Petit déjeuner au lit

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 20/09/2009 par Talis Cat

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Nous avons passé une nuit de folie. Elle en a redemandée, encore et encore. Je suis vidé. Je la regarde dormir, recroquevillée sur elle-même. Elle est belle. Elle a encore les mains attachées en haut du lit et elle porte toujours sa laisse. Je caresse ses cheveux. Mon sexe se redresse. Pas si vidé que ça finalement ... Mes doigts glissent sur son corps. Elle réagit dans son sommeil, s'étire, offre son corps à mes caresses. Elle soupire de contentement. Ma langue se pose sur ses tétons. Puis elle descend lentement, s'attarde sur son nombril. Elle sourit mais ne s'éveille pas. Je pose délicatement mes lèvres sur celle de sa fleur et pose mes mains sur ses hanches. Je guette sa réaction en faisant de très légers mouvements avec ma langue, ma tête. Elle soupire à nouveau. Ma langue viole alors doucement son intimité. Elle gémit. Je remonte alors au dessus d'elle, une main écartant sa chatte, l'autre posée sur son sein. Je sens son téton durcir. Je l'embrasse tendrement et lui souffle à l'oreille :
"- Il est l'heure de se réveiller, ma salope. Ton Maître a faim ..."
Elle se réveille alors et demande :
"- Vous souhaitez petit déjeuner, Maître ?"
Je souris en lui détachant les mains :
"- Non, j'ai faim de toi ..."
Je suce son téton puis rattache ses mains derrière mon cou alors que je me place au dessus d'elle et plonge mon regard dans le sien. Nous restons un moment ainsi. Puis elle m'embrasse. Elle commence alors à descendre le long de mon corps, ses mains liées glissant le long de mon dos. Je me redresse et elle se retrouve agenouillée face à moi, pliée en deux. Elle avale mon sexe et commence une des délicieuses fellations dont elle a le secret. Je voudrais lui pilonner la bouche mais ses mains attachées m'en empêche ... Cela m'excite. Je tire sa nuque en arrière, la regarde dans les yeux alors qu'elle me suce avidement :
"- Toi aussi tu as faim on dirait, hein, ma salope ?"
Elle hoche lentement la tête puis me suce de plus bel. Je sens que je vais déjà éjaculer ... Dire que je me pensais vidé. Je m'extrait de sa bouche, elle essaie de me garder en elle. Je résiste au désir qui monte en moi et la détache. Je dis alors :
"- Amènes-nous un petit déjeuner, il ne faut pas baiser le ventre vide !"
J'ajoute d'un ton coquin :
"- Et puis le sperme a meilleur goût si on mange de bonnes choses, hein, ma salope ?"
Elle s'en va avec un air dépité. Elle reviens cinq minutes plus tard avec un plateau ... Elle a mis un petit tablier qui vaut toutes les lingeries du monde sur son corps ...
"- Appétissant tout ça ..."
Mon regard indique bien que c'est elle la plus appétissante du lot. Elle dépose le plateau puis s'agenouille à côté du lit, attendant mes instructions. Je lui dis :
"- Tu veux un croissant ?"
"- Oui, Maître. S'il vous plait."
Je lui flatte la tête :
"- Une bonne salope comme toi ne va pas le prendre nature, je suppose."
"- Non, Maître, je veux de la bonne confiture avec."
Je pose sa main sur mon sexe, ouvre le croissant et le place face à ma queue :
"- Allez, ma petite chienne, va chercher la bonne confiture ..."
Elle jappe puis commence à me masturber avec ardeur. Je ne tarde pas à juter dans un râle de plaisir. Je referme le croissant :
"- Tu vas pouvoir manger. Mais nettoies bien mon gland avant, petite chienne."
