Mykonos

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Proposée le 23/12/2009 par lover-dose

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Je suis en Grèce. A Mykonos pour être précis.
Il est tôt le matin, enfin il est surtout tôt pour moi en regard de la fête d'hier soir dans l'île.
La chaleur n'est pas encore trop harassante, mais le soleil est déjà haut.
J'ai décidé d'aller me reposer sur ma plage favorite. L'accès n'y est pas facile mais au moins je suis sur d'y être tranquille.
Je commence la descente finale dans les rochers sablonneux et sculptés, lorsque je m'aperçois qu'en guise de tranquillité, un couple a déjà pris possession des lieux. Tant pis, la plage est assez grande pour nous trois. Je termine donc ma descente en me concentrant sur mes appuis.
Arrivé sur la plage, je relève la tête et je m'aperçois que madame est en train de faire une gâterie à monsieur. Elle relève la tête en même temps que moi et je lis le plaisir qu'elle prend dans ses yeux lorsqu'elle m'aperçoit. Elle me fixe de ses yeux bleus comme la mer et effectue quelques aller-retour sur le sexe de son compagnon en me regardant. Je suis un peu gêné d'avoir ainsi troublé leur intimité mais j'ai vraiment l'impression que je suis le plus embarrassé.

Madame arrête sa gâterie, visiblement par politesse, pendant que j'installe ma serviette à distance raisonnable.
Cette petite marche m'a donné chaud et je vais immédiatement me rafraichir en prenant un petit bain. Je reviens m'allonger sur le dos sur ma serviette pour me sécher. Quelques instants plus tard, je me retourne pour m'allonger sur le ventre et j'aperçois madame qui s'approche vers moi.
Je me dis "pas question que je débarrasse le plancher, le plage est à tout le monde".
Elle s'accroupit pour se mettre à ma hauteur, et ma vision est troublé à la fois par son maillot-string blanc, d'une élégance certaine, mais que j'imagine transparent à la sortie de l'eau et à la fois par sa poitrine, vraiment superbe, naturelle et rebondie. Je la regarde dans les yeux dans un effort qui me semble presque surhumain tant mon regard est attiré par ses seins et elle me lance "Vous être français ?"
Quelle surprise, visiblement ils sont français aussi. J'acquiesce donc.
Puis elle enchaine "Vous êtes plutôt beau mec. Auriez-vous envie de coquiner avec nous ?".
Je la regarde incrédule et elle devine que je ne m'attendais pas à une telle proposition.
Ma réponse est hésitante mais positive.

Elle se rapproche alors de moi et s'agenouille pour me caresser le dos.
Sa main est douce et fraiche ce qui me donne des frissons alors que la chaleur est pourtant de plus en plus importante. Elle passe rapidement sa main sous mon maillot et me caresse les fesses. Je sens le sang affluer vers ma verge qui gonfle contre le sable. Elle ôte presque aussitôt mon maillot qui j'ai l'impression servait de dernier rempart à mon érection. A peine l'a t'elle enlevé que je sens ma queue durcir rapidement.
Je n'ose pas me retourner, comme si j'avais peur de dévoiler mon excitation.
Elle recommence à me caresser les fesses et insiste de plus sur le haut de mes cuisses, et effleure régulièrement mes testicules de ses doigts ce qui parachève mon excitation.
Elle me demande l'autorisation de se tutoyer, ce que, vu la situation, je ne peux refuser et souhaite que je me retourne.
Je le fais, non sans une hésitation qui la fait sourire. Elle vient se placer à genoux entre mes jambes écartées et caresse délicatement ma verge tendue en me regardant d'un air affamé.
Elle se penche alors vers moi pour me caresser le ventre puis le torse et je sens un sein toucher mon sexe. J'ai même l'impression qu'il s'agit d'une caresse mais je ne peux être sur que c'est volontaire.
Elle m'embrasse à hauteur du nombril et regarde son homme, qui assis sur sa serviette, n'a pas bougé mais nous regarde.
Elle se redresse et passe ses doigts entre ma verge et mon ventre et la redresse délicatement pour la faire pointer vers le ciel.
Elle se penche alors vers moi et je sens sa langue se poser à la base de ma queue. Elle remonte tout doucement vers mon gland et arrivé à sa hauteur elle le gobe délicatement.
Quelle sensation exquise.


Je ferme les yeux pour savourer encore plus cette fellation et probablement aussi pour me protéger du soleil. Je sens ses lèvres autour de ma queue s'activer en douceur. Elle s'applique visiblement à monter et descendre le long de mon membre en érection en variant la pression de ses lèvres sur mon sexe. C'est exquis et je gémis de plaisir. Elle essaye d'enfoncer le totalité de ma queue dans sa bouche et je me cambre pour l'y aider mais aussi parce que je savoure cette fellation profonde et intense. Doucement, elle ressort ma bite de sa bouche, ne gardant que le gland emprisonné dans ses lèvres. Je sens sa langue qui tourne autour de mon gland et joue avec mon prépuce. Puis elle retire sa bouche et saisi ma verge de sa main gauche. Je m'attends à sentir à nouveau ses lèvres sur mon sexe, mais cela ne vient pas.

J'ouvre les yeux et je vois son homme, debout à coté d'elle, nu qui tient sa tête entre ses mains et rythme la caresse buccale de sa femme. J'ondule un peu le bassin, pour l'inciter à s'occuper encore de moi, mais j'ai juste droit à quelques mouvements de va et vient avec sa main.
Je les regarde. Le sexe de l'homme est déjà dur et je peux voir les veines le long de son membre.
Elle s'aperçoit que je le regarde et me lance un sourire malicieux. Elle penche alors la tête en arrière et place la queue de son homme au dessus de sa tête. Elle sort le bout de la langue et vient lécher délicatement le sexe sur toute sa longueur en s'assurant que je regarde. Elle recommence plusieurs fois l'opération avant de positionner sa tête encore plus entre les jambes de son mec pour aspirer ses couilles. Elle a un sexe dans chaque main et aspire et lèche la peau plissée des testicules de son homme.
Lui aussi a penché la tête en arrière et apparemment ils se connaissent bien et elle fait qu'il faut pour lui faire plaisir.
Elle reprend ensuite la queue dans sa bouche et fait quelques aller-retour aussi profond que possible afin de s'assurer de la rigidité de son homme.

Elle s'arrête et me dit "ça te plait ? tu as envie de me lécher ?".
Avant que j'ai eu le temps de répondre quoique ce soit mais qui aurait de tout façon été un affirmation maladroite, elle se relève, enlève son string et vient se placer un genou de chaque coté de ma tête. La vue que j'ai se limite à son entre jambe et ses fesses fermes et rebondies.
Elle est épilée de près et son minou lisse luit au soleil mais je ne sais si il s'agit de son jus ou de transpiration.
Je relève un peu le menton et sort la langue. Le gout intense, fumé et presque animal que j'ai à peine avoir effleuré son sexe de ma langue répond immédiatement à mon interrogation.

Je lève les bras et vient saisir une fesse dans chaque main pour pouvoir écarter délicatement son entre-jambe et enfoncer un peu plus ma langue dans son intimité. Son homme c'est rapproche et elle a recommencé sa fellation tandis que je m'applique à mon tour en espérant qu'elle apprécie. j'entends un gémissement féminin qui m'encourage. J'accélère un peu les coups de langue que j'alterne entre son clitoris gonflé et sa fente et humide.
Le goût de sa mouille et de sa transpiration se mélange et je sens que l'excitation monte en elle.
Elle ondule de plus en plus le bassin.


Elle se penche en avant et vient saisir ma queue avec sa bouche. Cette nouvelle position a deux effets immédiats. Son sexe s'ouvre plus aisément et ses lèvres s'écartent comme pour me faciliter l'accès ; son clitoris aussi est plus accessible, et dès les premiers coups de langue dessus dans cette position, je comprends qu'il est aussi - surtout- plus sensible.
Je rythme mon je de langue sur le sien. Lorsqu'elle lèche mon sexe sur toute sa longueur, je lèche aussi sa fente dans en totalité. Lorsqu'elle joue avec mon gland, j'insiste sur son clito. Lorsqu'elle enfonce ma queue dans sa bouche, j'enfonce ma langue le plus profond possible. Elle a dû le comprendre car je sens qu'elle est en train de faire avec ma queue ce qu'elle veut en fait que je lui fasse sur son minou.

Son homme est venu se positionner entre mes jambes, à genoux, et elle commence à s'occuper de nos deux sexes, alternant les jeux de mains, les jeux de langue et les jeux de lèvres.
Je continue à m'occuper de sa chatte, mais j'ai de plus en plus de mal à me concentrer, tellement l'excitation est grandissante.
Elle a dû le sentir et se relève en ma disant "viens !".
Je me lève et je la suis.
Elle m'amène jusqu'à un des rochers qui est au bord de cette crique.
Elle m'y adosse et se penche en avant pour recommencer à me sucer. Son homme qui a suivi de loin comprend alors immédiatement qu'elle s'offre à lui en même temps qu'elle s'active sur ma queue.
Il se positionne derrière elle et cherche avec sa queue l'ouverture dans laquelle il va pouvoir s'enfoncer. Au moment où il la trouve, d'un coup d'un seul il s'enfonce en elle. Elle redresse la tête tou en gardant ma queue dans sa bouche et écarquille les yeux en me regardant. J'imagine ce qu'elle a dû ressentir lorsque ce membre gonflé l'a pénétré presque violemment. Elle fixe mon regard et à chacun de coups de boutoir de son partenaire elle écarquille les yeux. Elle a du mal à s'occuper de mon sexe mais garde quand même sa bouche autour de ma queue.
De toute façon je suis totalement hypnotisé pas ses yeux bleus qui réagissent chaque fois que
son homme qui la tient par les hanches s'enfonce en elle. Elle lâche ma queue de sa bouche et pousse un gémissement quasiment animal qu'elle a retenue apparemment un long moment.
Il ralenti enfin le rythme de ses à-coups mais il s'enfonce toujours aussi profondément et la belle écarquille les yeux progressivement mais a recommencer à me pomper profondément sans me quitter du regard.


