Puis-je vous laisser seuls ?

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Proposée le 2/12/2009 par Chookette

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Je suis complètement épuisé? La journée de travail a été longue. Malgré la présence de Philippe chez nous ce soir, je m'apprête, notre repas terminé, à monter me coucher. Vous avez la chance de pouvoir dormir demain matin, ce qui n'est pas mon cas'

Avant de monter, je te chuchote à l'oreille des consignes de sagesse avec notre invité? Juste pour entretenir le petit jeu, entre nous, sur d'éventuelles aventures triolistes'

Depuis quelque temps, ces idées fantasques pimentent nos soirées amoureuses, sans que nous ayons, pour le moment, eu l'audace de franchir le pas. Je me souviens d'ailleurs d'une discussion, que j'avais eu avec notre ami, à ce sujet, lors d'une soirée un peu trop alcoolisée? Il m'avait laissé entendre très clairement que l'idée lui plaisait beaucoup.

Allongé dans notre lit, je garde la porte de la chambre ouverte afin de vous entendre discuter. Tu ris de plus en plus. Le cliquetis des bouteilles me laisse penser que vous n'êtes en rien à court d'énergie? Je m'assoupis lentement.

j'entends, lointain, Philippe parler?
-« Tu es belle, tu sais' Tu m'as toujours fait bander? »
Je sors aussitôt de mon demi-sommeil et reste écouter avec intérêt vos propos. En réponse à ces paroles, tu te contentes de rire.
Puis, un silence remplace vos voix quelques dizaines de secondes.
-« Arrêtes, Philippe, s'il te plait' »
j'imagine qu'il vient de t'embrasser? Je remarque, avec délectation, le peu de conviction dans ta demande? Je m'assois au bord du lit.
Le silence se répète. Plus long encore. Je sors silencieusement de la chambre.
j'imagine avec plaisir le trouble qui doit te parcourir. En m'asseyant sur la première marche de l'escalier, je vous aperçois sans peine. Vous êtes assis l'un contre l'autre, bouches collées. Ses mains retiennent ton visage dans une douce étreinte. Tu sembles le repousser doucement, manifestement en vain.
Tu te relèves brutalement. Ton sourire est un peu plus bouleversé que de coutume.
-« Arrête ! Vraiment' Je ne veux pas' s'il te plait' »
Tu sembles maintenant presque implorante. Debout, face à lui, juchée sur tes talons, ta jupe au-dessus du genou, ton décolleté avantageux, les cheveux détachés entourant tes lèvres rouges et tes paupières brillantes, tu ne te rends peut-être pas compte qu'aucun homme ne pourrait résister à l'envie de te prendre.
Il te fait rasseoir, gentiment, mais fermement. Je ne bouge pas de mon emplacement, ravi de te voir dans une telle situation. Je te devine à la fois excitée et effrayée, gênée de mon absence, mais attirée par ses avances.

Sa main se glisse dans ton cache c'ur. Tu ne souris plus. Il commence à pétrir doucement ton sein. La bretelle de ton soutien gorge vient de glisser sur ton bras, dénudant ton épaule. Tu ne bouges pas. Un de tes seins sort maintenant complètement. Sa bouche se pose et s'attarde sur ton mamelon durci. Passive, tu poses une main sur sa tête tout en fermant les yeux. Sa main glisse sur ton genou. Puis remonte doucement. Relevant ta jupe au fur et à mesure, elle arrive maintenant en haut de ta cuisse. Ses doigts quittent la surface brillante de ton bas pour venir effleurer ta peau. Ils se posent sur ton sexe, le caressant à travers le tissu fin et soyeux de ta culotte. Sa main plonge enfin à l'intérieur, t'arrachant un profond soupir au moment où je devine qu'il vient de glisser un doigt en toi. j'observe tes genoux s'écarter spontanément sous ses caresses.

