Week-end d'anniversaire

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 24/09/2009 par Nadienemo4

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Week-end d'anniversaire en amoureux


J'avais pris du temps pour organiser ce week-end. Et maintenant nous y étions, j'avais envoyé le texto fatidique, reculer n'était plus possible, subsistait la possibilité que les autres me fassent défaut et, de temps en temps j'appelais cette éventualité de mes voeux, mais à vrai dire je n'étais plus maître du jeu. Je ne maîtrisais plus la situation.
J. et moi étions arrivés assez tard la veille, après notre journée de travail. Nous avions donné les dernières instructions à nos grands enfants, embarqué les bagages prêts depuis longtemps parcourant à vitesse réglementaire les quelques 200 kilomètres nous séparant du gîte rural choisi sur internet, nous arrêtant en chemin pour dîner.
La description n'était pas mensongère, l'endroit était propre, meublé avec goût, isolé et tranquille, le lit était grand et confortable.
Le voyage nous avait fatigués, et puis, bien que nous ne soyons pas très âgés, cela fait très longtemps que nous vivons ensemble, le désir n'est plus toujours aussi présent, et aussi, je préférais me ménager dans la perspective du lendemain. Nous nous endormîmes rapidement.
Le lendemain nous passâmes une grande partie de la journée à nous promener sur les plages et la campagne environnantes malgré le froid de ce mois de janvier, après quoi nous nous octroyâmes une sage et courte sieste.
Vers 19 heures J. alla prendre un bain avant de s'habiller pour notre soirée au restaurant tandis que j'envoyais, après de multiples hésitations et après m'y être pris à plusieurs reprises tant j'étais nerveux, le fameux texto de confirmation me faisant perdre tout contrôle de la situation. J'en étais très mal à l'aise mais en même temps j'étais terriblement excité, Cela faisait longtemps que je ne bandais plus comme je bandais aujourd'hui. Quand J. sortit du bain elle me demanda si je voulais m'y plonger et je lui répondit que oui.
Comme elle se maquillait dans la salle de bain, je lui tournais le dos pour qu'elle ne s'aperçoive pas de cette énorme et inhabituelle érection. Je m‘allongeais dans l'eau et sous la mousse me masturbais doucement pour qu'elle ne s'aperçoive de rien, en contemplant ses fesses fermes et rebondies dont je ne me lassais pas malgré les années, sa taille fine aussi continuait à me plaire. Elle me parlait en évitant de se retourner comme si elle essayait de me cacher quelque choses et j'imaginais qu'elle avait du se raser la chatte et voulait m'en réserver la surprise pour plus tard, j'en déduisit qu'elle aussi avait envie d'une soirée chaude. Quand elle quitta enfin la salle de bain je pus finir de me branler, je restais allongé un moment encore, plongé dans une agréable torpeur, et je m'aperçus que je recommençais à bander.
J'entrais dans la chambre où J. finissait de s'habiller en essayant de lui dissimuler, plutôt mal que bien puisqu'elle m'en fit la remarque, ma bite turgescente. Je tentais de me justifier en invoquant l'agréable température de l'eau, et la non moins agréable contemplation de sa chute de reins, elle me sembla flattée et me fit un sourire plein de promesses, puis elle s'approcha du lit sur lequel j'étais assis, s'agenouilla devant moi, prit mes couilles dans sa main, de sa langue elle parcouru toute la longueur de ma queue, puis se releva en me promettant une suite si notre soirée était réussie.
Le dîner fut excellent. Je fis boire J.. Il me fallait trouver la juste proportion d'alcool, trop elle sombrait dans la somnolence et je pouvais me mettre la bite sous le bras, pas assez et il lui arrivait de se refuser à moi si quelque chose lui avait déplu, mais quand elle était juste à point elle perdait toute pudeur et se donnait comme une chienne en chaleur, et généralement elle réclamait bien plus que je n'étais capable de donner. C'était ça que je voulais obtenir ce soir et je crois que c'était en bonne voie, elle caressait ma jambe avec son pied sous la table et s'aventura jusqu'à mon entrejambes.
