Gladys 6

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Proposée le 29/12/2009 par JESSEY28

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GLADYS 6

Cela faisait maintenant 11 Jours que j'étais arrivée chez mon oncle et ma tante. j'eus l'occasion d'avoir plusieurs fois mes parents au téléphone. Ceux-ci s'inquiétaient de savoir si mon séjour se passait bien. Je les rassurais en disant que tout était super et que mon oncle en l'absence de ma tante était très gentil avec moi.
Mon oncle passait son temps au téléphone, la sieste, à regarder la télé, à passer des films porno, sans compter ce qu'il avait fait avec moi afin d'assouvir sa lubricité.
- Aujourd'hui tu vas jouer un jeu me dit il en me prenant sur ses genoux.
- Ah et quoi ? m'inquiétais-je, alors que sa main baladeuse aux doigts boudinés remontait le long de ma cuisse.
Je serrai instinctivement les cuisses pas décidée à me laisser tripoter.
- Oh mademoiselle joue la prude !
- Non j'ai pas envie c'est tout !
-Tu t?es caressée cette nuit ?
Je restais dans le silence.
- Je t?ai entendue jouir au moins deux fois ! Qu'est ce qui t?a excité comme cela ma puce ?
- c'est venu naturellement ! répondis-je gênée d'avoir été découverte ainsi.
- Ton petit bourgeon te démangeait ?
- Tu te caresses bien toi !
- Allez dis moi ce qui t?a excitée comme cela ?
- Je repense à Simon' c'était excitant.
- Tu as appris l'amour par le petit trou et non par la chatte?
- c'est pas commun ?
- Non ! De règle général les femmes découvrent la sodomie bien après avoir perdu leur pucelage.
- j'ai eu mal pendant pas mal de temps !
- Tu es encore serrée chérie par là ! Me dit il, en me reprenant un sein dans sa main qui avait abandonné ma cuisse.
- Tu toeimagines, j'ai des petites fesses moi? Vous m'avez bien eu !
- Tu regrettes ?
- Non c'est une expérience !
- Je t?ai acheté un gode par correspondance, ce sera ton jouet de Noel ! Ah ahhh (quinte de toux)
- Tu ne m'as pas demandé si j'en voulais un !
- Tu le garderas avec toi longtemps' Les femmes ne peuvent pas s'en passer pour calmer leurs ardeurs'
- Tu le recevras quand ?
- Logiquement dans deux à trois jours'
- j'espère que mes parents ne vont pas le découvrir ?
- A toi de bien le cacher dans ta chambre.
- c'est quoi ton jeu ?
- On en reparlera plus tard, je viens d'avoir une autre idée?
- Ah et quelle idée ?
- As-tu envie de revoir Simon ?
- Non pas spécialement. Pourquoi ?
- Eh bien ce soir nous allons lui dire un petit coucou dans sa maison ! Il m'a appelé tout à l'heure, il a envie de nous revoir.
- Mais c'est pas bien ! Ce type pourrait être mon père !
- Il veut nous inviter à manger un pistou' Et sa spécialité
- Vas pour le pistou' Mais sérieux. j'ai pas envie qu'il me retouche.
- Tu dis ça mais tu as pris un super pied, l'autre jour ! Au fait tu prends bien la pilule ?
- Ben oui ! Pourquoi, me poses tu cette question ?
- j'ai pas envie que tu rentres à la Réunion enceinte ?
- Mais pas de problème tonton, je suis vierge !
- Ah oui? j'avais oublié ! Bon on partira vers 18 heures. Tu as le temps d'aller te promener si tu veux cette après-midi.
- j'avais envie de me promener à Grasse. Tu viens avec moi ?
- Non. Vas y toute seule. j'ai pas mal de choses encore à régler? Je passerai un coup de fil à Simon pour lui dire que nous acceptons son invitation. j'apporterai une bonne bouteille.
- Bon je vais me préparer? Tu veux bien me lâcher ?

j'avais passé l'après midi à traîner devant les magasins de Grasse, en rentrant en bus je me suis arrêtée aux Quatre chemin prendre un Sunday glace chez Mac Do? j'adore le Sunday glace.
- Ah te voila ! s'exclama mon oncle en me voyant pousser le portail. Tu as passé une bonne après midi ?
- j'ai vu plein de belles choses. Dommage que maman ne soit pas là pour me les acheter?
