une affaire en or (II)

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Proposée le 14/12/2009 par anphets

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Lorsqu'elle redescendit dans le salon, Stéphane et Pierre étaient toujours dans le bureau, Stéphane lui montrant une fonctionnalité de son outil informatique. Il leva la tête à son arrivée et lui jeta un regard noir. Carole eut un doute sur le sens de cette colère, prit son air le plus implorant puis partit en cuisine en disant : « Je vais préparer la suite... ».
Marc arrivait derrière elle et s'exclama : « Oui, bonne idée ! Allez, Stéphane, Carole, l'incident est clos, n'en parlons plus. Au fait, désolé Stéphane, mais j'ai profité de ce qui était disponible... ».
Stéphane était sorti du bureau et semblait rasséréné par la réaction de Marc, qui portait à présent un de ses costumes. Carole revenait de la cuisine et ses joues s'empourprèrent lorsque Marc prononça sa dernière phrase, d'autant plus qu'il la regardait avec insistance.
Stéphane, lui, ne remarqua rien.

Tout le monde se rassit à table, et Carole apporta le plat de résistance. En bons convives, Marc et Pierre s'extasièrent sur ses qualités de cuisinière. Stéphane se calmait à mesure que l'atmosphère se détendait et, rapidement, il reprit la discussion avec Pierre là où ils l'avaient laissée dans le bureau. Il était à nouveau rentré dans sa bulle. Pierre l'écoutait attentivement et captait toute son attention, alors que Marc ne portait qu'une oreille distraite, multipliant les regards en douce vers Carole qui restait les yeux rivés dans son assiette.

Au bout d'un moment, elle se leva et demanda :
- Quelqu'un en veut encore ?

Marc répondit immédiatement :
- Ah oui, moi !

Il arborait un grand sourire et adressa un discret clin d'oeil à Carole qui rougit à nouveau. Elle reprit pourtant :
- Et pour vous, c'est bon ? Je peux le ramener en cuisine ?

Pierre répondit courtoisement qu'il en avait assez, et Stéphane s'interrompit à peine pour lui signifier la même chose. Les deux hommes avaient du mal à abandonner leur conversation.
Carole fit le tour de la table et vint servir l'assiette de Marc. Celui-ci en profita pour lui passer la main sous la jupe et lui caresser tranquillement les fesses. Carole se tortilla légèrement comme pour manifester une assez timide désapprobation. Pierre et Stéphane étaient totalement absorbés par leur discussion et ne faisaient absolument pas attention à eux. Marc murmura quelque chose, contraignant Carole à se pencher vers lui, par réflexe, pour mieux écouter. Ainsi cambrée, elle s'offrait encore plus largement à sa convoitise et les doigts de Marc vinrent s'aventurer dans le sillon ainsi ouvert. Il lui glissa quelque chose à l'oreille et Carole devint subitement blême, puis se redressa. Elle finit de le servir puis s'enfuit en cuisine en emportant le plat.

La discussion des deux hommes n'en finissait plus, et Marc finit par y prendre part. Au bout d'une dizaine de minutes, où Carole n'était pas revenue à table, on l'entendit demander de la cuisine :
- vous avez terminé ? Je peux amener le fromage ?

Sans attendre de réponse, elle revint avec un superbe plateau dans les bras. Arraché à sa discussion par l'annonce de Carole, Pierre avait mécaniquement tourné la tête vers l'ouverture de la cuisine mais resta cette fois-ci les yeux rivés sur la jeune femme qui parcourut prestement les quelques mètres qui la séparaient de la table. Un peu trop prestement d'ailleurs : elle semblait pressée de faire son office et de s'asseoir. Intrigué par la soudaine inattention de Pierre, Stéphane lui demanda :
- On est bien d'accord là-dessus, n'est-ce pas ?
- Euh... Oui, oui... Répondit mécaniquement Pierre, les yeux toujours fixés sur une Carole rougissante.

Stéphane tourna subitement la tête vers sa femme, comme s'il redoutait une nouvelle gaffe. Il la regarda et, considérant que tout était en ordre, lui adressa un bref sourire et dit :
- Merci, chérie... Bon, Monsieur R., nous disions donc que...

Pierre semblait incroyablement troublé et, comme pour chercher un appui, tourna son regard vers Marc. Celui-ci regardait Carole avec gourmandise et arborait un franc sourire plein d'ironie. Remarquant les signes de Pierre, il s'arracha brièvement à sa contemplation et, aidé par sa position à table, lui adressa un énorme clin d'oeil. Stéphane, quant à lui, insistait :
- Non...? Vous n'êtes pas d'accord ?

