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Week-end surprise !

Proposée le 3/12/2009 par Chookette

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« Peu importe ! » lui dis-je alors que nous discutions de nos projets du week-end à venir.

« d'accord, je m'occupe de tout : hôtel, balades' Tu n'as pas à t'en faire. », me répond-t-il, malicieux et mystérieux comme il savait l'être.

La semaine passe vite et, vendredi arrive. Je suis toute euphorique en préparant les quelques vêtements pour ces deux jours de dépaysement : deux, trois jolies robes très légères ? il faisait déjà bien chaud pour ce début d'été - une jupe courte comme il les aimait tant, des sous-vêtements sexy au cas où il me viendrait l'idée d'en mettre pour une fois, ma trousse à maquillage, et - la météo étant incertaine pour les jours à venir - de la lecture dans l'éventualité de rester enfermée à l'hôtel !

Sur le trajet vers cette destination inconnue, je le questionne sur ce week-end « surprise ». Ces réponses évasives et son sourire ne me donnent guère de renseignements, toutefois, il me confirme que ça va me plaire? énormément, et que je ne regretterai pas ! Ce dont je ne doute pas un seul instant. Nous avions passé déjà tellement de bons moments et ne comptions pas en rester là?

Je me réveille après quelques heures de route? j'ai dû m'endormir en rêvant à je ne sais quoi? Je m'aperçois que nous longeons la mer en nous approchant d'une charmante station balnéaire.

l'hôtel est ravissant, il fait un temps magnifique, et je m'imagine dès demain, allongée sur la plage, entièrement nue, offerte aux rayons du soleil' j'en ai déjà bien profité les jours derniers, et j'avoue que ma peau dorée attire les regards, à la plus grande joie de mon compagnon qui adore me partager de cette manière !

Nous déposons nos quelques bagages dans notre chambre avec vue sur mer. Elle est très spacieuse, le lit gigantesque. Bref, les conditions sont idéales pour passer deux jours de bonheur en amoureux.

Alors que je commence à défaire nos vêtements, penchée sur le lit, je sens ses yeux insistants dans mon dos. Je me retourne, et ce que je vois ne me trompe pas. Il a envie de moi, son regard est brûlant. Je sais à cet instant que nous allons passer une soirée très chaude, comme nous les aimons. Je lui propose, amusée, d'aller prévenir nos voisins de palier des éventuelles gênes occasionnées pas nos « bruits » ! Il me répond dans un demi-sourire de ne pas m'en faire, et qu'il n'y a pas de voisins prêts à s'en plaindre? au contraire !

Prenant cette remarque comme un trait d'humour, je n'y prête pas plus attention et ne pose pas de questions'

Commençant à bien me détendre en ce début de week-end, je l'enlace tendrement, et commence à lui caresser le torse, le dos, les fesses si appétissantes dans son jean. Je sens contre mon ventre, son sexe déjà bien gonflé. j'entends sa respiration. Nous nous embrassons passionnément.

Soudain, sans ménagement, il me retourne contre lui, et tout en me maintenant très fermement les bras, il m'embrasse, me mordille dans le cou. Je sens sa respiration qui s'accélère, et surtout je sens, dans le creux des reins, à travers les tissus, sa queue, énorme et dure. Je me laisse aller à ses caresses sur le visage, sur mes seins bien tendues, et ma chatte commence à s'humidifier se préparant à la recevoir.

Il me plaque alors contre le lit. Je tombe sur le ventre dans un cri étouffé. Ma jupe a remonté, et mes fesses, nues, sont découvertes. « Tu avais tout prévu pour ne pas perdre de temps, mon ange » me susurre à l'oreille mon gentil tortionnaire. « Tu savais donc tout ce qui t'attendait ? ». Et, il ponctua cela d'une vive claque sur mon postérieur offert à sa vue. Je ne peux pas m'échapper puisque de son autre main, il me tient toujours solidement les poignets au-dessus de ma tête.

Je n'en peux plus, je suis déjà toute trempée. Cette « ambiance » est nouvelle pour moi, et je n'ai jamais senti autant d'assurance et de fermeté chez mon compagnon. Nous faisons l'amour très souvent, toujours agréablement mais jamais de cette manière, et j'avoue que c'est délicieux de se sentir passive et contrainte.

Mon côté un peu rebelle me rattrape pourtant, et je tente de me redresser.

Une main ferme appuyée entre mes omoplates me fait comprendre que je dois rester ainsi. j'obéis, et je comprends vite pourquoi puisque je sens qu'il m'attache les chevilles aux barreaux du lit. j'essaie de me retourner, en vain, et mes poignets ont droit au même sort. Je suis donc à cet instant complètement vulnérable, entièrement offerte et', à mon grand étonnement, terriblement excitée par ces jeux !

« Tu as tout juste assez de latitude pour te mettre à quatre pattes, mon amour » me dit-il, s'étant allongé contre moi.

