rien ne ce serait passé s'il y avait eu des sacs

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Proposée le 10/09/2009 par sexanapascal

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D'abord une petite réflexion : « rien ne ce serait passé s'il y avait eu des sacs à la caisse ». Cela semble énigmatique au premier abord mais tout prendra un sens par la suite...

Avant de continuer, il me semble que je dois respecter la règle de la description de ma personne : je m'appelle Ana et je vis avec mes enfants et mon mari dans une petite ville de la région du centre.

Du haut de mes quarante-et-un ans, j'ai une vie très agréable et pleine d'amour.

Sous l'impulsion de mon mari, mes quinze années de mariage ont fait de la prude jeune fille que j'étais, une amante avide, pratiquant tout ce que deux adultes consentants et fidèles, de sexes opposés, peuvent imaginer.

Le seul bémol à ce tableau idyllique, c'est que deux grossesses et le temps me rappellent à leur souvenir par la présence de quelques kilogrammes en trop. Mais mon type latin (espagnol) et surtout mon quatre-vingt-quinze D me permettent de rendre invisible ce petit souci de poids, commun à beaucoup de femmes de mon âge. Je précise aussi que mon mari aime que les gens se retournent sur moi donc, comme je suis légèrement exhibitionniste, je m'habille assez sexy mais toujours très correct.

Tout commence un après-midi. Je viens d'amener mes enfants à l'école et, sur la route du retour, je passe à la superette de notre village pour quelques courses. Je prends un panier en entrant et déambule entre les rayons. Je saisis ce dont j'ai besoin, remplis mon panier, enfin rien d'extraordinaire, si ce n'est la présence d'un homme dans les trente-cinq, quarante ans dont je croise plusieurs fois le regard, un regard qui essaye maladroitement de voir ce qui se trouve dans le décolleté de mon cache-cœur. Cela m'amuse énormément et je pense à mon époux qui, dans ces moments-là, m'aurait dit :

— Regarde cet homme, tu lui égayes sa journée, alors fais un petit effort pour la lui rendre inoubliable...

Cela veut dire d'en montrer plus. Mais il n'est pas là, alors... et puis zut ! Cela m'amuse de voir les efforts de cet individu récompensés, alors je décide de lui montrer ce qu'il veut voir, mais discrètement, comme si cela n'était pas fait exprès.

Sous le prétexte de refaire le nœud de mon cache-cœur, je desserre ce dernier puis, chargée de mon panier, je vais au rayon des fruits et légumes. Je fais mine de tâter les produits en attendant que mon voyeur se mette en place face à moi. Je prends, en étal supérieur, un kilo d'oranges et, dès que je suis sûre qu'il ne va rien rater au spectacle, je me penche en avant pour saisir un sac de pommes de terre, dont je n'avais nul besoin, faisant bailler mon petit haut. Je présente ainsi, à la vue de tous, ma poitrine simplement contenue dans un redresse-seins qui ne cache rien et surtout pas mes aréoles et mes tétons tendus à l'extrême par l'excitation de la situation. Et voilà un heureux de plus, du moins pour aujourd'hui.

Ma bonne action faite, je me dirige à la caisse et, entre deux « bips », je demande à la caissière un sac pour y mettre mes emplettes. Mais en vain : plus de sacs, ni en libre-service, ni payant. Elle me donne un carton vide, en guise de réceptacle, que je remplis. Je paie puis me dirige vers la sortie en laissant un petit sourire à mon voyeur qui passe derrière moi à la caisse, et qui signifie :

— Je sais ce que tu as vu...

Je retourne à mon domicile, à deux pas du magasin, chargée de ce carton qui me paraît peu fiable. Quand, à la porte de la maison, ce dernier cède par le fond et étale son contenu sur le trottoir. Je vocifère quelques mots non répétables ici, puis me décide à ramasser le tout, après avoir ouvert ma porte d'entrée pour y mettre en vrac, au fur et à mesure, ce que je ramasse.

