Une vendeuse très perverse

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Proposée le 27/09/2009 par Talis Cat

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Nous avons encore passée une nuit de folie. Mais aujourd'hui j'ai décidé que l'on allait sortir un peu, histoire que je retrouve des forces pour m'occuper d'elle. Il faut dire qu'elle est insatiable ! Je la regarde s'habiller et dis tout à coup :
"- Déshabilles-toi, ma salope."
"- Hein ? Je croyais que vous vouliez sortir, Maître ?"
"- Obéis."
"- Bien Maître."
Je la regarde. Dieu qu'elle est belle ! Puis je fronce les sourcils :
"- Tu n'as plus ta laisse ?"
Elle rougit et baisse les yeux :
"- Désolé, Maître. Mais je me suis dit que dehors ..."
"- Tu as honte d'être ma salope ?"
"- Non, Maître, bien sur ! Je la remets de suite."
"- Non, laisses-moi faire."
Je lui rattache son collier puis sa laisse. Je la laisse pendre à dessein entre ses seins. J'ai très envie d'elle à nouveau ... Je ramasse sa culotte et m'accroupis face à elle. Elle lève ses jambes l'une après l'autre pour que je lui enfile son slip. Mes yeux se pose sur sa chatte. Je ne peux m'empêcher d'y déposer un baiser. Elle frisonne. Juste avant de remonter complétement sa culotte je passe la laisse le long de sa fente jusque dans la raie de ses fesse. Et le la bloque avec le slip. Je me relève et dis :
"- Marches un peu pour voir."
Elle s'exécute :
"- C'est quand même plus agréable avec une laisse qui te caresse les orifices et les seins, non ma chienne ?"
Elle pousse un petit jappement d'acquiescement. Je souris. Je lui choisis ensuite une jupe pas trop courte, qui s'arrête juste au dessus des genoux. Je ne souhaites pas que d'autres la voit : elle est mienne. Je lui tends alors un pull coll roulé. Elle me regarde, interloquée :
"- Qu'y a t-il, ma salope ?"
"- Et bien, je vais avoir chaud ..."
"- Oui mais comme ça on ne verra pas ton collier. Et je pourrais passer discrètement ma main dessous pour caresser tes seins et tirer sur ta laisse. Et puis tu ne mets rien d'autre, ça devrait aller."
Je la regarde avec un air moqueur :
"- De toutes façons je suis sûr que tu es déjà très chaude ..."
Elle sourit :
"- Oui, Maître, très."
Elle enfile le pull et s'apprête à mettre la jupe. Je dis alors :
"- J'ai envie de toi, ma chienne. Là, maintenant."
Elle jappe et se met à quatre pattes en descendant sa culotte sur ses genoux. Elle trémousse son derrière. Je m'approche, lui caresse les fesses, la poitrine à travers le pull, ses cheveux. Enfin je la pénètre doucement. Elle gémit. J'accélère le rythme :
"- Oh, ma belle salope, tu es bonne ..."
"- Oui, prenez moi, Maître, j'aime votre queue."
Je sens que je vais venir. Je me retire et range mon sexe à grand peine. Elle me regarde. Je la sens déçue. Je rigole :
"- Désolée ! Mais j'ai très envie de garder ça pour plus tard, comme ça on baisera comme des fous !"
"- Oh oui, Maître, bonne idée, je vous montrerais que je peux être encore plus salope !"
"- Umm, j'ai hâte de voir ça ..."
Elle se pend à mon cou et m'embrasse fougueusement. Nos langues s'entremêlent. J'ai toutes les peines du monde à ne pas reprendre ce que j'avais commencé. Mais j'ai très envie de voir combien de temps je tiendrais ... Après tout je ferais un mauvais Maître si je craquais dés qu'elle me fait un câlin ! Je lui fais un dernier baiser sur les lèvres et me recule :
"- Fini de t'habiller je t'attends !"

Nous voilà dans la rue. Je sens les regard sur elle. Ils doivent tous se demander pourquoi elle est en pull. Et ce que fais ma main glissée sous celui-ci. Je lui souffle à l'oreille :
"- Tu as chaud, ma petite chienne ?"