Sa bouche entoure ma verge tendue et elle rythme sa fellation au gré des coups de boutoir de son compagnon. Elle se retire lorsqu'il s'enfonce et enfonce ma queue jusqu'à la gorge lorsqu'il se retire. Je sens la pression de ses lèvres qui se fait plus importante, pour mieux me décalotter.
Je penche la tête en arrière pour savourer cette fellation et à ce moment là, son compagnon, qui vient de comprendre que son sexe rythme en fait la fellation de sa femme, décide d'accélérer son va et vient.
Ma réaction ne se fait pas attendre, je me cambre un peu plus et gémis plusieurs fois.
Vais-je pouvoir me retenir longtemps ?
Heureusement (si je puis dire), elle sort ma queue de sa bouche et me lèche la queue sur toute sa longueur en me demandant alors de m'allonger par terre.
Ouf, je pense, un peu de répits. Que néni, cela ne dure pas longtemps. Elle vient s'accroupir au dessus de mon sexe tendu, dos à moi. Elle le frotte un peu contre son minou lisse comme pour en humifier le bout. Elle s'appuie enfin progressivement dessus et s'assoie très lentement sur mon sexe en érection. Je sens son intimité s'ouvrir au fur et à mesure qu'elle descend. J'ai l'impression qu'elle est complètement assise mais elle s'enfonce encore un peu comme si elle voulait avaler intégralement ma queue en elle. Une fois arrivée tout au bout, elle ondule un peu le bassin pour faire bouger mon sexe à l'intérieur.
Je me cambre encore un peu pour toucher le bout de son vagin et m'enfoncer le plus possible.
Elle pose ses mains sur mes genoux et se retire progressivement avant de s'enfoncer d'un seul coup le plus loin possible. Elle recommence l'opération plusieurs fois, se penchant en avant pour se retirer avant de se redresser d'un coup, m'enfonçant en elle de manière presque violente. Je saisi alors ses fesses dans mes mains pour l'immobiliser et commence à lever mon bassin avant de le redescendre. Elle aime ça et me demande d'intensifier mes mouvements du bassin. J'accélère alors en m'enfonça encore plus profondément. Son minou est chaud et humide et plus je m'enfonce en elle, plus le mouvement est facilité par sa mouille de plus en plus abondante.
Je m'aperçois qu'elle suce son homme pendant que je m'occupe de sa chatte. Je lui donne alors quelques mouvements rapide et frénétiques qui je sais vont faire leur effet.
Effectivement, elle gémit, malgré la bouche remplie par le sexe de son homme.


Je m'active, je m'applique même, mais sa chatte humide et chaude me facilite grandement la tâche. Ca glisse tout seul.
Elle se penche en arrière et vient poser son dos sur mon torse. Je saisi alors sa poitrine dans mes mains que je malaxe en la pressant contre moi. Je continue mes mouvements du bassin, soulevant quasiment son postérieur à chaque fois que je m'enfonce en elle pour qu'elle puisse me sentir au maximum en elle.
Elle tourne la tête et sors sa langue pour m'embrasser. Nos langues se mêlent mais très vite elle interrompt ce baiser et ma demande : "Jean peut-il me lécher pendant que tu me pénètre ?".
Ainsi il se prénomme Jean - pensais-je.
Je réponds "oui bien sur si cela peut augmenter ton plaisir" tout en me demandant pourquoi elle avait pris la peine de le poser la question.
Elle regarde alors son homme et lui fais signe de s'approcher d'elle.
Elle lui susurre à l'oreille "vas-y, il est d'accord".
Je suis surpris et elle semble le comprendre.
Elle m'explique "Jean adore jouer avec mon clito pendant que je me fais prendre par un autre homme, C'est un de ses fantasmes favori.".
Je lui réponds en lui demandant : "Moi, c'est Olivier, et toi ?"
Elle me répond "Ne t'arrêtes-pas. Moi, c'est Stéphanie".
Je la remercie et recommence alors à lui donner du plaisir. Je sens qu'elle se cambre en arrière, et je pense que c'est à cause (grâce) de moi. Je me rappelle alors sa demande et comprend qu'en fait elle offre son sexe en avant à son homme.
Je continue pourtant mes mouvements saccadés et la sensation de mon pénis qui frotte contre ses parois vaginales tellement elle est cambrée est délicieuse. Je perçois alors une douce, humide et chaude sensation à la base de mon pénis et je pense qu'il s'agît d'un goutte de sa mouille avant que ne réagisse qu'en fait c'est la langue de son homme qui est venu effleurer la base de ma queue. Ce n'était pas désagréable, mais l'idée qu'un homme puisse toucher ma queue, de surcroît avec sa langue me fige. Voyant ma réaction, il s'excuse doucement, mais visiblement c'était presque volontaire. Anna commence à onduler le bassin, comme pour me faire penser à autre chose. Je ne sais si c'est pour jouer avec mon sexe ou avec la langue de son partenaire.
Je suis encore bouleversé par cette sensation et je m'aperçois qu'un nuage est venu masquer le soleil. Je me demande comment ais-je fais pour ne pas le remarquer plus tôt.
Je sens alors une goutte chaude tomber sur ma cuisse. Je frissonne en pensant que Jean transpire à chaude goutte avant de recevoir une autre goutte sur le bras et je comprends alors qu'il commence alors à pleuvoir.
Cela chasse mes idées et je recommence à baiser Stéphanie avec intensité, probablement pour terminer cette partie libertine avant que la pluie ne nous interrompe définitivement.
Les gouttes sont grosses et chaudes.


Je sens les gouttes sur tout le corps. Les bras, les jambes, la figure, mon sexe aussi. Je n'arrive pas bien à distinguer s'il s'agit de gouttes ou bien de la langue de Jean qui s'active toujours sur le clito de Stéphanie. J'essaye de faire abstraction mais ma concentration se trouve altérée par cette image. Mon érection s'en ressent et Stéphanie vient poser sa chatte sur ma figure sans prévenir. Ma langue vient se poser sur sa fente et s'immisce doucement à l'intérieur de ses lèvres. Le goût de sa cramouille vient se mélanger à celui de la pluie. La sensation en est d'autant plus douce, et je m'attarde un peu sur son clitoris, jouant avec pour le faire gonfler.
Elle se penche alors en avant pour saisir mon sexe entre sexe lèvres.
Ses intentions sont claire, elle vaut me faire bander à nouveau et me pompe énergiquement. Ma réaction est instinctive, et je sens un sourire de satisfaction tandis qu'elle continue de me sucer.
Elle s'interrompt pour sucer son homme avant de revenir s'occuper de ma queue. Elle alterne rapidement entre lui moi.
Au moment d'une transition, elle me demande si Jean peut venir la prendre en levrette dans cette position. Je n'ai pas vraiment le temps de répondre que je le vois arriver derrière elle. Je sens bien qu'elle essaye de concentrer mon attention en reprenant sa fellation avec encore plus d'enthousiasme.
Je penche la tête en arrière. Je vois le membre raide et horizontal s'approcher de la vulve humide de Stéphanie. C'est impressionnant. Il est raide et je peux distinguer les veines jusqu'à son gland. Il colle son gland contre la chatte. Doucement, il écarte de son sexe les lèvres et s'enfonce progressivement à l'intérieur.
La pluie continue de tomber et j'ai l'impression que la pénétration dure des heures.
Une fois arrivée au maximum de ce que le vagin de sa partenaire l'y autorise, il ressort toujours aussi doucement, apparemment pour me laisser admirer cette scène en gros plan.
Stéphanie, quand à elle, a interrompue sa fellation mais conserve ses lèvres autour de mon sexe tendu.
La cadence des coups de reins s'accélère et Stéphanie recommence à bouger ses lèvres autour de mon sexe. Mon regard est fixé sur le vagin de Stéphanie qui s'ouvre délicatement à chaque fois que Jean s'enfonce en elle.
Il la tient par les hanches et la pénètre de plus en plus fort. Elle émet un couinement caractéristique et lui dit que s'il continue elle va jouir.
Je pensais qu'il allait faire durer le plaisir et ralentir la fréquence de ses à-coups mais, au contraire il augmente encore et à chaque fois qu'il se retrouve au fond, Stéphanie gémis, de plus en plus fort.
Je sors alors ma langue et vient titiller le clitoris qui n'attendais apparemment que ça au vu du cri qu'elle émet lorsque je l'effleure avec le bout de ma langue.


Je sens des gouttes tomber sur mon visage, mais je ne peux distinguer s'il s'agit de l'eau qui ruisselle sur le corps de ma partenaire ou bien s'il s'agit de ses sécrétions.
Probablement un suave mélange des deux. Je me lèche les babines pour me délecter de ce subtil nectar.
J'ai le visage complètement trempé et le reste du corps aussi. Un mélange de nos transpirations respectives, de sécrétions intimes et de cette pluie quasiment tropicale.
Le mélange est délicieux.
Stéphanie me demande pourquoi je me suis arrêté de la sucer et me prie de recommencer.
Je m'excuse maladroitement argumentant que le pluie a détournée ma concentration mais je recommence bien vite à titiller son clitoris tandis que Jean s'enfonce de plus belle dans le vagin étroit de sa femme.
A chaque coup de langue, que j'essaye de synchroniser avec la cadence de Jean, Stéphanie lâche un râle qui se fait de plus en plus intense et de plus en plus rapproché.
Je m'applique à ne lécher que le clitoris, mais chaque contact de ma langue étant récompensé par un gémissement, j'intensifie la pression de ma langue.
Bien sur, involontairement, je finis par toucher du bout de la langue la queue de Jean, sensation répugnante mais si fugace que je n'y prête guère attention. D'autant que le plaisir de Stéphanie augment visiblement et qu'elle est au bord de l'orgasme.
Ma langue ne quitte plus le clitoris et j'exerce une pression de plus en plus appuyée sur la zone érogène. La respiration de Stéphanie s'accélère et les halètements se rapprochent. Les va et vient de Jean sont plus courts et plus rapides. Mes coups de langue aussi. Stéphanie ondule les hanches. Elle crie de plus en plus fort.
Puis, mes lèvres viennent enlacer son clitoris que j'aspire d'un coup en passant la langue dessus.
S'en est trop, Stéphanie explose exactement à ce moment là. Je continue à aspirer son bouton, mais il est devenu extrêmement sensible et elle se cambre en arrière pour que je stoppe ma succion mais garde le sexe de Jean en elle.
Des spasmes qu'elle ne peut contrôler lui traversent le corps et viennent serrer la queue de son homme avec son vagin.
J'observe attentivement cette jouissance et mon regard se fixe plus particulièrement sur le clitoris gonflé.
La respiration de Stéphanie se faisant un peu moins rapide, je lui lèche alors la pointe du clitoris avec ma langue mais son sursaut m'a fait comprendre qu'il est encore trop sensible.
La pluie a cessé avec l'orgasme de Stéphanie. Je me demande s'il s'agit d'une coïncidence.


