une affaire en or (III)

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Proposée le 18/12/2009 par anphets

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Carole n'était toujours pas revenue lorsque Marc et Pierre entendirent du bruit derrière la porte d'entrée. Stéphane entra dans la maison, l'air essoufflé et un peu las, mais ses yeux brillaient d'excitation. Il vit ses deux invités sagement attablés devant des coupes de champagne à moitié vide et leur dit :
- tout va bien ? Je n'ai pas été trop long ?
- Non, non, nous n'avons pas vu le temps passer. Votre femme est vraiment... (Pierre fit un effort surhumain pour ne pas regarder Marc) exquise.
- Ah ? Bon, bon, très bien... Vous êtes prêts, alors ? C'est bon, tout est en place, on peut faire votre démonstration !
- Très bien, allons-y.
- Passez dans le bureau, s'il vous plaît. Excusez-moi un instant... Carole ? CAROLE !

La voix de Carole parvint de l'étage :
- Oui, quoi ?
- Qu'est-ce-que tu fais, Carole, nos invités étaient tout seuls !

On entendit un grommellement puis un bruit de porte, et Carole descendit l'escalier.
- Je les ai laissés juste un petit moment, je ne crois pas qu'ils m'en veuillent (dans le dos de Stéphane, Pierre et Marc arboraient de larges sourires)... et puis, c'était pour la bonne cause, je suis allée récupérer les affaires de Marc dans le sèche-linge et les plier un peu pour qu'il puisse repartir avec tout à l'heure.
- Ah, bon, d'accord...

Stéphane avait déjà tourné les talons. Pierre et Marc, de leur côté, avaient largement détaillé la jeune femme qui, ils le savaient bien, n'avait pas pu consacrer ces longues minutes qu'à s'occuper du linge. Elle avait évidemment éliminé toute trace de leurs ébats mais, à leur grande déception, elle avait remis un soutien-gorge et changé de chemisier. Et son mari n'avait rien remarqué !

Au contraire, il était toujours plus vibrionnant dans le bureau, faisant les questions et les réponses et submergeant les deux hommes de commentaires toujours plus complexes. Assis à sa gauche, Pierre faisait des efforts manifestes pour suivre la démonstration mais il jetait de temps en temps un petit coup d'oeil par dessus son épaule.
Marc était assis à droite de Stéphane, mais légèrement en retrait. Lorsque Carole passa devant le bureau, il lui fit signe d'entrer ; la jeune femme s'exécuta avec un petit sourire en coin, tout en disant :
- Tout se passe comme tu veux, mon chéri ?

Stéphane maugréa quelque chose d'incompréhensible mais qui ne semblait pas spécialement aimable pour son épouse. Celle-ci ne sembla pas s'en formaliser et vint se pencher sur lui, nichant amoureusement le cou de Stéphane entre ses seins et posant le menton sur sa tête. Stéphane protesta :
- Euh, non, Carole, arrête, tu me gênes, là !
- Rhoo, la la, quel mufle !

Elle s'était redressée avec une petite moue, mais elle avait laissé ses mains posées sur les épaules de son mari, qui était en train de répondre à une sollicitation de Pierre et semblait très concentré.
Marc se demanda comment il devait interpréter ces signes d'affection de Carole à son mari : elle ne l'avait pas regardé depuis qu'elle était entrée dans le bureau, en fait ils ne s'étaient ni parlé ni regardé depuis leur petite séance sur le canapé.
« Elle doit sans doute regretter... », se dit-il.

Mais quelque chose en lui l'incitait à croire le contraire. Il posa discrètement sa main sur le mollet de Carole, qui ne sembla pas remarquer. Il s'enhardit alors, sa main remontant doucement jusqu'à l'arrière du genou. Carole n'avait toujours pas réagi, et semblait perdue dans la contemplation de l'écran.
Marc se décala alors légèrement, comme pour mieux voir la démonstration ; mais, ce faisant, il s'était surtout mis dans une position plus confortable pour caresser l'intérieur de la cuisse de Carole. Sa main remonta tranquillement jusqu'à la lisière des bas, et poursuivit un peu son investigation. Ses doigts butèrent sur du tissu, et Marc leva alors les yeux vers la jeune femme, qui n'avait pas fait le moindre mouvement et faisait toujours obstinément semblant de suivre les démonstrations.
Comme elle n'avait protesté à aucun moment, Marc prit ses aises. Sa main commença à lui caresser les fesses ; elle avait mis un nouveau string. Il fit glisser sur le côté la fine bande de tissu et caressa avec insistance la raie ainsi découverte.
Carole s'anima enfin : elle se pencha outrageusement entre Stéphane et Pierre, montra du doigt quelque chose sur l'écran et dit :
- Et ça, mon chéri, qu'est-ce-que c'est ? ça ne veut pas dire que...
- Ah, euh, ça ? Oui, justement, je voulais dire à Pierre que...

Marc avait compris : son intervention n'avait pour but que de changer de position et de l'inviter à aller plus avant. Il ne se fit pas prier : de l'index, il vint flatter le pubis gonflé qui semblait irradier de chaleur... Les yeux toujours rivés sur l'écran, Carole écarta doucement les cuisses pour lui faciliter la tâche. Le doigt pénétra directement le vagin encore tout humide de la jeune femme, qui ferma un instant les yeux comme pour mieux apprécier. Après quelques instants, alors que Carole commençait à se tortiller de moins en moins discrètement, Marc retira son doigt trempé et vint le poser contre la petite rosette qu'il avait déflorée tout à l'heure... Carole se pencha encore et accentua son déhanchement, comme pour l'encourager dans son investigation. Sans hésiter, Marc introduisit doucement le doigt dans les chairs encore palpitantes. Les sphincters semblaient encore anesthésiés par le passage précédent, et Marc parvint rapidement à insérer un deuxième doigt, qui arracha à Carole une plainte sourde. Elle avait à présent le regard troublé, sa respiration devenait plus lourde et elle retenait à grand peine ses gémissements à mesure que Marc allait et venait dans son cul. Tout se passait dans le dos de Stéphane, dont l'attention était toujours focalisé sur l'ordinateur, mais Pierre leur jetait des coups d'oeil de plus en plus fréquents. De là où il était, il ne pouvait pas voir mais il devinait sans doute beaucoup...
Comme pour mettre fin à cette torture, il prit la parole :
- Stéphane, écoutez... ça me va ! Il y a deux ou trois choses à reparamétrer pour les besoins de la Direction, mais vous m'avez montré les choses les plus importantes. Je suis convaincu. Bravo !

Et, coupant court à la discussion, il se leva et tendit la main à Stéphane. Celui-ce se leva à son tour, ce qui força Carole et Marc à s'interrompre brutalement.
Stéphane serrait fébrilement la main de Pierre, avec un sourire radieux mais fatigué. Il regarda Marc et lui demanda :
- Et vous, qu'en pensez-vous ?
- Eh bien... c'est Pierre l'utilisateur, et c'est aussi lui qui paie alors, vous savez... de mon côté, il n'y a aucun problème, en tous cas.

Stéphane semblait avoir du mal à y croire. Il poursuivit :
- Vous êtes sûrs, alors ? Si vous voulez, on peut regarder le contrat...