Elle s'apprête à répondre mais se rattrape au dernier moment. Elle est rouge pivoine. Elle n'ose pas japper en pleine rue. Je souris puis ajoute :
"- Umm ... Peut-être que tu devrais enlever ton pull, ma salope, tu ne crois pas."
Elle hésites. Mais murmure finalement :
"- Euh ... Non, Maître ça ira."
"- Dommage ..."
Mes mains joue avec sa laisse sous son pull. Je tire un coup sec et elle sursautes alors que la laisse entre dans sa chatte. Ma main glisse sur ses tétons et je les sens durcis. Je susurre :
"- Tu m'as l'air d'être chaude pourtant ... Dis-moi quand tu seras bien humide, veux-tu ?"
Elle rougit à nouveau et me chuchote à l'oreille :
"- Je le suis déjà, Maître ... En fait depuis qu'on est partis de la maison je n'ai pas arrêtée de mouiller en pensant à notre retour."
"- C'est vrai ?"
Elle hoche la tête. Je lui donne une petite claque sur la fesse avant de la saisir à pleine main, je l'embrasse dans le cou. Elle est horriblement gênée. Mais terriblement excitée. Elle se retient de ne pas hurler son envie ... Je lui dis alors :
"- Il va falloir changer tes dessous alors ... Ca tombe bien il y a un magasin de lingerie pas loin."

Nous nous arrêtons devant la vitrine du magasin. Je lui montre un joli ensemble en résille. Il y a une large fente à l'entrejambe. C'est visiblement prévu pour toutes sortes de pénétration ... Je continue à la caresser sous son pull en disant :
"- Tu aimes ?"
Elle ne sait pas trop si je parle de l'ensemble ou de mes caresses. Mais ça n'a pas d'importance : elle aime les deux apparemment. Elle dit d'ailleurs, entretenant l'ambiguïté :
"- Oui, j'adore. C'est très stimulant, Maître."
Je souris :
"- Bien tu vas l'essayer alors."
Nous entrons dans le magasin. Comme je l'espérait il est désert à cette heure-ci. Et les cabines d'essayage sont dans un coin isolé du magasin. Une vendeuse sort de l'arrière-boutique. C'est une petite blonde sexy, cheveux courts et poitrine opulente. Elle est très attirante sans pour autant avoir l'air d'une pute. Je la scrute et Julie me tire par le bras. Elle me regarde avec une mine contrite. Je souris de sa petite crise de jalousie et l'embrasse. La vendeuse nous propose son aide. Je lui montre alors l'ensemble et lui demande si on peut l'essayer. Elle va le chercher et nous le tend. Je le regarde sous toutes les coutures. Cela couvre tout le corps à l'exception du dos. Le tour du cou est en cuir noir. Il y a aussi deux gants de cuir noir qui remontent jusque sous les aisselles. Ils sont fixés au main par un simple anneau de fer autour du majeur et seul le dos de la main est couverte, laissant la paume libre pour des caresses à fleur de peau ... Et enfin un corset qui viens affiner la poitrine et relever les seins par dessus la résille. Je donne le tout à Julie en lui disant :
"- Enfiles ça et attends-moi dans la cabine, ma petite chienne."
Elle est surprise de m'entendre l'appeler ainsi devant la vendeuse mais elle obéit. Je demande alors à voir les culottes. J'ajoute :
"- Ma petite chienne est en chaleur, vous comprenez, elle a beaucoup mouillée."
Julie sursaute en entendant ça. La vendeuse est troublée mais n'en laisse rien paraitre : elle a du en voir d'autres ! Elle demande la taille pour la culotte. Je demande alors :
"- Donnes-moi ta culotte, petite chienne."
Elle me la tend à travers le rideau de la cabine. Je la saisit et la montre à la vendeuse :
"- Voyez comme c'est humide ..."
Je renifle l'étoffe :
"- Mais ça à une odeur agréable ... Vous voulez sentir ?"
La vendeuse hésite mais se prend au jeu. Elle commence à être excitée, elle aussi. Elle dit :
"- Oui, c'est vrai. La mouille de votre chienne sent bon. Je suis sûre que ce doit être très agréable de la lécher."