- Tu as vu quoi ?
- Un Jean super avec un top trop génial'
- Je t?en ferai cadeau' On verra cela? Bon, ce soir tu t?habilles comment ?
- En Jean..
- Non tu mets au moins une jupe !
- Je mets celle que tante aime bien ??
- Parfait? Vas te préparer nous partons dans une demi-heure.
- Tu as eu Simon ?
- Oui oui ! Toeinquiètes pas ! Il n'est pas sorti cette après midi, ce pour faire la cuisine? Sympa ce mec !.
Nous quittâmes le mas avec presque 40 minutes de retard. Mon oncle étant pris au téléphone par ma tante, qui lui expliquait l'opération qu'avait du subir sa s'ur.. Nous garâmes, la Mercedes sur la même plateforme que l'autre jour. Après nous être chargés de nos sacs, nous allâmes rejoindre la maison isolée de Simon par le petit sentier, celui qui longeait le ravin. j'eus parfois le vertige en regardant le contre bas, parfois très à pic.
Je m'accrochais aux branches des rares buissons tout en marchant derrière la masse imposante de mon oncle, de peur de glisser sur une pierre..
- Ca va ? Tu suis ?
- Oui? Il n'y a pas un autre chemin ?
- Si. Mais je ne le connais pas'
- Comment fera-t?on pour rentrer en pleine nuit ? c'est dangereux tonton !
- Simon nous guidera? Il connaît les lieux par c'ur?
- c'est ça sa maison ? c'est une baraque !
- On dirait bien' c'est pas un palace.
La maison de Simon paraissait délabrée. Des pierres étaient posée sur les tuiles. Certains volets pendaient, la cour était un dépôt de cochonneries; cochonneries qu'il avait du entasser depuis des siècles'
- c'est pas engageant ! dis-je à mon oncle alors qu'un épagneul breton la queue frétillante venait à notre rencontre.
Simon avait du nous entendre arriver. Il sortit sur ce qui aurait du être une terrasse, occupée par un tas de pots de fleurs et de planches diverses.
- Ah mes amis' Vous êtes en retard' Venez, venez ! Passez par là !
Nous escaladâmes presque les marches en pierres grises, tellement disjointes que mon talon se coinça entre une jointure et cassa net.
- Merde tonton j'ai cassé mon talon !
- Donnes moi ça petite. Simon va te réparer ta chaussure.
Simon serra copieusement la main de mon oncle. Celui-ci devait faire au moins le double de la sienne. Puis me prenant dans ses bras, il m'embrassa sur le front
- Tu es encore plus belle que l'autre jour? Tu as vraiment pris de belles couleurs ! Le soleil te va à ravir? Qui plus est avec ces beaux yeux verts' Tu es purement magnifique !
- Merci? Vous pouvez me réparer ma chaussure ? lui demandais-je en lui tendant mon escarpin blanc.
- Je t?en prie, tu peux me tutoyer.
Je me maudis d'avoir accepté le souhait de mon oncle : j'aurais préféré mettre mes baskets pour passer par ce chemin.
Simon me prit ma chaussure. Après avoir regardé le désastre, il nous fit entrer dans ce qui devait être son salon.
Une cheminée noircie, style solognote dominait la pièce. Simon avait allumé un feu de cheminée, celui-ci crépitait avec rage.
- Installez vous les amis. Je descends quelques instants réparer la chaussure de notre belle princesse et je reviens de suite.
Mon oncle en attendant le retour de Simon inspecta les pièces du rez de chaussée.. Je préférais pour ma part feuilleter une revue, assise dans un canapé usé jusqu'à la corde, qui sentait le chien..
- Ca ne respire pas la richesse ! Commenta mon Oncle en prenant place dans un fauteuil qui craqua dangereusement...
- Il n'a pas de femme ton copain ?
- je ne sais pas' l'autre jour il semblait pressé de rentrer.
- En tout cas cela sent bon'
- j'espère que nous ne rentrerons pas trop tard tonton ?
- Pourquoi on a tout notre temps'
- Sais pas je ne me sens pas bien ici. c'est sombre.
Quelques minutes après Simon remonta du sous sol un grand sourire illuminant son visage buriné.
- Voila princesse? c'est réparé ! Mais dès que tu le pourras, vas voir un cordonnier.