Le regard de Pierre s'attarda une dernière fois sur Carole, comme pour vérifier quelque chose, avant de revenir avec inquiétude sur son interlocuteur : il n'avait rien remarqué !

Carole était en effet revenue à table en ayant manifestement enlevé son soutien-gorge ! La dentelle noire sur laquelle son mari avait tiqué trois heures plus tôt avait en effet disparu, et Pierre avait surtout aperçu les tâches sombres des aréoles à travers le fin tissu. La chaleur de fin de repas aidant, la pointe des seins commençait déjà à transparaître...

Pendant des longues minutes, Pierre sembla totalement interloqué par la situation, et il n'arrêtait pas de regarder successivement Carole, qui avait les joues empourprées et les yeux plongés dans son assiette ; puis Marc, qui regardait tout le monde d'un air goguenard ; et Stéphane enfin, qui était toujours totalement absorbé par son quasi-monologue.

Au bout d'un moment, il reprit pied dans la conversation avec Stéphane. Personne ne touchait plus aux couverts depuis quelques instants que Carole fit mine de se lever pour débarrasser et passer au dessert. Pierre lui jeta un coup d'oeil discret puis s'adressa à Stéphane :
- Bien, bien... Ecoutez Stéphane, je vais être très franc avec vous...
- Oui ?

Tout le monde retint son souffle à cette phrase. Carole roula des yeux effarés et même Marc sembla gêné l'espace d'un instant. Peu sensible à son petit effet, Pierre enchaîna tranquillement :
- Je ne devrais pas dire ça mais... Voilà... Je suis assez convaincu par votre outil, vraiment...

Les respirations avaient repris... Mais Pierre continuait imperturbablement :

- Si, si... C'est un bon produit à la base, et vous déployez des arguments irrésistibles pour le mettre encore en valeur (il glissa un regard vers Carole)... Toutefois, il y a quelque chose qui me cause souci...
- Ah ? Dites-moi !

Stéphane avait répondu à la limite de la correction, mais son visage était à présent éclairé. Il ne doutait manifestement pas de convaincre son interlocuteur sur un dernier point, forcément mineur...
- Eh bien, j'ai une longue expérience de bien des logiciels, et je m'inquiète par principe des questions de portabilité ou, disons, de qualité de l'émulation à distance. Vous savez, avec le nombre de personnes qui sont amenées à travailler en dehors du bureau, c'est un point sur lequel je n'ai plus tellement droit à l'erreur...

Comme la conversation semblait avoir repris une tournure technique, Carole s'en désintéressa et se leva discrètement pour débarrasser les assiettes. Elle remarqua toutefois que son mari était un peu embarrassé par la question, ce qui n'était pas si banal... Il n'avait pas perdu de sa contenance et continuait à discourir :
- Oui, oui, bien sûr... Je sais que ça marche bien mais, pour vous le montrer...

Carole était revenue pour récupérer le plateau de fromage lorsque Stéphane s'exclama :
- Ecoutez, j'ai une solution pour vous faire une vraie démonstration. Je n'ai qu'à lancer une session « serveur » au bureau, et vous verrez d'ici qu'un client peut se connecter et utiliser l'outil sans souci ! Vous verrez du même coup qu'on peut utiliser plusieurs types de navigateurs. Qu'en pensez-vous ?
- Euh... Pourquoi pas... Mais j'ai une réunion demain matin, puis je pars en mission dans la foulée... Ca va retarder le processus...
- Oui, mais c'est pour ça que je vous propose de le faire ce soir, d'ici !

Pierre semblait incrédule :
- vous voulez aller au bureau maintenant ?
- Mais oui ! Ce n'est pas très loin, et ça ne prendra pas longtemps à cette heure-ci !
- Oh... Euh... C'est quand même compliqué... Ca m'embête de vous faire faire tout ce...
- Ne vous en faites pas, aller et retour c'est l'histoire de trois-quarts d'heure, même pas. Allez, c'est dit !

La discussion avait été menée à un train d'enfer. Le visage de Carole se décomposait à mesure que celui de Stéphane s'éclairait, trop impatient qu'il était de décrocher son affaire.
Sans attendre de réponse, il partit dans le hall d'entrée chercher ses clés.

Carole vint le voir et lui dit :
- Euh, mon chéri... Tu es sûr que...
- Mais oui, c'est tout simple, tu vas voir.

Décontenancée, Carole n'avait plus d'argument sérieux :
- Et... Euh... Mais pour le dessert ?
- Oh, ça c'est pas grave, vous m'attendez pour le prendre.