Carole avait suivi l'échange, le regard consterné par la maladresse de son mari. Elle lui posa la main sur l'épaule en s'exclamant :
- Voyons, Stéphane ! Pas maintenant ! Vous aurez le temps de voir ça dans la semaine... Si Pierre et Marc sont d'accord pour prendre ton outil, ça devrait te suffire, non ? Il est plus de onze heures, on peut penser à autre chose qu'au travail...

Stéphane se dégagea brusquement de son étreinte et lui jeta un regard courroucé ; il semblait sur le point de répondre vertement à sa femme mais Pierre vint à sa rescousse :
- Votre épouse a raison, Stéphane. Pour la partie contractuelle, on pourra aller vite puisque c'est mon service qui s'en occupe. Mais ça doit quand même passer par eux, on pourra donc voir ça demain. Ne vous inquiétez pas, quand je dis « d'accord », ça veut dire « d'accord » : vous pouvez me faire confiance.
- Ah...bon, d'accord, alors.

Stéphane avait adressé un dernier regard noir à Carole puis il s'était tourné vers Pierre avec un grand sourire un peu forcé. Bien que l'attitude de son mari lui parût plus que limite, elle entreprit de détendre l'atmosphère en reprenant :
- Bravo, mon chéri ! Alors, messieurs, pour fêter votre accord, je peux vous proposer de prendre un peu de champagne ? Retournez donc au salon...
- Excellente idée ! s'exclama Marc.

Stéphane semblait encore contrarié de s'être fait reprendre par son épouse mais il fit contre mauvaise fortune bon coeur et suivit les deux hommes qui avaient repris place dans le canapé. Il vint s'asseoir dans le fauteuil en vis-à-vis, et regarda la table basse en disant d'un ton faussement badin :
- Eh bien, ce champagne, il est où ?

Pierre et Marc eurent l'air un peu outré et le visage de Carole, restée debout, s'empourpra. Elle partit vers la cuisine et revint avec deux nouvelles bouteilles. Elle les posa doucement puis s'exclama :
- Mais, j'y pense... nous n'avons pas pris le dessert !

Elle tourna les talons et revint quelques instants après avec quatre assiettes et des cuillères, qu'elle posa devant les convives. Elle amena ensuite un somptueux gâteau, artistiquement recouvert de motifs en crème chantilly. Pierre s'exclama :
- Quel gâteau ! Et il y en a pour un régiment ! Vous l'avez fait vous-même ?

Les joues de Carole rosirent un peu lorsqu'elle répondit :
- Euh... oui. Mais ce n'est pas grand'chose, une sorte de fraisier. Mais j'ai fait la crème chantilly moi-même.
- Eh bien, décidément, vous êtes douée ! répliqua Marc en souriant. Ça tombe bien, j'ai encore une bonne faim, moi.
- Ah bon ? Vous n'avez pas assez mangé, alors... s'inquiéta Stéphane.
- Heu, si, mais heu...
- Tu vois, Carole, tu n'as pas préparé assez !
- Non, non, ce n'est pas ce que je voulais dire...

Le visage de Carole s'empourpra :
- Ecoute, Stéphane, ça suffit, maintenant. J'ai passé quasiment toute la journée à préparer le repas et la maison, je ne te demande même pas de me remercier mais, s'il te plaît, ne me critique pas. Pas sur ce point, en tous cas ! Je sais que j'ai gaffé tout à l'heure, j'en suis désolée. Mais j'ai fait ce que j'ai pu pour que tout se passe bien ce soir, je te promets.

Marc saisit la balle au bond :
- Oui... c'est vrai, Stéphane... l'accident de tout à l'heure est oublié, je vous assure.
- Et votre femme nous a merveilleusement accueilli, vraiment ! ajouta précipitamment Pierre.

De toute évidence, Stéphane était humilié d'avoir été ainsi rabroué en public par son épouse. Il s'emporta :
- Encore heureux ! Je me casse le cul toute la journée pour ramener de l'argent à la maison, heureusement que tu peux accueillir convenablement des invités !

Carole blêmit. Elle bredouilla un peu avant de répondre :
- Je... Je... Mais tu as vu comme tu me parles ? Tu me prends pour qui ? Pour une bonniche ?

Stéphane ne répondit pas. Il réalisa brusquement qu'il était allé trop loin... mais c'était trop tard. Carole était hors d'elle et poursuivait :
- Je te rappelle que c'est toi qui m'a demandé d'arrêter de travailler ! Parce que tu estimais que mon boulot ne me permettrait de m'épanouir ! Mais tu crois que ça me plaît, moi, de rester à la maison ? J'ai accepté parce qu'on devait faire des enfants ! Mais ça fait cinq ans maintenant. Et tu sais pourquoi ça ne marche pas ?
- Euh... je...
- Eh bien, je vais te le dire. Parce que pour faire des enfants, il faut être deux. Et toi, tu n'es jamais là. A cause de ton boulot, bien sûr... Est-ce que tu te souviens de la dernière fois qu'on a fait l'amour ?
- Euh... non...enfin... Carole, tu es sûre qu'on doit parler de ça maintenant ?

Stéphane était complètement paniqué devant la fureur soudaine de sa femme, Pierre et Marc aussi semblaient extrêmement gênés. Mais Carole continuait :
- Eh bien, tu vois, tu ne t'en souviens pas. Moi non plus d'ailleurs, c'est tellement loin. Mais tu sais, une femme, il faut s'en occuper un peu, et pas seulement attendre qu'elle fasse le ménage et la cuisine !
- Carole... je... excuse-moi...
- Ah mais non, c'est trop facile ! Tu as vu comment tu me traites, et devant tes clients, en plus ! Tu n'as vraiment honte de rien !

Pierre se racla un peu la gorge comme pour demander la parole. Il profita d'une pause que marquait Carole pour enchaîner :
- Franchement, Stéphane, je déteste me mêler de ce genre de choses, mais j'avoue que je vous trouve un peu « limite » avec votre épouse.

Carole fixait son mari d'un regard sombre et lui, enfoncé dans le fauteuil, serrait les mâchoires, comme balancé entre la contrition et la fureur de subir un tel déballage en public. Avant qu'un silence glacial ne s'abatte sur le salon, Marc décida de dévier la conversation :
- oui, bon, OK, Stéphane est fatigué. Il s'est beaucoup démené ce soir, il est un peu sur les nerfs, je suis sûr qu'il saura se faire pardonner. Commençons par goûter cet excellent champagne (joignant le geste à la parole, il prit une gorgée avant de reprendre). Mais dites-moi, vous faisiez quoi comme travail, Carole ?

Carole sembla hésiter un instant puis, d'un coup, son visage se détendit. Elle répondit :
- J'étais secrétaire médicale.
- Waouh ! Comme les infirmières, avec une blouse blanche, et tout ?

Il parlait presque comme un adolescent, et la remarque fit rire Carole, d'autant plus qu'elle était encore très tendue.
- Oui, c'est exactement ça !
- Ça ne devait pas être facile, enfin, je veux dire... une jolie fille comme vous, vous deviez vous faire draguer en permanence, non ?
- Mmm... c'est vrai que j'étais assez sollicitée. Il y avait beaucoup de beaux médecins... d'ailleurs, c'est au cabinet que Stéphane m'a rencontré.

