soupirs.

Tous les jeux ont une fin, et à trop jouer, tout le monde finit par craquer. Virginie se laissa soudain tomber à genoux et, se saisissant de la queue tendue de François, elle l'avala au fond de sa gorge, en le masturbant violemment. Pascal, à son tour, s'approcha d'Agnès et de Marie Hélène et les renversa sur le tapis. Il entreprit de caresser Agnès tandis que sa bouche s'emparait de la chatte de Marie Hélène, lui arrachant des gémissements rauques. Patrick n'osait plus bouger. Il regardait Virginie en train de pomper François, il voyait Marie Hélène se tordre sous la langue agile de Pascal, et Agnès se caressait les seins tandis que les doigts de Pascal lui donnaient du plaisir. François avait retiré son bandeau et, découvrant la situation, se tordit de plus belle dans la bouche de Virginie. Celle-ci s'appliquait, suçant les bourses velues, remontant la hampe raide pour engloutir à nouveau le gland gorgé de sève et prêt à exploser. Ne pouvant plus se retenir, Pascal se redressa, et, relevant les jambes de Marie Hélène sur ses épaules, il l'embrocha d'un seul coup puissant, plongeant sa queue au fond de l'intimité ruisselante, et commença à la limer à grands coups de boutoir. Marie Hélène cria, et son ventre se leva à la rencontre du pieu qui la perforait, tout le plaisir accumulé au cours de la soirée se concentrant sur ce sexe d'homme qui la baisait puissamment. Agnès avait pris la bouche de la jeune femme et l'embrassait à en perdre haleine, tout en lui caressant les seins. D'où il se trouvait, Patrick voyait la queue de son ami disparaitre dans la chatte de sa femme, et celle-ci se tordait d'un plaisir de plus en plus violent.

Il se leva et s'approcha d'Agnès. Pendant que la jeune femme caressait les seins de Marie Hélène, il glissa sa tète entre les cuisses tièdes et sa langue lécha la chatte brulante. la réaction ne se fit pas attendre et, délaissant son amie, Agnès se retourna et appuya encore davantage la bouche de Patrick sur son sexe avide. La langue de celui-ci semblait douée d'une vie autonome tant elle butinait, suçait, absorbait, caressait la jeune femme. Il emprisonna les seins chauds de ses deux mains, et les malaxa, faisant rouler les pointes sous ses doigts. Agnès n'en pouvait plus, elle aussi avait accumulé beaucoup de tension au cours de la soirée, et l'envie d'être prise lui tenaillait le ventre. Repoussant la tète de Patrick, elle s'empara de sa queue et l'avala, enroulant sa langue sur la tige dure, mordillant le gland, tout en pressant ses seins le long de la colonne de chair. Patrick appréciait au plus haut point ce supplice, il sentait la douceur de la poitrine de sa partenaire sur son sexe, et il s'enfonçait dans la bouche gourmande avec volupté. Près de lui, Marie Hélène recevait l'hommage de Pascal en gémissant de plus en plus fort. L'homme avait accéléré le mouvement et sa queue disparaissait de plus en plus vite dans le ventre offert, quand Marie Hélène hurla son plaisir en griffant le dos de son amant, projetant son corps violemment contre celui qui la possédait, et Pascal jouit à son tour, emplissant la chatte de sa maitresse de longs jets brulants. Après un instant de flottement, Marie Hélène se releva et vint près de Patrick, pour l'embrasser passionnément. Son époux lui rendit son baiser puis il fit mettre Agnès en levrette, se plaça derrière elle, et enfonça sa queue dans le sexe humide et tentateur de la jeune femme. Marie Hélène se glissa sous eux, et se mit à butiner tour à tour la chatte de son amie et la queue de son mari. Agnès, pas égoïste, entrepris de lécher la chatte de Marie Hélène tout en poussant ses fesses sur le sexe de l'homme qui la prenait.

Virginie et François n'avaient pas attendu d'être les derniers. François s'était assis sur le canapé, et Virginie avait pris place sur lui, s'embrochant elle-même sur la verge longue et dure dont elle avait envie depuis un bon moment. Dans le même temps, elle suçait la queue de Pascal, son mari, pour lui redonner la vigueur nécessaire. François la soulevait et la laissait retomber sur sa verge, et à chaque fois un gémissement sourd s'échappait des lèvres de la femme de Pascal. Patrick limait toujours Agnès; la bouche de Marie Hélène s'était emparée de ses bourses qu'elle mordillait tendrement tandis qu'Agnès se tortillait de plus en plus sous les assauts répétés dont elle était l'objet tout en enfonçant sa langue le plus loin possible dans la chatte de Marie Hélène. Elle fut la première à crier son plaisir, enfouissant encore davantage sa tète dans le tendre compas des cuisses de Marie Hélène, qui jouit à son tour violemment en s'accrochant aux fesses de son mari. Patrick se vida d'un coup dans le ventre de la femme, en poussant un cri rauque, puis il sorti sa queue et Marie Hélène s'en empara, le masturbant tendrement, en donnant de petits coups de langue sur le gland congestionné de son époux.