Il revint dans le salon et dit aux deux hommes :
- Je n'en ai pas pour longtemps... Passez au salon en attendant, euh... Et prenez une coupe de champagne si vous voulez. Carole s'occupe de tout. Hein, chérie, tu prends soin de nos invités ?

Il avait évidemment prononcé cette dernière phrase sans l'ombre d'une arrière-pensée...

Puis, sans rien ajouter, il partit en claquant la porte. Quelques secondes plus tard, on entendit le moteur vrombir, les pneus crisser sur le gravier. La voiture s'éloigna rapidement de la petite résidence.

Ce fut Pierre qui décida de rompre le silence glacial qui s'était abattu sur le salon :
- Eh bien ! Quel enthousiasme ! Ma chère Carole, votre mari est un homme... Très étonnant... N'est-ce pas, Marc ?
- C'est le moins que l'on puisse dire... Mais il n'est pas le seul...

De toute évidence, Marc se retenait de sauter sur la jeune femme qui semblait totalement éperdue. Pierre, qui ne laissait rien paraître, reprit le plus naturellement du monde :
- Ma foi, l'invitation de Stéphane n'était pas si mauvaise, je suis partant pour une petite coupe de champagne ! Carole, dites-moi, il est bien dans le frigo ?
- Euh... Oui mais...
- Ta ra ta ta ! Laissez-moi faire, vous n'avez pas arrêté de la soirée, je peux bien faire un peu de service ! Asseyez-vous donc, tous les deux.

Marc obtempéra sans hésiter et alla s'asseoir promptement dans le sofa moelleux. Un peu rassérénée par le ton neutre de Pierre, Carole sembla reprendre un peu de courage et alla au buffet chercher des flûtes, qu'elle déposa soigneusement sur la table basse devant Marc. Pierre revint de la cuisine au même moment et, joignant le geste à la parole, s'exclama :
- Parfait, tout y est ! Mais asseyez-vous donc !

Carole n'avait plus d'autre choix que de s'asseoir entre les deux hommes. Elle s'assit sur le bord du sofa, comme prête à se lever à la moindre alerte. Pierre servait tranquillement les flûtes tout en devisant d'un ton badin :
- Oui, ce Stéphane, vraiment épatant ! Je n'ai jamais rencontré de gars aussi calé que lui. A certains moment, j'étais complètement largué...
- Ouais... Moi, j'ai décroché assez vite en fait... Rétorqua Marc en souriant à Carole.
- Ah bon... Puisqu'il n'est pas là, je peux vous avouer : il me plaît vraiment, son outil. Avec un truc comme ça dans la division, on va résoudre pas mal de problèmes... Làààà, voilà, trois ! Tenez, Carole (il lui tendit une coupe), tiens (une seconde à Marc).

Dans sa manoeuvre, il s'était imperceptiblement rapproché de Carole jusqu'à toucher sa cuisse, mais elle n'osa pas faire un mouvement de peur de trop se coller à Marc.
- Je propose de trinquer au succès de cette affaire ! Franchement, Carole, c'est bien engagé, votre mari a fait ce qu'il fallait...

Il avait très discrètement jeté un coup d'oeil au chemisier de la jeune femme, qui n'eût pas le temps de le remarquer. Ils trinquèrent et burent leur première coupe de champagne. La discussion reprit avec légèreté sur leurs vies personnelles, comme elle s'était interrompue à l'apéritif. Carole se détendait progressivement, manifestement rassurée par la présence de Pierre qui était resté tout contre sa cuisse. Elle était également bien aidée par le champagne, que Pierre et Marc resservaient généreusement dans les flûtes :
au bout de dix minutes, deux bouteilles avaient été vidées. Carole avait perdu toute appréhension et s'était progressivement enfoncée dans le sofa entre les deux hommes. Elle riait volontiers aux plaisanteries de Pierre, qui interrompit brutalement la conversation en disant d'un ton rêveur :
- Marc a eu raison de vous faire retirer votre soutien-gorge... Vous avez des seins magnifiques.

La foudre était tombée sur Carole, qui resta paralysée alors que Marc surenchérit :
- Oui, je me doutais bien qu'il y aurait de quoi faire... Ils sont beaux et lourds... Un vrai plaisir à caresser

Joignant le geste à la parole, il glissa une main sous son sein gauche. Après un instant d'hésitation, Pierre se décida à faire de même avec le droit ; avant même d'avoir pu dire quoi que ce soit, Carole se retrouvait pressée entre les deux hommes qui la caressaient à travers le chemisier.