Il m'embrasse le visage, me caresse les cheveux, et je sens sa main qui glisse sur mes fesses et entre mes cuisses. Je n'attends plus que cela, qu'il me caresse sans ménagement la chatte, qu'il me prenne vigoureusement avec sa queue? Cet état de soumission me rend folle de désir et d'impatience, comme jamais. j'ai hâte de sentir son sexe tendu entrer en moi?

Tandis que ces doigts vont et viennent le long de ma fente, de son autre main, il sort de sa poche, un foulard' je comprends à cet instant que le jeu ne fait que commencer ! Il me bande les yeux alors' et continue à m'embrasser. Ses lèvres sont douces, sa langue chaude et je l'imagine fouiller mon sexe, et s'arrêter sur mon clitoris, déjà bien gonflé par tout ce qui vient de se passer depuis notre arrivée. Comme il m'avait été affirmé en début de semaine, je ne vais pas regretter notre petit voyage dépaysant, j'en suis sûre !

Alors que je me laisse aller sous ses doigts agiles, j'entends alors la porte de notre chambre s'ouvrir doucement. j'essaie de me relever, mais j'avais oublié que j'étais attachée. Je panique un peu et, affolée, demande à mon compagnon ce qui se passe. Quelqu'un s'est peut-être trompé d'étage ou de chambre ? j'ai honte et pas du tout envie d'être vue dans cette fâcheuse position : pieds et mains liés, les yeux bandés, allongée sur un lit, les fesses à l'air !

Le calme de mon ami me surprend, il n'a pas bougé et me caresse toujours aussi délicatement l'intérieur des cuisses.

j'entends la porte qui se referme, des pas autour du lit. Quelqu'un est avec nous. Tout va très vite dans ma tête. Je suis partagée entre l'excitation et la peur? Que va t-il m'arriver ?

Me sentant paniquée et tendue, mon compagnon me rassure : « Ne toeinquiète pas, ma chérie. Il ne va t'arriver que des bonnes choses, ce soir. On est là pour ton plaisir. Tu n'as qu'à te laisser aller. »

Ce que je fais alors de façon surprenante et immédiate... j'ai confiance en mon délicieux bourreau ! Et l'idée qu'un autre homme puisse me voir ainsi et puisse abuser de moi de cette manière sous les yeux de mon amoureux est finalement très excitante !

Mon ami s'est levé, et j'entends alors qu'on se déshabille rapidement' des vêtements tombent sur le parquet. Et moi, je suis toujours attachée, docile et ouverte à la vue de mes' désormais' deux? amants !

Deux mains m'enserrent la taille et me redressent d'un coup sec. Je me retrouve alors à quatre pattes, le cul cambré et offert' Je mouille énormément ce qui facilitera, je l'espère, les (d)ébats. Je me mets à imaginer ce que je vais prendre ce soir... Je connais bien la bite de mon compagnon, grosse, ferme, et vigoureuse? mais, je ne connais pas notre invité et je me surprends à être bien impatiente de sucer son gland, et de le sentir glisser dans ma chatte.

Je sens un souffle chaud entre mes jambes, et deux mains sur mes fesses. Une langue tendue et humide se pose sur mon petit bouton, tout tendu. Le contact m'électrise et, je sais alors qu'il ne me faudra pas longtemps avant de jouir, à moins que mes deux hommes du moment me fassent patienter? Jusqu'à ce que je n'en puisse plus !

c'est curieux et très troublant de ne pas savoir à qui appartient cette langue? A qui sont ces mains qui pelotent maintenant mes seins sous mon chemisier ?

j'entends des respirations haletantes' Il fait chaud, très chaud.

Je suis caressée longuement' des doigts entrent en moi me faisant pousser de profonds gémissements... ma chatte dégouline de plaisir? Mon clitoris est gonflé comme jamais' Tout comme mes seins pétris, léchés. Je ne sais combien de temps dure tout cela.

Comblée ou presque, Je n'ai plus envie que d'une chose ou plutôt deux? et, cela, ne tarde pas à venir puisque je sens un des deux hommes arrêter ses délicieuses caresses sur mon sexe et se redresser. Il fait alors glisser son gland ferme sur ma fente et mes lèvres, et j'imagine son bout luisant de désir? « c'est bon », lui dis-je en soupirant... et là je le supplie de me prendre vite et profondément. Et, soudain, ses deux mains me maintenant la taille, sa queue énorme me pénètre violemment en me faisant hurler. Mon autre compagnon de jeu me retient par les épaules afin que je puisse rester dans cette position. Sous les coups de boutoir qui suivent cette puissante entrée en matière, il m'est difficile de me maintenir tellement notre invité m'entreprend avec une ardeur incroyable (je devine que c'est lui au nouveau diamètre très honorable de queue que mon vagin enserre).

Cela dure et dure un temps infini. Je suis limée de fond en comble. Pendant que je subis ses assauts à mon plus grand plaisir, mon homme m'a tranquillement déshabillée. Je suis donc entièrement nue, vulnérable à souhait, et si excitée. Le liquide qui nous éclabousse à chaque pénétration confirme que je mouille comme une salope.