"- C'est vrai. Vous pensez que je devrais prendre plusieurs culottes ? Elle est si excitée ..."
"- Oui, je pense que ce serais sage. Même si vous la baisez en chemin ça ne suffira pas à la calmer. Elle est trop salope pour ça."
Elle a fini de se changer et attend impatiemment mon bon vouloir en écoutant les commentaires crus que nous échangeons, la vendeuse et moi. Elle se sent un simple objet de désir et cela l'excite encore plus. Elle aimerait appeler mais sait qu'elle ne le doit pas. Elle trépigne. Enfin je dis :
"- Je prends ces trois culottes, elles sont très sympa."
"- Un excellent choix, je suis sûre qu'elle appréciera une telle attention de la part de son Maître."
"- Bon je reviens."

J'entre dans la cabine. Elle me sourit, et tourne sur elle-même, toute heureuse d'avoir ainsi mon attention. Je constate avec bonheur qu'elle a gardée le collier et la laisse. Elle me demande, toute excitée :
"- Tu penses quoi du corset ?"
Elle ne m'appelle plus Maître mais je suis si satisfait de la voir comme ça que je n'en ai cure :
"- Il est très bien, il fait bien ressortir tes jolis seins. Tournes-toi."
Elle s'exécute et demande en relevant ses cheveux :
"- Tu aimes l'arrière ?"
Je scrute sa nuque, j'ai follement envie d'elle. Il va être temps de reprendre notre petit jeu ...
"- Oui, j'aime beaucoup ... Ces omoplates saillants, cette nuque, le creux de ta colonne entre les liens du corset. Tu es très sexy, ma salope."
Elle trésaille en entendant le nom et bafouille :
"- Désolée, Maître, j'étais si heureuse ..."
Mon doigt caresse son dos, glisse le long de sa colonne. Je pose ma tête sur son épaule, nos regards se croisent dans la glace. Je lui souffle à l'arrière :
"- Ce n'est pas grave, ma salope. J'aime quand tu es comme ça ..."
Elle rougit :
"- Merci, Maître."
Je passe ma main entre ses cuisses, saisis la laisse et la tire. Elle vient se loger dans la fente de sa chatte. Elle se penche en avant et se cambre, accentuant la pression sur ses parties intimes et entre ses seins. Elle s'appuie sur le mur d'une main, l'autre tenant toujours ses cheveux. Je plante deux doigts dans son intimité, le pouce forçant l'entrée de son anus. Je susurre en fixant son reflet dans le miroir :
"- Caresses-toi les seins, ma salope."
Elle relâche ses cheveux et pétrit sa poitrine rehaussée par le corset. On entend la vendeuse qui s'impatiente dehors. Je suis sûr qu'elle aimerait nous rejoindre ... Je dis :
"- Bien, testons si cette ouverture entre tes cuisses à été bien pensée ..."
J'enfonce ma verge dans son cul. Julie crie. Je lui souffle :
"- Umm ... Tu aimes, hein ma salope ?"
Elle ne répond pas sa respiration est haletante. La vendeuse nous demande :
"- Tout va bien ?"
Je chuchote :
"- Réponds lui que oui, que je suis en train de t'enculer."
"- Oui, tout va bien, Mademoiselle, on teste le produit."
Je souris, lui pince le téton, embrasse sa nuque. Je murmure :
"- Ne sois pas si pudique ... Dis lui clairement ce que l'on fait ..."
"- Bien, Maître."
Puis, à haute voix :
"- Mon Maître me prend par derrière. Il me lime le cul."
J'ajoute :
"- Et elle aime ça, la salope !"
Je retire ma verge d'un coup sec. Nouveau petit cri. J'ouvre la cabine sans prendre la peine de ranger ma queue :
"- Vas-y, ma petite chienne, montres-lui comment tu es belle avec ça."

Elle passe devant moi et défile devant la vendeuse en prenant des poses provocantes. Toute gêne à maintenant disparue. Je lis le désir dans les yeux de la vendeuse : ma petite chienne lui plait beaucoup. Je dis nonchalamment :
"- Vous aimez son collier ? Et ses petites fesses rebondies ?"