Elle semblait totalement perdue, et n'arrivait pas à articuler un seul mot. Marc et Pierre avaient doucement écarté le tissu de son chemisier pour découvrir une poitrine effectivement somptueuse, qu'ils entreprirent de caresser, soupesant et pétrissant doucement les globes, agaçant les tétons qui durcissaient à vue d'oeil. Marc rompit le silence :
- Et pour te dire à quel point Carole est accueillante, elle a également retiré son string tout à l'heure...
- C'est pas vrai ? répondit Pierre, vaguement incrédule.
- Ah mais si ! Tu peux vérifier, si tu veux... Tu es d'accord, Carole, hmm ?
- s'il vous plaît...

Malgré cette faible protestation, Carole écartait lentement les jambes, permettant à la main curieuse de Pierre de remonter à l'intérieur de la cuisse, caressant les bas jusqu'à la couture. Puis ses doigts arrivèrent au contact du pubis, arrachant à la jeune femme un tout petit cri indéfinissable. Pierre s'exclama :
- Tu as raison ! C'est incroyable... Carole, vous êtes... Vraiment surprenante...
- Je vous en prie...

Pierre avait tranquillement remonté la jupe de sa main libre, pendant que l'autre venait fouiller la fente humide qui s'était encore davantage dégagée : Carole avait en effet largement écarté les cuisses, totalement absorbée par l'étreinte de Marc qui ne tarda pas à l'embrasser fougueusement tout en lui caressant la poitrine. Elle commençait à gémir tout doucement et à onduler du bassin, s'enfonçant de plus en plus au creux du sofa.
Elle poussa un petit « oh ! » qui interrompit Marc dans son assaut. Profitant de sa position très alanguie, Pierre venait de lui introduire deux doigts dans la chatte, lui pelotant toujours les cuisses de son autre main. Marc se dégagea légèrement comme pour profiter du spectacle, puis il commença à caresser également la cuisse de Carole et dit :
- Ma chère Carole, on dirait que tu es dans d'excellentes dispositions à présent... Comme l'a dit ton mari, je crois qu'il est temps que tu prennes soin de nous, maintenant. Regarde, tu as vu dans quel état tu as mis mon ami Pierre ?

Comme fouettée par cette invective rieuse, Carole ouvrit les yeux et regarda Pierre qui continuait soigneusement son intromission. Il eut un sourire, retira doucement sa main de l'entrejambe de Carole et se renversa sur le dossier.
Elle avait à présent les yeux rivés sur l'entrejambe de Pierre, qui présentait une bosse non équivoque. Elle bredouilla :
- Mais, euh... Je... Qu'est-ce-vous voulez, à la fin ?

Pierre lui prit la main et la guida vers sa fermeture éclair en répondant :
- Rien de méchant, ma chère petite... Juste que vous m'aidiez à me relaxer un peu, voyez, je suis tout crispé... Voilààà...

Carole avait doucement ouvert la fermeture et entreprit de dégager du slip une verge qui ne semblait pas complètement tendue mais déjà imposante, peut-être plus grosse que celle de Marc. Elle la prit en main et commença un timide mouvement de va-et-vient alors que Pierre poursuivait :
- Vous pouvez la caresser, voilà... vous allez voir, elle va devenir dure... c'est bien... comme ça...

Carole s'était un peu enhardie et fixait avec un regard indéfinissable la verge qui grossissait sous sa caresse. Marc continuait de flatter les cuisses et les seins de la belle jusqu'à ce qu'il s'exclame :
- Bon, allez, on va se mettre un peu plus à l'aise...

Sans ménagement, il prit Carole par la taille et la fit pivoter en direction de Pierre, puis il lui fit mettre les genoux sur le sofa. Lui-même se cala entre les jambes de la jeune femme qui lui présentait ses fesses rebondies sous la jupette et il commença à les caresser pendant que son pouce venait fouiller le renflement de la vulve. Carole avait vaguement protesté de l'action impérieuse de Marc mais ne s'y était pas opposée, elle était à présent à quatre pattes sur le sofa, le bassin tendu vers Marc, et elle avait repris en main le sexe de Pierre qui avait désormais des proportions impressionnantes : les doigts de la jeune femme n'arrivaient plus à en faire le tour. Elle commençait à gémir à mesure que Marc faisait progresser les doigts dans son vagin.
- Dis-donc, Carole, il faudrait que tu sois un peu plus active, quand-même... Pierre va finir par se lasser...