Stéphane ne disait rien et semblait complètement perdu par la tournure badine que venait de prendre la conversation. Carole était confortée par l'avantage qu'elle avait pris et, encouragée par le champagne qu'elle avait bu d'un trait, elle poursuivit sur sa lancée :
- Il me faisait la cour, à l'époque, il était très attentionné. La plupart des gens n'insistait guère.
- J'ai du mal à vous croire ! intervint Pierre. Vous n'allez pas me dire que vous êtes restée sage avec tout ce monde, et belle comme vous êtes !
- Je vous assure, il ne s'est jamais rien passé. Pourtant...

Marc jeta un bref coup d'oeil à Stéphane avant de lancer :
- Pourtant... quoi ? Vous le regrettez ?
- Euh... (Carole sembla troublée l'espace d'un instant) ce n'est pas ça... en fait, c'est que... il y a des situations troublantes...
- Troublantes ? Qu'est-ce-que vous voulez dire par là ?
- Eh bien... (elle continuait à rire doucement) vous savez... dans le travail, quand une secrétaire masse son patron...

Pierre se redressa un peu sur le canapé, et reprit la discussion :
- Parce que vous massiez votre patron ?
- Oui, enfin... Non... Il y avait quelques docteurs qui appréciaient bien que je les masse de temps en temps.
- Vous leur faisiez des massages au cabinet ?
- Eh bien... Oui... Quelques fois, en fin d'après-midi, après une grosse journée, et entre deux clients... Je comprends qu'ils avaient besoin de se détendre un peu !
- Et vous acceptiez ?
- Mais... Oui, bien sûr ! Pourquoi aurais-je refusé ? répondit Carole en riant.
- Parce que ça peut être assimilé à du harcèlement... Parce que les gens jasent, aussi !

Carole partit cette fois d'un franc éclat de rire
- Oh, vous savez, le premier à qui je l'ai fait, c'était un très gentil docteur, mais assez âgé. Et c'est moi qui lui ai proposé, le pauvre avait l'air vraiment éreinté. Il n'y avait vraiment aucune ambiguïté. Après, d'autres plus jeunes ont entendu dire que je faisais ça bien, alors ils me l'ont demandé de temps en temps. Je l'ai fait pour rendre service, ou par politesse...
- Par politesse ?
- Oui, oh... Des fois je n'avais pas envie de le faire mais je n'osais pas refuser... Et puis ce n'est pas bien méchant...
- Dites-donc, la politesse, chez vous, c'est quelque chose... répliqua Marc avec un large sourire
- Vous massez si bien que ça ? demanda Pierre
- Ma foi... J'ai suivi pas mal de cours sur le sujet... Et je crois que même mon mari apprécie mes talents, c'est vous dire ! (Elle jeta un regard moqueur à Stéphane qui était toujours tétanisé dans son fauteuil)

Pierre sembla subitement frappé d'une profonde hésitation :
- Euh... je...
- Oui ?
- Si je n'abuse pas trop... Vous pourriez me faire une petite démonstration de ce beau talent ? Avec mon grand âge (il sourit), j'ai souvent le dos bloqué... Enfin, si ça ne vous dérange pas, évidemment.

Carole se leva et, sans adresser le moindre regard à son mari, passa derrière le canapé.
- Mais pas du tout... Au contraire. Et Stéphane aussi est d'accord, n'est-ce pas, mon chéri ?

Elle avait prononcé ces derniers mots avec un ton de franche ironie dans la voix. Elle n'avait attendu aucune réponse et avait posé ses mains sur les épaules de Pierre. Elle commença à pétrir les omoplates de Pierre, qui commentait tranquillement :
- Mmmm... Vous avez les mains douces et chaudes... C'est très agréable...
- Dites-moi si jamais je vous fais mal !
Ooohhh... Tout va bien, pour le moment... Vous êtes très douce...

Carole poursuivit quelques instants puis dit :
- pour bien faire, il faudrait que vous enleviez votre chemise, Pierre.
- ma foi, si vous le demandez...

Pierre se leva, et défit posément les boutons de sa chemise, découvrant un torse velu et étonnamment musclé pour un homme de son âge. Une fois ôtée, il déposa soigneusement la chemise sur l'accoudoir et reprit :
- vous préférez peut-être que je me mette dans le fauteuil ?
- Non, non... En fait, l'idéal dans votre cas c'est quand même que vous vous allongiez sur le divan... Voilà, comme ça, c'est très bien. Stéphane, ça ne te dérange pas que Pierre se mette un peu plus à l'aise, hein ?

Marc s'était levé tranquillement pour laisser la place à Pierre, et était venu s'installer dans le fauteuil de Carole. Il suivait tout ce qui passait avec beaucoup d'attention, jetant de temps en temps un regard en coin en direction de Stéphane, qui n'avait pas pipé mot.
Pierre s'était sagement allongé sur le ventre, et Carole était venue se positionner face à lui pour continuer son massage. Elle allait et venait en pétrissant profondément chaque zone sensible, et à chaque fois elle se penchait davantage sur lui, comme si elle y mettait à chaque fois plus de force, au point que la tête de Pierre venait se nicher dans sa poitrine généreuse à chaque passage.
Après quelques minutes de ce traitement, Carole se redressa et dit :
- Je ne suis pas très bien installée, là.

Elle se releva puis, sans rien demander, ôta ses chaussures et vint s'asseoir à califourchon sur les cuisses de Pierre. Elle reprit ses mouvements dans l'autre sens le long du dos musclé, en disant :
- Là... C'est mieux comme ça, non ?
- C'est formidable, Carole... Vous aviez raison, vous faites ça très bien. Stéphane, votre femme a vraiment un don !

Stéphane sembla vouloir répondre mais Carole le coupa net :
- Hmm... Flatteur... Mais mon mari le sait très bien... Profitez-en, alors...

Le massage se poursuivit encore de longues minutes, pendant lesquelles Carole et Pierre devisèrent gaiement ; pendant ce temps, Stéphane s'était levé et cherchait de quoi s'occuper, faisant semblant de s'affairer entre la cuisine et le bureau.

Lorsque Pierre sembla indiquer sa volonté de se relever, Carole s'interrompit et le laissa faire comme à regret mais elle resta sagement assise sur le canapé, pendant que Pierre se rasseyait tranquillement à côté d'elle, l'air ravi.
- Ahh... Carole, c'était vraiment parfait. Je comprends vos médecins... Et Stéphane est vraiment chanceux de vous avoir pour lui tout seul !

Cette fois encore, Carole ne laissa pas à son mari le temps de répondre.
- Pas pour lui tout seul, vous voyez... On dirait que ça ne le dérange que d'autres en profitent... Mais c'était un plaisir pour moi aussi. Vous êtes vraiment bien bâti...

En disant cela, Carole caressait distraitement le torse de Pierre, qui jeta un coup d'oeil discret à Stéphane... lequel ne réagissait toujours pas : de là où il était, il ne pouvait pas voir la main de sa femme mais il faisait de toutes façons semblant de regarder ailleurs.
- Oh... Disons que j'essaie de m'entretenir...