Elle ne répond pas, continuant à regarder, à scruter.
"- Vous pouvez la toucher si vous voulez."
Je m'approche d'elle, ma verge caresse sa jambe alors que ma main passe dans ses cheveux courts. Julie se met à quatre pattes en attendant mes ordres. Je souffle à l'oreille de la vendeuse :
"- Voyez comme elle est obéissante ..."
La main de la vendeuse s'égare sur mon sexe. Ma chienne lui embrasse les talons. Je dis enfin :
"- Je vous sens chaude, Mademoiselle, vous voulez que ma petite chienne vous lèche ?"
Elle répond simplement :
"- Otes mes chaussures, petite chienne."
Elle a l'air d'avoir l'habitude. Julie obtempère et commence à lui lécher les pieds. Je glisse ma main dans son corsage et sa jupe. Elle se laisse faire et m'embrasse. Elle n'avait même pas de culotte ... Ma salope commence à remonter le long des jambes de la vendeuse. Elle la regarde et dit :
"- Suces mes doigts de pied, petite chienne !"
Elle obéit avec ferveur, suçant méthodiquement chaque orteil. J'écarte son corsage, suce un de ses mamelons. Mes doigts plongent profondément dans la moiteur de son intimité. Julie se relève et nos langues et nos lèvres se mélangent. Je saisis sa laisse et la tends à la vendeuse :
"- Elle est à vous, je vous la prête."

Je me recule alors. Elle l'embrasse et lui caresse la poitrine. Puis elle va s'asseoir sur une chaise et dit :
"- Lèches-moi, petite chienne. Je veux sentir ta langue râpeuse. Que ta salive apaise ma chatte brûlante."
Julie se glisse sous la jupe de la vendeuse et la lèche méthodiquement. La vendeuse relève sa jupe pour que je puisse assister au spectacle :
"- C'est bien, petite chienne, tu lèches très bien, ton Maître peut être fier de toi."
Elle passe sa main dans les cheveux de ma salope en se léchant les seins. Je dis :
"- Enfonces bien ta langue, ma petite chienne, Mademoiselle aime ça ..."
Je regarde la vendeuse se caresser et ajoute :
"- Vous ne voulez pas qu'elle utilise ses doigts ? Elle est très douée aussi ..."
"- Umm ... Oui, bonne idée."
"- Tu as entendu, ma salope ? Mademoiselle voudrais que tu la doigtes."
Elle entre un doigt dans le sexe humide de sa partenaire et accélère bien vite le rythme en voyant les réactions enthousiastes de cette dernière. Son autre main caresse ses fesses et ses doigts s'approchent de son anus. La vendeuse lâche :
"- N'hésites pas, salope, fourres-moi l'anus !"
Elle tire ma chienne par les cheveux pour amener ses lèvres sur ses seins. Elle lui mord les tétons. La vendeuse la gifle :
"- Tu te crois où, salope ? Je t'interdis de me maltraiter sans mon accord !"
"- Pardon, Mademoiselle."
"- Va te faire enculer, petite gouine ! J'en ai rien à foutre de tes excuses !"
Je souris et m'approche. Elle lui montre la laisse qu'elle a en main :
"- Et appelles moi maîtresse, compris ?"
"- Bien, Maîtresse."
Elle l'étouffe dans sa poitrine :
"- Et doigtes moi mieux que ça, bordel !"
Je pose mes mains sur son fessier. Julie fait de son mieux pour se faire pardonner en masturbant violemment la vendeuse. Elle gémit et dit :
"- C'est mieux. Pinces-moi le clito, violes-moi la chatte. Ton Maître va s'occuper de ta punition pendant ce temps."

Je l'encule alors sans ménagement. Elle hurle. Puis elle redescend entre les cuisses de sa Maîtresse et s'accroche à ses hanches pour la lécher du mieux qu'elle peut malgré les à-coup. La vendeuse saisit la chevelure de Julie et tire sa nuque en arrière. Chaque coup de reins envoie une décharge de douleur le long de la colonne de ma chienne mais elle se retient de crier : c'est sa punition. Un rictus de douleur lui déforme la visage. Sa Maîtresse s'en délecte avec un sourire sadique. Les doigts de Julie continuent malgré tout leur besogne. Enfin la vendeuse se met à genoux sur la chaise et dit :
"- Allez, lèches-moi la rondelle, petite chienne."
