Ma baise avec un bel inconnu

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Proposée le 27/11/2009 par batman69

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Oh oui!! Vas-y! Enfonce ta grosse queue dans ma chatte, tu en meurs d'envie! Oh oui, c'est bon! Vas-y plus fort! Plus loin! Continue! Fais-moi jouiiiiirrrrr!!!! Aahhhhhhh ouuuiiiiiiiiii!!!!!

Hmmmm... ce ne sont pas là de très sages pensées qui me traversent l'esprit, mais que voulez-vous, je suis une incorrigible bête de sexe et lorsque je vois un étalon du genre de celui qui me reluque depuis son tabouret du bar, je ne peux empêcher mon imaginaire de dériver.

Le problème, c'est qu'en ce moment même j'ai la chatte en feu! Ça fait bientôt une heure qu'on s'observe plus ou moins discrètement ce gars et moi et je commence à être fatiguée de jouer à ce petit jeu. Non mais que ne faut-il pas endurer pour le simple plaisir de se faire sauter par un inconnu ? Celui-la est incroyablement sexy et je suis tellement en manque!! Ça doit bien faire un mois et demi que je ne me suis pas envoyée en l'air et je n'en peux plus! Il me faut de la sueur et des gémissements plaintifs, une bite et du sperme et une bonne claque sur une fesse ou je ne réponds plus de moi! Et ce soir, c'est LUI que je veux sous moi, derrière moi, EN moi!

Je porte une jupe qui épouse parfaitement les courbes de mon corps, mais qui se relève tout aussi vite qu'elle s'enfile. C'est mon côté pratique! Avec ça, un simple corsage à fines bretelles pour rehausser le tout et ce soir, j'ai décidé d'agacer un peu ces messieurs en ne portant pas de soutien gorge. Bon je l'avoue, en réalité, je ne porte aucun sous-vêtement, ce que je regrette presque car je sens la moiteur de ma chatte se répandre tranquillement entre mes cuisses et ça devient presque inconfortable. Cela dit, le petit courant d'air qui s'y infiltre chaque fois que je décroise et recroise les jambes ne me déplait pas du tout. Et je suis probablement assise sous une trappe d'air car mes seins pointent effrontément, à en faire presque mal. Les mamelons durcis sont tellement évidents sous le tissu que je ne pourrais ignorer tous les regards masculins qui se braquent sur eux. J'en retire un plaisir énorme, je l'admets. Je me plais à imaginer quelques unes de ces langues qui viennent lécher mes seins, les titiller, les faire pointer encore plus. Hmmmm... ça y est, je recommence à mouiller!

C'est moi qui ai payé un verre à ce charmant jeune homme. Il l'a accepté avec un sourire, mais alors que je m'attendais à ce qu'il comprenne l'intention et qu'il vienne me voir pour me remercier, eh bien le con il n'a pas bougé d'un pouce! Mais n'a-t-il pas perçu ma tentative de séduction dans ce geste ? De toute évidence, il me faudra prendre les choses en main. Et je ne parle pas ici de prendre sa belle queue dans ma main. Non, non! Enfin... pas tout de suite! Je me suis déplacée légèrement sur ma chaise de façon à lui offrir une vue saisissante sur ma chatte chaque fois que j'écarte les jambes. À son regard, j'ai compris qu'il avait vu ce que je souhaitais qu'il voit. Ses yeux ont glissé de mon entrecuisse pour croiser les miens et il a prestement déposé son verre. Enfin, il saisissait mon langage non-verbal! Nous nous sommes levés d'un même coup et sans même avoir besoin de se parler, nous nous sommes tous deux dirigés vers les salles de bain.