Et si j'ai oublié, sur l'instant, que mon cache-cœur n'est plus fermé correctement, mon voyeur sortant du magasin à cet instant doit, quant à lui, s'en souvenir parfaitement. Je suppose que l'aide qu'il m'offre alors est mue par l'envie d'en voir un peu plus. Cependant, à cet instant, moi je ne vois qu'une main secourable, bien venue, surtout pour ramasser les oranges qui, de par leurs formes, avaient pris des directions toutes opposées.

Les denrées sont maintenant étalées dans mon entrée. Je remplis mes bras de ces dernières et demande à mon « voyeur-sauveur » s'il peut en faire autant et pousser son aide jusqu'à ma cuisine. Il s'exécute, poussant même la délicatesse jusqu'à refermer la porte du talon.

Nous voilà donc dans ma cuisine et, dès que nos bras sont vides, je le remercie. Puisque c'est le début de l'après midi, je propose à mon invité de prendre un petit café avec moi. Il accepte et je mets en route la cafetière. Je lui propose de s'asseoir et, dans un long soupir du genre « Je suis bien contente que mon calvaire soit enfin fini », je m'assieds de même.

Et là, c'est un grand moment de solitude, car je découvre que mon sein droit est complètement dévêtu et que mon partenaire de café a du mal à me regarder dans les yeux. Je m'en sors par un :

— Oups ! Désolé ! Ils ne restent jamais en place, ceux là !

En refermant mon haut, tout en allant chercher le café, je resserre mon cache-cœur puis reviens, les tasses d'une main et la cafetière de l'autre.

Je pose puis remplis la tasse de mon voyeur, de même pour la mienne et je me réinstalle en face de mon invité. En touillant mon café j'essaye de créer une ébauche de conversation mais en vain, mon voisin de café reste pensif. Puis, comme un coup de fusil, me lance un :

— Je suis déçu !
— Mais de quoi donc, dis-je
— Bien moi, je l'aimais bien ce sein.
— Il est toujours là, vous savez, mais caché, comme il se doit.
— Mais je crois qu'il ne veut pas être caché car il essaye toujours de sortir comme au magasin, dans la rue et tout à l'heure, à cette même table.

Je bois mon café brûlant, juste pour ne pas avoir à répondre mais il continue :

— Si sa nature c'est le grand air, il ne faut pas la contrarier

Il tend sa main armée de sa petite cuillère vers moi et tente de dévoiler un de mes seins en la glissant sous le tissu. Surprise par cette audace soudaine, j'avale de travers mon café et profite de la toux que cela me provoque pour m'éloigner un peu.

— Mais que faites-vous ? Si vous les avez vus en trois endroits différents cela devrait vous suffire non ?
— Vus ? Non, juste aperçus et, puisque le mal est fait, pourquoi ne pas assumer ?

Il retend son bras vers moi pour, à nouveau, essayer d'écarter mon décolleté et, encore une fois, je fais un mouvement vers l'arrière juste pour que ses doigts ne puissent que frôler le tissu, aidée en cela par la largeur de la table

— Il est une chose que de montrer ses charmes malgré soi, il en est une autre que de se les faire dévoiler. Je vous demande donc de ne plus essayer, répliqué-je
— À nouveau je suis déçu, me répondit-il, ils sont si... appétissants.

Je me sens gênée mais émoustillée par cette demande venue de la bouche d'un inconnu. Puis, comme ça, sans même réellement le décider, je mets mes mains dans mon dos, saisis le nœud de ma tenue, le défait puis écarte les pans de tissu et libère complètement ma poitrine

— Ainsi, vous pourrez peut être boire plus sereinement votre café, dis-je d'un ton sec, vous voici libéré de votre déception ?
— En effet et je vous remercie de ce spectacle, jamais café ne fut plus agréable à boire et, si j'en crois vos tétons, cela ne vous est pas non plus indifférent ?

Il retend à nouveau la main et, avec sa petite cuillère, il me frôle un téton. C'est étrange comme sensation et un frisson me traverse le corps. Mais, juste le temps de me remettre, la cuillère fait place à un doigt, puis à une main et enfin les deux. Mon voyeur est en train de me peloter délicatement. Il se lève, se glisse derrière moi et reprend son ouvrage.

