La prof d'Anglais - 1ère partie - Chantage

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Proposée le 2/11/2009 par Talis Cat

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Histoire de chantage, récit non consensuel


Putain j'y comprends rien à ce contrôle... De toute façon l'Anglais j'en ai rien à foutre, j'vais pas aller travailler à l'étranger... On a quand même de ces bonnasses dans notre classe... Et elles s'habillent comme des putes, c'est bandant. Remarque la prof elle serait bonne aussi habillée comme ça. Elle a beau mettre des hauts qui moulent pas on voit bien qu'elle a des gros seins. En plus je suis sûr qu'elle se met en pantalon pour ne pas avoir à mettre de culotte. Comme ça son mari peut la baiser quand il veut à la maison. Je me demande combien de fois elle s'est faite engrosser cette chienne... Merde, j'ai envie de me branler...
"- M'dame, j'dois aller aux toilettes"
"- Umm, ça ne peut pas attendre ? Il reste à peine un quart d'heure"
T'as qu'à être moins bandante pétasse...
"- Non, m'dame, mais si vous avez peur que je triche vous n'avez qu'à m'accompagner."
"- Très drôle. Allez vas-y."
"- J'peux amener une copine ?"
Toute la classe pouffe de rire. Elle fronce des sourcils. Qu'est-ce qu'elle m'excite quand elle s'énerve !
"- Arrêtez vos bêtises ! Sortez immédiatement et rendez moi votre copie."
Dans tes rêves, j'vais te prendre sur la table plutôt. Je bande vraiment très dur...
"- Z'êtes vraiment pas drôle."
J'ouvre discrètement ma braguette. Je me lève et me dirige vers elle. Je lui tends la copie. Elle la saisit, la pose sur la table. Elle s'aperçoit alors que ma braguette est grande ouverte. La bosse de mon caleçon laisse peu de doute sur mon excitation... Ses joues deviennent pivoine. Elle murmure :
"- Votre braguette est ouverte..."
"- Umm ? Vous dites ?"
Elle détourne les yeux, gênée, et dit un peu plus fort :
"- Votre braguette..."
Je dis à voix haute :
"- Quelle baguette ? De quoi vous parlez ?"
Elle se décide enfin, je sens la honte dans sa voix. Mais je crois deviner aussi une pointe d'excitation... Est-ce juste une impression ?
"- Veuillez fermer votre braguette, les WC sont au fond du couloir, pas ici !"
La classe explose de rire :
"- Umm, ah ok."
Je ferme ma braguette ostensiblement. Je me penche vers elle et murmure :
"- Si vous voulez en voir plus, vous savez où me trouver... C'est au fond du couloir..."
Elle sort de ses gonds, se redresse et hurle en pointant son doigt vers la porte :
"- Sortez immédiatement !"
Les autres élèves sont interloqués, ils ne comprennent pas cette soudaine explosion. L'un d'eux, le bon élève de la classe, une vraie tête à claque, dit :
"- Calmez vous Madame, ca ne vaut pas..."
"- TAISEZ VOUS !"
Elle s'aperçoit alors qu'elle a à nouveau hurlé. Elle tente de reprendre son calme mais je la sens tremblante. Cela m'excite terriblement. Il va vraiment falloir que je me branle...
"- Umm... Excusez-moi. Vous avez raison. En effet, ca n'en vaut pas la peine. Reprenez le contrôle et veuillez me pardonner."
Elle m'adresse un regard noir et sa voix se fait sourde et menaçante :
"- Vous... Dehors. Immédiatement !"
Je sors sans mot dire. Je pensai que ce dernier échange m'aurait coupé l'envie mais je bande au contraire comme un taureau... Ce regard... ce ton méchant... J'ai encore plus envie de l'avoir à la merci de mes coups de bite. Il me faut à peine quelque secondes pour éjaculer dans les chiottes.
Un râle sourd s'échappe de ma gorge. Je pense que pas mal de monde à du l'entendre... Je contemple ma semence qui gicle et j'imagine cette salope de prof en train de la recevoir en plein visage. Sur ses lunettes, son nez, dans sa bouche béante... J'imagine des gouttes tombant dans un décolleté qu'elle n'a jamais eu alors que ses doigts se glissent dans une mini-jupe qu'elle n'a jamais porté... Je me branle encore un peu pour extraire les dernières gouttes. Je ferme les yeux pour mieux l'imaginer. C'est sûr maintenant, je la niquerai cette pute. Oui, ce n'est qu'une question de temps...