Carole s'approcha de lui et intensifia sa caresse, parcourant à présent toute la ceinture abdominale.
- Vous rigolez ! Vous êtes taillé comme un athlète... Et directeur, avec ça... Vous aussi, vous devez être sollicité, non ?
- Euh, non, pas vraiment... Sauf par votre mari !

Pierre l'avait lancé comme une boutade mais cela tomba complètement à plat. Non seulement Carole ne releva pas, mais elle poursuivit sa caresse rêveuse, descendant de plus en plus fréquemment jusqu'à la ceinture du pantalon. Marc trouva alors le moyen de revenir dans la discussion :
- Si vos séances se déroulaient comme ça, je comprends que vous les trouviez « troublantes »...

Carole ne parut pas relever l'ironie mais répondit :
- N'est-ce pas ? Et pourtant, ça n'est jamais allé plus loin que ça. Mais ils n'étaient pas aussi séduisants que vous...
- Ah oui ? C'est-à-dire ?
- Eh bien... J'aurais pu... Je ne sais pas... Faire des folies...

Carole avait presque négligemment posé la main jusque sur l'entrejambe de Pierre, qui présentait à nouveau tous les signes d'une érection impressionnante. Elle commença à caresser le renflement démesuré du pantalon, et dit à voix haute, comme si elle se réveillait :
- OH ! Mais dites-moi... Ici aussi vous êtes très, très tendu... Il faut que je m'en occupe... Je manquerais à mes devoirs d'hôtesse. Chéri, ces messieurs peuvent rester encore un peu, n'est-ce pas ?

Tout en parlant, Carole avait baissé la fermeture éclair et tenait déjà à pleine main la trique géante de Pierre qui avait jailli. Elle continuait sur un ton anodin tout en caressant la hampe :
- Pierre... C'est... Très impressionnant...

Elle se laissa glisser du canapé et vint s'agenouiller devant Pierre, tout en continuant à le masturber doucement.
- Vous avez vraiment d'énormes... Qualités...

Elle s'interrompit lorsque, tournant légèrement la tête, elle réalisa que Marc avait également sorti son sexe et commençait à se branler en les regardant. Elle reprit :
- Non, Marc ! Ne soyez pas jaloux, venez. Je peux aussi m'occuper de vous... Mais dites-moi, vous êtes bien outillé vous aussi...

Marc était venu s'asseoir à côté de Pierre, et Carole les masturbait à présent tous les deux en cadence, son regard oscillant de l'un à l'autre comme pour les jauger. Elle déclara rêveusement :
- Stéphane, tu as vu ça ? Tu ne m'as pas habitué à ce genre de calibre, mon chéri ! Il va falloir que je me surpasse... Mais... Je sais que c'est important pour toi que ces messieurs passent une bonne soirée... Je vais faire de mon mieux...

Elle souriait tranquillement en prononçant ces mots, mais elle regardait à présent fixement son mari, qui s'était figé dans l'embrasure de la porte du bureau devant le spectacle que sa femme lui offrait. Tout s'était enchaîné en quelques secondes, il était évidemment stupéfié, mais il finit par ouvrir la bouche et commença à balbutier, comme s'il cherchait à reprendre sa respiration. Carole ne lui laissa pas le temps et reprit :
- Mais je comprends que ça te gêne, mon chéri. Et puis, comme je vais être occupée, tu risques de t'ennuyer tout seul. Alors je ne t'oblige pas à rester. Excusez-moi, messieurs, je suis à vous.

Sans plus attendre, elle se pencha entre les jambes de Pierre et sa bouche commença à absorber le gland turgescent. Elle ressortit pour le lécher un peu puis le reprit en bouche. Elle entama une lente et profonde fellation, tout en masturbant consciencieusement le sexe tendu de Marc assis à côté.
Pierre avait accueilli le traitement avec un très léger grognement de satisfaction mais il n'osait pas lever les yeux sur Stéphane. Sa propre femme était en train de le sucer avec ferveur, sans pour autant délaisser Marc, qui semblait lui aussi apprécier la caresse. Ses lèvres allaient de plus en plus loin sur la hampe dressée, et lorsqu'elles vinrent se poser doucement contre la racine du membre, Pierre ne put retenir son commentaire :
- Ah, mince... Carole, vous avez une bouche de reine !

Elle se retira très doucement, ses lèvres coulissant voluptueusement sur la tige. Lorsque le gland rougi ressortit de sa bouche, elle sourit et répondit :
- C'est vrai, ça vous plaît ? C'est mon mari qui va être content ! Mais, pour être franche, tout le plaisir est pour moi.

Elle avait à nouveau changé de position et cherchait à présent à donner de petits et prudents coups de langue sur les deux verges qu'elle masturbait doucement.
Marc et Pierre semblaient à la fois ébahis et amusés de la situation. Pierre soupira d'aise et Marc lui adressa un large sourire.
- Vraiment... Incroyable... Je n'aurais jamais cru ça... Dire que je pensais venir à un repas de travail...
- Ouais ! Si c'était ça, je veux bien travailler tous les jours, moi... Même les jours fériés...

Carole s'arrêta soudain dans sa tâche et les interrompit :
- Je n'en peux plus, Pierre... On passe à autre autre chose, vous voulez bien ?


Une fois encore sans attendre de réponse, elle se redressa et, tournant le dos à Pierre, vint s'asseoir sur ses cuisses musclées. Puis elle ondula des fesses pour les rapprocher lascivement du mandrin toujours fièrement dressé. Elle commença à geindre :
- Oh Pierre... Vous n'avez pas envie d'aller plus loin ?

Pierre ne répondit pas mais il la prit par la taille et l'incita à venir plaquer son dos contre son buste. Il commença à lui caresser la poitrine à travers le chemisier, lui arrachant un soupir d'aise
- Pierre... Oui... Continuez... Mmmhhh... J'ai chaud... J'ai tellement chaud...

Pierre avait déjà déboutonné le chemisier et ses mains fouillaient délicatement le soutien-gorge, qui semblait sur le point de craquer. Carole ronronnait sous la caresse. Au bout d'un moment, une des mains de Pierre vint caresser la cuisse et remonta prestement, découvrant la couture des bas puis dévoilant la fine dentelle blanche du string. Carole avait largement ouvert les cuisses pour faciliter les choses, et elle gémit doucement lorsque Pierre posa les doigts sur le renflement du pubis, qu'on devinait trempé. Soudain, comme si elle s'évanouissait, elle bascula vers l'avant ; ses mains vinrent prendre appui sur les genoux de Pierre pendant que celui-ci entreprenait de retrousser sa jupe.
- Vous me faites mourir... Venez, maintenant...
- Vos désirs sont des ordres, madame...

D'une main, Pierre commençait à écarter la fine cordelette du string, et de l'autre, il guidait son sexe vers l'entrée du vagin. Le gland appuyait déjà contre les grandes lèvres lorsque Carole redressa la tête, chercha des yeux son mari et dit :
- Stéphane, tu es content ? Tu as eu ce que tu voulais ? Tu as compris ce qui se passe, là ? Pierre va me baiser ! Et tu sais quoi ? J'en meurs d'envie ! Depuis le temps que tu me délaisses, j'ai un sacré retard à rattraper, et je compte bien le faire ce soir. Ouiiiii....