Je suis pétrifiée, je ne peux plus ou ne veux plus bouger. C'est si inattendu et si agréable que j'en ferme les yeux. Cela dure un petit moment mais un souffle chaud puis des lèvres brûlantes posées sur ma nuque indiquent qu'une nouvelle étape est franchie et, à nouveau, un frisson me fait sursauter.

Il me retourne avec ma chaise puis, de sa langue, me caresse un téton puis l'autre.

Ce n'est pas la première fois que l'on me fait cela, ce n'est même pas original cependant, plus que l'acte, c'est la situation qui m'excite de plus en plus et je ne cesse de me poser la question : « jusqu'où pourrais-je aller ? » La réponse ne tardera pas à venir.

Il se relève, me prend les mains, me les pose sur la bosse que forme son sexe dans son pantalon. Je le caresse donc au travers du tissu puis je déboutonne un à un les boutons de son jean, pour plonger ma main sous son caleçon et en sortir un sexe qui montre une érection plus qu'honorable. Je caresse, soupèse puis masturbe mon invité, refusant ses demandes de fellation, surtout sans protection, on ne sait jamais.

Alors que mon « voyeur-sauveur-tripoteur » s'en donne à cœur joie, il est surpris puis pris de panique en entendant la porte d'entrée s'ouvrir, accompagnée d'un grave et fort :

— Chérie, je rentre plus tôt, où es-tu ?

C'est mon époux qui, dès qu'il le peut, finit son travail plus tôt.

— Ça sent le café ! Tu m'en sers une tasse, le temps que je me déchausse ?

Mon invité surprise est paniqué. En nous rhabillant, je lui demande de se calmer et lui dit que mon mari est un être très compréhensif. Il espère réellement que ça soit véridique surtout quand ce dernier fait irruption dans la salle à manger avec son mètre quatre-vingt, ses cent dix kilos et ce regard intimidant que possèdent les mâles dominants.

— Bonjour mon amour. Tu rentres tôt, aujourd'hui ?
— Et oui, mais quand j'ai plus rien à faire, je suis aussi bien ici

Et, se tournant vers l'inconnu qui essaye de se cacher derrière sa tasse à café.

— Tu ne me présentes pas ton invité ?
— Si, si, bien sûr, je te présente l'homme qui a sauvé mes courses, victimes d'un carton peu résistant. Monsieur... ?

À cet instant je réalise que j'ai branlé un homme dont je ne connaissais pas le nom.

— Nicolas, je m'appelle Nicolas, mais je ne suis en rien un sauveur, votre femme exagère.

Et là, sans réfléchir je sors une énormité :

— Oh si ! Vous êtes un sauveur, vous avez empêché la fugue de mes oranges ainsi que celle de mes seins.

Et là, un silence pesant se fait sentir mais mon mari, dont la perspicacité est impressionnante, a relâché la pression avec ces simples mots :

— Tu as encore remis ce cache-cœur qui laisse sortir tes seins à chaque fois qu'il se desserre ? Tu dois le faire exprès. En tout cas, j'espère que monsieur Nicolas en a bien profité ! Cela t'apprendra, tiens !

Suite à ses mots, il me rejoint dans la cuisine où j'étais partie lui réchauffer son café et me demande de lui raconter brièvement ce qui s'est passé, à l'abri des oreilles de Nicolas. Chose que je fais. Mon mari me prend dans ses bras comme pour me rassurer et me faire comprendre que cela n'est pas grave puis il me sourit et me répète ce qu'il m'avait déjà dit auparavant, mais ce jour cela prend tout son sens :