Il semblait que Carole n'attendait que ce signal : elle prit fiévreusement dans sa bouche le gland énorme de Pierre et ses lèvres entamèrent un lent et doux va-et-vient pour faciliter la progression de l'immense trique dans sa bouche.
Pierre avait posé sa main sur la tête de Carole et l'incitait à poursuivre plus loin sa fellation. Elle ne sembla pas s'en formaliser et poursuivait avec application son ouvrage, les joues déformées par la taille démesurée du mandrin de Pierre. Spectateur attentif du spectacle, Marc n'en restait pas inactif pour autant : il lui avait introduit trois doigts dans le vagin, et fouillait minutieusement son intimité. Sous la caresse, Carole gémissait et ondulait du bassin, mais elle ne semblait pas vouloir que les doigts se retirent, bien au contraire. Avec une ardeur presque choquante, elle pompait l'énorme bite qui semblait devenir de plus en plus dure. Elle abaissait de plus en plus son visage, de plus en près de la base velue, écartant les lèvres autant qu'elle le pouvait, comme si elle mourait d'envie d'avaler toute entière cette colonne charnue.
Marc avait à présent introduit quatre doigts dans le vagin et, après quelques minutes de masturbation, il retira un pouce luisant de cyprine et vint l'apposer contre la rosette fripée. Carole intensifia ses gémissements, mais sans cesser de pomper avidement le mandrin de Pierre.

Le téléphone se mit à sonner. Carole s'interrompit brutalement, tandis que Marc avait bondi sur ses jambes en direction du combiné posé sur la table basse. Il le tendit à Carole, toujours agenouillée sur le canapé.
- Euh.. Allô ? (Marc et Pierre reconnurent la voix exaltée de Stéphane à travers le combiné) oui, mon chéri... Oi, ça va... Euh... Et toi, tu en es où... Ah ? Tu es encore au bureau (Pierre consulta sa montre) ? Hmm, oui... D'accord, je te le passe.

Carole tendit le combiné à Pierre, qui parut légèrement surpris.
- Allô ? Oui...

Alors que Pierre commençait à discuter avec Stéphane, Carole reprit sa position, reprit la queue turgescente de Pierre dans sa bouche et recommença à le sucer avec application. Pierre arborait un immense sourire et avait un peu de mal à suivre la conversation avec Stéphane :
- Ah... Eh bien oui, écoutez, c'est une bonne idée... On fait comme ça... Bien... Comment ? Oh, oui, parfait ! Votre femme est une hôtesse merveilleuse. (Carole s'interrompit pour lui adresser un sourire complice). Nous vous... OK, je vous la repasse (il rendit le combiné à Carole)
- Allô... Oui... (Carole avait gardé le sexe de Pierre en main et lui donnait de petits coups de langue). Non, tout va bien mon chéri... Tu en as encore pour longtemps ? (elle sourit au téléphone) Oh... Bon, eh bien on va t'attendre alors... Je Ahhh !

Carole n'avait pu retenir un petit cri de surprise : la bite de Marc venait de pénétrer son vagin, sans qu'elle se soit rendue compte qu'il s'était déshabillé et positionné derrière elle. Elle conserva suffisamment de lucidité pour conclure :
- Euh... Non, rien chéri, je me suis cognée contre le pied de la table... Hmmm... Bon, on t'attend, mon chéri, à tout à l'heure...

Elle raccrocha et le combiné tomba à terre. Marc avait compris le signal et commençait à la pénétrer de plus en plus profondément, lui arrachant des soupirs d'aise :
- Ahhmmm... Oooohhh... C'est bon...
- Ahh, ça fait du bien, hein, ma petite Carole... Tu voulais la sentir dans ton ventre, hmm ?
- Ohhmmm... Ouii... Continue...
- Et Pierre alors ? Regarde, tu l'as bien délaissé... Tu manques à tous tes devoirs, dis-moi...

Sans un mot, Carole se pencha et engloutit le membre dressé de Pierre, pendant que Marc entamait une série de va-et-vient de plus en plus amples en commentant :
- Voilààà, c'est bien... Elle s'y prend bien, hein, Pierre ?
- Et comment ! Carole, vous êtes très douée...
- En tous cas, elle n'est pas farouche ! Elle m'a bien pompé tout à l'heure dans la salle de bains ! Ca t'a plu, hein, petite garce ?

