Première fois

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Proposée le 1/11/2009 par Sherkaan

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Cela fait plusieurs semaines que le scénario de la soirée se dessinait, depuis cette nuit de vacances hivernales où, alors que nous faisions l'amour sur un grand plaid dans le salon de notre chalet, Caroline se mit à lécher l'un de mes doigts en murmurant qu'elle aurait tellement envie d'avoir une autre queue à sucer ...

N'en croyant pas mes oreilles, je lui ai demandé de répéter, de m'expliquer à quoi elle pensait... Elle me dit sans détour qu'elle avait envie de se faire prendre par deux hommes. Cette confidence fut une véritable révélation. Elle venait en échos à mes propres fantasmes.

Bien qu'elle soit très gênée, elle s'ouvrit rapidement. Elle me confia tout d'abord que faire l'amour avec deux hommes était un fantasme qu'elle avait envie de réaliser depuis très longtemps, qu'elle rêvait de sentir deux queue la baiser à tour de rôle, de goûter au sperme d'un autre pendant qu'elle se ferait prendre par moi. Ce fantasme était né lorsqu'elle avait seize ans, lorsqu'elle eu la chance de baiser avec deux garçons dans la même journée...

Elle avait passé toute la nuit chez l'un de ses prétendants, à faire l'amour dans le jardin, puis elle était rentrée au petit matin avant, à temps pour dormir un peu et partir passer le week-end chez les parents d'un autre de ses amis dans leur résidence secondaire de l'arrière-pays.

À ce moment, elle avait cédé sans protester aux avances de cet autre garçon... Ils avaient baisé dans sa chambre toute l'après-midi, il l'avait sodomisé à l'en faire crier de plaisir, au point qu'elle ne savait où se mettre le soir au dîner, car il était certains que personne n'avait pu ignorer leurs ébats. Ce qui ne l'avait pas empêché de poursuivre le reste du week-end... Se faisant défoncer le cul et remplir la chatte de sperme.

Les jours et les nuits suivantes, contraints de rester la plupart du temps au chalet à cause des chutes de neige, nous parlâmes longuement de ses aventures sexuelles passées pendant que nous nous adonnions à notre passe-temps favori.

Je découvris alors que la jeune femme affirmée mais que je croyais sage aimait se donner à des hommes, qu'elle adorait provoquer, s'exhiber et qu'elle éprouvait une passion immodéré pour le sperme. Toutes choses qui me font grimper aux rideaux !

Elle ne tarda pas à m'avouer qu'elle avait en fait déjà goûté au plaisir de baiser avec deux hommes en même temps, quelques années plus tôt. Après un dîner chez son ami - un homme d'une bonne cinquantaine d'année attiré par les petites chattes de trente ans de moins, comme celle de Caroline - alors qu'ils étaient dans un canapé à parler avec leur invité (un de ses amis les plus proches), son ami la fit basculer dans ses bras et commença à lui caresser délicatement les seins en passant les mains sous son petit top. Puis, rapidement, sur un regard entendu des deux hommes, leur invité commença à lui caresser les jambes sous sa jupe jusqu'à effleurer sa petite chatte.

Pour faire taire sa protestation naissante, son ami se mit à l'embrasser pendant que leur invité lui écartait les jambes pour pouvoir la caresser. Remontant jusqu'à son string Il caressa doucement sa petite fente à travers le mince tissu, lui arrachant des soupirs de plus en plus sonores.

Après de longues minutes, l'ami de Caroline lui demanda de sucer leur invité, ce qu'elle fit avec timidité mais réelle désir. Désormais à genoux sur le canapé, elle ouvrit son pantalon pris sa queue dans sa bouche pendant que son ami lui caressait la chatte, avant de la pénétrer. Elle suça un bon moment leur invité tout en se faisant défoncer la chatte, jusqu'à arriver au bord de l'orgasme. Puis, soudain, son ami se retira, alla s'asseoir dans le fauteuil en face et demanda à Caroline si elle voulait bien donner à leur invité d'autres plaisirs. Elle s'exécuta et, après lui avoir enfilé une capote, alla s'empaler sur sa queue, pendant que son ami les regardait. Elle s'affaira un long moment mais, intimidée, n'arriva pas à jouir.

Elle me dit que les choses en restèrent là, qu'elle refusa qu'il éjacule dans sa bouche. Ce qu'elle regretta ensuite, mais qui lui donna encore plus envie de recommencer et de pouvoir goûter au sperme d'autres hommes.