Je lui laisse reprendre ses esprits et Jean se retire lentement.
Elle laisse tomber tout son corps pour s'étaler sur le mien - tête bêche. Je sens son corps tout engourdi, mêlant apaisement et plénitude, sensation qui suit généralement la jouissance.
Sa tête est posée sur le haut de ma cuisse et au fur et à mesure qu'elle reprend ses esprit, elle reprend son coté câline, féline même. Elle pose d'abord sa main délicatement sur mon sexe encore gonflé mais ramolli avant d'effectuer quelques caresses du bout des doigts. Je réagit mollement - au sens propre comme au figuré - en essayant - mais sans succès - de redresser ma queue. J'aime cette douceur et cette tendresse après l'orgasme de ma partenaire.
Mais Jean vient me rappeler à l'ordre en se positionnant entre mes jambes, le sexe tendu en avant, invitant Stéphanie à continuer à nous exciter.
Stéphanie me lèche alors délicatement le sexe, de bas en haut, avant de prendre entre ses lèvres la bite tendue de son homme. Elle sourit gracieusement, mais je sens la gourmandise l'envahir de nouveau. Elle a apparemment envie de nous faire faire jouir et souhaite surtout faire partager à son homme cette satisfaction qu'elle a de nous avoir à tout les deux pour elle seule.
Elle suce donc son homme avec de plus en plus d'intensité. Elle change de partenaire buccal par moment mais le position ne lui semble pas très confortable.
Elle s'agenouille donc et me demande de me relever. Je me retrouve donc, debout à coté de Jean, la bite dans la main gauche de Stéphanie, tandis qu'elle tient celle de Jean dans la main gauche. Elle nous suce tour à tour, elle enfonce notre sexe aussi profond que possible au fond de sa gorge avant de retirer sa bouche en serrant fortement ses lèvres contre notre sexe. Elle alterne, une fois l'un, une fois l'autre.
Puis elle s'attarde un peu plus sur chacun de nous alternativement en effectuant quelques mouvement de la tête d'avant en arrière.
Elle prend bien soin de s'occuper de nous deux de manière équitable et, surtout, elle s'assure que notre excitation augmente crescendo.
Je suis de nouveau raide comme un bout de bois et je gémis de satisfaction. Apparemment Jean aussi, qui ferme les yeux en faisant une grimace.
Stéphanie s'interrompt alors en nous demandant :
"Vous avez envie de jouir dans ma bouche, ou vous préférez une double ?"
Je regarde Jean, l'air incrédule, apparemment il ne s'attendait pas non plus à une telle proposition.
Je regarde ensuite Stéphanie pour essayer de lire dans ces yeux quelle serait son envie.
Ses yeux bleus me laissent perplexe mais j'attends toujours un signe, un mot, pouvant infléchir ma décision.


Toujours sous le coup de la surprise, je tente une réponse qui n'est en fait ni originale ni perspicace. "Je jouit dans ta bouche pendant que Jean te sodomise".
Elle sourit. Ma naïveté peut-être ? Ou elle a visualisé cette sensation. Je ne sais. Mais Jean s'exécute et se place derrière elle tandis qu'elle se positionne à genou en relevant les fesses pour offrir son intimité serrée à son amant. Dans le même temps elle ouvre la bouche et avale mon sexe dans son intégralité.
Cette sensation est inouïe, Je sens les lèvres à la base de ma queue et la gorge qui vient entourer mon gland. Jean positionne sa queue au début de l'entrée étroite. Il place une main sur chaque fesse et d'un mouvement vers l'extérieur écarte son cul pour dilater son orifice. Je regarde Stéphanie, elle ferme les yeux et plisse le front. Une appréhension ?
Je ne sais mais sa bouche entoure toujours ma queue et je sens sa langue venir me lécher le long de ma verge. Elle ressort un peu sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres atteignent la base de mon gland. A ce moment là, Jean décide de s'enfoncer en elle et elle projette la tête en avant, avalant une nouvelle fois ma queue dans toute sa longueur. Elle émet aussi un cri de douleur.
Douleur qui semble bien vite s'être dissipé au profit du plaisir qu'elle prend. je le comprend immédiatement en la voyant onduler le bassin. Certes Jean la tient par les hanches et s'enfonce violemment en elle. Elle semble pourtant prendre du plaisir. Elle ressort ma queue de sa bouche qu'elle saisi d'un main et passe sa tête par dessous ma queue. Elle remonte doucement, la langue à l'extérieur léchant ma verge tendue. Une fois, deux fois. Puis elle lèche mes testicules avant d'en aspirer une dans sa bouche et de jouer avec comme s'il s'agissait d'une cerise. elle la fait tourner dans sa bouche de petits coups de langues rapide et agile. Elle me branle en même et sa tête est saccadée lorsque son homme s'enfonce en elle.
Elle lui demande d'aller encore plus fort et reprend ma verge dans sa bouche. Je sens ses lèvres aller et venir de plus en plus rapidement le long de ma hampe tendue. Ma bite est raide et grosse et je sens mon sperme monter.
Vais-je me retenir ?


Je saisi sa tête entre mes mains, la paume au niveau de ses oreilles. Au moins autant pour lui signifier le plaisir que je prends que pour l'accompagner dans ses mouvements.
Ses lèvres se serrent contre ma queue et je les sens sur mes veines qui amène le sang jusqu'à mon gland. Elle passe sa langue juste sous mon gland puis en fait délicatement le tour. Cela m'excite encore plus et "pour gagner du temps", je retire sa bouche de mon sexe et me penche pour l'embrasser. Notre baiser est long et nos langues se mêlent fortement pour montrer notre envie réciproque mais saccadé par les coups de queue de Jean qui continue sa sodomie.
Stéphanie émet même quelques gémissements de douleurs. A moins que ce ne soit du plaisir. Ou alors un mélange des deux, plus probablement.
Mes mains guidant toujours sa tête, je la guide de nouveau vers ma queue qu'elle engloutie avec apparemment beaucoup de plaisir et d'envie.
Mon regard s'égare sur les fesses de Stéphanie écartées par la queue de Jean qui augmente l'intensité de ses allers-retours.
Je me cambre en arrière et Stéphanie enfonce ma queue au plus profond de sa gorge.
Je me penche alors en avant et saisi entre mes mains ses seins petits mes fermes.
Je les malaxe intensément tandis que Stéphanie a pris ma que dans une de ses mains et me branle tout en me suçant.
Les saccades de Jeans se font de plus en plus rapprochées et rapide. Je devine qu'il est au bord de l'explosion. Cette sensation m'excite d'autant plus que je suis aussi tout proche de la jouissance. De plus Stéphanie émet de petits cris rapprochés qui laisse aussi présager que sa jouissance est proche...
Allons nous jouir tous les trois en même temps ?


Je sens mon sperme monter rapidement mais Stéphanie continue de m'aspirer comme si elle voulait que je partage mon plaisir avec elle.
Je regarde Jean, il me regarde aussi et je comprends qu'il va bientôt jouir aussi. Il intensifie alors ses coups de reins qui sont maintenant forts et fréquents. Mon regard se pose sur les fesses de Stéphanie et j'imagine mon sexe compressé dans le petit orifice. Cette pensée ne fait en fait qu'augmenter mon envie de jouir.
A ce moment là, Stéphanie se laisse aller et les spasmes sont incontrôlables. Elle jouit fort et ne retient plus ses cris. Jean vient de jouir en même temps et se lâche dans le cul de sa partenaire. Apparemment elle n'attendait que ça et sa jouissance augmente encore. Gardant ma queue dans sa bouche elle me regarde avec un air gourmand comme pour me demander si je vais jouir dans sa bouche. Ses yeux sont tellement remplit d'avidité que cela achève mes intentions de me retenir plus longtemps. Je lâche mon sperme dans sa bouche au moment même où elle ouvre la bouche en grand pour que je puisse observer. Elle a les yeux ouverts et me regarde intensément. Elle est visiblement satisfaite. Elle referme la bouche et d'un gloussement elle avale toute ma semence tandis que Jean se retire doucement de son anus.
Je m'attendais à ce qu'elle savoure notre double jouissance en laissant la tension de l'orgasme rapidement mais elle se redresse quasiment immédiatement, fière d'elle et nous lance d'un ton naturel déconcertant :
"On va se rafraichir ?"
Elle me prend alors la main et m'amène en courant au bord de l'eau où elle plonge sans hésiter.
C'est vrai que le soleil a refait son apparition et que la chaleur mêlée aux émotions a rendu nos corps moites de transpiration.
Je la suis rapidement et Jean aussi et nous restons un long moment dans l'eau, jovials et joueurs, avec probablement la satisfaction de savoir que nous avons passé une excellente après-midi.
Nous faisons connaissance avec une décontraction déconcertante.