Il a brusquement poussé la porte de la salle de bain des dames et m'a entraînée dans la cabine du fond dont il a vite verrouillé la porte. Le temps de le dire, j'avais sa langue dans ma bouche, une main frottant ma chatte à travers ma jupe et l'autre qui me pelotait un sein! Lent à comprendre les messages subtils, mais rapide sur la gâchette quand on parle de sexe! Son baiser était fiévreux, empreint d'un désir fou et à peine contenu et sa queue était déjà terriblement dure dans ses jeans, je la sentais sous mes doigts qui frottaient le tissu. J'ai détaché sa ceinture alors qu'une de ses mains tentait de relever ma jupe. J'ai fini par trouver l'objet de mon désir et je l'ai agrippé de ma main pour l'extirper de son pantalon. Une belle grosse queue bandée et dont le gland appelait ma bouche comme jamais! Je l'ai repoussé contre le mur, la jupe déjà bien relevée et le cul à l'air, et j'ai attrapé ses bras que j'ai maintenus de chaque côté de son corps pour qu'il comprenne qu'il devait se laisser faire et c'est là que j'ai pris sa bite au fond de ma bouche. Il a poussé un gémissement très rauque. Ça m'a donné le goût de lui offrir la meilleure fellation que j'avais jamais faite. Je le suçais à fond, poussant sa queue au fond de ma gorge. Je lui empoignais les testicules et les massais doucement dans ma main pendant que ma bouche allait et venait le long de sa verge si dure, si tendue. Ma langue s'enroulait autour de son gland, le mordillait doucement, puis reprenait le vas-et-vient sur sa bite. J'ai pris ses fesses à pleines mains et j'ai moi-même donné le mouvement que je souhaitais. Son sexe faisait l'amour à ma bouche au rythme que je lui donnais. Je laissais ma langue s'amuser, léchant chaque parcelle de peau, parfois en plongeant mon regard dans le sien, laissant seulement le bout de ma langue agacer le gland alors que je voyais ses yeux cligner rapidement et s'embrouiller sous l'effet du plaisir. Il gémissait, et moi je suçais. Je suçais longuement, sensuellement, je suçais tout le temps. Je l'ai englouti de nouveau complètement, puis ai ensuite positionné une main à la base de son pénis que j'ai emprisonné et caressé en un mouvement rapide. Tout en enserrant son membre dans ma main, je frottais le bout de son pénis contre mes lèvres gonflées et mouillées. Je le posais sur ma langue et l'agaçait langoureusement. Je laissais mes dents se frotter doucement sur son membre, puis mes lèvres refermaient leur étau sur lui. Je mettais tout mon c'ur dans cette fellation et chaque coup de langue, chaque gémissement m'amenait au bord du précipice. Mon Dieu!! Je voulais tellement sentir cette formidable queue en moi! Je gémissais moi aussi et bientôt mon bel inconnu a poussé un profond râle et il a retiré sa bite de ma bouche pour laisser son sperme exploser sur mon visage. Chaud et épais, il coulait sur mon nez, ma bouche, et ma langue s'occupait d'en récupérer le plus possible. Un délice malgré ma surprise! Aucun homme n'avait jamais éjaculé sur mon visage! Mais je devais reconnaître que ça avait quelque chose de terriblement sexuel et en fin de compte, c'était très excitant!

Il me regardait, pleine de son sperme, avec des yeux brillants d'excitation et de désir. Il m'a passé de quoi m'essuyer le visage. Tant pis pour ce maquillage que j'avais mis beaucoup de soins à élaborer. Il m'a ensuite aidée à me relever pour aussitôt me retourner et me plaquer contre le mur. Il a relevé ma jupe encore plus haut et j'ai immédiatement senti son gland venir cogner contre mes fesses. Mais c'est qu'il voulait m'enculer ce cochon! Pour une première baise, c'était plutôt culotté non ? Mais comme je devais reconnaître que j'en avais très envie, j'ai relevé mes jolies petites fesses pour mieux lui présenter ce petit trou qui l'invitait à une petite visite. Il l'a agacé quelques secondes puis sans trop de douceur, a enfoncé sa queue dans mon cul. Oh mon Dieu!!! Plus bestial que ça on pouvait mourir! Je sentais sa bite fouiller mes entrailles, entrer et sortir, forcer toujours un peu plus la porte de ma caverne secrète. Mes fesses claquaient contre sa peau et il grognait de plaisir alors que je n'essayais même pas de retenir mes cris. Il s'accrochait à mes seins et se balançait contre moi, son sexe me défonçant le cul sans ménagement, mais pourtant, je lui disais de continuer, plus fort, plus loin... C'est là qu'une personne est entrée dans la pièce. Je pense bien que l'on avait oublié qu'on se trouvait dans une salle de bain de bar accessible à tous. Sans cesser de bouger une seule seconde, il a mis une main sur ma bouche, puis il a recommencé à me ramoner. J'avais envie de hurler de plaisir, mais je devais me retenir. Et il en retirait un plaisir fou!

