Des vacances mouvementées (Partie 4)

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Proposée le 26/10/2009 par Talis Cat

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J'étais très contrarié. Déjà de n'avoir pu la sodomiser. Et en plus je ne lui en veux pas à elle, mais à moi, de ne pas avoir su m'y prendre suffisamment bien pour nous contenter tout deux. Ca ne me ressemble décidément pas. En temps normal j'aurai juste forcé un peu plus. Mais je voulais qu'elle aime ça. Pas juste un peu. Que ce ne soit que plaisir pour elle. Je deviens fleur bleue ou quoi ? En plus, des crétins sont venus nous déranger... Peut-être que j'aurais réussi à la mettre plus à l'aise, à la détendre si j'avais eu le temps. Du coup ça m'a coupé l'envie et j'ai même refusé une petite gâterie alors qu'elle me le demandait, qu'elle le voulait. Je me sens nul. Et revenu au camping mes 'potes' avaient montrés les photos de Jeanne a tout le monde. Je n'ai pas su comment réagir, j'ai été odieux. Mais peut-être est-ce l'occasion de briser ce cercle infernal, de me libérer de son emprise... Tiens un message sur mon portable ? Jeanne... OK, c'est l'occasion de porter le coup fatal. Je prends une inspiration, rassemble mon courage. Puis je compose son numéro. Le répondeur, comme prévu. Je dis alors d'un ton neutre :
"- Ouais, Jeanne, c'est Chris. Bon t'es sympa mais arrête de me courir après comme une collégienne en chaleur. Une vieille mariée qui sais pas sucer et qui se laisse même pas enculer ça m'intéresse pas. Si t'as vraiment le feu au cul, demande à ton mari. Ou achètes-toi un chien, parait que ça baise bien. Allez Ciao, salope."
Je refermes le clapet de mon portable. Je suis un monstre. J'ai honte de moi, de ne pas avoir trouvé d'autres solutions. J'ai la gorge nouée. Je retiens mes larmes. Mais quel salopard... Elle va souffrir terriblement... J'aimerais tant la consoler... Mais c'est son mari qui va s'en charger. Oui, voilà, c'est mieux ainsi.

Je retourne avec mes potes. Je repère la rousse qui m'allume depuis quelques jours. Je me contente de lui dire :
"- J'ai envie de toi... Viens."
Elle me suit sans broncher. Je la baise violemment, plusieurs fois. Je crois même qu'elle a crié, m'a demandé d'être plus doux. Mais je ne l'écoutais pas, j'avais juste besoin d'un exutoire et la pauvre fille en a fait les frais. Dire que j'avais la réputation d'être doux en amour. Je deviens un étranger à moi-même... Peut-être suis-je fou ? Fou de Jeanne, ca c'est sur, pensais-je avec un sourire sans joie. La fille est partie, je crois qu'elle pleurait, m'a traité de salaud. J'aurais du la rattraper, m'excuser. Et lui faire l'amour proprement, en douceur. Mais je suis juste resté là, perdu dans mes pensées. Plus tard Thomas m'a rejoint. Il s'est assis à côté de moi. Nous sommes resté silencieux un moment puis il a dit :
"- Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu sais elle t'aimait beaucoup la petite rousse. Elle voulait vraiment te donner du plaisir. Pourquoi tu as fait ça ? Ca t'arrive d'être un peu rude, comme nous, mais tu n'as jamais fait pleurer une fille avant. Jamais. C'était important pour toi."
Je ne réponds pas, ne l'écoute pas. Il continue :
"- Va t'excuser, s'il te plait, je suis sur qu'elle comprendra. Elle tient à toi. Tu sais, c'est rare ça. Je sais pas comment tu fais. Moi les filles veulent juste s'amuser avec moi. Mais toi elles te veulent TOI. Ne les déçois pas. Pour elles, pour nous, pour toi."
Je me lève et dis :
"- Tu peux lui présenter mes excuses de ma part ? Je ne me sens pas la force de le faire..."
Il me regarde :
"- C'est cette Jeanne ? Elle baise si bien ? Qu'a t-elle de plus, cette vieille ? De l'expérience ?"
Même pas, pense-je avec dépit... Mais c'est vrai que je n'ai jamais pris autant de plaisir qu'avec elle... Je dis simplement :
"- Je ne sais pas... Je ne sais plus... Je suis fatigué. Présentes lui mes excuses. Dis lui que je suis un connard qui ne mérite pas son affection. Salis-moi auprès d'elle, c'est tout ce que je mérite."
Je sens son regard perplexe me suivre alors que je m'en vais.