Je sens que cela répugne Julie mais elle n'ose rien dire. Elle commence par glisser ses doigts puis lèche timidement la raie de sa partenaire. Cette dernière la réprimande :
"- Mieux que ça, mets ta langue dans mon fion."
Elle se force mais n'y arrive pas à cause des coups de boutoir que je lui inflige. Je sors ma queue et me recule à nouveau. Elle te décide alors à enfoncer sa langue aussi profond qu'elle peut. Je me rapproche et caresse son corps en disant :
"- Penses à ton maître, ce petit cul doit être bien préparé pour lui !"
Elle s'active un peu plus, glisse ses doigts en même temps que sa langue pour lubrifier l'intérieur de l'anus qui commence à se dilater. Puis elle s'écarte et me laisse la place. La vendeuse agite son petit cul pour m'exciter. Je pose mon gland à l'entrée de sa grotte. Elle dit tout à coup :
"- Oh, je me rappelle tout à coup que j'ai des surprises pour notre chienne, attends un peu, mon beau !"
"- Ok. Pas de soucis."
J'entre malgré tout ma verge en elle. Elle crie de douleur et de plaisir et murmure :
"- Petit coquin ..."
Je la prends quelques instants puis la laisse partir dans l'arrière-boutique. Elle s'y dirige en trémoussant à dessein son joli petit cul. Julie est allongée par terre, tout cela l'a fatiguée. Je la regarde et dit en m'asseyant sur la chaise :
"- Tu n'oublies rien, ma salope ?"
"- Désolée, Maître."
Elle se dirige vers moi à quatre pattes, commence à me branler. Elle met sa bouche face à ma hampe en attendant ma semence.

La vendeuse revient au moment où ton visage se couvre de sperme. Elle dit d'un ton faussement blessé :
"- Et moi ? Pourquoi cette salope y a droit avant moi ?"
"- Pas d'inquiétude, il en restera pour vous ... En plus vous aurez plus de temps pour jouer avec ma petite chienne. Et moi avec vous ..."
Elle parait pensive :
"- Vu comme ça, en effet ..."
"- Et vos surprises ?"
"- Voilà la première !"
Elle me tend des pinces à tétons, Julie me regarde. La vendeuse dit :
"- Relèves bien ton buste, ma petite chienne."
Je prends une étoffe dans le magasin et lui bande puis j'installe délicatement les pinces. Elle pousse un petit cri :
"- Ne sois pas si douillette, ma salope. Tu n'es pas heureuse de ta surprise ?"
"- Si, si, Maître. Excusez-moi."
Je tire par petits coups sur la chainette et m'amuse de sa réaction. Pendant ce temps notre amie a préparée sa deuxième surprise. Je tire un peu plus fort sur la chaine et ma chienne se penche vers moi. Je l'embrasse. La vendeuse tourne autour de nous. Enfin elle écarte les jambes de Julie et un énorme gode-ceinture entre en elle. Ma salope gémit de plaisir :
"- Umm ... Continuez, Maîtresse, j'aime ça ..."
Elle se penche et lui pétrit le seins, jouant avec les pinces. Elle susurre :
"- Tu aimes ma grosse queue ?"
"- Je l'adore, Maîtresse, continuez, plus fort ..."
Elle chuchote pour Julie et elle seule :
"- Tu l'aimes plus que celle de ton Maître, je parie ? Il ne te satisfait pas autant, hein ?"
Elle rougit et répond tout bas :
"- Oui ... Mais ne lui dites pas, il serait fâché."
"- Ce sera notre secret alors ..."
"- Merci, Maîtresse."
Elle la ramone alors de plus bel, un sourire satisfait sur les lèvres. Je fronce les sourcils :
"- C'est quoi ces messes basses ?"