— Le jour où je t'ai épousée, de toi je n'ai pris que les sentiments en te donnant les miens en échange. Tout le reste, qui fait de toi que tu sois toi, t'appartient et sans limite. Tes envies, tes désirs, tes phantasmes, voire même tes pulsions te sont propres. Si tu me les fais partager alors tant mieux pour moi, sinon pourquoi devrais-je te les interdire et de quel droit ? Notre mariage n'est pas une prison pour ton corps et ramener notre histoire commune à une histoire de fesses serait réducteur. Pour être trivial, ton cul t'appartient et tu en fais ce que tu veux. Moi je ne veux et ne souhaite que l'exclusivité de ton amour, le reste je m'en fous, tant que cela se fait en respectant notre famille. Je fais la différence entre faire l'amour et une partie de baise. Mais là, j'avoue que je ne m'y attendais pas ! Veux-tu que je te laisse seule avec ce Nicolas ? Veux-tu que je reste, ou veux-tu arrêter ?
— Je ne sais pas, c'était si envoûtant et puis maintenant que tu es là, le pauvre, il va vouloir partir je crois...
— Je m'occupe de cela. Installez-vous dans le salon, j'arrive de suite.

Pascal, mon mari, sort de la maison sous un tonitruant :

— Je reviens !

Quant à moi, sans dire à Nicolas que Pascal savait tout, je nous installe dans le salon, lui demandant s'il est pressé.

— C'est-à-dire que je ne voudrais pas à avoir à subir la fureur de votre mari alors je crois que je vais partir maintenant... Désolé pour tout ça... Je...
— Non, monsieur Nicolas...
— Heu ! Juste Nicolas.
— OK ! Nicolas, si vous partez, il va se douter de quelque chose, c'est sûr.

Sur ces mots Pascal entre de nouveau dans la maison et s'assied avec nous.

— J'ai dû aller au distributeur d'à coté, je suis désolé. Bon, où en étions nous ? Ah oui, vous êtes Nicolas ! Moi c'est Pascal, le mari d'Ana... Alors, mis à part le sauvetage fruitier et l'observation de nibards accidentellement dénudés que faites-vous dans le coin ? Vous êtes nouveau au village ?
— Heu non, je suis juste de passage. Je suis venu voir un nouveau client pas très loin d'ici et je me suis arrêté pour acheter de quoi me faire un sandwich à défaut de trouver un restaurant qui serve encore à cette heure.
— Et vous avez d'autres clients à voir aujourd'hui ?
— Heu, non, j'ai le reste de ma journée.
— Eh bien nous avons de la chance d'avoir des boulots qui nous laissent le temps de respirer, n'est ce pas chérie ? Mais cela veut dire que vous avez le temps de finir ce que vous faisiez avant que j'arrive et je ne parle pas du café bien sûr !

Je deviens écarlate et le pauvre Nicolas est K.O. debout. Il balbutie :

— Je ne comprends pas Monsieur, ce que vous dites par là...

Pascal ouvre mon cache-cœur, sort mes seins et, tout en les caressant :

— Il ne faut jamais laisser une femme se refroidir et j'ai bien vu que la mienne était très chaude à mon arrivée. Regardez comme ses seins sont excités à l'idée de reprendre où vous en étiez. Et puisque vous avez le temps, alors...
— Cela me gène, monsieur.

Alors, à ce moment, je dis à Nicolas de s'approcher. Il hésite et, bien que je sois pelotée par mon mari, c'est ce dernier que Nicolas regarde avec une crainte visible dans le regard. Quant à moi, cette situation m'excite terriblement et, contrairement au début de cette histoire, je décide de ne plus être passive et de devenir le chef d'orchestre de la suite.

J'embrasse passionnément Pascal, lui caressant le sexe au travers de son pantalon, puis je me lève le torse nu, ne portant que mon redresse-seins. Je m'approche de Nicolas et je me penche vers lui pour que mes seins lui touchent le visage. Je lui caresse les lèvres avec les tétons puis, m'agenouillant devant lui, je déboutonne de nouveau son pantalon, sors son sexe qui est moins en forme que quelque minutes auparavant, et je commence à le masturber.

— Voila chéri, où nous en étions avant que tu n'arrives.