Je rentre à notre tente, perdu dans mes pensées. Quand j'arrive, la petite rousse est là. Elle m'attend je le sais... Je m'esquive. Je sais ce qu'elle veut et je ne suis pas en état de lui donner. Mon téléphone sonne. Je décroche sans y penser, sans regarder le numéro. C'est Jeanne, elle est en pleur :
"- Allo ? Chris ? C'est toi ?"
Je ne dis rien, je suis pétrifié. La panique m'envahit. Je devrais finir mon rôle de salopard mais je ne m'en sens pas le courage. Que vais-je faire ? Raccrocher ?
"- Chris, réponds-moi, je sais que tu m'entends !"
Ma voix sort comme un croassement mal assuré :
"- Oui, Jeanne je suis là."
Un long silence. Seul ses sanglots viennent perturber l'instant. Enfin elle dit :
"- Dis moi que c'était une blague ce message, que c'était tes amis qui t'ont forcé à le laisser. Je ne peux pas y croire, je ne veux pas y croire."
Je sens le désespoir dans sa voix. Quelque chose craque en moi. Je me mets à pleurer comme un gosse. Je dis entre deux hocquets :
"- Je suis désolé, Jeanne... Je ne savais pas comment faire. C'est pas normal cette situation. Tu es mariée. Et pour moi ce n'était qu'un jeu. Ca n'aurait du être qu'un jeu. Je suis perdu. Laisse moi partir Jeanne, arrête d'obséder mes pensées..."
Elle ne dit plus rien. Ses pleurs se sont arrêtés. Pas les miens. Les paroles sortent de ma bouche sans discontinuer, je veux la garder avec moi, longtemps :
"- Tu es si belle, tes courbes m'attirent. Ton sourire aussi. Tes petites manies aussi. Comme quand tu relèves tes cheveux pour les attacher dans le magasin. Je voudrais t'avoir tout le temps avec moi. Juste pour te regarder..."
Enfin elle dit, d'une voix douce et calme. Et d'une infinie tendresse :
"- Je t'aime, Chris. Et je crois que toi aussi tu m'aimes. On y peut rien c'est la vie."
Je me contente de sangloter. Ces mots m'angoissent. Mais je sais qu'elle à raison. Il y a plus que du désir entre nous. Tellement plus...
"- Cette nuit, je sortirai en cachette de chez moi. Attends-moi à la petite crique... Nous finirons ce que nous avions commencé. Et personne ne nous dérangera."
J'arrive enfin à dire :
"- D'accord... Je t'attendrai."
Elle raccroche. Je reste un moment le portable collé à l'oreille. Puis je raccroche et rentre à ma tente.

Le petite rousse est toujours là. Elle s'est endormie. Je la porte dans la tente, la pose sur le matelas. Lui caresse doucement les cheveux. Pauvre petite chose. Comment ai-je pu faire ça ? Elle se réveille. Je vois à ses yeux qu'elle a pleuré, elle aussi, beaucoup. Je lui dis doucement :
"- Je suis désolé. Je t'ai fais mal. Je t'ai traité comme un objet. C'est impardonnable de ma part..."
Elle me caresse la joue :
"- Ne t'en fais pas, c'est oublié. Ton ami m'a expliqué."
Thomas ? Je suis étonné, je pensais qu'il en profiterait pour se la faire. Je suis décidément un aussi mauvais ami qu'amant ces derniers temps... Elle fronce le sourcils :
"- Tu as pleuré ? Racontes-moi tes malheurs, je veux t'aider..."
Elle veux m'embrasser mais je la saisis par les épaules et l'arrête :
"- Non, je suis désolé. Je ne peux plus..."
"- C'est cette Jeanne ?"
Je ne prends même pas la peine de nier, je hoche la tête. Elle fait une mine dépitée. Mais elle se reprend. Elle se relève et s'apprête à sortir de la tente. Elle me fait un clin d'oeil :
"- Je ne t'abandonnerai pas si facilement. Ce n'est pas une épicière qui va me faire peur !"
Je souris faiblement :
"- Même après ce que je t'ai fait ?"
Elle répond sur un ton étonnamment sérieux :
"- Ce n'était pas toi, Chris, je l'ai senti."
Puis plus légèrement :
"- Et puis tu te feras pardonner quand je t'aurais séduit ! Bye."
Elle s'en va en me faisant un petit signe de la main. C'est vraiment une crème cette fille. Quel salaud j'ai été... Si il n'y avait pas Jeanne je me serais fait pardonner... Enfin, si il n'y avait pas eu Jeanne je n'aurai jamais fait ça. Je ressors de la tente, laisse un mot pour mes amis et me dirige vers la petite crique.

