Chap I - Corinne : Premiers émois

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Proposée le 13/01/2010 par Marc Paul

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Cette année là, l'année de mes quinze ans, mes parents avaient proposé à ma s'ur Corinne de trois ans mon ainée d'emmener avec nous son amie Michelle.

Michelle était la meilleure amie de ma s'ur, elles avaient fait toute leur scolarité ensemble et étaient inséparables. Michelle n'était pas vraiment jolie, grande, plutôt maigre avec des petits seins des hanches étroites, un visage un peu dur mais j'étais amoureux d'elle comme on peut être amoureux à quinze ans.

Cela créait fréquemment des conflits entre Corinne et moi car dès que Michelle était à la maison, j'essayais d'être avec les deux filles, ce qui bien sur mettait ma s'ur en rage.

Donc sur la route nous étions serrés tous les trois à l'arrière du monospace de nos parents. L'installation dans la voiture avait créé des chamailleries entre Corinne et moi car je voulais être au milieu de deux filles pour pouvoir accaparer l'attention de Michelle et Corinne voulait être à coté de son amie. Celle-ci s'amusait beaucoup de nos cris et de nos bouderies et elle trancha en disant qu'elle se mettrait au milieu de la banquette.

J'étais donc contre la porte avec Michelle à ma droite. Pendant tout le trajet qui nous conduisait dans la maison que nos parents avaient loué en Vendée, je gardais ma cuisse collée sur celle de Michelle. Un peu coincée, elle ne pouvait se dérober et parfois ma main s'égarait sur sa cuisse. Je ne la pelotais pas vraiment car je la retirais vite comme si cette caresse avait été complètement involontaire.

La maison n'était pas très grande et ne comportait que deux chambres. Les deux filles avait décidé de camper dans le jardinet et ne voulant pas être en reste, j'avais décidé que moi aussi je coucherai dans une petite tente.
Mes parents n'étaient pas vraiment contre cette solution car mon père déclara que de cette façon, il serait tranquille, seul avec Maman dans la maison. Il dit cela en lui lançant un regard appuyé qui la fit se troubler un peu.
Cela fit lever les yeux au ciel de Corinne qui pestait contre ma présence. Surtout que le jardin n'étant pas très grand, les deux tentes était presque collées l'une à l'autre. Nos disputes exaspéraient les parents mais je tenais bon, ne voulant pas perdre une chance de me retrouver près de Michelle.

Bien sur j'imaginais de passer des nuits flamboyantes en sa compagnie dans la tente deux places tandis que ma chère s'ur se morfondrais seule dans la petite. Cela était du domaine du pur fantasme.

En journée, mes parents me laissaient libre de faire ce que je voulais mais ils exigeaient que je sois rentré à l'heure du diner et m'avaient interdit de sortir seul le soir. Alors que les deux filles, majeures avaient toute la liberté de faire ce qu'elle voulaient. Je ressentais ça comme une injustice mais je n'avais pas le choix.

J'avais rencontré quelques garçons et filles de mon age et nous avions formé une bande joyeuse. Les journées s'étiraient, partagées entre la plage et des balades dans la petite station balnéaire avec cette bande ou les couples se formaient et se défaisait au fil des jours. Ces petites amourettes n'allaient pas très loin, juste quelques baisers, parfois une fille se laissait peloter la poitrine mais jamais plus.

Les soirées avec mes parents étaient moins drôles car après le diner, les deux filles repartaient et devant la télé ou bien en promenade avec mes parents, je crevais de jalousie car j'imaginais Michelle dans les bras d'autres garçons, ce qui me mettait en rage.
Parfois, j'entendais leur rires étouffés quand elles rentraient, ou bien le bruit du zip de la tente me réveillait.

Un soir, je venais de me coucher, et je ne dormais pas, fantasmant sur des relations avec Michelle aussi improbables que torrides, j'entendis les deux filles entrer. Elles parlaient à voix basse en ouvrant leur tente, puis j'entendis la tente se fermer.

Tous mes sens en éveil, je tentais de comprendre ce qu'elles se disaient mais, seuls des rires étouffés, des petits cris me parvenaient. Pourtant, après un moment j'entendis clairement Corinne dire d'une voix un peu bizarre "Non, Non, pas ici, si mes parents nous surprenaient et puis il y a mon frère qui pourrait nous entendre". Michelle lui répondit "Tu as raison, allons sur la plage, je prends ma serviette, on sera plus tranquille". Quelques minutes passèrent avant que je n'entende à nouveau le zip de la tente. je réfléchis à toute vitesse, des question revenait toujours. Qu'allaient elles faire sur la plage ? Quel interdit allaient elles braver ? Pourquoi les parents ne devaient ils pas savoir ce qu'elle allaient faire ?