Stéphanie est vraiment joueuse et tandis que nous nous rafraichissons, elle s'amuse avec nous.
Elle nous taquine en jouant avec ses seins. Elle fais la planche sur le dos, écarte les jambes et nous fais admirer la vision de son entre jambe. Elle plonge en prenant bien soin de faire dépasser son postérieur. Elle dépose de petits baisers sur ma bouche et sur celle de Jean.
Elle va même jusqu'à saisir nos mains et caresser avec sa poitrine ou son minou.
Je suis un peu émoustiller d'autant qu'elle me dit qu'elle c'est vraiment éclaté et qu'elle a adoré ma gêne et ma timidité mais qu'une fois que je me suis décontractée elle a vraiment pris son pied.
Son regard est intense et son sourire me garantissent qu'il n'y a aucune hypocrisie dans ses paroles. Je lui explique dans une justification inutile et maladroite que j'ai été surpris et que je n'ai pas l'habitude de ces situations là.
Il m'explique qu'ils sont de Nantes et qu'ils viennent d'arriver pour 2 semaines de vacances.
Ils ont loué une villa isolé dans le sud de l'île et ont bien l'intention d'en profiter.
Je leur dis que je suis de Toulouse, de passage sur l'île pour quelques jours avant de rejoindre une autre île des Cyclades, probablement Santorin. Nous sortons de l'eau et rejoignons la plage.
Nous rapprochons nos serviettes pour pouvoir continuer à discuter et nous nous allongeons, nus pour profiter du soleil et sécher tranquillement. La nudité ne nous dérange plus du tout surtout grace au naturel de Stéphanie qui visiblement est de plus en plus à l'aise et apprécie ma compagnie.

Nous discutons encore un moment, puis Jean me propose de les rejoindre ce soir pour le diner.
Je suis un peu surpris, d'abord à cause de Jean qui est resté si discret depuis le début surtout en comparaison de Stéphanie qui est vraiment très avenante et puis aussi parce que j'étais vraiment certain que cette merveilleuse rencontre restera éphémère.
Voyant ma surprise, que Stéphanie a dû prendre pour un hésitation, elle insiste un peu en me disant qu'ils seraient vraiment ravi de pouvoir me recevoir pour faire plus ample connaissance.
J'accepte bien volontiers. Nous échangeons l'heure et ils me donnent leur adresse avec quelques explications qui me paraissent bien vagues mais que je prétend être claires.

Je rentre dans ma chambre d'hôtel, je prends une douche avant de descendre en ville pour trouver une bouteille de champagne pour ce soir. Je la paye à prix d'or, surtout que j'ai souhaité qu'elle soit déjà fraiche puisque je n'ai pas de frigo dans ma chambre.
L'heure approchant j'enfourne donc mon scooter de location, la bouteille calée entre mes pieds, je me met en quête de leur villa. Je tourne un moment sans trouver et je commence à me demander s'il ne m'ont pas berné avant de me souvenir que Jean a préciser qu'une vielle coccinelle bleue serait garé devant leur maison. Justement, je suis passé plusieurs fois devant.

Je sonne donc et Stéphanie vient m'ouvrir. Elle est ravie de me voir et se jette quasiment à mon cou. Elle porte un robe de soirée noire et des escarpins à talons. Sa robe est moulante et est échancrée jusqu'au nombril. Elle ne porte pas de soutien gorges. Elle est maquillée et coiffée. Je lui dit qu'elle est vraiment sublime mais que ce n'étais pas la peine. D'un sourire narquois et coquin elle me rétorque que si en me faisant un clin d'oeil.

Elle m'invite à la suivre, fais demi-tour et s'engouffre dans la maison. Je la regarde de dos. Ses talons rehaussent à merveille ses fesses qui n'en n'ont pourtant pas besoin et sa robe moulante laisse entrevoir la marque d'un string à dentelle. Sa robe est échancrée dans le dos aussi, quasiment jusqu'en haut de ses fesses.


La villa est grande et le salon est frais grâce aux épais murs blancs caractéristiques. Mais Stéphanie le traverse rapidement et se dirige vers la terrasse.
Jean y est déjà installé, une chemise en coton transparence laissant deviner son torse musclé et bronzé. Il me propose un uzo que j'accepte, se lève et me prend la bouteille de champagne qui m'embarrassait en me remerciant et en me précisant qu'on la boirait plus tard et qu'en attendant elle serait mieux au frais.
Je m'assois sur le mur de la terrasse qui sert de balustrade (il fais environ 80 cm de large et est à hauteur parfaite pour servir de banc) et j'observe la vue. La villa domine la mer et on l'ombre d'une île au loin. Le soleil est moins fort que cet après midi et descend sur l'horizon en promettant un coucher de soleil des plus majestueux.
Stéphanie revient avec un plateau, des verres et un bouteille d'uzo et de l'eau.
Elle sert les verres et se penche en avant pour m'en tendre un. Sa robe baille un peu et j'aperçois sa poitrine dénudée onduler légèrement. Je comprends immédiatement qu'en fait c'est parfaitement intentionnel de sa part.
Elle est vraiment magnifique et habillé en tenue de soirée comme cela, elle dégage une prestance impressionnante mais naturelle et décontractée. C'est un vrai régal rien que pour les yeux.
Je goutte l'uzo et à peine ai-je pris une gorgée qu'elle me demande : "fais-moi goutter". Elle s'approche alors de moi, passe une main derrière mon cou et m'embrasse tendrement en prenant soi que nos langues se mélangent sensuellement.
Je passe une main doucement sur son sein dans une caresse légère par dessous sa robe, et je sens que le bout de son téton est déjà érigé.
Elle interrompt son baiser et en dépose un incroyablement doux dans mon cou avant de me murmurer :
"Nous allons passer une bonne soirée, j'en suis certaine". Elle sourit et me regarde pour voir ma réaction.
Je lui réponds : "C'est donc un sentiment réciproque."
Elle surenchérit : "Et encore, tu ne sais pas tout, nous t'avons préparé petite surprise."
Je marque un arrêt d'étonnement et je brûle d'envie de lui demander des détails mais je me retient et salive d'avance.


Jean est revenu et nous commençons à discuter en prenant l'apéritif.
Ils me disent qu'ils viennent souvent en Grèce et me demande si j'y suis déjà venu, puis si j'ai apprécié cet après-midi coquin. J'acquiesce dans les deux cas mais je dis que je n'avais jamais fait pareille rencontre et qu'elle restera longtemps gravé dans les moindre détail dans ma mémoire.
Stéphanie me propose de ma resservir mais à ce moment là, la sonnette retentit. "Ha, voici ta surprise" dit-elle en se levant. Elle s'absente donc et revient quelques instant accompagnée par... un jolie femme brune.
Nous nous dévisageons de la tête au pied tandis que Stéphanie fait les présentations et alors que je dis bonjour à Helena et lui dit que je suis ravi de faire sa connaissance, j'entends un fort accent grec mais elle parles apparemment assez bien le français. Stéphanie me dit qu'elle est grecque et que c'est grâce à elle qu'ils ont pu louer la villa.
A contrario de Stéphanie, elle porte un pantalon blanc en toile légère et un soutien gorge par dessous une chemise non boutonnée. Elle est brune, pulpeuse et bronzée et le contraste avec Stéphanie, blonde, longiligne et beaucoup plus pâle est saisissant.
Je me demande même si elles n'ont pas fait exprès de s'habiller de manière opposée pour faire ressortir ce contraste. Je regarde Helena fixement dans les yeux qui me paraissent aussi gourmands que ceux de Stéphanie. Ils sont marrons, presque noir, mais respirent la vie et le sud.

Nous nous installons et Jean sert un verre à Helena qui s'installe sur une chaise à coté de moi, orienté vers l'horizon.
La chaleur commence à devenir supportable mais le vent souffle toujours aussi fort. Heureusement d'ailleurs.
Je surprends Stéphanie regarder Helena et l'interroger du regard. Helena lui sourit en passant sa langue sur le bord de ses lèvres, un geste qui me semble être une approbation.
J'en ai la confirmation quand Stéphanie m'explique qu'ils ont raconté notre rencontre à Helena et lui ont convié de se joindre à nous ce soir.
Helena me fixe dans les yeux et recommence à passer sensuellement sa langue sur ses lèvres. Ses lèvres sont pulpeuses et mise en valeur par un rouge à lèvre écarlate. Son geste explicite fait apparaître en moi une excitation soudaine que j'essaye vainement de juguler. Je m'imagine la suite de notre soirée.

Stéphanie me précise que ce soir je suis leur hôte et qu'elles seront à ma disposition pour me satisfaire. Je souris, un peu gêné. Elle se lève, s'approche de moi et dépose un baiser délicat sur mes lèvres avant de me proposer de venir m'installer sur la chaise longue qui trône au milieu de la terrasse. Je suis encore embarrassé mais je n'ose refuser et je viens m'installer, face au soleil, en posant mon verre sur la table basse à coté la chaise longue.
A peine suis-je installé que Stéphanie vient se positionner derrière la chaise longue et du bout des doigts déboutonne les deux premiers boutons de la chemise pour pouvoir me caresser le torse. Ses gestes sont délicats et je me laisse faire en fermant les yeux, appréciant ces caresses sur torse, le soleil caressant lui aussi mon corps.


Elle passe les mains sur mon torse et laisse trainer la pulpe de ses doigts sur mes tétons. J'aime ça et je lui demande de continuer. Elle s'applique à me caresser juste le téton avec la pulpe du bout de son majeur. Elle rapproche l'autre main et commence à me titiller l'autre sein. Elle me caresse le bout de mes deux téton en même temps en faisant des mouvements symétriques avec les deux mains. Elle fait aussi le tour de mes tétons en passant juste sur mes aréoles. J'aime ça et mes seins se sont raidis et mes tétons pointent vers le ciel.
Je me cambre un peu et pousse un gémissement.
Stéphanie passe sur le coté, se penche vers moi et m'embrasse sur le bouche. Elle défait, un à un, les boutons de ma chemise et me l'enlève. Je ne résiste et ma laisse faire, les yeux fermés, chacun de ses gestes étant d'une délicatesse parfaitement sensuelle.
Elle se penche alors un peu plus vers moi et, avec se lèvres, entoure mon téton. Gardant ses lèvres sur mon sein, elle passe sa langue sur mon téton, doucement juste sur le bout avant de le laper plusieurs fois mais toujours délicatement.
J'apprécie et je passe un main dans son cou pour pouvoir la caresser mais aussi pour l'inciter à continuer.
Cette sensation humide sur mon téton érigé est exquise d'autant que le soleil réchauffe le reste de ma poitrine et de mon buste.
Ma main glisse dans le dos nu de Stéphanie et je lui caresse la colonne vertébrale du bout des doigts.
Sans lâcher mon téton de sa bouche, elle pose un main sur mon ventre et le caresse délicatement en glissant sa main sous mon pantalon et en immisçant ensuite de début ses doigts sous l'élastique de mon boxer mais ne va pas plus loin.
Ma main, par mimétisme probablement, descend jusqu'à la base de l'échancrure de la robe de Stéphanie, et je passe moi aussi le doigt sous le tissu jusqu'à atteindre la dentelle du string.