Philippe se lève alors, puis, calmement, commence à se déshabiller. Tu le regardes, sans réaction, comme pétrifiée.
Il se tient debout, nu, le sexe gonflé démesurément, devant toi.
-« Viens' »

Il te fait lever et s'agenouille devant toi. Passant ses mains sous ta jupe, il fait glisser ta culotte le long de tes jambes. Tu dégages tes chevilles de cet accessoire inutile. Philippe s'est presque allongé sur la table basse du salon.
Il te tire par la main, toeincitant à le chevaucher.
Tu es debout, jambes écartées, au-dessus de lui. Vous vous regardez.
Quelques marches descendues, je suis assis, au milieu de l'escalier, nu, le sexe raidi par tant d'excitation.
Tenant son sexe droit dans une main, il te tire une nouvelle fois vers lui, te forçant à t'asseoir. Ta tête bascule soudainement en arrière, dans un petit cri. Ta jupe recouvre vos bassins superposés, mais je devine qu'il a maintenant pénétré au plus profond de toi.

Je descends encore quelques marches. Je t'observe, à califourchon sur sa queue, prenant appui sur tes pieds, de part et d'autre de la table, pour rythmer les mouvements de ton bassin. Tes mains sont posées sur son torse alors qu'il malaxe tes seins en te regardant bouger sur lui.

Je me lève et descends lentement ce qui reste d'escaliers. Philippe me voit m'approcher et comprend aussitôt, à mon sourire, et peut être aussi à mon érection, que je suis loin d'envisager une scène de jalousie. Tu tournes la tête et m'aperçois à ton tour. Tes cheveux couvrent partiellement ton visage.

Je me rends compte que des larmes ont coulé sur tes joues, répandant au passage quelques traces de maquillage. Tu poursuis tes mouvements tout en me regardant, l'air implorante et coupable. Je m'approche encore et te caresse la joue.
-« Ça va mon amour? Ma petite pute? »
Tu esquisses un sourire qui me semble presque douloureux.
Écartant tes cheveux, je glisse mon sexe dans ta bouche sans dire un mot.
Tu commences, sans grande alternative, à me sucer, tout en remuant sur sa queue. Philippe t'as saisi par les hanches et t'aide à bouger sur sa bite, de plus en plus vite. Tes seins ballottent au rythme régulier de ces va et viens.

Nous parlons un peu de toi entre nous, vantant tes talents, réfléchissant à ce que nous pourrions te faire. Je sais combien nous entendre converser de la sorte peut t'émoustiller.
Je sors de ta bouche. Tu me souris plus franchement.
m'installant derrière toi , je caresse tes hanches, ta taille. Puis, je soulève un peu plus ta jupe. Humectant mes doigts, je commence à masser lentement ton anus. j'y fais pénétrer un doigt.
-« On va te prendre à deux, mon ange? deux bites pour toi toute seule? »
Je m'approche de toi. Philippe fait cesser vos mouvements et je viens presser ma queue sur ton anus. Te retenant par l'épaule, maintenant fermement mon sexe d'une main, je fais entrer mon gland en toi. Tu pousse un cri aigu alors que j'achève de te pénétrer.
Nous sommes tous les deux en toi, immobiles. Ta respiration est rapide.
Nous commençons à bouger tout doucement, recherchant une cadence harmonieuse. Tu t'agites de plus en plus, comme pour t'échapper de notre prise. Je saisis tes cheveux, tirant légèrement vers moi pour t'obliger à plus de docilité.
-« Ça va, mon amour ? Tu aimes te faire baiser comme ça ? »
Presque en larmes, tu sembles incapable de répondre. Seuls tes signes de tête me font comprendre ton envie de continuer.

Chaque mouvement t'arrache de nouveaux cris. Nous n'entendons plus que toi.
-« Tu sais que nous allons jouir en toi? »
Quelques instants seulement après te l'avoir dit, et redoublant d'effort pour chaque coup de queue à te donner, nos gémissements se mêlent aux tiens.
Je sens mon sexe, irradiant un plaisir intense, délivrant, pulsatile, ses giclées de sperme en toi. j'imagine ta chatte se remplir du foutre de notre copain'

Maintenant en dehors de toi, nous restons là, à te serrer dans nos bras.
Partagée entre rire et larmes, gentiment câlinée, tu sens nos spermes tièdes couler doucement le long de tes cuisses.