Carole émit un petit grognement pour toute réponse. Pierre répliqua :
- C'est pour ça que vous êtes restés si longtemps en haut ? Je me disais bien, aussi... Et Stéphane qui n'a rien remarqué ! Tiens, d'ailleurs (il regarde sa montre), voyons... Il ne rentrera pas avant vingt, vingt-cinq minutes. Il faudra qu'on fasse attention, quand même... Je ne suis pas sûr qu'il apprécie de voir sa femme aussi dévouée... Qu'en pensez-vous, Carole ?

Marc avait accéléré le rythme et lui imposait à présent une pénétration plus que vigoureuse. Carole avait de plus en plus de difficultés à garder la verge de Pierre en bouche tant l'assaut de Marc se faisait farouche. Elle se résolut à le libérer et Marc en profita pour redoubler d'ardeur. Elle se mit à gémir sans retenue pendant que Marc l'apostrophait :
- Oohhmm... Ahhh... Vas-y... Ouiiii...
- Ca te plaît, hein ? Te faire tringler avec ton mari au téléphone...
- Mmmm... Oui... C'est excitant... Continue... Ahmm !

Elle avait poussé un petit cri car Marc avait profité du relâchement de Carole pour introduire un doigt dans la petite rosette fripée qu'il flattait depuis de longues minutes.
Après quelques minutes de ces assauts vigoureux, Marc se retira mais il combla immédiatement la chatte béante par quatre doigts, l'autre main poursuivant l'investigation de son anus ? avec deux doigts à présent. Carole avait repris la bite de Pierre en bouche mais ses gémissements ne signalaient aucune désaccord. Les mouvements de son bassin indiquaient même qu'elle encourageait au contraire ces doigts à s'aventurer un peu plus loin... Soudain elle relâcha le sexe de Pierre et gémit :
- Arrête avec tes doigts !

Marc s'immobilisa immédiatement
- Excuse-moi, je...
- Non, viens, j'ai envie que tu me prennes le cul...

Marc retira ses doigts luisants de cyprine du vagin de Carole, qui manifestait sa désapprobation :
- Mais qu'est-ce que tu fais ? Reviens...
- Pas tout de suite, ma belle, on va changer un peu, si ça te gêne pas...

Marc se redressa sur le canapé, comme pour s'installer un peu mieux. Carole en profita pour prendre une position plus confortable. Elle se rassit entre les deux hommes, sa jupette recouvrant à nouveau la couture de ses bas, son chemisier toujours largement béant sur sa poitrine dénudée.
De sa main gauche, elle saisit la hampe de Marc qui tressautait à hauteur de son visage, pendant que sa main droite masturbait doucement la verge géante de Pierre. Son regard allait de l'une à l'autre avec la même expression indéfinissable. Marc rompit le silence :
- A quoi tu penses, Carole ? On n'a pas tout notre temps, là...
- Vous avez de belles queues...

Sans rien ajouter, elle engloutit la bite de Marc entre ses lèvres et entama un va-et-vient appliqué, comme pour nettoyer le sexe de toute trace de ses propres sécrétions. Pierre se redressa, vint se mettre comme Marc à genoux à côté de Carole et présenta son mandrin tout près du visage de la jeune femme.
Elle quitta comme à regret le sexe de Marc et reprit sa double masturbation en levant les yeux vers ses deux amants. Puis elle dit tout doucement :
- Il faut arrêter, maintenant...
- Comment ça ? Tu plaisantes ?
- Non, ça va trop loin... Stéphane va arriver...
- Mais non, pas tout de suite. Allez, viens te faire mettre, ma jolie !

Marc s'était confortablement installé dans la canapé, à moitié allongé et la bite fièrement dressée vers le plafond. Carole caressait toujours doucement les deux tiges et semblait plongée dans une profonde réflexion. Elle finit par dire :
- Bon, d'accord, mais vite, alors...
- Ah ah ! T'as vu, Pierre, elle en meurt d'envie...

Comme guidée par une impulsion soudaine, Carole se laissa glisser du canapé et vint s'agenouiller entre les jambes de Pierre et prit en bouche sa verge tendue. Elle reprit alors ses va-et-vient langoureux, essayant une nouvelle fois de l'engloutir tout entière. Pierre semblait ravi du traitement, et le manifestait ouvertement en lui passant la main dans les cheveux.
Marc se redressa, et vint se positionner derrière la jeune femme. Il lui posa une main sur la hanche, et incita Carole à s'agenouiller en disant :
- Voilà, comme ça... Ouvre-moi ton derrière, ma petite
- Ohmm...