Sitôt que nous prîmes place dans l'auto elle posa sa main sur mon sexe et elle le caressa doucement pendant les vingt minutes que dura le trajet. De son autre main elle se caressait la poitrine. Au fur et à mesure que nous approchions du gîte mon angoisse grandissait : et si le plan que j'avais mis au point lui déplaisait, et si elle refusait de participer...
Mais ses caresses semblaient me donner tort, nous serions, de toutes façons, rapidement fixés.
Nous laissâmes la voiture dans l'allée menant à la maison, avant de m'y engager j'avais vu un véhicule correspondant à celui décrit lors d'un échange de mails.
Les dés étaient jetés.
Nous parcourûmes les quelques mètres nous séparant de la maison en nous tripotant comme des adolescents, cela faisait très longtemps que cela n'était pas arrivé.
Nous gagnâmes le salon, je lui proposais de boire ce champagne qui avait justifié notre passage par le supermarché où elle avait tenu à acheter aussi des courgettes qu'elle avait choisies longues et épaisses bien qu'il ne fut pas prévu que nous cuisinions pendant notre bref séjour. Le champagne finit par lui faire perdre toute trace de respectabilité, elle me dit d'aller chercher l'appareil photo et de ramener une des courgettes, elle avait relevé ses jambes sur le divan, sa jupe était remontée, elle avait mis des portes jaretelles et comme je l'avais deviné s'était rasé la chatte. Je pensais à mes invités-surprise qui devaient l'observer à travers la fenêtre, il faisait froid dehors, il ne fallait pas les y laisser trop longtemps. En allant chercher l'appareil photo je leur ouvris la porte et leur demandais de patienter encore le temps de la séance photo, leur dit que s'ils restaient encore un peu à leur poste d'observation ils ne le regretteraient pas, que j'étais sûr que le spectacle en vaudrait la chandelle.
Je commençais à me détendre, les deux hommes avaient l'air engageant.
Trouver des types pour baiser votre femme ne pose aucun problème, en trouver qui acceptent les conditions que je proposais tout en étant prêts à parcourir une longue distance sans une complète certitude d'arriver à leurs fins, tout en offrant des garanties d'hygiène et de savoir vivre fut autrement compliqué.
Je choisis le plus gros des légumes dans le réfrigérateur, je le passais longuement sous l'eau chaude pour le réchauffer puis regagnais le salon. J. s'était resservie du champagne et je reconnu ce regard qu'elle a quand elle à faim de sexe, quand ce n'est plus sa tête mais sa chatte qui prend les commandes. Je lui tendis la courgette, elle la lubrifia de sa salive et l'introduit dans son vagin, elle me demanda de la photographier, elle voulait que je la traite de grosse salope, je faisais tout ce qu'elle me demandait.
Elle me dit : « Approche, je veux ta queue dans ma bouche ».
Malgré que je me savais observé et que je suis d'un naturel excessivement pudique je n'eu aucun mal à me débarrasser de mes vêtements. Elle engouffra profondément mon sexe dans sa bouche tout en continuant de sa main le va et vient du cucurbitacée entre ses cuisses.
Je la photographiais sans discontinuer. Je pensais le moment venu pour passer au cadeau. Elle était dans un tel état d'excitation que j'eu du mal à me dégager de sa bouche.
Je lui demandais d'attendre que j'aille chercher son cadeau d'anniversaire.
Quand je revins dans la pièce suivi de deux hommes, c'est à peine si elle esquissa un geste pour rabattre sa jupe et cacher sa chatte qu'elle avait continué à besogner avec la courgette.
Je dis : « Ton cadeau, ma chérie, Benoît et Alex ».
Elle ne me parut pas le moins du monde inquiète ou fâchée de la présence de ces deux hommes qui devaient avoir une vingtaine d'années de moins que moi et dont la protubérance dans le pantalon laissait présager d'heureux moments.
Si pour nous ce genre de situation était nouvelle, Benoît et Alex semblaient eux très à l'aise, ils ne perdirent pas de temps, il s'approchèrent du divan et s'assirent de part et d'autre de ma femme. Je leurs demandais si je pouvais continuer à photographier, cela ne les gênait aucunement, j'avais même l'impression que cela les flattait. Tour à tour ils introduisaient leur langue dans la bouche de J., qui semblait y prendre plaisir, l'un caressait sa poitrine, l'autre sa chatte, je n'avais jamais vu J. dans un pareil état. Pour ma part j'avais l'impression que je commençais à assumer mon voyeurisme refoulé, à ce moment je ne ressentais aucune honte.