A ce moment là, une sensation humide sur mon sein gauche me fait ouvrir les yeux. Je vois que Helena c'est approchée en silence et commence, elle aussi, à me lécher le sein gauche. C'est tout simplement divin, ces deux femmes en train de me lécher les seins, sur la terrasse d'une villa de Grèce avec vu sur l'horizon et le soleil qui descend doucement dans la mer méditerranée. Jean, comme a son habitude nous regarde en restant discret pour le moment.
Sa bouche est plus humide que celle de Stéphanie et se lèvres exercent un pression plus importante sur mon torse. Elle pose toute sa langue sur mon sein et le lèche à l'aide de la chair de sa langue. Elle effectue cela plusieurs fois.
Je passe Ma main dans son cou et caresse aussi son dos. Nos yeux se croisent et je comprends dans son regard interrogateur mais gourmand qu'elle veut s'assurer que cela ma plait. De mes deux mains j'exerce une pression un peu plus importante pour que Stéphanie et Helena comprennent que cela me plait et que je souhaite qu'elles continuent.
Au lieu de cela, elles se redressent et rapprochent leur tête pour s'embrasser, juste sous mes yeux. Instinctivement mes mains ont accompagné leur mouvement et se retrouvent sur leurs fesses que je caresse symétriquement.


Elles prennent visiblement du plaisir à s'embrasser devant moi comme cela, et je me demande si c'est la première fois tellement cela semble naturel et tellement elle semble se connaître. Mais je n'ose leur poser la question.
Stéphanie saisi le cou d'Helena dans sa main et leur jeu de langue devient plus rythmé. La main d'Helena vient alors se poser délicatement sur le sein de Stéphanie qui se laisse faire. J'ai même l'impression qu'elle attire Helena un peu plus vers elle pour l'inciter à continuer.
Mes mains remonte progressivement le dos de chacune de mes partenaire et arrivé au niveau de leurs cou, je défais la robe de Stéphanie qui était nouée au niveau de ces cervicales ainsi que le maillot d'Helena.
Mon regard s'égare alors sur la poitrine d'Helena qui est en fait beaucoup plus opulente que ce que j'avais jusqu'alors remarqué. Ses tétons sont énormes et son aréole aussi. Ils ne sont d'ailleurs pas rose mais quasiment marron tellement ils sont foncés.
Stéphanie pose elle aussi sa main sur la poitrine de sa partenaire qu'elle soupèse avant de la malaxer avec ses doigts.
Helena se redresse et vient placer sa poitrine à hauteur de mon visage. Je saisi un sein dan ma bouche et Stéphanie porte le deuxième à hauteur de la sienne en soulevant le sein avec sa main.
Visiblement Helena aime ça et se rapproche encore de nous pour que nous continuions.
Ma langue claque dans ma bouche à chaque fois que le lape à pleine bouche et avec ma langue le téton d'Helena. Au contraire, Stéphanie elle le lèche avec beaucoup de précaution comme s'il allait se casser.
J'ai l'impression d'être dans un rêve et je me demande si je vais bientôt me réveiller.

Helena se recule un peu de sorte à interrompre notre succion. Elle se penche alors vers moi et m'embrasse fougueusement enfournant sa langue dans ma bouche avec persuasion. Je reconnais immédiatement la similitude entre le baiser Stéphanie avec sa manière de me lécher le téton et celui d'Helena. Helena est beaucoup plus directe et humide mais cela n'en est pas moins sensuel.
Pendant ce temps Stéphanie est venu se positionner au niveau de mon bassin et défait les boutons de mon pantalon avant de le retirer avec mon boxer. Ma main remonte sur la poitrine d'Helena que je caresse à l'extérieur en remontant jusqu'à ses omoplates. Elle m'embrasse toujours aussi profondément et je sens alors la bouche de Stéphanie venir se poser délicatement sur mon sexe tendu.
Je ne peux m'empêcher d'imaginer une nouvelle fois la différence buccale entre ces deux femmes et en particulier j'essaye de visualiser l'effet de la bouche d'Helena sur mon sexe tendu, alors que Stéphanie a saisi mon gland dans sa bouche et enfonce doucement mon sexe dans sa gorge.


Helena vient coller ses seins contre mon visage pour que je recommence à la lécher. Je m'exécute et saisi aussi ses fesses dans mes mains. Elles sont larges, souples et bombées et je les caresse à pleine main tandis que ma langue s'égare au c'ur de sa poitrine plantureuse.
Je navigue d'un sein à l'autre en léchant avec toute la surface possible de ma langue la peau douce entre ses deux seins.
Stéphanie, elle continue à me pomper délicatement, enfonçant sa bouche le long de mon sexe et jouant avec sa langue. Ma queue est réchauffée par le soleil qui est maintenant quasiment sur l'horizon et la sensation humide de la langue de Stéphanie est tout simplement exquise. Elle la lèche doucement de la base jusqu'au gland, sur lequel elle prend un malin plaisir à s'attarder. Helena se redresse puis se relève et regarde Stéphanie qui tient encore mon sexe avec sa bouche. Elles échangent un sourire complice et Stéphanie se relève elle aussi. Dans un même mouvement elles se retournent vers moi, chacune d'un coté de la chaise longue, pour m'assurer que je les regarde et, ensemble, elles ondulent le bassin, posent les mains sur leurs hanches avant de recommencer ce mouvement ondulatoire. Leur mains glissent le long de leur corps et remontent jusqu'à leur seins qu'elles saisissent à pleine main. Toujours synchronisées, elles se penchent en avant en compressant leur main sur leurs poitrines pour le bomber.
La luminosité est maintenant plus rougeâtre mais ce n'est pas encore le coucher de soleil, et cela donne une teinte halée à leurs peaux.
Je m'aperçois que Jean n'est plus là et je me dit qu'il a tort de rater un tel spectacle.
Dans un mouvement toujours aussi synchrone, Helena et Stéphanie reposent alors leurs mains sur leurs hanches et ondulent délicatement leurs bassin pour faire glisser leur tuniques vers le sol. Stéphanie, comme je l'avais deviné à un magnifique string en dentelle rouge. Celui d'Helena est un slip brésilien blanc qui lui va à merveille.
Elles se regardent et je lit dans leur regard pétillant une complicité gourmande. Sans un mot, Elles s'accroupissent en même temps, à hauteur de mon bassin et Stéphanie saisie ma bite dans sa main. Je pense qu'elle va la porter un nouvelle fois à sa bouche, mais en fait elle la dirige vers le coté opposé pour l'offrir à Stéphanie donc les lèvres viennent immédiatement engloutir mon membre gorgé.
Elle l'enfonce presque immédiatement et presque intégralement au fond de sa gorge et je sens sa salive m'entourer le sexe et glisser le long de ma verge tendue. Je reconnais, à sa façon de saisir mon sexe avec sa bouche, ses baisers humides et vigoureux.
Elle effectue quelques aller-retours énergiques en pressant fortement ses lèvres contre mon sexe. C'est divin et mon érection est maintenant totale. Je ne peux retenir un gémissement à chaque fois qu'elle descend ses lèvres le long de ma hampe.
Jean est revenu avec ma bouteille de champagne et 4 coupes. Je comprends alors la raison de son absence.
Stéphanie a posé un main sur ma cuisse qu'elle caresse sur toute sa longueur.
Sa caresse dévie doucement vers l'intérieur de ma jambe, et, au détour d'une caresse, elle passe ses doigts sur mes testicules. La bouche gourmande d'Helena allié à la caresse délicieusement subtile de Stéphanie m'excite encore plus.


La fellation d'Helena est toute méditerranéenne. Savoureuse, goulue et généreuse à la fois.
Ses lèvres glissent le long de ma hampe, déposant une couche de salive qu'elles étalent ensuite.
Stéphanie fais un signe à Helena pour lui faire comprendre de partager ce membre tendu. Elle lui sourit, le ressort de sa bouche, avec main signe à Stéphanie qu'elle peut venir gober mon gland. Stéphanie approche sa bouche et ses lèvres viennent entourer mon gland tandis qu'Helena passe sa langue à la base de ma queue.
C'est encore meilleur lorsque Stéphanie pose délicatement sa langue sur mon gland lèche le bout avec des petits mouvements rotatifs. La langue d'Helena remonte le long de mon sexe plusieurs fois et elle finit par toucher les lèvres de Stéphanie qui entourent toujours mon gland. Helena passe sa langue le long des lèvres de Stéphanie, à moitié sur mon sexe, à moitié sur ses lèvres. Puis Stéphanie penche la tête et fais glisser ses lèvres le long mon sexe tendu vers le ciel. Helena l'imite et un ballet de bouches synchronisées effectue maintenant des mouvements de haut en bas sur ma verge. Je ferme les yeux, mais ce n'est pas à cause du soleil qui commence à rougeoyer à l'horizon.
Je ferme les yeux pour savourer encore plus.
J'aime cette sensation, les lèvres douces de Stéphanie et celles humide d'Helena qui s'active en même temps. Les sensations se mélangent, et je ne sais plus sur laquelle me concentrer.

C'est ce moment que Jean choisit pour déboucher la bouteille, me servir un verre et il s'approche alors des deux femmes la bouteille dans sa main.
Il la penche juste au dessus de mon sexe et laisse couler un mince filet de champagne du goulot. Il doit avoir l'habitude, le champagne frais tombe exactement sur mon gland. Stéphanie et Helena sortent alors leurs langues les font tourner tout autour de mon sexe, lapant ce liquide en essayant de ne pas en perdre une goutte. Pour moi, c'est une sensation unique, le champagne frais, les bulles sur mon gland sensible et ces deux langues qui vont et viennent jusqu'à s'entremêler pour savourer ce nectar.
Je gémis et me cambre en arrière.
Mais cela a pour unique effet de sentir à nouveau du champagne couler le long de mon sexe et les langues s'activer de plus belle.