D'elle-même, elle s'était reculée de manière à introduire le sexe géant dans son antre. Pierre avançait doucement les hanches pour amplifier la pénétration, qui à présent arrachait des petits cris à Carole.
Lorsque Pierre fut solidement calé au fond de son vagin, elle recommença à onduler du bassin, comme pour l'encourager :
- Ohmmm... Oui... Allez-y... Ouiii... C'est tellement bon de sentir un vrai sexe d'homme... Hmmm...

Pierre commença alors un puissant va-et-vient, et Carole l'accompagnait, sans plus retenir l'expression de son plaisir :
- Ohhh, quelle bite... Pierre, vous me remplissez bien... C'est trop bon... Continuez, oui... Comme ça... Ouiiii...

Elle le chevauchait furieusement, les yeux fermés et le sourire aux lèvres. Pierre était lui très appliqué à sa tâche et ne Pendant tout ce temps, Marc était resté stoïque en se masturbant tranquillement ; mais lorsque Carole s'était complètement lâchée, il se leva et vint se placer devant elle, la queue dressée à quelques centimètres de son visage.
Lorsqu'elle réalisa sa présence, elle ouvrit les yeux, ralentit un peu la cadence et reprit doucement
- Hmmmm... Marc... Je suis désolée... Je vous ai oublié... Comment puis-je... Hmmmm... Me faire... Hmm... Pardonner ?
- J'ai bien une petite idée, ma petite Carole... Que dirais-tu de me sucer, pendant que mon collègue te baise, hmm ?

Carole obtempéra et engloutit littéralement la queue de Marc, alors que Pierre avait encore amplifié le rythme de ses assauts.
Stéphane était resté pantelant et semblait à la fois choqué et fasciné. Il regardait, sans réagir, les deux hommes besognant sa propre femme. Ils avaient calqué leur rythme l'un sur l'autre, chaque poussée de Pierre semblait projeter les lèvres de Carole contre le pubis de Marc.
Après de longues minutes de ces ébats, Carole abandonna la queue de Marc et partit dans une longue plainte qui signalait son orgasme. Pierre ralentit son rythme alors qu'elle, épuisée, revenait coller son dos contre le torse à présent luisant de l'effort qu'il avait fourni. Telle qu'elle se positionnait à présent, on voyait le pénis démesuré de Pierre qui allait et venait, comme guidé par une volonté propre, dans le fourreau de Carole qui n'avait plus la force de l'accompagner.
Après qu'elle eût doucement retrouvé ses esprits, elle rompit le silence qui s'était à nouveau abattu sur le salon.
- Mmm... Pierre... Vous ne pouvez pas savoir comme j'ai joui... Je n'ai jamais senti ça aussi fort... Et vous êtes toujours aussi gros... Hmmm...
- Mais oui, Carole, je n'en ai pas encore fini... Marc non plus, je crois... Nous pourrions continuer... A moins que vous y voyiez un inconvénient, bien sûr...
- Oohh ! Non... Au contraire... C'est trop bon...
- Mais...

Stéphane venait subitement de recouvrer sa lucidité et s'interposait (enfin !) dans la « discussion ». Carole continuait à onduler doucement du bassin comme pour prolonger son orgasme, mais elle leva les yeux vers lui et l'empêcha tout net de poursuivre :
- Mais... C'est pas vrai, tu es encore là, toi ? Tu n'as vraiment aucune fierté...

Sa contrariété pouvait n'être que feinte mais elle interrompit le mouvement de ses hanches, reprit appui sur ses pieds nus puis, très doucement et comme à regret, retira son chaud fourreau de la hampe de Pierre en se redressant. Sa jupe retombée sur ses cuisses, le fin chemisier ouvert sur sa généreuse poitrine et les cheveux de son, elle était incroyablement désirable. Elle tendit la main à Pierre et poursuivit :
- Venez, mes chéris, je préfère continuer dans ma chambre...

Elle avait prononcé ce 'ma' avec une étrange intonation...

Pierre accepta machinalement l'invite de Carole et se leva, aussitôt suivi par Marc. Sans accorder le moindre regard à son mari, Carole les entraîna vers l'escalier qui menait à la chambre.

Arrivés en haut, elle les guida jusque dans la chambre. Les deux hommes, jusque là restés sans réaction, commencèrent à la caresser doucement. Elle embrassait langoureusement Pierre tout en caressant les cheveux de Marc, qui lui couvrait la nuque et le cou de baisers humides. Leurs mains lui parcouraient les seins, les hanches, le ventre, le pubis, lui arrachant des gémissements de plus en plus fréquents. Dans le même temps, elle masturbait très doucement le sexe des deux hommes, un dans chaque main. Au bout de quelques minutes, elle interrompit leur tendre ballet et s'assit tranquillement sur le bord du lit. Continuant à caresser les deux mandrins, elle leva les yeux vers ses deux amants puis, après s'être lentement passé la langue sur les lèvres, susurra avec un sourire coquin :
- Mmm... Je vais me régaler...

Sur ce commentaire salace, la verge de Marc disparut entre ses lèvres gourmandes. Après quelques profonds va-et-vient, elle l'abandonna pour avaler celui de Pierre, et alterna ainsi pendant de longues minutes, pendant lesquelles les deux hommes restèrent sans rien dire, tout en s'échangeant des sourires entendus.

Marc lui dit alors :
- Bon, je crois que tu nous a bien remis en forme, là... Maintenant, on va s'occuper de toi, d'accord ?
- Hmmm... Oui, s'il vous plaît...

Sans rien ajouter, Marc vint s'allonger sur le lit, la bite fièrement dressé vers le plafond : il avait en effet retrouvé toute son ampleur bien qu'il ait éjaculé déjà deux fois en une heure ! Carole comprit parfaitement le message et, lui tournant le dos, vint s'accroupir doucement au-dessus de son pubis. Sa main s'empara de la trique tendue et la dirigea vers son petit trou, pendant qu'elle poursuivait :
- Je n'étais pas prête tout à l'heure, mais je me suis bien nettoyée, maintenant la voie est libre, tu peux y aller !

Le gland violacé vint buter contre la rosette fripée de Carole, laquelle n'eût qu'à se laisser empaler sur le fier mandrin en gémissant :
- Ohhmmmm... C'est vraiment bon, par là...

Elle était à présent tellement dilatée qu'elle parvint à s'asseoir complètement sur Marc, les bourses venant buter contre son périnée. Marc n'en revenait pas :
- Putain, la garce ! Elle la prend toute entière dans le cul, et elle aime ça !

En effet, Carole exécutait de sa propre initiative de profonds va-et-vient sur la hampe de Marc, qui la laissait complètement faire. Ses gémissements alternaient avec ses commentaires de plus en plus décousus :
O- h ! Oui... Vas-y, continue !... OUIIIII ! ... Hmmm... Ohmmm... Pierre, venez...