Je passe les jours suivants à tenter vainement de trouver un moyen de la faire tomber dans mes griffes. Je la scrute pendant les cours, l'imagine dénudée ou dans des tenues provocantes. Je m'absente souvent pour aller aux toilettes. Je pense qu'elle doit en comprendre la raison. Elle a l'air atrocement gênée à chaque fois et ça m'excite encore plus. A la fin d'un cours je me décide. Je laisse les autres élèves sortir. Elle est plongée dans son cours suivant, elle ne se doute de rien. Puis elle rassemble ses affaires, se lève pour quitter la salle à son tour. Je lui claque la porte au nez. Elle me fixe et dit simplement :
"- Cessez ce petit jeu, ouvrez cette porte."
Je m'approche d'elle. Elle a un mouvement de recul. Mon visage est à quelques centimètres du sien. Je sens son souffle sur mes lèvres, je les lèche. Puis je murmure :
"- Je vous veux. Et je vous aurai !"
Elle veut répondre mais je ne lui en laisse pas le temps, je la saisit parles épaules et l'embrasse. Elle est si étonnée qu'elle ne réagit pas immédiatement. Puis elle se dégage et s'apprête à me réprimander vertement. Mais je suis déjà en train d'ouvrir la porte et je lui lance en partant :
"- Bientôt. Très bientôt !"

Le soir je repense à ce qui s'est passé sur le chemin du retour. Je l'ai déstabilisé. Mais ça ne suffira pas. Il me faut quelque chose... Un moyen de pression. Une voix familière me sort de ma rêverie :
"- Charles. Je suis désolée, mais je crois qu'il va falloir qu'on arrête..."
Je n'en reviens pas : c'est ma prof. Elle ne m'a pas vu, je me cache au coin de la rue et l'observe du coin de l'œil. L'homme dit :
"- Je ne comprends pas... Tu as eu l'air d'aimer pourtant. Je ne te plais plu ?"
J'y crois pas, c'est son amant. En plus elle est habillée comme j'en rêverait : jupe courte, tailleur moulant, des bas dont on devine le haut en dentelle et les jarretelles qui doivent les retenir... Je saisis mon portable et prends quelque photos. Voilà ma chance !
"- Charles .. Ce n'est pas toi le problème. Mais je ne veux plus tromper mon mari."
Elle pose sa main sur son visage, l'embrasse. Nouvelle photo. Puis elle ajoute :
"- Tu as été très bien, mais je ne peux plus continuer ainsi, je dois reprendre ma vie. Je suis désolée..."
"- Pas autant que moi..."
Je jubile. Faut pas être désolée, m'dame, vous venez de me donner ce que je cherchais désespérément ! Je m'esquive en les laissant à leur larmoyant adieux...

Le lendemain j'attends impatiemment la fin du cours. Je m'approche alors d'elle. Je remarque qu'elle se tend, elle doit se rappeler de ce qui c'est passé hier ... Mais la présence des autres élèves, qui ne sont pas encore sortis, la rassure. Elle demande :
"- Oui ? Quelque chose que vous n'avez pas compris ?"
"- En effet. Je me demandais pourquoi vous ne vous habillez pas plus souvent comme hier soir..."
Elle fronce les sourcils :
"- Que voulez-vous dire ?"
J'étale les clichés sur son bureau :
"- Ben comme ça M'dame."
Elle rougit, se hâte de rassembler les photos, fait tomber son stylo et bafouille :
"- Où avez-vous eu ça ?"
"- Oh, je vous ai vu hier en charmante compagnie. Ca avait l'air chaud !"
"- Je... Je l'ai quittée, c'est fini."
"- Je sais. Mais votre mari aura plus de mal à le croire... Enfin si il est mis au courant."
"- Que... Que voulez-vous ? De l'argent ?"
Je fais mine d'être blessé par ses paroles :
"- Oh, voyons, je ne suis pas un vénal maître chanteur. Non, je veux juste que vous vous fassiez belle. Vous êtes excitante habillée comme ça, vous savez."
Elle parait soulagée :
"- C'est tout ?"
"- Oui."
Enfin, pour le moment, pense-je. J'ajoute alors :
"- Et je veux que vous soyez habillée EXACTEMENT comme ça... Si vous voyez ce que je veux dire."
Elle blêmit :
"- Euh oui..."
"- Bien, alors à demain !"
Je m'éloigne, la laissant perdue dans ses pensées. Première manche gagnée !