Sa queue entrait et sortait de moi, son gland forçait mon petit anneau si serré pour toujours mieux s'enfoncer en moi. De sa main libre, il empoignait toujours un de mes seins si fort que ça en faisait presque mal. Il avait relevé mon haut et caressait ma peau directement. Je nous imaginait vu de haut et l'image si férocement sauvage et sexuelle que j'en ai eu décupla mon plaisir! Il pinça la pointe de mon sein et joua avec. Mais cette autre personne allait-elle bien finir par partir ? Je n'en pouvais plus de retenir mes cris. Mon amant d'un soir me labourait à grands coups de bite, tout en prenant soin de ne pas se cogner contre moi pour ne pas faire de bruit. Heureusement la musique couvrait notre petit air à nous en grande partie.

La personne quitta finalement la pièce et il lâcha ma bouche pour retenir mes hanches. Il cognait, gémissait, et moi j'exaltais! Il retira ensuite sa grosse bite si dure de mon anus pour me retourner afin que je sois face à lui. Son sourire me fait un effet boeuf! Il prenait son pied le cochon!! Me poussant contre le mur, il releva une de mes jambes et sans douceur enfonça un doigt dans ma chatte si chaude! Je brûlais à l'intérieur et j'avais envie de lui crier de fourrer sa bite dedans! Mais non, il continuait son petit manège. De son pouce il caressait mon clitoris, un doigt toujours enfoncé dans mon volcan. J'allais jouir bientôt, je le sentais. Mais je ne voulais pas, je voulais jouir avec sa queue en moi! Son pouce dessinait de petits cercles autour de mon bouton de plaisir tout gonflé, si excité. Il appuyait dessus, le frottait, le caressait plus doucement, me faisant vivre toutes sortes d'émotions. J'avais de la difficulté à tenir debout tant l'excitation était forte!

Il avait fait tomber les bretelles de mon haut et l'avait rabattu devant moi, exposant à son regard une paire de seins magnifiques... ronds, fermes et bien haut perchés et qui m'avaient coûté une petite fortune. Ils étaient parfaits et j'étais heureuse de les exhiber devant lui. Sa langue allait et venait de l'un à l'autre. Il mordillait les pointes dressées et les agaçait, ses doigts toujours enfouis en moi. Je sentais tellement le plaisir monter en moi que je lui ai chuchoté à l'oreille que j'avais envie de sa queue en moi. Ça l'a assurément allumé et me regardant droit dans les yeux, il a retiré son pouce de mon clitoris palpitant, a relevé ma jambe un peu plus haut et a remplacé ses doigts par sa bite qu'il a enfoncé d'un seul coup sec. J'ai laissé échapper un cri de surprise et de plaisir. Il a plongé sa langue dans ma bouche et l'a explorée longuement. Nos dents s'entrechoquaient, nos lèvres se mordaient, nos bouches se dégustaient. Son sexe incroyable me harponnait sans ménagement. Parfois il le ressortait pour laisser son gland humide de moi se frotter contre mon clitoris. Puis il le replongeait en en plein c'ur de mon brasier.

Soudainement, il s'est retiré de moi et m'a forcée à m'accroupir devant lui pour m'enfoncer de nouveau sa bite dans la bouche. Elle avait un goût de chatte et je trouvais ça plutôt bon. Je l'ai sucé ainsi de nouveau pendant quelques secondes, puis il m'a relevée, a relevé de nouveau ma jambe et m'a enfoncé encore une fois sa bite dans la chatte. Il donnait de rapides coups de bassin et j'étais au bord du précipice. Puis enfin j'ai laissé s'exprimer tout mon plaisir et j'ai poussé un long gémissement de contentement alors qu'un puissant orgasme explosait en moi. Très peu de temps après, il m'a rejointe au paradis du sexe et a laissé son sperme jaillir en moi dans un long et viril râle...

Il s'est retiré de moi et on a rapidement tenté d'effacer les traces de notre petite sauterie. J'ai rabaissé ma jupe, il a remonté son pantalon, puis on est tranquillement sortis de la salle de bain sur un dernier et rapide baiser. Je me sentais toute moite entre les cuisses, ma chatte nue meurtrie par ces assauts, mais si bien contentée. On est parti chacun de notre côté, sans un regard, et je suis rentrée chez moi. Je n'ai jamais su son nom, mais il m'a fait jouir comme une folle... c'est tout ce qui compte non ?