La curiosité était si forte que je décidais malgré les consignes de mes parents de les suivre discrètement. La maison était proche de la plage, à quelques centaines de mètres et une porte au fond du jardin permettait de prendre un sentier qui traversait la forêt jusqu'à la dune. Je connaissais bien ce chemin car je l'empruntais tous les jours pour rejoindre mes copains.

j'attendis quelques minutes en m'habillant rapidement dans le noir puis je sortis de ma tente avec précaution. Les deux filles étaient déjà loin. Je me dépêchais de rejoindre le sentier et je les aperçus un peu plus loin. Tel un sioux sur le sentier de la guerre, je les suivais de loin, attentif à ne faire aucun bruit. Heureusement le sable étouffait mes pas et la forêt de pins rendait le lieu assez obscur malgré la pleine lune.

La forêt s'arrêtait en haut de la dune, après ce serait la plage et je serais totalement à découvert. La pleine lune éclairait parfaitement et on y voyait presque comme en plein jour.

les filles avançaient sur le chemin, je pus voir qu'elles marchaient très proches l'une de l'autre, collées. Parfois elles stoppaient leur marche pour s'arrêter, l'une contre l'autre mais je ne pouvais pas voir ce qu'elles faisaient. Tous ces mystères augmentaient mon excitation.

Arrivées au sommet de la dune, en pleine lumière lunaire, elles s'arrêtèrent, je distinguais mieux, suffisamment pour voir Michelle étaler son drap de bain sur le sable. J'avançais avec précaution jusqu'à la lisère de la forêt et je m'accroupis derrière un buisson à une dizaine de mètres des filles. Le bruits des vagues qui s'écrasaient sur la plage couvraient les paroles des filles, je ne pouvais rien entendre de ce qu'elles pouvaient se dire. Elles étaient toujours debout l'une contre l'autre et quand je fus installé à mon poste d'observation, je les vis s'embrasser. Je ne réalisais pas immédiatement qu'elles s'embrassaient sur la bouche. Mais cette évidence s'imposa à moi. Même si je savais que des filles comme des hommes peuvent être attirés vers des personnes du même sexe, je n'avais jamais imaginé que Michèle et Corinne soient comme cela. La première surprise passée, une vague de colère m'envahit. Michelle était pour moi pas pour ma s'ur, ce n'était pas juste, j'allais lui casser la figure à ma salope de s'ur. Je réussis à me contenir quand-même surtout que pendant qu'elles s'embrassaient les deux filles se déshabillaient mutuellement.

Le spectacle de Michelle nue sous la lune fit durcir ma queue dans mon bermuda. Je voyais très clairement Corinne agenouillée devant son amie et la tête a hauteur de son ventre. Michelle se tenait debout une main sur la tête de ma s'ur, sa tête renversée en arrière. Je bandais très fort devant le spectacle de ces deux femmes. Je dois dire que je ne m'étais jamais masturbé auparavant mais presque malgré moi, je fis glisser mon bermuda et ma main enserra ma bite devenue grosse et dure. Instinctivement je trouvais le bon mouvement pour me branler. C'était bon,

Au bout d'un moment, les deux filles s'allongèrent sur la serviette. Je les voyais distinctement, rouler l'une sur l'autre, s'embrasser, leur main caresser leur corps, leur seins, leur cuisses, le ventre, le sexe. Puis elles se mirent en 69, Corinne en dessous, Michelle la chevauchant. Le spectacle m'excitait beaucoup et je me branlais de plus en plus frénétiquement. Je sentais quelque chose se passer dans mon bas-ventre quand Michelle redressa la tête et poussa quelques cris. A ce moment, je fus secoué comme par un décharge électrique, ma bite était très gonflée presque douloureuse, ma main s'agitait sur elle toujours plus vite, jusqu'à ce que mon premier orgasme m'arrache un petit râle que j'étouffais tant bien que mal. Heureusement elles n'ont rien entendu... Je constatais que ma main était pleine de sperme que j'essuyais sur un tronc d'arbre.

J'assistais ensuite à l'orgasme de ma s'ur. Puis réalisant soudain que les deux filles risquaient de rentrer à tout moment, je quittais ma cachette pour rentrer rapidement à la maison. Je dormais quand les deux filles sont rentrées.

Les jours suivants, je guettais le moment ou Corinne et Michelle quittaient leur tente pour se rendre à la plage. Je les suivais de loin et je me postais à mon poste d'observation habituel. J'emportais avec moi mes jumelles afin de voir mieux ce qu'elles faisaient. Bien sur à chaque fois, je laissais un peu de sperme sur place car je me branlais en les matant. Je me fis la promesse de conquérir Michelle, ce qui arriva quelques années plus tard.