J'attends depuis plusieurs heures. Mais je ne sens pas le temps passer, perdu dans mes pensées. Je pense à Jeanne. Un voix juste à côté de moi me sort de ma torpeur. Ce n'est pas Jeanne. C'est la petite rousse. Je bafouille :
"- Qu'es... Qu'est-ce que tu fais là ? Co... Comment as-tu ?"
"- Je t'ai suivi. Tu l'attends ? Ca va faire bientôt quatre heures..."
Je rougit :
"- Tu l'aimes tant que ça ?"
Je hoche la tête. Elle rit :
"- Et bé, je vois que j'ai du travail !"
Elle me saisit le bras et se colle à moi. Elle pose sa tête sur mon épaule :
"- Mais j'y arriverai. Au fait je m'appelle Cindy."
"- Tu ne devrais pas t'accrocher ainsi. Il y a plein de jeunes de ton âge..."
"- Ils ne sont pas intéressants. Toi tu l'es."
Nous restons ainsi un moment. Je pense toujours à Jeanne. J'ai plus l'impression d'être avec une sœur qu'une amante potentielle. Ca n'a pas l'air de la gêner. Nous papotons de truc sans importance. De Jeanne aussi. Un voix nous interromps :
"- Chris ?!?"
C'est Jeanne. Elle parait déboussolée. Elle bafouille :
"- Je suis désolée... Je croyais... Tu ne m'avais pas dis que..."
Elle s'enfuit. Je veux me lever mais Cindy me devance :
"- Reste ici, je m'en occupe."
Elle se lève et court à la poursuite de Jeanne. Dire que c'est sa rivale... Cette fille est étonnante. Mais il y a Jeanne.

J'entends leur voix. Jeanne retient des sanglots :
"- J'aurais du le savoir qu'il s'amusait juste avec moi... Mais m'inviter pour un plan à trois..."
Cindy la rassure d'une voix douce :
"- Ce n'est pas ce que vous croyez, Madame. C'est moi qui suis venue. Je ne voulais pas qu'il soit seul en vous attendant."
Jeanne murmure :
"- Vous l'aimez ?"
Silence génée. Enfin, Cindy répond :
"- Oui. Mais il ne veut que vous... Je me battrai pour lui, voilà tout !"
Je sens du regret mais aussi de la détermination dans sa voix. Puis elle ajoute gaiement :
"- Mais ce soir, il est à vous ! Ca fait plusieurs heures qu'il vous attend ! Allez, amusez-vous bien !"
Je l'entend s'en aller. Je ne sais pourquoi mais je crois qu'elle va pleurer. Ca me rend triste mais Jeanne et là et je ne peux plus penser qu'à ça. Elle s'assied à mes côtés, se serre elle aussi contre moi. La sensation est si différente. Je ressens sa poitrine palpiter contre mon bras. La caresse de ses cheveux m'excite. Je ferme les yeux.