Pierre était resté un peu rêveusement à genoux au pied du lit, et fut tiré de sa torpeur par l'injonction de Carole. Il n'y répondit pas comme attendu, se contentant de se rapprocher du couple et de caresser profondément les seins de Carole dont les tétons dardaient incroyablement. D'un geste plein d'autorité, il la repoussa contre le torse de Marc et commença à caresser la chatte luisante dont les grandes lèvres étaient naturellement écartées par la position que Carole venait de prendre. Du pouce, il titilla le clitoris qui pointait orgueilleusement pendant que la trique de Marc pistonnait inlassablement son rectum, rythmant les gémissements de la belle ; puis il vint se placer entre les cuisses emboîtés des deux amants.
Il avait sous les yeux la vulve gonflée de Carole et la queue de Marc allant et venant entre les fesses. Il resta un instant à admirer l'intimité dont la fente était à peine voilée par une toison peu fournie. Ses pouces écartèrent tendrement les lèvres, et sa bouche se posa sur cette fente et en explora lentement les moindres recoins. Puis la langue se fit plus curieuse et s'enfonça dans la grotte, et s'appliqua à la lécher entièrement, du bouton jusqu'au périnée ; ses doigts écartèrent encore les grandes lèvres pour faciliter le passage de sa langue qui s'enfonça plus avant dans la grotte trempée, se régalant de la mouille abondante avant d'entamer une profonde investigation.
Sous les coups de boutoir de Marc et cette nouvelle caresse, elle se mit à respirer de plus en plus fort puis commença à contracter les cuisses, les fesses, le ventre, sans bouger, juste des contractions. Marc s'exclama :
- Putain, Pierre ! elle palpite du cul !! Ah continue, continue, Ah elle jouit, l'enculée !
- OOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHH !

Carole avait joui en hurlant, agitée de soubresauts impressionnants. Au bout de quelques instants, elle se tempéra et reprit ses ondulations sur la queue de Marc, alors que Pierre avait recommencé à la masturber.
La main qui la caressait était experte, les doigts de Pierre lui écartaient doucement les lèvres, se mouillaient du jus intime puis remontaient vers le clitoris, le titillaient, le pinçaient puis retournaient s'enfoncer dans le puits humide. La main de Carole se crispait sur le bras de Marc qui ne faisait plus un mouvement et la laissait masser sa trique. Carole mouillait abondamment, sa chatte se dilatait encore, tout son corps était sous l'emprise de cette caresse. Pierre enfonça ses doigts l'un après l'autre dans sa fente. Les deux premiers pénétrèrent sans difficulté, puis il commença à introduire les deux autres. Il faisait son chemin tout doucement, écartant les lèvres et les parois du sexe béant. Carole se mordait les lèvres pour ne pas gémir à nouveau.
Pierre ressortit alors sa main et Carole sentit qu'il s'enfonçait à nouveau, mais cette fois les quatre doigts d'un coup. Sa vulve était si préparée et si lubrifiée à présent que les doigts glissaient, entraient et sortaient de son sexe sans aucune difficulté. Carole faisait des efforts désespérés pour ne pas crier trop fort son plaisir. Lorsque Pierre ressortit sa main, Carole exprima sa frustration :
- Nonnn... Encore !
- Ne vous inquiétez pas Carole, vous n'en avez pas fini...

Pierre s'était en effet redressé, exposant son impressionnante virilité. Carole semblait avoir compris et répondit, les yeux brillants :
- Oh oui ! Pierre, venez... J'ai toujours rêvé de me faire prendre par deux mecs en même temps ! Ouiii.. Viiiite !

Le beau quinquagénaire vint se placer entre les cuisses ouvertes des deux amants, et guida son mandrin vers la vulve béante. L'ambiance était électrique, Marc et Carole avaient cessé tout mouvement et retenaient leur souffle alors que Pierre, lui, prenait tout son temps. Lorsqu'il posa son gland contre les lèvres de Carole, il la fixa encore plus intensément et la nargua :
- Vous en avez vraiment envie ?
- Oui ! S'il vous pl....OOOOOOOHHHHH

Elle n'avait pas eu le temps de finir que Pierre lui avait introduit son engin entier d'un seul coup, bien aidé par la longue caresse qu'il lui avait prodigué. Carole en eut le souffle coupé quelques instants, puis recommença à gémir doucement alors que Pierre entamait une série de profonds va-et-vient dans le chaleureux fourreau qu'il avait investi. Solidement fiché au creux des reins de sa partenaire, Marc ne bougeait toujours pas mais il ponctuait les assauts de Pierre par de délicates caresses sur les seins. La tension était à son comble, et la chambre emplie des soupirs, cris et exclamations des trois amants.
- Han... Ohmmm... Oui... C'est génial... Elles sont bonnes, vos queues, hmmm...
- Putain, c'est trop bon... Carole... Ca te plaît hein, salope ?
- Hmmm...Ohmmm... Oui... Continuez... Plus fort...
- Tu aimes, hein, te faire prendre comme ça...
- ouiiiii...
- par tous les trous...
- hmm, oui... C'est...
- avec ton mari en bas... Qui nous entend ?
- Hmm, pas grave... Connard... Même pas capable de... Ohmmm... Me baiser comme il faut...

Elle semblait à présent totalement transcendée, les yeux fermés et un sourire radieux lui éclairant le visage, ses hanches ondulaient fiévreusement sous les assauts des deux hommes.
Galvanisés par cette entrain, Pierre et Marc avaient intensifié leur rythme, leurs verges allaient et venaient en cadence, arrachant des cris de plaisirs de plus en plus profonds à la belle jeune femme.
« Hmmm... Oui... Encore, encore, encore, encore, encore... Oui... C'est boooooonnn... Ouiiiiiiiii... JE JOUIIIIIIIIIIIIIIS ! »

Elle avait hurlé son orgasme sans aucune retenue. Les deux hommes commençaient à ralentir leur rythme lorsqu'on entendit une course précipitée dans l'escalier. Quelques instants après, Stéphane fit irruption dans la chambre et s'arrêta net.
« Carole, qu'est-ce que ?... »

Elle ouvrit doucement les yeux, comme si elle émergeait d'un rêve somptueux, et regarda tranquillement son mari par dessus l'épaule de Pierre qui s'était, en même temps que Marc, figé dans son mouvement et n'osait plus bouger.
- Eh bien, mon chéri, tu vois, je fais... Ce que j'aurais dû faire depuis... Hmmm... Longtemps... Je prends mon pied !

Un grand silence s'installa, pendant lequel Pierre se retira délicatement et s'assit à côté de Carole, clairement gêné de la situation. Les jambes toujours largement écartées, Carole sourit à son mari d'un air espiègle et sa main vint se poser sur son clitoris, comme pour désigner le pieu de Marc toujours fièrement planté dans son anus. Elle poursuivit :
- Tu as vu, Stéphane ? Oui ! Dans mon cul... Je me sens conne de ne pas avoir essayé avant, c'est tellement bon... Pourtant, Marc a une belle queue, tu sais... Mais il sait très bien s'y prendre. J'ai adoré, vraiment !
- Mais... Je... Je...
- « Tu » quoi ? Tu veux me faire croire que tu vas faire ou dire quelque chose ?