J. tentait de dégager les sexes des deux garçons de leurs pantalons, mais son excitation était telle qu'elle n'y parvenait pas, ils l'y aidèrent. Leurs bites étaient bien plus longues que la mienne. Ils déshabillèrent J. ne laissant que les bas et les jarretelles. Benoît s'était agenouillé entre les jambes de J. et la léchait habilement. Alex s'était agenouillé sur le divan et se faisait sucer par J., moi je jouissais du spectacle sans aucune honte ni retenue.
J. haletante criait « Baise-moi » sans que cela s'adresse à l'un ou à l'autre des étalons en particulier. Les deux hommes la traitaient de tous les noms sans qu'elle n'en prenne ombrage, elle en redemandait. Benoît se releva, il mit me femme à quatre pattes sur le divan, Alex se mit sous elle pour qu'elle continue la fellation, Benoît se mit derrière elle et lui léchait le trou du cul, puis introduit son pouce qu'il faisait coulisser pour bien le dilater. Je m'étais déplacé pour ne rien perdre du spectacle. S'il était fort probable que je n'avais pas été le seul à bourrer ma femme par derrière je n'avais pas encore eu la chance d'y assister en spectateur. Après le pouce Benoît prit la courgette, saliva abondamment dessus et tenta de l'introduire mais J ; se raidit et il y renonça. J. se redressa et dit à Alex : « Baise moi, maintenant,. Je n'en peux plus j'ai besoin d'une bite en moi ». Alex s'assit et J. vint s'empaler sur son dard, Benoît se mis devant elle pour se faire sucer à son tour. J ; était tellement occupée qu'elle semblait avoir totalement oublié ma présence. Je les rejoignis sur le divan, et continuais de photographier.
Alex pinçait les tétons de ma femme qui suçait Benoît comme elle savait si bien le faire, tout en flattant le cul de celui-ci d'un doigt, je m'étais toujours refusé à cette caresse mais le jeune homme semblait y prendre plaisir. Je suggérais alors que nous passions dans la chambre, car le lit offrait plus de confort que le divan pour la suite des opérations. J ;ne voulait pas qu'on lui ôte la bite qu'elle avait dans ses entrailles, elle ne quitta celle d'Alex que pour grimper sur celle de Benoît, s'accrochant de ses bras autour de son cou et de ses jambes autour de sa taille, Benoît avait passé ses mains autour de ses fesses, Benoît la conduisit ainsi jusqu'à la chambre sans que jamais elle ne cesse d'aller et venir sur la queue du jeune homme.
Ils roulèrent sur le lit sans se détacher, Alex et moi les suivîmes dans la chambre.
Benoît se coucha sur le dos, J ; s'agitait avec de plus en plus de violence sur son pénis.
Alex vint prendre place dans le dos de J., et avec beaucoup de maîtrise et d'équilibre il introduit sa queue dans le cul de J. Pour la première fois je vis un vent de panique sur le visage de J., bien que la double pénétration était un de ses fantasmes, depuis longtemps avoué. Je m'approchais d'elle et pris sa main dans la mienne, mais très vite le plaisir prit le dessus sur la peur, elle lâcha ma main et prit ma queue qu'elle commença à branler, m'autorisant implicitement à prendre part au jeu.
Toute la nuit, nous nous relayâmes pour la baiser, parfois seul, parfois à deux ou à trois, elle semblait insatiable.
Au matin, après quelques heures de sommeil bien méritées, les deux garçons reprirent la route.
J. dormait enfin et les doutes revinrent m'assaillir. A quoi ressemblerait le silence, dans la voiture, sur le chemin du retour ? Serait-il complice et plein de regrets d'avoir tant tardé avant d'élargir notre horizon et réaliser nos fantasmes ? Se sera-t'elle sentie souillée et il sera alors plein de reproches et de menaces.