La vendeuse se contente de sourire et Julie de baisser les yeux en gémissant de plaisir. Quand je m'approche d'elle elle avale mon sexe et le laisse grossir dans sa bouche en le caressant de la langue. Cette fois-ci c'est la vendeuse qui a l'air vexée. Elle change d'orifice et défonce violemment le cul de ma salope. Elle n'ose sortir ma verge de sa bouche pour crier sa douleur de peur de me décevoir. Elle est piégée entre ses deux Maîtres et cela l'excite malgré la douleur. La vendeuse s'allonge sur le corps de Julie et suce à son tour ma queue. Julie me lèche alors les bourses. La vendeuse pétrit les seins de ma chienne. Enfin je me dirige vers la vendeuse l'aide à se relever et l'embrasse. Nous échangeons un regard complice et enflammé. Je détache son gode ceinture et le plante d'un coup sec dans le cul de ma salope. Je lui dit alors :
"- Tu as envie de ma queue ?"
"- Oh oui, Maître !"
"- Supplies-moi."
"- Par pitié, Maître, accordez-moi la jouissance d'être prise par vous."
Je m'allonge sur le dos :
"- Viens me glisser dans belle petite chatte. Vu que ton cul est déjà bien occupé ..."
Elle s'assoit sur ma verge, c'est très étroit, le gode est vraiment très gros ... Elle a mal et se tient à la vendeuse qui ne se préoccupe pas vraiment d'elle, trop occupée qu'elle est à se masturber. Je lui suggère de venir se faire lécher et elle vient immédiatement poser son minou sur mes lèvres. Je la lèche alors que Julie l'embrasse fiévreusement en continuant ses mouvements de hanches. La vendeuse tire sur la chainette de la pince à tétons puis prend les mains de ma salope et les pose sur sa poitrine. Elle n'a pas besoin de lui expliquer qu'il faut qu'elle les malaxe bien. elle les lèche même. Je la doigte. La vendeuse se déchaine et insulte copieusement Julie :
"- Allez, sale pute, fais ton boulot, dresse moi les tétons, mieux que ça !"
Elle presse la tête de ma salope sur sa poitrine :
"- Tu adores ces deux bites en toi, hein cochonne ? Montres le mieux, gémit comme la catin que tu es !"
Julie fait de son mieux pour la contenter, elle lui suce les doigts en la regardant. Enfin je me dégage de sous leur deux corps et Julie tombe sur la vendeuse, fourbue mais heureuse. Je les regarde et dis :
"- Je vous laisserais bien toutes les deux mais on a quelque chose à régler, cette demoiselle et moi ..."
La vendeuse se redresse et m'embrasse. Nous nous dirigeons vers la cabine d'essayage et je dis simplement :
"- Tu gardes la boutique, ma chienne. Gardes ta grosse queue en plastique dans le cul surtout."
Avant de refermer le rideau je dis :
"- Et surtout tu ne baises ni avec les clients, ni avec les clientes !"
Quand je me retourne le cul de la vendeuse m'est déjà offert. Je l'encule sauvagement pour son plus grand plaisir. La cabine tremble et nos râles de plaisir résonnent dans le magasin. J'éjacule enfin en elle. Nous restons enlacés, je l'embrasse. Puis nous ressortons de la cabine. Tu vas alors te rhabiller après avoir rendu ses 'surprises' à la vendeuse.

En partant j'achète les trois culottes mais la vendeuse nous dit qu'elle va recevoir un nouvel arrivage de tenue plus neuve, cet ensemble étant destiné à l'exposition. En plus elle nous propose de faire marquer 'petite chienne' sur le tour du coup en cuir. Je lui demande alors quand nosu devrons repasser et elle dit :
"- Donnez-moi votre adresse, je vous le livrerai à domicile. D'ailleurs voilà ma carte ..."
"- Charlotte ? Joli prénom. Aussi joli que votre cul."
"- Merci. J'espère que l'on pourra apprendre à mieux se connaitre ..."
Je souris, je vois où elle veut en venir :
"- Bien sûr. Il manque une présence féminine pour ma petite chienne, ça nous fera plaisir. Et puis vous pourrez la promener et lui tenir compagnie quand je suis absent."
Nous partons alors après que nous nous soyons échangé un regard plein de promesse ...