Helena se relève, retire son string d'un geste décidé et me dit avec son accent caractéristique : "A moi, s'il vous plaît". Sans que j'ai eu le temps de réagir, elle enjambe la chaise longue au niveau de mon torse, se penche pour attraper ma coupe de champagne. Je vois furtivement le soleil exactement au niveau de son entre-jambe mais je n'ai pas le temps de profiter de cette vison "herotico-heliossienne" car elle se rapproche de mon visage et fait couler dans ma bouche une gorgée de champagne avant de venir coller son minou sur mon visage.


Je saisis, entre mes lèvres, le sommet de sa fente, en prenant bien soin d'être sur de happer son clitoris avec ma bouche. j'ai la tête penchée en arrière afin de ne pas en perdre de champagne. Son bouton est assez gros et se détache significativement, ce qui me permet de le gober dans son intégralité. Je passe ma langue dessus avec du champagne. j'ai le nez en plein sur sa toison garnie. Une odeur de musc avec une pointe d'épice s'en dégage. Elle est intense, presque âcre mais ce n'est pas désagréable.
j'aspire son bouton pour essayer de le faire tremper dans le champagne qui reste au fond de ma gorge avant de passer ma langue du haut de sa fente jusque sur le sommet de sa petite boule que je sens durcir et gonfler.
Je le mordille ensuite et Helena prononce quelques mots en Grec mais je devine que c'est pour que je continue. Par mimétisme probablement avec sa manière de m'embrasser, ma langue vient s'écraser sur toue sa largeur sur son clitoris que j'aplatis avant de faire des mouvements de droite et de gauche.

Je n'ai plus de champagne et Helena se recule pour m'en resservir un peu. Je m'aperçois alors que Stéphanie continue sa fellation ce que j'avais quasiment oublié. Elle c'est mise à genoux et continue à passer sa langue sur mon membre gonflé. Elle le fait avec délicatesse et je gémis avant qu'Helena ne me resserve un peu de champagne et vienne à nouveau positionner sa chatte devant mon nez.
Je recommence donc à jouer avec son sexe en essayant de ne pas avaler le champagne. Ma langue glisse le long de sa fente, juste sur l'extrémité de son ouverture. Le goût acidulé et pétillant du champagne fusionne avec le goût musqué de ses sécrétions.
Mais cette fois je n'ai pas oublié Stéphanie et je m'aperçois lorsqu'elle interrompt sa fellation. Jean c'est déshabillé est venu se placer du coté opposé de la chaise longue et Stéphanie a saisi son sexe ramolli dans sa bouche et commence à le faire durcir.
Elle tient le mien dans sa main et me branle doucement au rythme de la fellation qu'elle donne à Jean.
Ma langue vient alors s'enfoncer doucement à l'intérieur du sexe d'Helena, le goût raffiné du champagne s'estompe alors au profit de celui plus marqué d'Helena. j'écarte ses lèvres avec ma langue et le la durcit pour pouvoir l'enfoncer à l'intérieur de son vagin. Je sens ses parois humides s'écarter doucement pour accueillir ma langue. Puis, dans un gloussement elle contracte le vagin et expulse ma langue à l'extérieur. Je recommence alors à lui lécher la fente, juste au bord puis un peu plus profondément avant de recommencer doucement à enfoncer mon organe charnu à l'intérieur de son intimité.

Helena, à ma grande surprise, se recule alors sans prévenir, se penche vers moi, m'embrasse goulument avant de se retourner. Elle se penche en avant et englouti mon sexe d'un seule trait, obligeant Jean et Stéphanie à se s'écarter un peu pour continuer. Ils vont se positionner sur le muret mais je ne peux en voir plus.
Elle me pompe énergiquement. Son minou est à hauteur de mon visage ainsi que son orifice anal et je m'avance un peu en cambrant mes abdominaux pour passer ma langue et écarter ses lèvres. j'enfonce ensuite ma langue une nouvelle fois à l'intérieur de son vagin avant de venir faire rouler son clitoris pendant sur ma langue. Visiblement elle aime ça car elle met encore plus d'énergie à me sucer. Je viens poser mes mains sur ses fesses et les écarte légèrement pour ouvrir sa chatte un peu plus.


Helena ondule le bassin de haut en bas à mesure que j'enfonce ma langue. Je comprends alors qu'elle souhaite en fait que je lèche son anus. Mes mains écartent un peu plus ses fesses et elle se cambre un peu plus en arrière pour m'offrir son cul. Ma langue remonte doucement de son sexe avant de franchir le cap, une péninsule presque vers l'entrée de sa grotte. Doucement, je contourne l'entrée, léchant le pourtour de cet orifice. Je glisse sur les plis de son anus avant de raidir ma langue pour tenter d'y pénétrer.
Helena englouti toujours ma queue de manière frénétique et effectue des mouvements de tête énergique.
j'humidifie autant que possible son anus en léchant son orifice resserré avec ma langue aplatie. Ses lèvres se resserrent un peu plus encore sur ma verge tendue.

j'humidifie mon index avec ma bouche. Ecartant toujours ses fesses de mon autre main, mon doigt vient alors se poser sur la bordure de son anus, et décrivant des cercles concentriques sur les plis de son orifice, je dilate progressivement son entrée. Elle se cambre encore plus pour m'accueillir et enfonce ma bite un peu plus dans sa bouche.
La pression de mon doigt s'accentue à l'entrée de son anus. Mon autre main écarte son postérieur et je crache sur son trou anal pour le lubrifier au maximum avant de faire glisser mon doigt vers l'intérieur.
A peine ai-je dépassé l'entrée que je sens l'intérieur plus glissant aspirer mon doigt. Je l'enfonce doucement et Helena se recule et se contracte pour marquer un temps d'hésitation. Sa bouche aussi c'est arrêtée. Je lui demande si elle souhaite que je continue. Elle me répond que son anus est très sensible mais qu'une fois dilaté elle aime ça. Je vais encore plus doucement vers les profondeurs de ses entrailles.
Mon doigt effectue des petits ronds dans son intimité avant de s'enfoncer un peu plus. Je le ressort presque intégralement pour le lubrifier à nouveau de ma salive avant de recommencer à la pénétrer progressivement avec mon doigt. Elle se détend, c'est visible et commence à aimer ça et gémis une ou deux fois mais pas seulement de douleur. Elle recommence à avaler mon chibre en le serrant fort de sa main, chaque fois que je m'aventure un peu trop loin.

Elle commence à être parfaitement détendue et je commence quelques allers-retours avec mon doigt.
Je retourne alors ma main de sorte à avoir le pouce vers le haut et j'immisce mon majeur sur sa vulve, écartant doucement ses lèvres tandis que je lui pénètre à nouveau le rectum avec mon index.
Elle aime ça et se penche un peu plus en avant pour que mon majeur la pénètre aussi.
Dans un râlement elle me demande de continuer et j'accélère alors mon mouvement.
Elle serre mon sexe de plus en plus fort et gémis dans des halètements répétés.
j'accélère encore. Sa chatte est complètement trempée. Même son cul est maintenant humide, et je ne sais si c'est de la transpiration.
Son souffle est court et elle se tortille frénétiquement.
Puis elle pousse un cri et me demande de m'arrêter car elle ne veut pas jouir maintenant.
Presque un peu déçu qu'elle n'est pas voulu jouir, de ressort mes doigts.
Elle est essoufflée et reste comme ça sans bouger.

Puis lentement, comme si ses gestes étaient précieux, elle vient s'asseoir sur mon ventre à hauteur de mon nombril. Elle appelle Jean et Stéphanie et leur demande de venir la voir.


Stéphanie s'installe entre mes jambes, la tête au niveau de mon sexe tendu. Jean se positionne sur le coté et Helena saisi d'un geste sa queue avant de gober littéralement le chibre tendu debout devant elle.
Stéphanie, elle, sort sa langue et remonte en partant de mes testicules.
Elle pose sa langue à plat sur mon sexe, et le remonte sur toute sa longueur, lentement très lentement. Arrivé au niveau de mon gland, elle garde sa langue bien à plat, s'y arrête et l'humidifie en faisant quelques mouvements de droite et de gauche avec sa langue. Je pensais qu'elle allait l'engloutir entre ses lèvres, mais saute vers le minou d'Helena.
Le dessous de son menton effleure brièvement mon gland. Elle remonte apparemment le long de la fente humide d'Helena pour atteindre le clitoris. Je sais qu'elle vient de l'atteindre au gloussement d'Helena.
Le soleil est maintenant bas sur l'horizon est commence à s'enfoncer lentement dans la mer. La couleur de nos peaux reflète le coucher de soleil et elle devient quasiment rouge. Le coucher de soleil est magnifique mais nous n'en profitons guère...
Il est rouge écarlate et diffuse un long et épais filet rouge s'étalant sur toute la mer offrant un dégradé de rouges, oranges puis tirant sur le jaune et enfin le bleu pâle.
Je sens la langue humide de Stéphanie se poser à nouveau sur mes testicules et recommencer son manège entre moi et Helena.
Elle recommence plusieurs fois, les mouvements de sa langue se faisant à chaque fois un peu plus rapides et insistants sur chacune des parties de nos sexes respectifs.
Helena, elle, continue de pomper énergiquement Jean qui a placé ses mains dans sa chevelure brune. Il apprécie apparemment la bouche goulue d'Helena et ses fesses se contractent quasiment à chaque fois qu'elle atteint la base de sa verge.
Il penche la tête en arrière et commence aussi a effectuer avec son bassin des mouvements d'avant en arrière fixant la tête d'Helena.
Il a commencé doucement, prenant soin de rentrer et sortir sa queue presque intégralement de la bouche d'Helena. Il accélère les mouvements et ne s'enfonce plus aussi profond dans sa bouche.
Je les regarde. Le coucher de soleil (qui a quasiment disparu maintenant) et la luminosité rend ce spectacle magnifique. Et pour ne rien gâcher, il est évident qu'ils y prennent du plaisir. Je me laisse aller à les contempler, voire même, peut-être à les envier.
La langue de Stéphanie vient me rappeler à l'ordre, je ne suis pas en reste moi non plus.
Ses lèvres viennent entourer mon sexe et glissent progressivement sur mon gland puis le long de mon sexe, me décalottant le prépuce avec un filet de bave humide.
Mon excitation était moindre à cause de ma rêverie, mais pas mon érection et ce délicieux retour à la réalité réanime mon appétit.
J'ai chaud malgré le soleil dont l'intensité faiblit à vue d'oeil. Je reprend un peu de champagne, en fait couler un peu sur les seins d'Helena et, après reposé la coupe, lui saisi vertement la poitrine de mes deux mains.