- Elles sont toutes neuves. c'est maman qui me les a achetées.
- Alors raison de plus !
- Bon ! On va se prendre un pastaga ? Okay ? Puis, me regardant, il me détailla des pieds à la tête, à tel point, que j'en fus gênée.
- Vous n'avez pas de Coca ?
- Dis moi tu ! s'il te plait? Allez !
- Non. Ici, il n'y a que du pastis'Tu vas bien en prendre une goutte ?
- Allez allez ! Dit mon oncle, sers lui un pastis' Elle est assez grande maintenant..
- Alors avec beaucoup, beaucoup d'eau ! Précisais-je.
- Qu'elle est jolie ta princesse? Je n'ai pas arrêté de penser à elle depuis l'autre jour.
- T?as de la chance mon ami, dit mon oncle en trinquant avec Simon' Tu as eu droit à ses faveurs' Tu es le seul'
- j'ai bien fait de passer par là !
Face à leurs commentaires, je me sentis rougir presque de honte. Me donnant un peu de contenance, je mis mon nez dans le verre de pastis' Le goût ne me déplaisait pas.
- Elle a des jambes superbes'
- Tournes toi ! Me demanda mon oncle. Obéissant à ses ordres, je fis un tour sur moi-même sous les sifflets admiratifs de Simon. Celui-ci enthousiaste vida d'un trait son verre.
- Un vrai bijou' Ta môme !
- Tututtt. Je suis là pour la surveiller ! Ahh ahhh (quinte de toux)
- Bon ! Je vous ai fait une spécialité de Simon' On va passer à table? Ca vous embête si je laisse un peu la télé ?
- Non non , répondit mon oncle.
- j'attends les actualités régionales' A ce qu'il parait, il y a un feu de forêt important du côté du Tanneron' Tu sais c'est notre plaie ici?
- Oui, cette après-midi, nous avons entendu les canadairs tourner depuis le lac de St Catien...
- Ici on n'a presque pas d'arbres' Que des pierres et des buissons' Et de la lavande. Je ne risque pas grand-chose.
- Il y a longtemps que tu' Niiches... Je veux dire que tu habites ici ? demanda mon oncle en se servant un deuxième verre de pastis.
- j'ai hérité cette maison de ma mère. Elle cultivait peuchère la lavande pour la distillerie Fragonard' Les champs du bas que tu vois devant toi, lui appartenaient?
- c'est à toi toute cette lavande ?
- Je ne m'en occupe pas. Je les loue à un cousin. d'ailleurs, il viendra tout à l'heure nous dire bonjour. Il doit me rapporter du fuel. Bon ! On passe à table ?
- j'ai faim ! précisa mon oncle en tirant une chaise et s'installa au bout de la table recouverte d'une nappe Vichy.
- Tu as faim ? me demanda Simon en m'invitant à les rejoindre à table.
- Ouiii
- Ne sois pas timide et viens t?asseoir? Tiens assieds toi à côté de moi.. Viens là !
Je les rejoignis et m'installais sur une chaise un peu branlante à côté de Simon.
- Changes de chaise, prends celle-là? Tu seras mieux. Cette chaise était celle de mon père. j'ai du mal à m'en séparer?
l'ambiance devenait sympa. l'éclairage de la cheminée, les quatre grosses bougies donnaient à cette pièce une dimension tout à fait particulière. Le repas fut arrosé de Rosé du Lubéron frais, la soupe au pistou et les spaghettis « al denté » de Simon agrémentés d'un sauté de veau étaient on ne peut plus succulents. Mon oncle en reprit trois fois, faisant ainsi honneur à notre hôte.
Pour ma part, je commençais à être un peu pompette. Le pastis, le rosé, faisaient leur office. De temps en temps, je sentais la cuisse de Simon se frotter contre la mienne. Au début je me décalais sur le côté évitant le contact? Au cours du repas, je m'amusais en laissant ma cuisse contre la sienne. Cela eut pour effet de donner à Simon le courage de mettre sous la table cachée par la nappe, sa main sur ma cuisse.
Ce contact provoqua en moi un certain émoi. Le verre de rosé posé sur mes lèvres, je revivais la scène où Simon nu entrait en moi par mon puits secret alors que mon oncle me tenait plaqué contre la serviette.