Elle partit d'un grand rire clair, embrassa langoureusement Pierre puis bascula en avant et, les yeux mi-clos, elle gémit doucement, prenant appui sur ses cuisses pour dégager la trique érigée de son étroit fourreau.
Elle se décala un peu pour s'asseoir entre les deux hommes, mais sa main droite avait profité du mouvement pour venir envelopper la verge encore toute gonflée de désir de Marc.
- Pierre et Marc m'ont déjà fait grimper aux rideaux au moins trois fois... Et, tu vois, ils sont toujours en sacrée forme !

Joignant le geste à la parole, elle avait descendu la main gauche vers la hampe raidie de Pierre qui pointait toujours fièrement vers le plafond, et se mit à la caresser doucement.
- Finalement, tu avais raison, mon chéri, c'était une affaire en or... Mais peut-être que tu ne pensais pas à ça ? (elle souriait espièglement). Moi non plus, remarque ! Au début, ça m'ennuyait...
- Carole... Mais qu'est-ce-qui te...
- Qu'est-ce-qui me prend ? Rhôooo... Voyons, Stéphane

Brusquement, elle lâcha les deux verges et, d'un geste enjoué, elle bouscula Marc de façon à ce qu'il se rallonge complètement, sa lance à nouveau tendue vers le plafond
Carole se pencha et vint donner de petits coups de langue sur le gland qui semblait comme tuméfié, puis elle reprit en regardant vicieusement son mari :
- Tu n'en crois pas tes yeux ? Tu ne pensais pas que ta petite femme chérie puisse faire ça ? Et bien si, tu vois... Et tu sais quoi ? J'adore ça ! J'ai l'impression d'être passée à coté de plein de choses... Et pas seulement qu'avec toi... Si tu savais le nombre de fois que j'ai refusé des avances au boulot... Mais c'est vrai, on dit qu'il ne faut pas mélanger le plaisir et le travail. Ce soir, tout va bien : je te laisse le travail ! Tu as vu ces bites ? C'est tellement bon... J'en ai encore envie, tu ne m'en veux pas si on recommence, hmm ?

Elle enjamba Marc pour le chevaucher et, de la main, guida son sexe érigé vers le fourreau humide de ses grandes lèvres. Elle n'hésita pas plus d'une seconde avant de s'empaler sur toute la longueur en poussant un gémissement qui ne cherchait clairement plus à rien dissimuler de son plaisir, mais elle reprit rapidement ses esprits et, alors qu'elle entamait d'elle-même de lents va-et-vient sur Marc, elle commentait doucement :
- Oh que c'est bon... Mais je préfère quand vous êtes à deux... Venez, Pierre ! Oui, là...

Pierre avait sagement obéi à l'injonction de Carole, et était venu se caler derrière la croupe de la belle qui chevauchait ardemment Marc ; il posa son gland contre la rosette encore un peu dilatée puis sembla pris d'une hésitation.
- Stéphane ? C'est Pierre qui va m'enculer, maintenant... Et il a une queue énorme, tu as vu ? Ne t'inquiète pas, je suis sûre que Marc m'a bien préparée, je me sens toute ouverte... Ouiiii... Comme ça... vas-y, ouiII, VAS-Y, Hmmmmm...

Comme aspiré par le désir de Carole, le mandrin de Pierre s'enfonçait doucement entre les fesses de la jolie blonde qui avait interrompu son mouvement sur Marc, comme pour faciliter la pénétration et apprécier ce moment.
Carole gémissait doucement pendant que Pierre lui introduisait très lentement son invraisemblable longueur. Au bout d'un temps qui parut une éternité Pierre s'arrêta, Carole se raidit très légèrement et soupira :
- Ohhmm... Ouiiii... Vous êtes bien au fond, là... Hmmm... Je vous sens bien, tous les deux... Vous êtes gros... C'est bon...

Comme rassuré, Pierre entama un très lent et très profond va-et-vient, presque un massage, comme pour habituer les parois anales à une telle dilatation. Carole commença à onduler du bassin et Marc se cala méticuleusement sur le rythme des deux autres ; ses mains caressaient doucement les seins gonflés de Carole, dont les grands soupirs ne laissaient à présent aucun doute sur le plaisir qu'elle prenait. Elle avait les yeux fermés, un immense sourire illuminait son visage alors qu'elle murmurait :
- C'est... Merveilleux... Hmmm... C'est doux...

Jusqu'à présent, c'était elle qui imprimait le rythme de ses partenaires mais, d'un coup, elle s'abandonna complètement, et vint flatter de la main la hanche de Pierre, lui signifiant qu'il pouvait continuer
- Mon pauvre Stéphane... Si tu savais... Je suis tellement heureuse que tu aies invité ces messieurs ! Je croyais que je passerais une soirée mortelle mais... Hmmm... Quel pied... Mais en fait... Hnnn... Marc et Pierre savent traiter d'autre chose que du boulot... Ils sont très ouverts... Ohmmm... Et moi aussi, tu vois... Ohhh ouiiiiii...

Pierre et Marc avaient imperceptiblement augmenté la cadence, et Carole sembla brutalement rattrapée par son plaisir croissant. Mais elle ne tarda pas à reprendre :
- Hmmm... Oi, mon chéri... Ta femme... Est une salope, hein ? C'est ça... Hmm... Que tu te dis ? Alors... Ohhhhhouiii... Fais toi une raison... Ce soir, je ne fais que... Ohmmm... Rattraper une... partie... De mon retard...

Ces paroles se perdirent alors que les deux hommes accéléraient encore le rythme : Carole partit alors dans une série de gémissements de plus en plus aigus, seulement ponctués par les exhortations de Marc et Pierre, qui ne faisaient plus cas de la présence du mari. Ils la besognèrent ainsi de longues minutes, pendant lesquelles l'intensité n'en finissait pas de monter. Enfin, Carole partit dans un orgasme fulgurant, qui stoppa net leurs assauts.
Pierre se retira de l'anus de la belle qui n'en finissait plus de trembler. Elle bascula sur le côté, toujours pantelante, abandonnant Marc dans le mouvement. Alors que le sexe tendu se libérait des lèvres rougies, un lourd filet de sperme s'écoula de sa chatte béante, le long de la cuisse et vint maculer la couverture froissée du lit.
Carole avait tellement joui qu'elle en avait pleuré, ruinant tout le soin qu'elle avait mis à son maquillage. Mais même ainsi, et les cheveux en bataille, elle était infiniment désirable : Marc et Pierre continuaient à la caresser et à déposer de chastes baisers sur sa peau nue.

Stéphane avait disparu de la pièce mais, lorsque la tension fut retombée, ils entendirent en provenance de la salle de bains voisine des bruits qui ressemblaient à des sanglots.
Carole se redressa et l'interpella d'une voix calme :
- Stéphane ? Tu es là ?