Sous mes caresses le sexe repris sa forme d'avant et même peut-être plus encore. Je demande au propriétaire de cette bite de s'avancer sur le fauteuil pour plus de confort, quand un sachet de préservatifs atterrit sur le sol près de moi. C'était le fameux retrait au distributeur de Pascal. Je le prends, l'ouvre et en enfile un sur le sexe de Nicolas. Puis j'entreprends une fellation magistrale, je m'amuse à sucer cette bite, j'y prends même du plaisir. Entre deux succions, je regarde Pascal qui ne rate rien du spectacle et, pour l'exciter un peu plus, je relève ma jupe afin qu'il puisse avoir une vue imprenable sur mes bas et mes fesses et surtout sur ma main qui écarte mon string pour mieux me caresser. Nicolas s'est détendu, cela se sent et il me prend par la tête pour imposer son rythme.

Mais c'est hors de question, c'est moi qui tiens la baguette et je lui fais comprendre. Quand cette bite est suffisamment lustrée par ma langue, je me lève et je me déshabille au milieu de la pièce. J'embrasse à nouveau passionnément Pascal et retourne m'empaler sur la bite de Nicolas. Je suis tellement mouillée qu'elle entre sans difficulté. Je me fais baiser par un homme rencontré à peine une heure avant, et je le fais en regardant mon mari dans les yeux. Je sens l'orgasme monter mais je veux voir mon mari en train de me regarder jouir et je lutte pour garder les yeux ouverts au moment le plus fort. Mais en vain, c'est trop fort. J'ai souvent des orgasmes avec Pascal mais là c'est énorme.

Habituellement, après avoir joui, je me sens vidée de toute énergie mais là, non, j'en veux encore ! Alors, encore embrochée sur la bite de notre invité, je demande à Pascal de venir et dès qu'il est près de moi, je lui sors son sexe de sa cage de tissu et commence une fellation en rythme avec les va-et-vient de mon bassin.

Puis je demande à Pascal de se coucher par terre, bite en l'air ; cela fait, je quitte le sexe de Nicolas pour la bite si familière de mon époux. Je fais l'amour avec mon homme sous les yeux d'un autre et cette pensée décuple mes sensations. Puis j'appelle Nicolas pour que je puisse le sucer de nouveau. Je me sens libre. À ce moment, je fais ce que je veux et la barrière dressée par mon éducation vole en éclats. Je suis enfin en phase avec ce que je suis et ce que mon mari avait depuis longtemps décelé en moi.

Je lâche la bite de Nicolas non sans avoir inondé de salive la capote qui la couvre et, en le regardant dans les yeux et sur un ton d'une autorité que je n'avais jamais eu, je lui dis :

— Encule-moi vite !

Étonné, puis envouté par cette demande, Nicolas se place derrière moi et m'encule avec une telle facilité que j'en suis presque déçue. Mais pas longtemps, car les mouvements de ces deux bites ont vite fait d'enflammer mon corps tout entier et l'orgasme qui suit est tellement intense que je n'arrive plus à contenir mes cris. Puis, juste au moment où je me relâche, dans un râle je sens venir Nicolas dans mon cul. Enfin, c'est le tour de Pascal. De les sentir jouir en moi, ça me redonne un orgasme qui, quoique moins fort que le précédent, finit de m'achever.

Je reste là, inerte, sur le sol alors que Pascal raccompagne Nicolas à la porte en lui disant :

— Je crois que pour toi aujourd'hui c'étais ton jour de chance ! Allez ciao ! Et encore merci pour elle...

Il revient vers moi et me dit :

— Lève-toi, prends une douche ou un bain, et repose-toi. J'irai chercher les enfants.

Je fais ce que Pascal me dit mais, au lieu de me reposer, j'accueille les enfants comme si de rien n'était. Je reprends le cours normal de ma vie, mais plus légère d'un poids.

Je suis plus libre dans ma tête que jamais, et j'ai pu découvrir ainsi l'énorme liberté que me laisse mon mari, liberté et que dorénavant je compte utiliser.

De temps en temps...