Je caresse sa poitrine qui ne tient pas mes mains. Je passe mes mains en dessous, la soupèse légèrement avant de remonter vers les tétons. La paume de mes mains frôlant ses tétons érigés, je fais des petits cercles concentriques. Le champagne sur sa poitrine permet de faciliter mes caresses, mes mains et mes doigts glissant facilement tout autour de sa poitrine.
J'en rajoute un peu, suffisamment pour que le champagne puisse couler entre ses deux seins, le long de son ventre, sur son nombril et atteindre sa chatte. Stéphanie s'active alors un peu plus sur son clito pour profiter de ce nectar mêlant mouille et champagne.
Helena glousse de plaisir.
Elle a délaissé Jean, il est venu se positionner derrière Stéphanie. Il fait couler un peu de champagne sur le bas du dos de Stéphanie, s'assurant que le champagne passe le long de ses fesses avant de se répartir sur sa chatte. Il a posé sa queue sur ses fesses et grâce au champagne fait glisser son membre le long de la raie de Stéphanie.
Il ne la pénètre pas et place ses mains sur son postérieur dont il fait varier la pression pour se branler sur le cul de Stéphanie.
Stéphanie me demande de verser encore un peu de champagne sur Helena. Alors que je verse doucement le liquide pétillant qui coule entre ses seins, Stéphanie prend ma bite dans sa main et la positionne juste en dessous de le chatte d'Helena pour que le champagne coule le long de hampe tendue. Je sens le liquide sur le bout de mon gland puis couler le long de ma verge avant d'atteindre mes couilles.
Il est encore frais et cette sensation me donne la chair de poule. Stéphanie lèche à la fois le surplus de champagne, mon gland et la fente d'Helena. Mon sexe affleure celui d'Helena et je sens qu'elle est toute trempé mais pas seulement à cause du champagne.
Helena sent aussi que mon gland se situe à l'entrée de sa vulve et bouge légèrement le bassin pour confirmer cette sensation et positionner mon sexe à l'exacte entrée de son intimité.
D'un léger mouvement du bassin vers l'avant, elle entrouvre ses lèvres avec mon gland et l'enfonce très légèrement. Stéphanie lèche maintenant mon gland et le haut des lèvres d'Helena atteignant régulièrement son clitoris.
Helena, d'un nouveau mouvement de bassin, enfonce doucement mon pénis dans son vagin. Stéphanie a posé sa langue à moitié sur mon sexe et à moitié sur le clito d'Helena et nous laisse faire tandis que sens ma bite progressivement engloutie à l'intérieur d'Helena.
La chatte d'Helena ayant complètement avalée mon chibre, elle ressort quasiment d'un coup et Stéphanie attrape ma bite pour se délecter de la mouille d'Helena qui luit sur mon sexe.
Helena descend à nouveau sur ma bite, qui glisse facilement. C'est le moment que Jean a choisi pour s'enfoncer dans la chatte de Stéphanie qui prend le bord de la chaise longue dans chaque main et se cambre un peu plus en arrière pour bien sentir le sexe de son homme s'enfoncer en elle.
On pousse un gémissement tous les quatre ensemble.


Helena est complètement trempée. Sa mouille glisse le long de ma queue. J'aime cette sensation. Je me redresse un peu sur la chaise longue pour pouvoir m'enfoncer un peu plus en elle et accompagner ses entrées-sorties.
Helena accélère de plus en plus le rythme et ma bite entre et sort en elle vraiment facilement tellement elle est humide.
Je malaxe encore ses sains, mais maintenant avec plus de fermeté. Ils sont imposants et j'ai même l'impression qu'ils débordent de mes doigts quand je les presse. Mes coups de reins se font plus intense et le vagin d'Helena dégouline complètement.
Elle couine régulièrement, sa respiration se fait haletante et elle avale tant bien que mal de petits cris.
Jean prend toujours Stéphanie en levrette, la tient par les hanches, et s'enfonce férocement en elle. Il ressort doucement et presque entièrement son sexe de la chatte de Stéphanie avant de s'enfoncer à nouveau d'un coup sec. Il ressort à chaque fois un peu plus vite puis s'enfonce brutalement. Le gémissement de Stéphanie accompagne la pénétration de Jean. Elle a les yeux fermés et elle serre les dents et plisse les yeux à chaque coup de queue.
Elle se cambre encore plus et se crispe à chaque fois qu'elle sent que cette queue va la pénétrer férocement. Pourtant elle aime ça et en demande encore.
Elle penche la tête en arrière. Jean la baise violemment maintenant mais elle l'arrête :
"Attend, j'ai envie de profiter de note invité et du coucher de soleil."
Je sens bien que Jean est frustré lorsqu'il se retire mais il n'a pas vraiment eu le choix.
Elle se relève alors, contourne le chaise longue, et vient déposer un baiser langoureux sur ma bouche puis me dit "Viens". Helena arrête alors elle aussi ses aller venues sur ma bite et roule sur le coté pour s'extirper hors de la chaise longue.
Stéphanie attrape ma main, m'aide à me lever de la chaise longue et me guide jusqu'au bord de la terrasse. Elle pose ses mains dessus, face à la mer, se penche en avant, écarte un peu les jambes et me demande de la prendre. Je pose mes mains sur ses fesses que je caresse un peu avant d'aventurer mes doigts vers sa fente pour m'assurer qu'elle suffisamment humide. Cela ne fait aucun doute et mon doigt s'enfonce elle extrêmement facilement. Je le ressort et le tend vers son visage pour qu'elle puisse s'en délecter. Je me suis rapproché d'elle et ma queue est posée contre son cul. Elle avale goulument mon doigt. Je repose ma main sur ses fesses et les écarte pour observer sa chatte. Je positionne ma queue à l'entrée de son minou et je pousse légèrement pour en écarter l'entrée. Sa chatte n'offre aucune résistance à ma pénétration, mais elle est plus serrée qu'Helena. Je regarde ma queue que j'enfonce petit à petit dans sa chatte en écartant au maximum ses fesses. Je la pénètre ainsi sur toute la longueur de mon sexe et arrivé au bout commence des va et vient.
La vue sur la mer est splendide et nous pouvons profiter du spectacle.
Pendant se temps, Helena et Jean se sont aussi approché du bord de la terrasse. Helena a sucé goulument Jean, à la fois pour profiter du goût du sexe de Jean aux effluves de Stéphanie mais aussi pour le lubrifier de salive.
Elle c'est maintenant positionnée dans le même posture de Stéphanie. Jean la pénètre à son tour et elle se cambre pour résister à la violence de sa queue qui entre en elle sans ménagement.
Je regarde Jean qui est à coté de moi. Il me regarde à son tour et on échange un clin d'oeil.


Jean me fait un sourire complice et ma demande si j'aime cette soirée. Je lui réponds que je ne m'attendais pas à ça et que je ne suis pas près de l'oublier. Il descend le regard et observe sa femme se faire prendre. Visiblement il aime ça. Stéphanie s'arque boute. Elle aime sentir ma queue s'immiscer en elle. Je repositionne mes mains un peu plus bas sur ses fesses (quasiment en haut des cuisses) et je les tire vers l'extérieur pour bien voir mon sexe s'enfoncer en elle. Je ralenti le rythme, m'assure que Jean peut bien voir lui aussi. Je me retire doucement jusqu'à ce que juste mon gland reste à l'intérieur de Stéphanie. Ma queue reluit sur toute sa longueur des secrétions de Stéphanie. Je m'enfonce alors lentement, très lentement regardant mon sexe disparaître en elle. Je lui écarte encore plus les fesses et recommence.
Jean est comme hypnotisé. Il enfile machinalement Helena mais sa concentration est désormais entièrement figée sur l'arrière train de Stéphanie. Il fixe résolument ma queue qui entre et sort de sa copine régulièrement mais sans frénésie. J'augmente un peu la cadence. Toujours aussi machinalement et sans s'en rendre compte, Jean fais de même. Les seins d'Helena se balancent avec régularité. Sentant le rythme d'accélérer, elle bouge un peu le bassin pour lui signifier son envie grandissante. Elle gémit. Ce petit cri a visiblement interloqué Stéphanie qui, à son tour émet un son indistinct mais pourtant parfaitement caractéristique du plaisir qu'elle prend.
Elles se regardent, leurs yeux pétillent et je devine la complicité, la joie et le plaisir dans leurs regards. Je pense même qu'il y'a de l'envie et de la gourmandise.
Jean les observe aussi, devine leurs pensées et me propose d'échanger nos partenaires. Nous nous croisons donc et intervertissons nos positions.
Stéphanie et Helena en ont profité pour se rapprocher l'une de l'autre et tandis que nous les pénétrons, elles s'embrassent avec fougue et tendresse. Leurs langues s'entrecroisent. elles se choquent parfois aussi au gré des à-coups respectifs de Jean et moi.
La chatte d'Helena est moins serrée que celle de Stéphanie. Plus humide aussi. Mon sexe glisse à l'intérieur sans aucune résistance. Je sens juste Helena contracter son vagin sur ma queue de temps en temps pour augmenter son plaisir. Quelle douce sensation.
Cette sensation m'excite encore plus et je la pénètre de plus en plus rapidement et avec frénésie. Plus j'accélère et plus elle gémit. Plus j'accélère et plus son vagin se contracte sur ma queue de manière apparemment incontrôlée. Son accent, que je distingue même dans ses râlement m'excite toujours plus et m'incite à continuer, toujours plus vite, toujours plus fort.
Je sens qu'elle se contrôle de moins en moins et ses cris se font plus brefs, plus stridents et plus forts. Elle me demande de continuer dans un râle saccadé. Je la baise maintenant frénétiquement.
Je suis au bord de l'explosion et Helena aussi. J'essaye de me retenir et j'alterne les va et vient rapides avec ceux plus lent qui permette à ma jouissance de retomber un peu.
Helena semble apprécier ces variations qui font monter son plaisir, puis redescendre un peu avant de remonter de plus belle.
Je m'aperçois alors que Jean et Stéphanie ne sont plus là.