Elle me conta d'autres histoires, qui me donnèrent plus envie encore de partir à l'aventure avec elle. Je lui avouai que je fantasmais à l'idée de la voir ou savoir se faire prendre par d'autres hommes, en ma présence ou non, de la voir aguicher, se comporter comme une petite salope pour attirer leurs faveurs et se faire baiser dans différentes circonstances, dans différents lieux, par tous les trous.

Le week-end passé, nous en parlâmes longuement, aussi bien dans des moments intimes qu'à tête reposée, même par mail alors que nous étions au travail. Après de longs échanges, nous avons décidé d'envisager de passer à l'action. Nous avons discuté de plusieurs scenarii, mais aucun d'eux ne lui apportait la confiance dont elle avait besoin. Contre toute logique, elle préférait commencer avec quelqu'un qu'elle connaissait au moins un peu. Ayant écarté ses propres relations, elle me demanda si je pensais que l'une des miennes pourrait avoir envie de la baiser avec moi ...

Sidéré par cette demande, je restais pétrifié ... Je savais que mes amis la trouvaient jolie et ne manquaient jamais une occasion de mater ses seins et son cul, mais je ne voyais pas à qui je pourrais demander une telle chose ... C'est elle qui me susurra de demander à Jérôme, un de mes meilleurs amis et sans doute le plus canaille. J'ai acquiescé car je le savais partant. Par les hasards de la vie, ils ne s'étaient jamais rencontrés, ce qui faciliterait d'ailleurs sans doute les choses.

Elle me dit qu'elle aimerait prendre l'habitude d'avoir une autre queue que la mienne avec quelqu'un de confiance. Elle me demanda, si cela plaisait à Jérôme, si je serais d'accord qu'elle le fasse plusieurs fois avec lui avant de la faire avec quelqu'un d'autre. Ma réponse fut évidemment positive.

Elle était anxieuse de mes réactions et voulait tout prévoir, tout envisager, pour qu'il n'y ait pas de désaccord entre nous, pour que nos envies soient à l'unisson. Ceci nous donnait l'occasion de discussions très excitantes. Nous restions ainsi des heures allongés l'un à côté de l'autre, dans un état d'excitation avancé, ma queue bougeant lentement dans sa chatte et mes doigts caressant son clitoris.

Je lui demandais comment elle voyait les choses. Elle avait envie d'aller dîner au restaurant, moment qu'elle mettrait à profit pour l'allumer et créer une complicité, puis nous irions chez lui pour les choses sérieuses... Elle ne savait pas exactement ce qu'elle oserait faire, mais si elle en avait le courage, elle aimerait qu'il enfile sa queue dans sa petite chatte.

Nous fîmes l'amour toute la nuit en élaborant le scénario, stimulant ainsi nos fantasmes. Tout excité, je la réveillais en lui caressant sa chatte, qui était toute humide et la pénétrais doucement, l'arrachant petit à petit au sommeil. Elle me demanda tout de suite si j'avais changé d'avis depuis le soir d'avant et lui dit que non, lui arrachant un grand sourire... Elle me dit qu'elle avait rêvé à une chose toute la nuit, mais qu'elle n'osait pas m'en parler...

Elle mit du temps à se lâcher, et ce ne fût que lorsque le plaisir la gagna qu'elle me demanda si je pensais que Jérôme serait d'accord de la faire sans préservatif car elle avait envie de sentir sa queue toute chaude en elle. Lui demandant si elle ne trouvait pas cela dangereux, elle me dit qu'elle avait besoin de mon avis sur Jérôme et qu'il ne s'agissait pas de le laisser jouir en elle, mais juste de le sentir le plus possible et d'instaurer un lien de confiance.

Cette idée me séduit beaucoup. Je lui avouais que cela me plairait beaucoup de l'offrir complètement à mon ami et que j'aimerais même beaucoup qu'il remplisse sa petite chatte de son sperme... Un peu incrédule mais excitée par cette idée, elle me dit dans un soupir qu'elle aussi aimerait sentir son sperme couler en elle, qu'elle aimerait se donner tout à lui, être une vraie petite salope, être notre objet sexuel. A tous les deux.

Lui demandant si ma présence n'allait pas la faire se sentir gênée, elle me dit que sans doute un petit peu mais que c'était normal. Je lui dit que, si ça se passait bien, j'aimerais bien les laisser finir la nuit tous les deux pour qu'il fasse connaissance librement. Elle aima mais cela la rendit un peu anxieuse ; je la rassurais en lui disant que je serai là au début et que je ne partirai qu'avec son accord.