De leur coté, leurs amis n'allaient pas mal non plus. François limait Virginie de plus en plus vite en se cramponnant à ses seins, et Pascal s'enfonçait de plus en plus loin dans la bouche de sa femme, lorsque le plaisir les atteignit tous les trois. François s'arc-bouta, plongeant sa queue loin dans la chatte de sa partenaire en hurlant, laquelle se tordit sous la vague de jouissance qui montait de son ventre, et Pascal choisit cet instant pour se vider dans la bouche de sa femme en un violent coup de reins.

Les verres à nouveau remplis, chacun regardait les bulles d'or flotter dans les coupes, un peu gênés par ce qui venait de se passer, personne n'osant parler le premier. Marie Hélène s'était assise sur le canapé, et, tout naturellement, François et Pascal vinrent prendre place à ses cotés, François à sa droite et Pascal à sa gauche. Le canapé étant alors pris, Patrick s'assit sur le tapis entre Agnès et Virginie, et la conversation s'engagea sur des sujets futiles, mais qui leur occupaient l'esprit en leur permettant de masquer leur trouble. Tout en parlant, François et Pascal avaient tous deux posé une main sur les cuisses de Marie Hélène, et leurs doigts caressaient doucement la peau douce et chaude de la jeune femme. Celle-ci, les yeux plongés dans ceux de Patrick, buvait son champagne à petites gorgées, en prenant son temps. Puis elle déposa sa coupe sur le tapis et se laissa aller en arrière, posant sa tète sur le dossier du canapé, tandis que les mains de ses amis allaient et venaient de ses cuisses à son sexe avec une douceur infinie, lui procurant des frissons délicieux. François se caressait de sa main libre, tout en regardant Agnès qui avait repris possession de la queue de Patrick avec sa bouche tandis que celui-ci suçait les seins de Virginie. Pascal avait pris un sein de Marie Hélène dans sa bouche, et lui procurait des caresses gourmandes. Sa langue glissait sur le globe soyeux, revenait agacer la pointe pour repartir à la découverte de cette douce poitrine gonflée par le plaisir. Elle pris alors l'initiative de masturber ses tourmenteurs; saisissant une queue dans chaque main, elle fit monter et descendre ses doigts le long de ces deux colonnes de chair qui vibraient, arrachant des soupirs profonds à ses partenaires.

Agnès délaissa alors Patrick et, s'approchant du canapé, elle enfouit sa langue dans la chatte de Marie Hélène, cherchant à la pénétrer le plus loin possible dans son intimité. Le plaisir secouait tout le corps de la suppliciée, par vagues onctueuses, et ses mains branlaient de plus en plus vite les deux hommes dont la bouche suçait et mordillait ses seins et ses lèvres. Devant ce spectacle, le sang de Patrick se mit à bouillir, et c'était certainement la bouche d'Agnès plongeant dans la chatte de sa femme qui lui faisait le plus d'effet. Il s'allongea sur le dos, et Virginie le chevaucha immédiatement. Elle se laissa glisser sur la verge tendue en poussant un soupir, et Patrick se saisit de ses seins dont il fit tourner les pointes entre ses doigts. La jeune femme ne mit pas longtemps à jouir violemment, se renversant sur son partenaire, écrasant ses seins lourds sur la poitrine de l'homme qui la possédait. N'en pouvant plus, Patrick se releva et, écartant Agnès, il pénétra sa femme d'un coup, lui arrachant un cri, et se mit à la prendre avec avidité. Marie Hélène masturbait toujours François et Pascal, et les trois hommes couvraient sa poitrine de baisers, quand Pascal le premier déchargea son foutre sur les doigts de la jeune beauté. François ne fut pas long à jouir à son tour, et Agnès s'empressa de recueillir sa semence dans sa bouche, tandis que Patrick, pris dans un galop effréné, se vidait dans la chatte de sa femme, lui procurant une nouvelle vague de jouissance éperdue.

La soirée se prolongea tard dans la nuit, et lorsqu'ils repartirent, Marie Hélène et Patrick s'embrassèrent avec passion dans la voiture, se remémorant les moments intenses qu'ils venaient de vivre.