Le lendemain, elle arrive vêtue comme je lui ai demandé. Les élèves la regardent bizarrement mais cela n'attire pas plus de commentaire. Ils doivent penser qu'elle s'habille ainsi pour son mari... Ou un amant. Ce n'est pas totalement faux d'ailleurs. Je la regarde avec un sourire satisfait. Une fois le cours fini je m'approche d'elle. Elle me regarde méchamment et dit d'un ton sec :
"- Alors ? Vous êtes content ?"
"- Non. Je voudrais vérifié que vous avez bien suivie toutes mes instructions..."
"- Comment ça ?"
"- Et bien... Qui me dit que vous avez une belle culotte échancrée et un soutien gorge en dentelle ?"
Elle serre les dents :
"- Bon... Fermez la porte, je vais vous montrer..."
"- Non. Pas ici."
"- Où donc ?"
"- Vous verrez. Venez."
Je commence à partir sans l'attendre elle ne tarde pas à me suivre : elle n'a guère le choix ! Nous marchons dans les couloirs, arrivons prêt de l'escalier. Je lui dis alors :
"- Ici, ce sera très bien."
Elle gémit :
"- Non ! Vous êtes fou... Pas ici !"
Ma voix se fait impérieuse :
"- C'est moi qui décide. Soulevez votre jupe."
Elle hésite, regarde autour d'elle, tend l'oreille pour guetter des voix puis fini par obéir. Je pousse un sifflement d'admiration. Sa culotte est très jolie. Et elle ne cache pas grand chose... Je bande à l'idée de la caresser. Je m'approche doucement :
"- Le haut maintenant."
Elle fait mine de descendre sa jupe mais je saisis son poignet et lui fait non de la tête. Elle se résigne et ouvre son tailleur puis son chemisier, révélant une superbe poitrine maintenu par un soutien gorge assorti à sa culotte. Je lui caresse la poitrine en souriant :
"- C'est très bien... Très joli."
Elle me supplie :
"- Laissez moi me rhabiller."
Je me recule, la scrute puis hoche la tête. Elle se hâte de se descendre sa jupe. Puis elle reboutonne son chemisier, puis son tailleur. Une voix la fait sursauter :
"- Bonjour, Madame, vous vous êtes faite belle aujourd'hui dites moi !"
C'est un de ses collègues. Elle se retourne, quelques boutons de son tailleur sont encore détachés... Elle bafouille :
"- Euh... Merci."
Il sourit. Qu'a t-il vu ? Je ne sais pas et n'en ai cure. Mais elle en tremble d'effroi et cela m'excite. Il part en la saluant. Elle est pétrifiée. Je m'approche doucement d'elle et ma main descend dans sa jupe, je caresse son intimité. Elle sursaute. Je relève ses cheveux, lui lèche la nuque puis mon autre main se pose sur sa poitrine. Je susurre :
"- J'ai envie de vous..."
Elle reprend ses esprits, se dégage de mon emprise. Elle veut paraître assurée mais sa voix est tremblante :
"- Ce n'était pas prévu ! C'en est trop !"
Je souris. Je décide de ne pas presser mon avantage pour aujourd'hui, je la tiens en mon pouvoir : c'est jouissif. Je la regarde alors et dit simplement :
"- Bien, comme vous voudrez. Mais demain vous ne mettez pas de sous-vêtements..."
Je la laisse plantée au milieu du couloir, satisfait de ma sortie.