Je lui tend ma verge encore dure. Elle se cambre en avant, faisant ressortir son joli fessier. Elle lèche méthodiquement mon gland. Je lui donne alors le croissant qu'elle mange avec un air gourmand. Un peu de sperme coule sur son menton. Elle le récupère du bout du doigt avant de sucer ce dernier. La vue de son cul et de son comportement de salope me donne des envies très cochonnes. Je ne débande même pas en mangeant mon petit déjeuner à ses côtés. Elle finit son croissant et me regarde. Je sens qu'elle veut dire quelque chose. Mais elle attend de redevenir ma salope. J'attends quelques instants. Puis enfin je dis :
"- Oui, ma salope ?"
"- Merci pour le croissant, Maître, c'était délicieux."
Je répond sur un ton condescendant, comme on parlerait à une petite fille :
"- Mais de rien, il faut bien nourrir ses serviteurs si l'on veut qu'ils nous servent avec ardeur ! Tu en aimerais plus ?"
"- Umm, oui, Maître, j'adorerais ça."
Je suis enchanté par sa réaction. Elle est faite pour ça. Et ce petit tablier qui retient difficilement sa poitrine ...
"- Alors tu vas devoir me donner tes fesses. J'ai besoin de stimulation, tu comprends ..."
Elle se met à quatre pattes, son cul dirigé vers moi :
"- Bien sur, Maître. Me voilà prête, allez-y, je suis à vous."
Je la regarde un moment puis je pose le plateau par terre de l'autre côté du lit et dis :
"- Viens donc sur le lit, tu as le droit. Je n'ai pas envie d'avoir mal au genou en défonçant ma petite chienne. Je risque d'être assez violent, j'ai très envie."
J'attrape la laisse et donne un petit coup sec. Elle jappe et monte sur le lit. Elle m'offre alors à nouveau son cul en se reposant sur ses avant-bras pour accentuer sa cambrure. J'ausculte son intimité des doigts. Elle soupire, se penche un peu plus en avant et me dit en souriant :
"- Prenez-moi, Maître, si vous en avez envie, ne vous préoccupez pas de moi ..."
Je la lèche alors :
"- Mais j'aime ta petite chatte ... Elle est très bonne ... Mais tu n'aurais pas du parler, ma petite chienne ..."
Elle rougit s'apprête à s'excuser puis se rattrape et pousse un petit jappement plaintif à la place :
"- Tu n'as pas été obéissante ..."
Je la prends alors violemment. Elle ne se retient pas de crier sa douleur, sachant que cela m'excite, que cela fait partie de sa punition. Je la fesse en la sodomisant aussi fort que je peux. Elle reste aussi passive que possible, pour me montrer sa soumission. Enfin je me calme. Je me penche sur elle, lui caresse les seins. Puis je l'entraine avec moi alors que je me redresse. Mes coups de bite se font plus doux :
"- Tu es pardonnée, ma petite chienne."
Elle pousse un petit couinement de plaisir. J'écarte sa chatte d'une main et y glisse mon sexe. Elle gémit, relève ses cheveux dans un mouvement très érotique. J'embrasse sa nuque. Elle participe à notre étreinte en bougeant ses hanches. Je sens que je vais à nouveau jouir :
"- Tu as toujours faim, ma belle salope ?"
"- Oui, Maître, très."
"- Bien allonges toi sur le lit alors ..."
Elle obéit et je me place sur elle, la queue entre ses seins. Elle n'a pas besoin que je lui dise d'enserrer ma verge entre eux ... Je commence à me branler. Elle lèche et suce mon gland au passage. Je sens alors ma sève monter et me plante dans sa bouche. Je laisse alors faire sa langue si douce. J'explose dans sa bouche. Elle suce goulument. Je reste quelques instants alors qu'elle continue à me lécher et me sucer. Puis je me retire :
"- Tu as bien tout avalé, petite chienne ?"
Elle se contente d'ouvrir grand la bouche :
"- C'est bien ... C'était bon ?"
Elle jappe joyeusement. Je caresse son visage. Je l'embrasse. Le goût de mon sperme est encore sur ses lèvres. Je la regarde :
"- Je t'aime, Julie."
"- Moi aussi, Christophe."
Ces mots ne veulent rien dire mais ils viennent de sceller notre pacte ... Elle sera ma soumise, pour longtemps.