De plus en plus excitée, elle me dit qu'elle aimerait que ce soit tout de suite... Je saisit sans hésitation mon portable et adressait un sms sans ambiguïté à Jérôme : « ça te dirais de baiser une de mes amies avec moi ? », sans lui dire de qui il s'agissait. Il me répondit oui immédiatement et on fixa le samedi suivant.

C'est ainsi que nous nous retrouvons aujourd'hui chez Jérôme, pour l'emmener dîner. Caroline est très nerveuse, se demandant comment il va réagir en la voyant... J'ai eu Jérôme au téléphone pour lui dire qu'une de mes amies avait envie d'une expérience à trois, mais je ne lui ai pas dit son nom, seulement qu'elle lui plairait et qu'il pourrait tout faire car elle aimait la sodomie. Ce qui n'a pas manqué de lui plaire !

Caroline s'est longuement préparée pour cette soirée, elle porte une toute petite jupe blanche et un top en soie pastelle largement ouvert sur sa jolie poitrine, ainsi que je peux l'admirer depuis le siège du conducteur. Pour tout sous-vêtement, elle porte un petit string blanc très transparent.

Jérôme apparaît et se dirige vers la voiture, dont nous sortons pour l'accueillir. Il ne manque pas de s'étonner lorsque Caroline se présente, en disant « LA Caroline ? ». Sans doute aussi rouges l'un que l'autre, nous lui répondant en souriant « oui, LA Caroline ! ». Aucune allusion n'a lieu sur le trajet vers le restaurant, une petite gêne règne. Arrivé au restaurant, Jérôme ne peut s'empêcher de mâter le corps de mon amie, qui marche deux pas devant nous et de me faire une tape entendue sur l'épaule. Nous nous asseyons autour d'une table ronde située sur les bords de la salle.

Au début du dîner, personne ne parle de ce qui va se passer. Nous nous amusons franchement. Alors que nous attendons l'entrée, elle entreprend de passer délicatement ses doigts sur son décolleté et forçant sa bretelle à tomber pour attirer l'attention de Jérôme. Elle la remonte aussitôt, mais continue à s'effleurer. La bretelle tombe à plusieurs reprises, sans qu'elle ne laisse rien dévoiler. Elle ne manque pas non plus une occasion pour toucher Jérôme, comme si elle essayait vraiment de le séduire.

L'entrée arrive. Elle remonte une fois encore sa bretelle, mais je vois qu'elle la laisse en équilibre sur son épaule. Elle ne tarde pas à tomber, mais mangeant et parlant, elle fait mine de ne pas s'en rendre compte. La soie commence à glisser, découvrant son sein. Elle reste ainsi quelques seconde sans réagir, avant de remonter sa bretelle comme si de rien n'était. A peine l'entrée desservie, Caroline reprend ses caresses et fait ostensiblement tomber sa bretelle et dégage son sein en l'effleurant du bout des doigts, Elle reste ainsi peut-être dix secondes, son sein à la vue de tous, tout en parlant à Jérôme. Elle remonte une fois de plus innocemment cette brettelle rétive.

En attendant le plat suivant, elle entreprend de jouer avec le pendentif qui tombe entre ses seins et en profite pour caresser son téton. Elle cesse lorsque le plat principal arrive, mais pour mieux recommencer le jeu des bretelles équilibristes, dévoilant régulièrement son sein. Alors que nous sommes dans une discussion animée et attendons que nos assiettes soient desservies, sa bretelle tombe une fois de plus. Caroline ne bronche pas et laisse ainsi son joli petit sein dévoilé de très longues secondes. Le temps semble comme suspendu. Elle approche finalement la main de son sein, mais ce n'est pas pour remonter la bretelle. Nous regardant tour à tour dans les yeux en discutant, elle se met à effleurer son téton avec une telle sensualité qu'une érection pointe immédiatement dans mon jeans. Après peut-être une minute, elle finit par demander à Jérôme : « Il te plaît ? ». Comme il acquiesce, elle lui dit, avec un sourire équivoque qu'il semble même lui plaire bcp... Je perçois alors sa main effleurer le pantalon de mon ami. Elle ne remonte sa bretelle que lorsque le serveur se penche vers elle pour prendre son assiette, en regardant ce dernier dans les yeux.