Le lendemain je me délecte de la sentir mal à l'aise. Elle n'ose se lever de son bureau de peur qu'on s'aperçoive qu'elle n'a pas de culotte. J'essaie de deviner ses tétons qui doivent poindre à travers son chemisier. Mais elle a volontairement déserré son tailleur pour qu'il soit moins moulant. Cela me contrarie. Bah, je me vengerai bien à la fin du cours. Quand la cloche sonne, je me dirige lentement vers son bureau, savourant ma victoire. elle détourne les yeux, rougit. Elle sait ce qui l'attend. Quand je suis à côté d'elle elle se contente de murmurer :
"- Pas dans les couloirs, s'il vous plait..."
J'arbore un sourire goguenard en disant :
"- Oh, on est pudique ? On dirait pas en voyant votre façon de s'habiller..."
"- Allez au Diable..."
Mon ton se fait dur :
"- Vous ne devriez pas oublier que je vous tiens en mon pouvoir..."
Elle rougit. Elle fulmine intérieurement mais bafouille juste :
"- Excusez-moi... Vous voulez voir ?"
"- Bien, on va rester ici. Vous voyez que je suis gentil."
Elle serre les dents et dit :
"- Oui... Très gentil."
Je ferme la porte. Elle se lève alors et soulève sa jupe. J'admire sa fente, son pubis. Je m'approche et caresse délicatement sa toison. Puis mes doigts se glissent en elle. Elle murmure :
"- Arrêtez..."
Je ne l'écoute pas, m'agenouille et commence à la lécher. Elle me supplie :
"- Stop. S'il vous plait."
Je m'arrête, demande :
"- Vous n'aimez pas ?"
"- Non."
"- C'est dommage..."
Je me relève. Elle commence alors à déboutonner son tailleur. Mais son refus m'a un peu coupé l'envie. Elle ouvre ensuite son chemisier. La vue de ses seins m'excitent à nouveau. Elle a de délicieux mamelons. Je les titille puis les suçote. Elle se laisse faire en poussant un soupir de résignation. Puis je me recule pour mieux la regarder. Je dis :
"- Enlevez complétement votre jupe, et ouvrez mieux votre tailleur et votre chemisier."
Elle s'exécute. Je fais alors mine d'ouvrir la porte elle crie :
"- Non ! N'ouvrez pas !"
Je la regarde en souriant. Puis je me tourne vers elle :
"- Le problème c'est que là j'ai une grosse envie de me branler, il faut que j'aille aux toilettes, regardez !"
Je sors mon sexe bandé. Elle rougit et détourne les yeux :
"- Attendez que je sois habillée au moins..."
"- Impossible, maintenant que j'ai sorti ma verge je n'arrive plus à la rentrer..."
"- Je... Voyons..."
"- Il n'y a plus qu'une solution : vous allez me sucer."
"- Il n'en est pas question !"
"- Après tout c'est de votre faute si je suis dans cet état, c'est normal que vous payez un peu de votre personne."
"- Mais... Vous pourriez être mon fils... Et puis je suis votre prof !"
"- Ah, parce que vous faites ça avec votre fils ? Vous montrez nue et vous faire lécher ?"
"- Non !"
"- Alors vous pouvez me sucer."
"- Je..."
Elle finit par céder. Et puis je sens une pointe d'excitation derrière sa gêne. Elle s'agenouille et commence à me lécher maladroitement. Elle me caresse les bourses. Puis elle avale ma queue. Je pousse un râle et lui dis :
"- Ben voilà... Touchez-vous, excitez votre joli corps..."
Elle obtempère, accélère sa succion. Je saisis sa nuque et lui pilonne la gorge. J'en profite pour faire discrètement quelques photos avec mon portable. Elle ne s'aperçoit de rien. Enfin je sens ma sève monter et m'extrait de sa bouche pour lui juter sur le visage. Je lui dis :
"- Nettoies moi la bite."
Elle obéit à nouveau, me léchant méticuleusement. Elle n'a pas l'air de trouver ça si mal finalement... Je range alors mon sexe te ouvre la porte sans me préoccuper du fait qu'elle soit agenouillée, presque nue et le visage couvert de sperme en face de celle-ci. Elle se hâte de se cacher derrière la porte. Sa jupe traînes au milieu de la salle. Je titille son sein et l'embrasse. Puis je lui dis :
"- Bien, tu n'entendras plus parler des photos de toi et ton amant. Tu as ma parole."
Elle me regarde avec un air suspicieux :
"- C'est bien vrai ?"
"- Oui. Demain tu peux venir comme d'habitude. Je ne t'embêterai plus..."
Je rajoute avec un sourire mystérieux :
"- Enfin, sauf si tu le veux..."
Elle ne répond pas, me regarde. Puis elle me dit simplement :
"- Merci."
Je souris à nouveau :
"- De rien, ce fut un plaisir."
Je m'en vais alors en refermant la porte. Elle pense que c'est fini. Mais pas encore. Je ne l'ai pas encore faite mienne... Je regarde les photos sur mon portable. Et puis j'ai de nouvelles armes maintenant...