Enfin elle dit :
"- Je suis désolée d'avoir douter, Chris."
"- Ce n'est pas grave, tu avais des raisons de douter. Après tout ce que je t'ai dit !"
Nous nous embrassons :
"- Je veux aller jusqu'au bout cette nuit..."
"- Ne t'y sens pas forcée..."
"- Je n'y suis pas forcée. J'en ai envie."
Elle fouille son sac, en sort un flacon de gélule :
"- Regarde, j'ai même pris des aphrodisiaques pour m'y aider."
Je lui prend le flacon des mains :
"- Jeanne. Je veux que ce soit toi qui le désire, qui m'accepte en toi. Pas une Jeanne sous l'emprise de pilules. Si je n'arrive pas à te détendre suffisamment, à t'exciter suffisamment alors ça n'en vaut pas la peine.
Elle me regarde, m'embrasse :
"- Merci, Chris, je t'aime."
"- Moi aussi..."
Je l'embrasse à nouveau et nous nous étendons sur le sable. Nos vêtements sont vite enlevés. Nous avions tout les deux mis le minimum. Elle, juste une robe longue et des chaussures à talon. Moi, mes baskets, mon short et mon T-shirt. Je sens sa main caresser ma verge. Mes mains caressent ses flancs, ses hanches, ses fesses avant de venir se placer sur ses seins. Elle m'adresse un regard plein de désir :
"- Tu veux que je te suce ?"
"- Si on faisait plutôt un petit soixante-neuf ?"
Elle fronce les sourcils, perplexe :
"- Un quoi ?"
Je souris. Quel candeur décidément...
"- Attends je vais te montrer..."
Je m'allonge sur le dos et dis :
"- Viens t'asseoir sur mon visage..."
"- Euh oui..."
Elle s'assied maladroitement... Dans le mauvais sens. Je commence malgré tout à la lécher, la sucer, la doigter délicatement. Elle gémit. Je lui demande alors de se retourner. J'en profite pour lui lécher l'anus. Elle se tend un peu mais se penche en avant. Je la doigte de plus bel, sa chatte est humide... Je goutte sa mouille puis ma langue titille sa rondelle avant d'y entrer doucement. Elle pousse un petite cri et sa tête tombe en avant. Ma verge caresse sa joue. Elle ne tarde pas à la saisir puis à la sucer après en avoir lécher le gland. Je pousse à mon tour un râle de plaisir. Mes doigts s'activent en elle. Je les lubrifient de sa mouille. Puis je lui offre à sucer et elle les prend en bouche en même temps que ma bite. Enfin, une fois bien humide, j'en plonge un dans son cul. Cette fois-ci elle ne se contracte pas, accélère sa succion. J'essaie d'enfoncer un deuxième doigt et je la sens faire un effort pour maitriser la contraction de son anus. J'attends de la sentir moins tendue. Enfin, je commence à caresser l'intérieur de son cul. Ma langue lèche l'entrée de ce dernier alors que mes doigts font des va et viens. Elle s'arrête de me sucer, haletante et me branle vivement. Elle dit alors dans un soupir :
"- Oui, Chris... J'aime ça, continue..."
Je tente de faire entrer un troisième doigt. Elle ne se contracte pas cette fois-ci, pousse même un gémissement de plaisir. Elle se remet à me sucer avidement. Je joue encore un peu avec son anus. Je ressors mes doigts et les entrent à nouveau pour tester sa réaction. Elle a l'air d'aimer. Je lui demande alors :
"- Tu te sens prête ?"
En guise de réponse elle me lubrifie le sexe avec sa salive puis s'avance et pose son buste sur le sable. Ses fesses sont entre mes genoux. Elle écarte ces dernières et dis simplement :
"- Vas-y. Je veux sentir ta queue en moi..."
"- Ca ne te gènes pas qu'on commence directement par ça ?"
Elle sourit :
"- On aura toute la nuit pour le reste, Chris... J'ai envie de finir ce qu'on avait commencé..."
Je m'approche d'elle, lui caresse la rondelle, y enfoncent à nouveau mes doigts. Elle est nettement moins tendue qu'avant. Je pose mon gland sur l'entrée de sa grotte :
"- J'y vais ?"
"- Oui, Chris, je serais toujours prête pour toi. Je t'aime."
Je me penche pour lui caresser les seins, puis saisis fermement ses hanches. Elle pousse un soupir d'excitation...

----- Partie écrite par ma correspondante -----

Il fait nuit. Je suis à quatre pattes sur le sable de la petite plage. Mon front touche le sable. Je me tiens avec mes deux bras écartés. Ma robe est remontée sur mon dos, les boutons de devant défaits, et mon slip est baissé aux genoux. Je me concentre sur mon anus en essayant de me décontracter le plus possible. Je me laisse totalement aller entre vos mains. Vous me caressez les fesses, vous les écartez avec vos doigts et notamment avec vos pouces. Vous avez enfoncé sans problème votre sexe dans le mien qui est mouillé à souhait. Avec votre sexe vous lubrifier l'entrée de mon anus. Vous faites plusieurs va et viens. Vous me forcez. Vous recommencez. Vous insistez. Vous avez rentré un morceau. Vous recommencez. Vous rentrez à nouveau. La moitié de votre sexe est dans mon anus. Vous vous retirez un peu. Vous forcez à nouveau l'entrée. Ça me fait mal. Vous forcez encore. Je ne dis rien, je sers les dents. Vous forcez encore. Vous tenez mes hanches avec force. Vos mouvements balancent mon corps d'avant en arrière. J'ai écartez mes genoux. Vous forcez encore plus. Ça me fait mal et en même temps je prends du plaisir à vous donnez ce que vous vouliez.

