Jalousie ...

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Proposée le 7/11/2009 par Talis Cat

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Je l'avais enfin convaincue. Ce soir nous allions recevoir deux couples. Et elle allait se donner aux hommes pendant que je prendrais les femmes. Ou peut-être me sucerait-elle en se faisant prendre ? J'étais très excité à cette idée. Les deux couples sont arrivés en même temps. Nous avons un peu papoter autour d'un apéritif mais il devint vite clair que nous avions tous envie de passer à la suite. Enfin presque tous ... Je lui ai caressé doucement la taille, massé les épaules en lui murmurant à l'oreille pour qu'elle se détende. En vain. Nous sommes montés dans la chambre. Nous avions deux lits un grand, le notre. Les hommes ses sont tous de suite déshabillés et nous nous sommes assis sur le petit lit. Nous étions tout trois déjà dur et nous nous masturbions déjà quand la première femme à commencer son strip-tease. Elle s'est déshabillée lentement, révélant ses formes. Elle nous a tourné le dos avant de détacher son soutien-gorge. Concert de sifflements alors qu'elle nous adresse un langoureux regard. Lentement elle se met face à nous, maintenant son soutien-gorge détaché sur sa poitrine. Nous devinons le galbe de son sein en la voyant de profil, nos yeux la dévorent lors qu'elle nous tient en haleine. Enfin l'étoffe tombe au sol. Nous poussons des vivats, applaudissons. Elle se lèche les seins puis descend sa culotte., écarte les cuisses et nous montre l'intérieur de son vagin que l'on devine déjà humide. Elle va s'asseoir et commence à se caresser alors que la deuxième femme. S'avance. Nouveau strip-tease, lent et sensuel. Elle ne nous cache pas son opulente poitrine. Mais elle se retourne elle aussi. Cette fois-ci elle descend sa culotte en se penchant en avant, sa fente nous appelle. Puis elle se donne une claque sur les fesses et les écarte pour nous révéler son anus. Elle y enfonce un doigt, lentement. Son mari dit :
"- Vous allez voir, elle adore ça !"
Enfin c'est le tour de ma femme. Elle est gênée, rougissante, n'ose regarder le sexe dressé des hommes qui lui font face, ni les deux femmes qui se donne du plaisir. Elle baisse les yeux. Enfin elle commence à se déshabiller. Sans fioritures. Mais sa gêne, ses manières gauche, accentué par son corps de femme enfant et sa petite taille nous excite. Enfin elle va s'asseoir. L'une des femmes vient la caresser. Elle l'embrasse. Je la sens réticente mais elle se laisse faire. Pour moi.

Enfin l'un de mes compagnons se lève. Le mari de la femme qui aime la sodomie. Il se dirige vers elle. Elle lui sourit. Elle se met à quatre pattes au sol, face à nous. Il l'encule sans ménagement, sans préparation. Elle pousse un cri de jouissance. Je lui présente mon sexe et elle me suce avidement, au rythme des assauts de son conjoint. Elle adore ça, comme il l'avait dit. Enfin il la laisse à nos bon soins et mon autre compagnon l'amène sur le petit lit pour la prendre. Quant à moi, je me rassoie et observe l'homme qui se fait sucer par la deuxième femme. Ma femme reste assise, sans réagir, comme étourdie. Je lui fais signe et elle se décide enfin à le sucer elle aussi, après maintes hésitations. La voir ainsi m'excite. Je me masturbe. L'homme allonge alors l'autre femme sur le lit et la pénètre. Par devant. Puis, rapidement, par derrière. Ma femme est à nouveau assise, se tenant les genoux, prostrée. Je m'approche d'elle et la caresse, l'embrasse. Je sens qu'elle aimerait que l'on soit seul. Je lui dis alors :
"- Regardes comme elle aime ... Profites-en toi aussi !"
Elle rechigne. Mais se dirige enfin vers l'homme. L'autre femme cède sa place et rejoint son compagnon qui sodomise toujours l'autre femme.

Je vois alors l'homme saisir ma femme par les cuisses. Il la soulève en se relevant et sa verge entre en elle. Elle le tient par le cou. Je sens bien qu'elle ne prend aucun plaisir à cette étreinte mais elle pousse de petits gémissements, simule. Pour moi. Une sensation bizarre, une douleur, me saisit la poitrine, le ventre. Je saisis alors mon appareil numérique et prends quelques photos, fais une petite vidéo. Mais je ressens toujours cette sensation. Il a allongé ma femme sur le lit, son sexe la pénètre à nouveau. Je sens sa respiration qui m'est si familière accélérer légèrement : enfin le plaisir la prend. Mais cette sensation, loin de disparaître, s'accentue. J'arrête de prendre des clichés et m'assoit sur le petit lit, la regardant. Je ne bande même plus. Mon autre compagnon a cédé aux caresses des deux femmes et les a recouvertes de sa semence. Il est lui aussi assis, attendant de reprendre de la vigueur. La femme qui aime tant la sodomie vient caresser ma queue :
"- Une petite panne ? Tu ne nous trouves pas à ton goût ?"
Je ne réponds pas, l'autre femme s'est collée à moi, je sens sa poitrine sur mon bras.