Cela m'intrigue un peu, mais je n'y prête guère attention.
J'attrape la jambe d'Helena et vient la poser sur le muret. Elle se redresse et je viens poser ma main sur sa poitrine. Mon autre main tient toujours sa hanche. La chatte d'Helena est maintenant un peu plus ouverte et mon sexe pointé vers le haut n'a aucun mal à s'y engouffrer. Au contraire même, j'ai l'impression qu'Helena aspire ma verge avec sa chatte. Mon index et mon pouce viennent saisir son téton que je maintien fixe pendant que sa poitrine se balance au rythme où m'enfonce en elle.
Elle aime ça et sens ma bite dure et tendue lui ouvrir la chatte. Elle gémit. Elle me sent bien profond et je m'enfonce en elle sur toute ma longueur. Je sens mon gland humidifié glisser le long des parois de son vagin. Elle aussi et elle gémit. Je devrais dire elle crie. Car ses sortent de sa bouche mais viennent du plus profond d'elle-même. De ses trippes ou probablement même encore plus bas.
Je malaxe sa poitrine, encore, à pleine main. Elle se relève un peu plus, vient passer un bras autour de mon cou et m'embrasse immédiatement. Sa langue cherche la mienne, la trouve. J'ai l'impression qu'elle veut littéralement avaler ma bouche. Ma queue elle continue à s'enfoncer régulièrement mais je cogne maintenant la paroi de son ventre à chaque fois que j'arrive au maximum de ma pénétration.
Elle gémit encore pendant que nous nous embrassons. Ses doigts, ses ongles même s'enfoncent dans mon cou.
Ses mouvements sont une succession de réflexes incontrôlés.
Je sens alors des mains venir de derrière moi et ma caresser le torse. C'est Stéphanie qui est revenue, elle colle sa poitrine contre mon dos et vient m'embrasser dans le cou alors que je suis encore en train d'embrasser Helena.
Elle est étonnamment fraiche et ses mains douces me donnent des frissons qui m'excite encore plus. Je comprends qu'elle vient de prendre un douche.
Je peux voir si Jean est là.
Cette sensation est sublime. Une sensation de fraicheur mêlée à la douceur de la nuit qui tombe sur Mykonos. On dit que ce moment là le jour est entre chien et loup. J'ai surtout l'impression d'être entre chienne et louve.
Dans un miaulement, je demande à Stéphanie de continuer ses caresses. C'est doux et bon. C'est frais et délicat. C'est suggéré et explicite. Elle pose une main sur mes fesses, elle la caresse plusieurs fois en accompagnant mon mouvement de hanches qui donne toujours autant de plaisir à Helena. Stéphanie presse maintenant ma fesse dans sa main et me donne quasiment le rythme, m'incitant à pénétrer Helena de plus en plus vite qui s'abandonne totalement. Elle se laisse faire et semble complètement partie.
Stéphanie passe sa main entre mes jambes et du bout des doigts effleurent mes testicules à chaque fois que je me retire d'Helena. Elle prends mes burnes dans sa main et les faits rouler dans ses doigts.
Cela parachève mon excitation mais heureusement elle n'insiste pas trop. Elle vient se placer devant nous et embrasse immédiatement Helena.
J'aperçois enfin Jean sur mon coté droit. Il tient une caméra dans sa main et nous filme malgré l'obscurité. Je réalise alors qu'il a allumé la lumière de la terrasse. Je ne m'en étais pas aperçu.


Il se rapproche de moi et effectue un gros plan de ma queue qui pénètre régulièrement Helena. Il remonte ensuite le long du corps d'Helena, s'arrête sur sa poitrine que je tiens toujours dans ma main. Je l'oriente d'ailleurs vers lui pour être sur qu'elle soit bien dans le cadre.
Il termine ensuite sur Stéphanie qui embrasse encore Helena.
Stéphanie sort sa langue et la pose sur l'autre téton d'Helena en regardant Jean en coin.
Son regard est espiègle.
Elle lape avec insistance le sein d'Helena. Elle s'attarde plus particulièrement sur son téton, prenant soin de ne toucher que l'extrémité sensible.
Helena est passive mais gémis régulièrement. Elle semble avoir été transportée. Son corps réagit à toutes nos excitations. Il est extrêmement sensible. Elle savoure et laisse ses sensations la submerger.
Stéphanie change de sein, je pince le téton d'Helena pendant qu'elle pose sa langue à plat sur le bout du téton durcit avant de le laper à nouveau.
Je sens la main de Stéphanie qui est descendue le long du ventre d'Helena dans un caresse continue. Elle arrive au niveau de ses poils pubiens. Ses doigts peignent sa toison sombre avant de descendre un peu plus et toucher ma queue. Elle la caresse sur la longueur émergée, vient effleurer mes testicules avant de remonter trouver le clitoris d'Helena.
Elle le caresse d'un doigt, descend toucher mon sexe qui s'enfonce à nouveau. Elle humidifie son doigt au contact de l'entrée d'Helena, écartant délicatement ses lèvres et remonter trouver à nouveau son clitoris. Elle s'y attarde un peu plus, tapotant légèrement le renflement, juste là où c'est sensible. Elle pose son doigt dessus et accentue la pression sur son bouton avant d'effectuer quelques mouvements circulaires. Helena se cambre. Sa bouche vient se poser sur mon cou et elle retient un cri en me mordant quasiment.
Mes va et vient se font de plus en plus rapide. Stéphanie continue de manger le sein d'Helena et son doigt titille toujours son clitoris. Les gémissements d'Helena sont saccadés. Elle ondule le bassin, se cambre plusieurs fois, elle ondule aussi le torse et me mord le cou frénétiquement.
Son plaisir est en train d'envahir son corps. Elle le retient pour que l'explosion finale soit totale.
Je vais de plus en plus vite. Mes coups sont brefs mais rapprochés.
Stéphanie a maintenant positionné sa main en dessous de mes couilles et les caresses à chacun de mes allers-retours. Je sens le sperme monter à mesure que j'accélère.
Je me retiens aussi. Nous allons jouir ensemble.
Helena est essoufflée, sa respiration saccadée et elle étouffe ses cris dans mon cou.
La main de Stéphanie récolte les sécrétions abondantes d'Helena et j'en sens l'humidité sur mes couilles.


Le corps d'Helena se crispe de toutes parts. Son corps frétille. Son vagin se contracte et se détend de plus en plus vite. Elle Ondule de toute part et essaye de retenir en elle au maximum le plaisir.
Stéphanie c'est accroupie et sa tête est maintenant au niveau de nos bassins. Elle nous regarde en gros plan tandis que Jean se rapproche encore.
Je suis en sueur. Je pénètre maintenant Helena avec des coups secs et intenses, presque violents. Chacun de mes coups lui arrache un cri de plus en fort.
Je sens ma semence se rapprocher au bout de mon gland. Je me retiens encore. Helena se cripse totalement Et je sens son vagin tressaillir autour de mon sexe. S'en est trop. Je gicle en elle. Ma jouissance est d'autant plus saccadée que ses mains se sont maintenant agrippées à moi et elle me serre fortement en tremblant de frétillement. Son vagin se contracte un peu plus à chaque lampée que je libère en elle. Nos corps fusionnent et nous nous serrons de plus en plus fort pour contenir et faire perdurer ce plaisir. Je sens le vagin d'Helena qui commence à se détendre.
Stéphanie prend alors mon sexe dans sa main, en expulse le gland qui était encore à l'intérieur d'Helena et passe sa langue entre les lèvres d'Helena pour récolter ma semence qui coule du vagin. Elle ouvre la bouche et enlace ma verge encore dure de ses lèvres. Elle enfonce mon sexe dans sa bouche en augmentant la pression qu'elle exerce sur mon sexe avec ses lèvres.
Je regarde Jean pour être sur qu'il n'en a pas perdu une miette. Il est encore trop absorbé par sa prise de vue et ne me calcule pas.
Stéphanie retourne poser sa tête en dessous de la chatte d'Helena, sors la langue et récupère une goutte de mon sperme qui coulait le long de la vulve encore humide.
Elle reprend ensuite mon sexe, qui ramollit progressivement, dans sa bouche et l'aspire plusieurs fois avant de passer sa langue dessus pour se délecter.
Helena se redresse et se retourne. Elle est encore toute chose, et son corps est saccadé par quelques tressautements irréguliers. Elle s'agrippe à moi et vient m'enlacer les bras autour de mon cou. Je l'entoure aussi avec mes bras. Elle me serre fort pour me faire part de sa satisfaction. Elle plane encore et n'est pas complètement maître d'elle même.
Elle a du mal à tenir debout. Je la serre encore pour être sur de la maintenir.
Ma main descend le long de son dos et je viens caresser ses fesses.
Stéphanie s'est relevée. Elle est allé nous resservir un coupe de champagne. Elle rapporte quatres coupes pleines et en tend une à Jean qui a posé sa caméra.
Elle se retourne vers moi et me fais un sourire à la fois malin, satisfait et interrogateur.
Je desserre un peu Helena pour attraper la coupe de champagne qu'elle me tend et lui répond par un sourire remplit de béatitude qui en dit long sur mon bien être. Helena s'écarte un peu de moi, me regarde avidement avant de prendre elle aussi un coupe.
Le champagne n'est plus très frais mais il désaltère quand même.
Nous nous essayons autour de la table. Je regarde en l'air. La nuit est noire maintenant. J'observe les étoiles et je me demande quelle heure peut-il bien être.
Jean me demande mon email et me promet la petite vidéo. Pendant se temps là, Stéphanie est retournée dans la cuisine pour aller chercher quelques encas. Ca creuse les coquineries !
La soirée est détendue et joviale. Nous nous racontons nos histoires libertines respectives et nous promettons de nous revoir.