La fin du repas est ponctuée de question de Jérôme, auxquelles Caroline tout comme moi avons de la peine à répondre, gênés par la situation. Nous laissons ces questions à plus tard pour ne pas rompre le charme. Caroline se rapproche ostensiblement de Jérôme en l'effleurant, le touchant, l'embrassant sur la joue. Jérôme me subtilise l'addition au moment où le maître d'hôtel nous l'amène. Ceci vaut à Jérôme un langoureux baiser sur les lèvres qui nous met tous les trois en émois. Caroline y met tout son cœur et surtout toute sa langue... La voir embrasser un autre homme à pleine bouche me fait beaucoup d'effet, tout en attisant une pointe de jalousie.

Nous nous dirigeons vers le parking, bras dessus bras dessous. Je vais chercher la voiture et lorsque je reviens vers l'entrée de l'hôtel, Caroline me demande au creux de l'oreille si elle peut aller derrière avec Jérôme. Je l'embrasse sur la bouche pour toute réponse.

Les futurs amants montent à l'arrière de la limousine et je prends la route du retour. Très vite, profitant de l'intimité de la pénombre, les questions sensibles sont abordées sans détour. Les réponses claquent comme autant de choc électrisant.

J : Alors de quoi a-t-elle envie cette jolie petite ?
C : D'une belle queue...

J : Ehéh... Et que vas-tu lui faire ?
C : La lécher, la sucer...

Caroline est toute gênée mais, tournée vers Jérôme elle soutient son regard devenu vicieux et se rapproche de lui. Elle l'embrasse à nouveau à pleine bouche. Les mains de Jérôme ne tardent pas à faire tomber ses bretelles et à caresser les épaules et les seins de ma fiancée. Malgré la musique, je l'entends gémir. Dans le rétroviseur, je peux suivre l'évolution de leurs ébats. A moitié nue, elle embrasse avec ardeur son partenaire, dont les mains se promènent sur son corps, s'introduisant sous sa jupe. Elle écarte les jambes.

Bien que me concentrant sur la route, je l'aperçois en train de bouger et je n'ai que le temps de la voir retirer son string et offrir sa chatte aux doigt de Jérôme, qui s'engouffrent dedans. Je l'entends gémir de plus en plus fort. Lorsque nous arrivons chez Jérôme, elle est a bord de l'orgasme. Caroline sort de la voiture en titubant.

Nous allons directement au salon et nous installons dans les profonds canapés. Surexcitée, Caroline m'embrasse voracement pendant que Jérôme amène de quoi boire. Je descends ses bretelles et me mets à lécher sa poitrine. Jérôme revient rapidement et, prenant Caroline dans mes bras, je la lui donne en leur disant que je m'absentais quelques instants.

Depuis les toilettes, je peux entendre leurs rires autant que leurs gémissements. Je prends mon temps pour leur en laisser... Au fur et à mesure, les rires disparaissent pour laisser place aux seuls gémissements. Lorsque je sors des toilettes, je vois Caroline, presque nue, à quatre pattes sur le canapé, en train de sucer goulûment Jérôme. Je croise son regard, à la fois gêné et provocateur. Je passe ma main sur ses fesses, sur sa fente toute humide que je me met à caresser doucement, lui arrachant des gémissements, alors qu'elle suce méticuleusement la bite de mon ami. Lorsqu'elle se met à dandiner des fesses, je lui susurre de s'empaler sur le sexe dressé de Jérôme

Après avoir donné encore quelques coups de langue en remontant tout le long de la verge de Jérôme, elle se redresse, prends sa queue dans sa main, enfile un préservatif et, l'enjambant, guide sa belle queue vers son trou affamé et s'empale sans hésiter jusqu'à la garde en poussant un cri de jouissance.
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Elle le chevauche sans ménagement, ponctuant ses mouvements de hanches de petits cris réfrénés par sa timidité. Assis en face d'eux je les regardes un long moment. Puis, ayant suggéré qu'elle pourrait me sucer en même temps, Jérôme la soulève dans ses bras et l'emmène dans la chambre sans jamais que son sexe ne sorte de la petite chatte accueillante.

Jérôme l'installe en levrette et se met à la limer avec douceur, pendant que Caroline me suce en me regardant dans les yeux. Puis Jérôme accélérant le rythme, elle peine a soutenir mon regard, finissant même par arrêter de me sucer, envahie par le plaisir. Elle jouit une première fois, violemment.