Je sentis mon sexe fondre littéralement et mon ventre se contracter par des pulsions incontrôlables. c'étaient les signes annonciateurs d'un désir que je sentais monter entre mes cuisses jusqu'à mes seins.
Simon tenait à présent dans sa main, ma cuisse d'adolescente. Je sentais cette main se faire plus pressante, puis remonter jusqu'au milieu de ma cuisse sous ma jupe ! Je sentis une chaleur douce m'envelopper. Prise entre le désir de repousser cette main ou de l'encourager, je décidais d'être passive, tremblante presque.
Je bus mon verre tout en pensant que j'aimerais bien que cette main remonte jusqu'à ma petite culotte. j'avais choisie pour cette sortie une culotte en coton blanc que j'aimais bien. Sur ma peau dorée, face à la glace de ma chambre, elle mettait mon ventre, mon pubis et mes fesses en valeur. Contrairement à mes copines je n'aimais pas les strings.
Je me dis que si Simon remontait sa main jusqu'à ma culotte, il allait constater certainement qu'elle était carrément détrempée !
Mon oncle ne faisait pas attention à cette situation qui se passait discrètement sous la table. Il parlait politique avec Simon. Sur ce point ils semblaient être d'accord entre eux..
Au dessert, une glace italienne, la main de Simon retrouva sa place sur ma cuisse, qu'il enserra comme dans un étau entre ses doigts. Je faillis crier, mais le morceau de glace que je glissais dans ma bouche calma ma surprise.
A présent la main de Simon remontait vers ma culotte mais mes jambes serrées l'une contre l'autre l'empêchaient d'aller vers l'objectif qu'il semblait se fixer.
Mon oncle reprit une deuxième fois de la glace en complimentant Simon sur ce repas succulent. Pour ma part j'acceptais le nouveau verre de rosé que Simon me proposait.
- Je vais bientôt chanter ! dis-je en riant.
l'alcool faisait son effet. Ma tête appuyée sur ma main gauche, je commençais à fantasmer? Puis, je pris mon courage en écartant légèrement mes cuisses. Mon sexe était chaud, pour ne pas dire en feu' Jamais je n'avais ressenti une telle sensation !
Mon oncle sortit sa boite à cigares, en proposant un à Simon qui refusa. Sentant la voie libre , Simon ne tarda pas à remonter jusqu'en haut de ma cuisse, jusqu'au bord de l'élastique qui enserrait celle-ci. Je me mis à trembler d'émotion.
Jamais je n'avais accepté qu'un garçon de mon âge s'aventure à cet horizon' Voila que je permettais à cet homme de roder vers ma plus grande intimité !
Simon et mon oncle parlaient à présent de St Tropèze et des bons restaurants qu'ils connaissaient.. La main de Simon ne bougeait plus, plaquée sur mon haut de cuisse. Je me demandais s'il allait oser aller plus loin ?
Je me surprenais à ce qu'il aille plus loin. Pour l'inciter, je tournais légèrement ma cuisse droite vers sa jambe. Ce fut l'élément déclencheur, ses doigts glissèrent sur le tissus recouvrant mon pubis et atteignirent la zone détrempée.
Il ne pouvait pas ne pas s'apercevoir de mon désir ? De mémoire de mes jeunes années je n'avais jamais mouillé ainsi ma culotte ! Je sentis ses doigts caresser doucement mon sexe protégé encore par ma culotte. Puis, soulevant l'élastique, il chercha ma fente toute en eau.
Je fermais les yeux de délice à ce contact me repoussant sur le dossier de ma chaise. Je me laissais glisser légèrement mes fesses en avant afin de lui faciliter sa caresse. Ce fut presque un hoquet de plaisir qui s'échappa de ma bouche.
Je me forçais à ne pas pousser de soupir, en me mordant ma lèvre du bas. j'entendais presque le clapotement que provoquaient ses doigts, perdus ma vulve en folie.
Lorsque Simon retira sa main, j'eus presque un regard de reproche. j'allais venir. Je le sentais.
Alors que mon oncle était en train de regarder la météo à la télé, Simon en me fixant porta ses deux doigts détrempés par ma cyprine à sa bouche et les suça. Ce geste m'excita encore plus Je serrais alors fortement mes cuisses l'une contre l'autre afin de retenir l'orgasme que je sentais venir.
Jamais je n'ai vécu une telle situation et affronté un tel désir.