Ma femme est à quatre pattes sur le grand lit, notre lit. Elle me fait face mais ne me regarde pas, ne me voit pas ... J'ai mal. L'homme entre dans son anus. Elle se cambre, lui offre son cul. Je bande à nouveau, bien malgré moi. L'une des femmes veut se pencher pour me prendre en bouche. Je la repousse. Elle se méprend sur la raison de cette rebuffade, me chuchote à l'oreille :
« - Elle est belle votre femme. Surtout quand elle prend son pied ... »
Chacun de ses petits gémissements me tuent. Ces petits gémissements que je voulais croire m'être réservé. La femme se penche à nouveau, je la laisse faire. Je jutes dans sa bouche sans même m'en rendre compte. Je suis toujours dur et l'autre femme vient s'asseoir sur moi. Mon sexe vibre à nouveau, finissant de se décharger. Mais je ne débande pas. Elle se déhanche en gémissant, je têtes distraitement ses mamelons. Ma femme est maintenant allongée, l'homme serré contre elle l'encule toujours. Ses seins ballottent en rythme. Je vois l'une des femmes se cambrer à mes côtés, écarter ses fesses, expression muette de son désir d'être à nouveau sodomisée. L'autre homme est à nouveau dur et il s'approche de ma femme. Elle tend le cou pour l'avaler, l'aspirer.

Je craque. Je pousse la femme qui me chevauche et prend violemment ce cul qui m'est offert. Un long cri de plaisir s'échappe de la gorge de la femme. Je me démène en elle. L'autre femme vient la caresser, l'embrasser. A nouveau cette sensation bizarre. De la jalousie. Oui voilà. Je sens qu'à nouveau on me vole ma compagne. Je la prend encore plus violemment. Elle pousse quelques cris de douleur mais toujours me réclame. J'entends ma femme exprimer sa jouissance, j'entends le bruit du corps des hommes sur celui de ma compagne. Je me déchaîne. Les avants bras de la femme ont cédé sous mes assauts, elle est face contre le lit, le drap frotte sur son visage. Elle est en sueur, elle hurle à tue-tête. Je jette un oeil et voit ma femme allongée, un des hommes recouvrant son ventre de sperme, l'autre lui jutant sur le visage. Elle s'empresse des suçoter le gland vibrant de désir. Je donne de grand coups de hanches et éjacule moi aussi. Je ressors presque aussitôt. Je jette presque la femme sur le côté et m'assoit. Je me mords la lèvre et pleure. Ma femme est en train de les stimuler, désirant les sentir encore en elle. Les deux femmes se caressent. Elles ne voient pas ma détresse ou n'en ont cure, ayant obtenues ce qu'elle désirait de moi.

Quand je me ressaisis enfin ma femme se fait prendre par les deux hommes en même temps. Elle halète de plaisir. Je saisis l'appareil, prend un cliché puis le jette au sol. Je sors de la pièce et vais m'isoler au salon. Je suis perdu dans mes pensées mais les cris des jouissance à l'étage résonnent à mes oreilles. Je cherche les siens. Curiosité malsaine. Je n'ai plus de larmes mais, quand je crois les distinguer, mes mains se crispent sur les accoudoirs. Une main se pose sur mon épaule, je sursaute. Je relève la tête. Elle est là. Nue, couverte de foutre mais tellement belle, pure. Elle me sourit :
"- Tu ne viens pas ?"
Je la saisis par la taille, colle mon visage sur son ventre en répétant son nom, mélodie lancinante. Elle a comprit, je le sais. Elle caresse mes cheveux et serre ma tête contre elle. Elle s'accroupit pour que je me retrouve entre ses seins. Je les tète. Enfin elle se dégage et se place entre mes cuisses. Elle lèche ma hampe puis me masturbe délicatement et m'adresse un regard plein de tendresse. Je lui adresse une faible sourire. Elle me suce alors à pleine bouche, durcissant ma verge à l'extrême. Je pousse un râle. Elle se place sur moi. Les lèvres de son intimité frôle mon gland. Je lèche ses seins. Elle me dit alors :
"- Tu devrais savoir que rien ne vaudra jamais la sensation de te sentir en moi ..."
Elle m'embrasse et je me sens fondre en elle alors qu'elle glisse le long de mon corps ...