Les sanglots s'interrompirent et, quelques instants plus tard, la silhouette de Stéphane apparut à nouveau dans l'encadrement de la porte. Son visage était décomposé, et ses yeux hagards avaient du mal à fixer autre chose que le corps alangui de son épouse. Il était impossible de se figurer ce qui devait se passer dans sa tête.
Carole le regardait fixement, mais son expression était totalement indéfinissable. Elle laissa s'écouler un très long moment puis, lorsque le silence devint à l'évidence trop lourd pour tout le monde, elle le brisa sans marquer la moindre hésitation.
« Stéphane ? Ecoute moi bien s'il te plaît... Et surtout, ne m'interrompt pas... Vous nous plus, mes chéris... »

« Stéphane... Je ne t'avais jamais trompé avant ce soir. Jamais ! Tu peux me croire... »

« Là, je l'ai fait pour me venger, parce que tu as été odieux avec moi. Parce que ça fait des semaines que tu ne me touches plus... Et aussi parce que j'en avais envie, voilà ! Marc et Pierre sont des hommes très attirants... »

« Maintenant, il va falloir que nous changions beaucoup de choses dans notre vie Stéphane... Et tu sais pourquoi ? Parce que j'ai adoré ! Je me suis faite baiser comme une vraie salope, et j'ai adoré ! J'ai joui comme jamais je n'avais joui de ma vie. Et ce n'est pas toi qui pourra m'apporter ça tout seul, je te le dis franchement. Non, non, ne dis rien, s'il te plaît, tu serais ridicule... »

« A partir d'aujourd'hui, mon chéri, je suis une nouvelle femme. Si tu souhaites me garder auprès de toi, il va falloir que tu fasses beaucoup d'efforts... Tu étais d'une jalousie maladive, eh bien il va falloir que tu deviennes très complaisant... Si, si... Parce que je ne veux pas en rester là et si Pierre ou Marc, ou les deux, m'invitent un soir, je ne refuserais pas, tu comprends ? »

« Bien entendu, nous pourrons toujours coucher ensemble, je ne voudrais pas te priver de ma libido toute neuve... Mais je ne veux plus t'être réservée, c'est trop frustrant. »

Marc et Pierre étaient pétrifiés, Stéphane parvint à bredouiller :
« Mais... Mais je... Tu... »

« Mon chéri, je ne t'ai jamais menti, je ne te mentirai pas. Je te dirai avec qui j'ai couché, et même ce qu'on a fait si ça t'intéresse. Mais à la première remarque ou récrimination, je te quitte. »

« Voilà, c'est à prendre ou à laisser. Qu'est-ce que tu choisis ? »

Les yeux de Stéphane s'embuèrent, il serra les mâchoires et pinça les lèvres. Au bout d'un long moment de réflexion, il lâcha :
- Je... Euh... Comment...
- Tu es d'accord ou pas ? l'interrompit brusquement Carole
- Je... Euh... Oui... D'accord... Mais je...
- « Tu » rien, Stéphane. Pour me montrer tes bonnes dispositions, tu vas venir à côté de moi... Voilà... Tu me fais un bisou...

Comme un automate, Stéphane s'était approché du lit ; il s'assit entre Carole et Marc, lequel profita du mouvement pour se redresser et remettre ses vêtements. Sorti de sa torpeur, Pierre fit de même et sembla vouloir se lever du lit Presque machinalement, Carole posa un tendre baiser sur ses lèvres blanches et reprit :
- ... Et tu nous regardes, maintenant. Pendant ce temps, tu peux me caresser mais doucement, j'ai tellement joui que je suis très sensible... Pierre, venez ici...

Marc venait de quitter la pièce. Pierre allait se pencher vers ses vêtements tombés au sol, il se tourna vers Carole : son sexe démesuré tenait horizontalement, d'une raideur impressionnante. Le gland violacé tressautait à quelques centimètres du visage de Carole. Malgré la situation, Pierre ne semblait pas vraiment mal à l'aise et il répondit :

- Ecoutez, Carole, je crois que votre mari a été plus que puni, il vaut mieux qu'on s'en tienne là...
- Oh non, Pierre ! Vous n'avez pas compris ? Nous ne sommes plus dans la punition, là : nous inaugurons notre nouvelle conjugalité. Stéphane est d'accord, il vient de la dire... Et puis, avec le plaisir que vous m'avez donné ce soir, je ne vais pas vous laisser partir comme ça, vous n'avez même pas joui...

La main de Carole avait saisi la base de la hampe et sa langue commençait déjà à courir tout du long. Pierre semblait décontenancé, et il jeta un regard éperdu vers Stéphane, qui regardait fixement sa femme lécher consciencieusement la verge.
- Stéphane... Vous...
- Non, Pierre, allez-y, Carole a été claire, je... Allez-y

A ces mots, et comme si elle n'attendait que ce signal, Carole fit disparaître le gland dans sa bouche accueillante, puis commença à faire coulisser le pieu titanesque entre ses lèvres gourmandes. Elle entama quelques va-et-vient précautionneux jusqu'à ce que la colonne glisse entièrement. Pierre s'était laissé aller et lui caressait à présent les cheveux, comme pour l'encourager discrètement dans la tâche qu'elle exécutait à merveille. Lorsqu'elle eut bien pris la mesure, en longueur et en largeur, de la virilité de son amant, Carole commença à accélérer le mouvement, suçant le gigantesque dard avec avidité. Pierre gémissait de plus en plus fort, et lorsque Carole le sentit près de basculer, elle interrompit sa fellation pour commenter :
- Vous voyez Pierre, que ça vous plaît... Vous auriez manqué ça, alors que mon mari est d'accord ? Et moi aussi, bien sûr ! J'adore vous sentir dans ma bouche, elle est douce et... Hmmm... Tellement grosse... Rien que de vous sucer, je suis encore toute excitée... Tu as vu, Stéphane ?

De sa main libre, Carole guida les doigts de Stéphane vers son entrejambe humide.
- Caresse-moi, toi... Pierre, s'il vous plaît, laissez-vous aller, vous pouvez venir dans ma bouche, j'en ai tellement envie.... Pas vous ?
- Comme vous voulez, Carole, je me retiens depuis pas mal de temps...

Carole emboucha fiévreusement la trique géante et redoubla de vigueur dans sa fellation, et elle gémit pendant que Stéphane, obéissant, caressait doucement le pubis trempé de sa femme.
Pierre se raidissait de seconde en seconde et, rapidement, il éructa :
- HAAA! CA Y EST, JE VIENS !!!

Il tendit son bassin, les lèvres de Carole vinrent buter contre son pubis et l'on devina sa verge palpiter dans la bouche de la belle blonde. Pendant de longues secondes le corps de Pierre fut traversé de sursauts, et Carole déglutissait posément, les lèvres amoureusement serrées autour de la colonne charnue. Lorsque la tension de Pierre baissa un peu, elle fit coulisser l'engin le long de ses lèvres, et le gland jaillit d'un coup, éjaculant une dernière giclée qui vint s'écraser contre sa joue. Carole leva les yeux vers Pierre tout en recommençant à lécher délicatement la verge.

- Eh bien ! Vous en aviez gardé beaucoup, rien que moi ! Mais ça veut dire aussi que je me suis bien occupé de vous, non ?
- Carole, vous êtes... Incroyable...
- Hmmm... Vous aussi, Pierre... Donc, maintenant vous le savez, je suis à votre disposition quand vous voulez, mon mari est d'accord. Si vous avez envie de ma petite bouche, vous n'avez qu'à m'appeler... Ou venez directement, ce sera vraiment avec plaisir...

La silhouette de Marc refit son apparition dans l'embrasure de la porte. Carole sourit et reprit :

« D'ailleurs... Vous ne voulez pas rester à la maison, ce soir ? »

(FIN)