Exhib parc

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Proposée le 30/10/2009 par AsMoth

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Durant l'été, je passais pas mal de temps à faire du vélo... pour le sport, mais aussi pour trouver des coins tranquilles pour me masturber à pleine main des heures durant.
Ce jour là, la fin de la journée approchait. Je décidai de passer par le petit parc afin de gagner du temps.


Arrivant à ses abords, je remarquai qu'il y avait une femme apparemment en mini-jupe qui téléphonait, assise sur l'une des tables destinées au pic-nic. Les pieds posés sur le banc, elle tapotait tranquillement en prenant les derniers rayons de soleil de la journée. Elle portait un body moulant bleu marine et des lunettes de soleil. Je m'approchais doucement d'elle, m'arrêtant tout près d'un arbre. Je sentais déjà l'excitation monter en moi, et ma grosse bite commencer à gonfler dans mon cycliste. De là où j'étais, je pouvais presque voir sa culotte. Je commençais à bander très ferme. Mon cœur battait à la chamade, je n'en pouvais plus. Alors, je baisais mon cycliste, feignant vouloir pisser contre l'arbre... un prétexte moyen, car j'étais à une dizaine de mètres de cette jeune femme fort bien foutue, et je bandais comme un taureau.
Continuant de parler au téléphone, celle-ci regarda à gauche et à droite, le sourire aux lèvres. Je paniquais un peu, car je me demandais si elle n'était pas en train de prendre peur elle aussi à me voir baisser mon cycliste pour sortir mon engin. Elle restait les cuisses à moitié écartées, et je ne pouvais toujours pas voir son entrejambes.
Cela dit, je n'en pouvais plus, il fallait absolument que je me branle. Alors, prenant ma grosse bite à pleine main, je me mis à me caresser à moitié caché par l'arbre. J'étais dans un état d'excitation très avancé, sentant mes pommettes chaudes et toutes rouges.
Puis, me dévoilant peu peu, faisant un pas de côté par rapport à l'axe de l'arbre qui me cachait, je me retrouvai en face de cette jeune femme. Lorsqu'elle vit ma grosse bite entre mes doigts se faire secouer, elle ouvrit grand la bouche, toujours à moitié souriante, et écarta les cuisses aussitôt. Elle sembla surprise mais intéressée par le spectacle. Je vis alors apparaître sa culotte d'un rose pâle en satin qui moulait les lèvres de sa belle chatte.
Je ne fixais plus dès lors que son entrecuisses qu'elle m'offrait du regard, les cuisses suffisamment écartées. Les lèvres de sa chattes devaient être rasées et charnues, tellement sa culotte les dessinait fidèlement. J'imaginais toute la moiteur de son chewin-gum que j'aurais tant aimé caresser.
Je me masturbais non loin d'elle, et elle continuait de parler au téléphone, feignant d'être passionnée par la conversation. En attendant, elle écartait les cuisses de plus en plus, et passa même sa main libre sur sa cuisse gauche pour se caresser.
Comme il n'y avait personne aux alentours, je décidai de m'approcher d'elle pour mieux admirer encore le spectacle, et espérer qu'elle raccroche son téléphone pour s'occuper de moi.
A quelques mètres seulement d'elle, le cuissard baissé à mi-cuisses, le cul, les boules et ma grosse bite à l'air, je me masturbais ainsi devant elle. J'étais dans un état d'excitation total. Sa culotte échancrée - qui devait être un string - mettait parfaitement en valeur son entrecuisses. Cette salope l'offrait ainsi à mon regard sans gêne apparente. Je me masturbais à pleine main devant elle, ma queue offerte à son regard. Je me tenais cambré en avant pour la mettre bien en valeur.
Elle fixait ma grosse queue de derrière ses lunettes, regardant la peau glisser sur mon gland rose et luisant de mouille. Je grimaçais de jouissance. les lèvres de sa chatte semblaient s'écarter de plus en plus, laissant une traînée sombre entre elles deux... Sûrement cette salope mouillait-elle. Elle rapprochait de temps à autre l'une de ses cuisses contre l'autre... Comme pour sentir son entrejambes fondre d'excitation.
Je sentais que j'allais jouir d'une seconde à l'autre. Enlevant mon tee-shirt pour lui offrir ma nudité, je mis ainsi la taille de mon sexe en valeur. La femme ne me quittait plus du regard, et je l'entendis dire au téléphone : « Putain Rébecca ! Il va jouir ! ». Je n'en pouvais plus. Elle était depuis tout à l'heure au téléphone avec une amie et racontait le formidable spectacle que je lui offrais. Et elle continuait : « Tu devrais voir sa bite ! Elle est trop belle ! ». Je n'en pouvais plus de l'exciter ainsi. Pour le faire plus encore, je me mis à taper ma bite contre mon autre main et ainsi la faire claquer à m'en faire râler. La femme décrivait tout à sa copine : « Purée ! (rires) Il la claque contre son autre main ! C'est de la pierre sa queue ! J'te promets ! ».
Sentant que j'allais éjaculer, je passais mon index droit derrière mes couilles et pris mon gros manche à pleine main droite, offerte à ma spectatrice, et avançant de quelques pas, je me mis, dans un grand râle de jouissance, à jouir de puissants et longs jets de sperme en face d'elle. ma spectatrice lâcha alors un cri de stupéfaction avant de dire tout simplement : « Putain ! Il est en train de jouir ! ». Moi, je me masturbais énergiquement de façon à faire gicler mon foutre le plus loin possible. Je jouissais en tout cas très fort.
Une fois l'éjaculation terminée, ma grosse queue encore gonflée à d'excitation, je reprenais mes esprit. Je me sentais bête et honteux, mais fier d'avoir surpris et excité cette belle salope qui en restait bouche bée. Je remis alors mon cuissard, pris mon vélo, et repartis en sentant ma queue bander encore d'excitation.

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