Comme elle s'écroule sur le lit, j'en profite pour me glisser derrière elle sur le côté et la pénétrer. Jérôme ne tarde pas à lui présenter sa queue devant la bouche. Elle s'empare avec gourmandise de ce gros membre. Je la baise doucement pour qu'elle puisse bien s'occuper de Jérôme. Toutefois, au bout d'un moment, ses gémissements laissent le plaisir prendre le pas et manquent de m'emporter. Je la défonce de plus en plus fort, la faisant crier comme une folle. N'arrivant plus à respirer elle se contente désormais de branler Jérôme. Je me retire finalement, au bord de l'éjaculation.

Pendant qu'elle reprend ses esprits sous nos caresses, moi m'occupant de sa chatte pendant que Jérôme lui pelotte les seins, je glisse à Jérôme : « Je tenais à te laisser sa petite chatte toute propre pour toi... ». Après un clin d'œil complice, nos échangeons nos places. Jérôme commence à lui lécher la chatte, lui arrachant des plaintes déchirantes lorsqu'il lui mordille le clitoris. Il s'aventure à lui donner quelques coups de langues sur sur petit trou, ce qui ne manque pas de provoquer une réaction approbative : « Oh oui, Jérôme prend moi... »

Etendue sur le dos, offerte, Caroline écarte les jambes et invite Jérôme à la pénétrer. Jérôme entre en elle tout doucement puis sort, reste à l'entrée de sa chatte, jouant avec ses désirs. Caroline reste au bord de l'orgasme pendant de longues minutes. Lorsque Jérôme calme enfin le jeu, je finis par m'approcher et lui introduire ma queue entre ses lèvres. Caroline me suce comme rarement elle ne l'a fait, sans doute excitée par la queue qui va et vient en elle en même temps. Ses coups de langue s'interrompent parfois brièvement pour laisser échapper un petit cri, mais elle ne tarde pas à m'amener au bord de l'explosion. Je retarde le plus longtemps ce moment et soudain, alors que Jérôme lui donne de grands coups dans la chatte, j'explose dans sa bouche. Le souffle coupé par le plaisir que lui donne Jérôme, elle n'arrive pas à tout avaler et prend les deux derniers jets en pleine figure.

Son joli visage maculé de mon sperme, elle jouit à répétition sous les coups de boutoir de son amant.

Sans les interrompre, j'embrasse Caroline et fais signe à Jérôme que je m'éclipse. Je ne suis pas sûr qu'elle a réalisé. Elle me porte un regard embrumé et s'écroule en s'abandonnant à son plaisir. Sorti de la chambre, je m'habille et m'apprête à laisser ma fiancée seule dans l'antre du loup... Je reste un moment interdit sur le seuil ; je les aperçois par l'entre-bâillement de la porte, Caroline désormais à quatre pattes, se faisant prendre en levrette, ses petits seins sautillants à chaque coup de queue... Je ferme la porte et descend les escaliers.

Lorsque j'ouvre la portière de la voiture, je ne peux m'empêcher de sourire en percevant les petits cris de Caroline qui arrivent jusque dans la cour.

Les quelques minutes de voiture me séparant de notre résidence sont avalés sans m'en rendre compte. Je m'endors sans coups férir après avoir pris une petite douche.

Lorsque je me réveille, il est 11h et, en constatant que je suis seul dans le lit, je réalise ce qui s'est passé le soir précédant... et me demande quelle folie nous avons commise... Le temps passe, il est bientôt 14h et je n'ai toujours aucune nouvelle. Un soupçon d'inquiétude pointe, mais je suis résolu à ne pas appeler car cela casserait le jeu me semble-t-il. Il ne me reste plus qu'à prendre mon mal en patience.

Il est plus de 15h30 lorsque j'entends la clef tourner dans la serrure... Caroline se jette à mon cou et m'embrasse avec une tendre fougue et m'entraine dans la chambre « Pour me retrouver » dit-elle.

Coller l'un contre l'autre, nous nous enlaçons longuement. Caroline, qui est pourtant très douce, n'a jamais été aussi démonstrative. Agréable effet secondaire imprévu... Au creux de l'oreille, elle me dit avoir adoré la nuit qu'elle a passé, qu'elle est désolée d'être rentrée si tard mais que le réveil a été agité...

Piqué dans ma curiosité, je l'assaille de question sur ce qui c'est passé durant tout ce temps... Elle me raconte que Jérôme l'a défoncé pendant plus de deux heures après mon départ, qu'elle a joui au moins cinq fois, dans toutes les positions, y compris en se faisant sodomiser, ce qu'elle n'aimait pourtant guère.