Sa queue dressée avait à nouveau investi le vagin trempé de la jeune femme, et il commença à la pistonner en se calquant sur le rythme de sa fellation.
Puis il ralentit un peu la cadence tout en amplifiant ses allers et retours, ce qui arrachait des grognements de satisfactions à la jeune femme toujours dévouée à une pipe de grande classe sur l'invraisemblable pieu de Pierre.
Marc retira tranquillement sa tige du vagin à présent dégoulinant. Carole ne put s'empêcher de protester :
- Hmm... Qu'est-ce-que tu fais ?
- Tu vas voir, ma chérie...

Son gland luisant vint buter contre l'anus encore légèrement dilaté par sa caresse précédente. A ce contact, Carole se raidit légèrement et abandonna la tige de Pierre ; Marc lui demanda :
- Ca va ?
- Hmm... Oui... Mais fais attention, s'il te plaît... C'est la première fois...
- C'est pas vrai ?
- Vas-y, j'ai envie... Mais fais doucement, je t'en prie
- Ne t'inquiète pas, c'est toujours bien la première fois...

Il appuya son gland contre la rondelle qui se contractait ; Carole sembla résister un court instant à cette poussée, le gland brûlant poussa encore, forçant très délicatement l'entrée. Carole poussa un léger cri de douleur : le gland était passé, faisant céder le sphincter et pénétrait dans l'étroit conduit.
Carole avait fermé les yeux et son visage était très tendu, sans que l'on puisse dire si elle souffrait ou non. Elle émettait de tout petits cris qui accompagnaient la lente progression de Marc dans son cul.
Elle avait totalement délaissé le sexe de Pierre, qui palpitait doucement à quelques centimètres de sa bouche. Carole continuait à gémir et Pierre lui demanda :
- Ca va, Carole ?

Carole sembla lutter pour retrouver un peu de lucidité et répondit :
- Oh... Oui... Mais j'ai... J'ai peur... Qu'il me déchire...

Marc ne répondit pas, se contentant de légers mouvements de sa queue dans ses entrailles qui arrachèrent un petit cri plaintif à Carole.
Progressivement, elle commença à s'habituer à ce pieu de chair dans son orifice et elle se mit à onduler d'avant en arrière, aidant la queue à aller de plus en plus profond à chaque fois.
- Elle commence à aimer ça, hein ? Regarde-la se tortiller sur ma bite !

Comme pour abonder dans son sens, Carole s'appuya le visage contre la cuisse de Pierre, fit glisser ses mains sur les flancs et vint s'écarter elle-même les fesses pour faciliter son intromission.
Comprenant le signal, Marc la saisit alors par les seins et se mit à lui donner des grands coups de reins, faisant coulisser son membre dans son cul de plus en plus loin.
- Putain que tu es serrée ! T'as vraiment un cul de vierge ! Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer ? Hein ! Allez, réponds !
- Oui, c'est bon' Ouiii? Ouiii? Je t'en prie? Oh oui !?
- Bon ! Maintenant, tu peux t'occuper à nouveau de Pierre. Tu n'as rien contre, n'est-ce-pas ?
- Han... Ohmm... Non... Humpfl (elle avait repris la tige géante en bouche)
- J'ai l'impression que tu aimes ça, deux hommes pour s'occuper de toi... Continue, pompe-le bien, oui, à fond'

Elle était solidement sodomisée à présent, et elle pompait toujours son autre partenaire avec autant d'application. Marc la tenait fermement par les hanches pour mieux lui limer le rectum et Pierre lui appuyait sur la tête pour enfoncer sa bite le plus loin possible.
- Applique-toi, hein ! Elle fait ça bien, Pierre ?
- Tu parles ! Même ma femme m'a jamais bouffé la queue comme ça... Oui... Comme ça... Ohhhh.... Putain ! la garce ! c'est incroyable, je la sens dans sa gorge... Hmm...

Bien que bâillonnée par la trique géante, Carole partit d'un cri perçant, signe de sa jouissance. Marc continua à la pistonner un peu puis relâcha son effort et se retira doucement. La jeune femme suçotait doucement le gland de Pierre tout en reprenant ses esprits, et ne réagit pas lorsque le gland ressortit de l'anus à présent totalement dilaté, et que Marc commentait :
- Eh bien... Pour une première fois, on dirait que ça t'a plu... T'as un sacré cul, ma chérie... Bon... Je vous laisse, il faut que j'aille me nettoyer un peu. Ne t'inquiète pas, je connais le chemin...

Carole était toujours agenouillée et léchait tranquillement la verge de Pierre, qui enchaîna :
- Carole... Ca va ?
- Hmmm... Oui... J'ai joui fort...