Une bite que je connais bien s'est glissée dans ma bouche, et je me mets alors à sucer avidement mon compagnon qui me soutient toujours, ses mains sous mes seins.

Ils soupirent, gémissent. Je sais qu'ils ne sont pas là loin d'exploser en moi, et qu'ils se retiennent tous les deux pour prolonger au maximum cette douce soirée d'été?

Ils ne tardent pas à inverser les rôles et, toujours en levrette, je me fait prendre délicieusement, et tranquillement cette fois par mon amoureux tandis que le sexe inconnu s'engouffre dans ma bouche. Son gland est tellement turgescent que je manque d'étouffer. Finalement, à entendre les râles de plaisir de mes deux hôtes, je pense avoir réussi à m'adapter à tout cela comme il faut, puisque je suce l'un goulûment tandis que j'ondule du bassin afin de procurer à mon homme un maximum de sensations.

Cela doit bien faire 1 heure que je suis prise de cette façon. La position devient assez inconfortable. Mon ami qui me connaît bien, et toujours soucieux de mon bien être comprend rapidement, et, il détache alors les liens qui m'enserrent les chevilles. Il m'aide délicatement à me retourner sur le dos; mes mains toutefois sont toujours attachées.

j'imagine ce que ces deux hommes voient près d'eux : une jeune femme, ses longs cheveux détachés, nue, les yeux bandés, les bras tendus au dessus d'elle et maintenus au lit, haletante, et dégoulinante? de quoi les exciter encore, encore...

Effectivement, j'en ai vite la confirmation. Deux bouches me lèchent les seins, me mordillent les tétons alors qu'une multitude de doigts me fouillent, me pincent le clitoris' deux langues en même temps le titillent' c'est délicieux? je gémis, je soupire, je crie.

Un de mes amants me glisse même un doigt dans l'anus. Je suis tellement humide par la lubrification liée au plaisir, et par la transpiration liée aux efforts, que cet inquisiteur glisse en moi avec une facilité déconcertante. Il doigte alors ce trou un petit moment jusqu'à bien le dilater.

Je sais alors où cela va nous mener. Cela ne se fait pas attendre puisque mon compagnon se glisse sous moi, tandis que notre invité se place entre mes jambes qu'il m'écarte largement.

Son sexe toujours aussi gros et tendu revient avec la même vigueur que lorsqu'il prenait par derrière. Il commence à faire quelques allées et venues... Mon ami qui me retient sur lui me pelote les seins sans retenue? puis, me soulève les fesses pour m'ouvre un peu plus, et là, il place son gland à l'entrée de mon cul et me fait descendre délicatement le long de sa bite. j'ai donc maintenant deux braquemarts en moi, je suis prise par les deux trous !

Notre inconnu marque la cadence doucement. Je me dilate à l'extrême grâce à ces deux énormes verges. Nos gémissements et soupirs se mêlent alors que le rythme augmente. Des mains me pincent les seins, mon compagnon m'embrasse profondément, l'autre se permet même de me donner une claque sur les fesses ce qui a pour effet de me faire gémir plus fort. Ils vont et viennent de plus en plus vite, et, de plus en plus profondément. j'essaie de remuer le bassin et le derrière afin de m'adapter à cette double pénétration. Mais, ils sont costauds et vigoureux et je ne fais pas le poids ! Le rythme augmente encore et encore?

Mes deux hommes s'acharnent à me donner des coups de bite pour me faire hurler? Nos trois corps ne sont que transpiration et moiteur? Leurs râles se font de plus en plus rauques, et là je sens leurs deux membres chacun dans leur trou se raidir et se tendre à l'intérieur de moi.

Une chaleur intense m'envahit aussi, je sais que nous allons jouir tous ensemble. c'est notre invité qui le premier hurle, se tend en moi? Ce qui a pour effet immédiat d'amener mon amoureux à lui aussi gémir comme jamais je ne l'avais entendu. Je sens mon vagin et mon anus se remplir de leurs foutres en même temps alors qu'ils continuent à me baiser. Moi aussi, transie de ces plaisirs nouveaux et si intenses, je me laisse aller à la jouissance, et les supplie de me prendre encore, encore jusqu'à l'explosion finale. Je tressaute en hurlant, me débat ne sachant plus où je suis, ivre de bonheur?

Leurs spermes dégoulinent entre mes jambes' Mes amants restent en moi un moment, notre invité s'est allongé sur mon ventre? Je suis donc entre eux deux les yeux toujours bandés. Ils me caressent les cheveux, m'embrassent le visage? Et je m'endors dans leurs bras, épuisée et comblée?

Je me réveille, il fait jour dehors' Mon compagnon est assis près de moi sur le lit, il me caresse le visage et me regarde en souriant. Il m'explique que je dors profondément depuis la veille.

Me repassant soudainement la soirée en mémoire, je me sens peu honteuse. Et, affolée, je demande à mon homme qui était cet inconnu qui m'a baisée hier soir.

Il me prend dans ses bras, et me glisse à l'oreille « Peu importe, mon ange», et m'embrasse alors tendrement'