Maintenant, nous étions assis face à la mer. Nous regardions la lune dans le ciel. Vous me teniez par l'épaule. Vous ne disiez rien et je ne savais pas quoi dire non plus. J'étais heureuse et en même temps perturbée d'être là avec vous au lieu d'être avec mon mari dans notre lit. J'avais du mal à croire que j'avais osé lui mettre un somnifère dans sa tisane pour pouvoir fuir de chez moi et vous retrouver.

J'avais envie de faire l'amour avec vous. Tout çà l'heure je vous ai offert mon corps, mon anus et vous en avez usé comme bon vous semble. Maintenant, j'avais envie de vraiment faire l'amour. Je vous ai caressé le torse. Je l'ai embrassé et mes lèvres sont descendues jusqu'à votre sexe que j'ai mis dans ma bouche. J'aimais votre sexe, sa forme, son goût. J'aimais le sentir dans ma bouche. J'aimais enrouler ma langue autour. J'aimais sentir que je parvenais à vous faire bander si dur. Je me suis laissée tomber le dos. J'ai retiré moi-même le slip que j'avais remonté tout à l'heure. J'ai écarté grand mes cuisses : « prends moi Chris, prends moi ! ». Vous vous êtes mis entre mes cuisses et nous avons fait l'amour.

Vous êtes resté longtemps en moi prolongeant mon plaisir. Vous me sentiez plein de jouissance sous votre corps. Vous m'avez même refait une nouvelle fois l'amour avant de vous retirer. J'étais bien et pourtant je devais partir.

Vous n'avez pas voulu que je vous raccompagne à votre terrain de camping. Vous m'avez dit que vous préfériez marcher. On s'est embrassé et j'ai démarré. Sur la route, je me suis dit qu'on ne s'était même pas dit quand on se reverrait. A cinq heures, je regagnais mon lit. Mon mari dormait. J'espérais qu'il ne s'était aperçu de rien et qu'au village personne ne m'avait vu. J'étais pris de gros remords, je me jurai de ne plus vous revoir.

Le réveil fut dur. A peine deux de sommeil, ce n'était pas assez. J'ai été ronchonne toute la matinée. Mon mari, en pleine forme, se demandait ce qui m'arrivait. J'étais fatiguée et en plus pas très à l'aise avec ce que j'avais fait cette nuit. J'en ressentais encore les effets au niveau de mes fesses, de mon anus et de mes cuisses. La matinée est passée tant bien que mal. On a eu beaucoup de clients et ça m'a permis de penser à autre chose par moments. Après le déjeuner, j'ai été faire une sieste et je me suis endormie tout de suite. Il était 16 heures quand je me suis réveillé. J'étais quelque peu perdue. Je suis descendue dans le magasin et mon mari s'est moqué de moi. Quand il m'a dit « On se demande ce que tu fais la nuit... », j'ai failli défaillir. Mais je me suis persuadée qu'il avait dit ça comme ça, pour rire. J'ai baissé la tête et je me suis vite trouvé une occupation.

« Au fait Jeanne, devine qui est passé tout à l'heure quand tu dormais ? Le petit jeune, tu sais, celui qui ne sait pas lire les étiquettes, tu t'en rappelles ? Apparemment, avec ces copains, ils se sont installés au terrain camping du village. Il était accompagné d'une petit rouquine bien balancée... » J'ai failli défaillir. Chris, mon Chris est venu dans le magasin et moi je dormais. Il devait être avec cette salope de Cindy. Je la hais. Est-ce vrai que vous vous êtes installé à moins de cinq cent mètres de moi. Et dire que je suis enfermée dans ce foutu magasin !

« En fait Jeanne, tu te rappelles qu'on est vendredi et que j'ai une réunion du conseil municipal ce soir. Je dois partir à 18 heures et je rentrerais assez tard je pense. Ça ne te dérange pas de fermer toute seule ?
- non pas de problème pour moi. »

Mon cœur s'est mis à battre à toute vitesse. Je ne savais que faire. L'envie fut la plus forte. Je me suis enfermée aux toilettes et je vous ai envoyé un sms : « Salut, si tu peux passe au magasin à 18 h 30. Serai seule. Bises »