Sa langue continuait à courir le long de la tige monumentale, comme si elle ne pouvait pas s'empêcher de la goûter. Elle poursuivit :
- Mais c'était bon... J'en ai eu envie dès que je vous ai vu... D'ailleurs...

Soudain elle se redressa, enjamba son partenaire et fit mine de s'asseoir sur lui. Pierre se redressa un peu, Carole ajusta un peu sa position, à genoux sur le canapé ; sa main vint s'emparer de la matraque géante et la dirigea vers ses grandes lèvres. Elle ajouta alors :
- Je veux sentir cette grosse queue... Hmmmmmm....

Elle gémit et se mordit la lèvre inférieure pendant que le gland gonflé entrait en elle, écartant ses lèvres à l'extrême pour faire pénétrer son incroyable épaisseur.
- Ohmm... Quelle bite...

Pierra écarta lentement les genoux, positionnant ses hanches de la meilleure manière pour pouvoir la tringler. Puis il commença à limer, enfonçant son gros membre un peu plus à chaque coup de reins. Carole baissa la tête, regardant vers son ventre, observant le va-et-vient du piston veiné à l'intérieur de sa chatte, et cette vision sembla l'exciter violemment. Elle commença à se cambrer et à agiter son petit cul rond, poussant sa chatte palpitante à la rencontre de l'énorme queue de Pierre qui disparaissait progressivement dans son accueillant fourreau.
- Oh... Pierre... C'est tellement bon... J'ai des frissons de partout...
- Carole, vous êtes... Délicieuse...

La voix chaleureuse de Pierre lui fit comme l'effet d'une caresse. Elle se mit à ronronner doucement, tout en amplifiant son mouvement de va-et-vient sur le sexe géant. Pierre ne bougeait plus et se laissait faire, mais les dimensions de son engin suffisaient de toute évidence à combler sa partenaire.
Ils poursuivirent ainsi pendant de longues minutes puis Carole accéléra la cadence, tout en poussant des gémissements de plus en plus forts. Soudain elle partit dans un long cri plaintif qui marquait un nouvel orgasme :
- Pierre... Ohmmm... Ouiiiii.... Oh, c'est bon... Oui.... OOOOOOOHHHHHH !

Puis elle s'effondra sur le torse musclé de Pierre, qui lui caressait doucement les bras et les cuisses. Pendant qu'elle reprenait ses esprits, Pierre lui passait la main dans les cheveux en lui parlant doucement.
Quelques instants plus tard, Marc revenait au salon en sifflotant. Son arrivée sembla réveiller Carole, qui sursauta, se redressa puis se releva brusquement. Elle dit :
- Oh la la... Vite, vite...

Puis elle s'enfuit en direction de la salle de bains, sans accorder un regard à Marc et à Pierre.
Les deux hommes se regardèrent et Pierre demanda :
- Un problème ?
- Hmm... Ca dépend de ce que tu appelles un problème... Mais comme son mari ne va pas tarder à rentrer, elle préfère peut-être ne pas être surprise en pleine action... Ha ha !
- Ah oui, mince, tu as raison, j'avais presque oublié...

Pierre se rhabilla rapidement ; comme il n'avait pas joui, son slip contenait difficilement son sexe en érection et, malgré ses efforts, son pantalon formait toujours une bosse sans équivoque à l'entrejambe. Marc ironisa :
- Il va falloir te calmer, hein, sinon le monsieur va se poser des questions quand il arrivera... A moins qu'il comprenne tout de suite...
- Ouais, ça va... Dis donc, c'est quand même un sacré coup, cette nana...
- Tu parles ! un vrai volcan. Elle fait sa mijaurée, mais déjà à l'apéro elle n'arrêtait pas de me mater. Et quand je lui ai demandé, elle m'a taillé une sacrée pipe dans la salle de bains. Je lui ai envoyé une bonne purée, elle a tout pris, la garce ! Je lui ai piqué son slip, elle n'a rien dit non plus... A table, je lui demande d'enlever son soutif, et elle le fait... Et pour la suite, tu as vu... A mon avis, elle devait être sacrément en manque !
- Hmm... Moi qui pensais que la soirée serait mortelle... Je n'aurais jamais imaginé ça !
- Ouais... Bon, Pierre, c'est pas tout ça mais il faudrait qu'on mette un peu d'ordre si on ne veut pas attirer l'attention...

Les deux hommes remirent rapidement en place le téléphone, les coussins sur le canapé et posèrent près de l'escalier les chaussures de Carole. Lorsque tout était revenu en place, ils s'assirent tranquillement et continuèrent leur conversation virile en attendant le retour de leurs hôtes.