Ces récits commencent à m'échauffer et je glisse une main sous sa jupe. Elle m'arrête en me disant « pas tout de suite, je t'en prie... ». Un brin frustré, je me rabats sur ses seins, qu'elle m'abandonne bien volontiers. Elle ne tarde pas à passer sa main dans mon pantalon d'intérieur et à prendre ma queue dressée dans sa main.

Poursuivant mes questions, voulant savoir ce qu'il en était de Jérôme, elle me dit qu'ils ont utilisé plusieurs préservatifs et que par deux fois il a jouit dans sa bouche. Elle a adoré sentir son sperme couler et l'a avalé doucement.. Elle me sent soulagé de savoir que ça n'a pas été « plus loin »...

Moi : « Et comment s'est passé le reste de la nuit ? »
Caroline : « Oh, je me suis juste douchée puis me suis écroulée de fatigue ».

Moi : « Et ce matin ? »
Caroline : « Ah, ce matin... J'ai fait une bêtise je crois... »

Un tant soit peu inquiet, je lui demande de me raconter.

Caroline : « Je me suis réveillée avant Jérôme, j'étais dans ses bras, dos contre lui. Ca m'a fait bizarre. Je me suis suis reculé pour me coller contre lui, pour me sentir moins seule. J'ai senti son sexe gonflé contre mes fesses. Jérôme s'est un peu réveillé, et m'a embrassé dans le cou.

Ce faisant, j'ai tout à coup senti sa queue se glisser entre mes cuisses. Nous avons commencé à nous embrasser avec toujours plus de force et sa queue écartait de plus en plus mes lèvres et pénétrait un petit peu dans am chatte, Finalement il est entrée en moi d'un coup et j'ai ressentis une décharge électrique, qui m'a fait perdre tout contrôle.

Jérôme a commencé à faire des aller et retours avec sa queue, me prenant toujours plus fort. J'étais complètement perdue, si bien qu'il m'a amené à jouir. Et ce n'est que lorsque j'ai senti son sperme se répandre dans ma petite chatte que je me suis rendu compte de que que nous avions fait... J'espère que tu ne m'en veux pas... »

Moi : « Mais non, pas du tout ». J'étais sidéré, Caroline se soit complétement offerte à un autre homme, qui avait répandu sa semence en elle, dès la première fois... J'étais très excité, et j'ai réessayer de passer mes doigt sur sa chatte, mais elle me pris la main et m'arrêta.

Caroline : « Tu es sûre de ne pas m'en vouloir ?»
Moi : « Mais non, je t'assure, au contraire ça m'excite terriblement ! »
Caroline : « Je suis soulagée que tu le prennes ainsi, puis-je te monter quelque chose ? » me dit-elle en m'embrassant.

Sans que je lui réponde, elle me demande de l'aider à faire glisser sa jupe, puis enlève son string et écarte les jambes, m'offrant une vue imprenable sur sa chatte imberbe. Puis, ayant à peine contracté son ventre, je vois un liquide blanc poindre de son intimité.

Caroline : « Jérôme a joui en moi trois fois ce matin, et je sens que ma petite chatte est encore pleine de son sperme. Tu veux voir ? » me demanda-t-elle avec un regard coquin. J'acquiessais du regard. Aussitôt, Caroline repris ses contractions, jouant visiblement avec le sperme qui l'emplissait pour échauffer mes sens. Elle faisait en sorte que je vois poindre ce liquide blanchâtre, avant de le reprendre à l'intérieur d'elle.

Après quelques instants, elle eu une contraction plus forte et le sperme que Jérôme avait laissé commença à couler lentement le long de ses lèvres. Ce n'était d'abord qu'un petit filet de liquide blanc puis, après de nouvelles contractions un gros paquet sortit, inondant sa chatte. Il y eut ainsi quatre paquets de sperme épais qui dégoulinèrent de sa chatte, j'étais impressionné de la quantité de semence que Jérôme avait déversée.

Moi : « Et bien dis-donc, vous n'avez pas lésiné ! Il a dû drôlement te baiser ! Tu as aimé ? »
Caroline : « Oh oui, j'ai adoré, c'était tellement bon de sentir un queue inconnue, ces nouvelles sensations. Et sentir Jérôme exploser en moi ainsi. Je n'ai jamais eu la chatte aussi remplie de sperme.... ».

Excité comme jamais, je nettoyais rapidement la chatte de Caroline et lui enfilait ma queue en feu, sans l'avertir. Elle poussa un cri de plaisir. Je commençais à la limer pendant que nous continuions à parler de ce que nous avions vécu.