Mes premières exhibitions et les autres

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Proposée le 8/09/2009 par sexanapascal

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aujourd'hui j'ai du temps et tant de choses que je garde secrètes de mes proches, amis et famille.
Je pense que me dévoiler à des inconus sera libérateur.

Je me prénomme Ana, je vis dans la région du Centre avec mes deux enfants et mon mari Pascal. De type hispanique, brune, yeux marrons, 1 mètre 90 sur (un escabeau de 30 cm) et un peu plus de 40 ans (il y a des choses qui ne se disent plus).
Mes parents sont espagnols expatriés en France à cause du régime Franquiste. Ma mère est très catholique et je n'ai jamais entendu parler de sexe à la maison.

Avant de rencontrer celui qui allait devenir mon époux, mes aventures sentimentales et sexuelles étaient toutes très semblables, rencontre, flirt, petit bisous puis, si plus d'affinité, quelque parties de jambe en l'air qui, le pensais-je, me contentaient mais, aujourd'hui, me semblent bien mornes.


Le reste de mes pratiques sexuelles telles que l'exhibition, la sodomie, la double pénétration etc. m'ont été initiées par mon mari. Au début, c'était un peu dur à accepter mais je me suis rendue compte que cela ne coûtait que très peu d'énergie pour un maximum de plaisir.

Je vais donc commencer par le début et comment j'ai découvert l'exhibition.

J'ai épousé Pascal seulement 6 mois après notre premier baiser.
A cette époque, nous habitions seuls dans une chambre de bonne dans le 16ème arrondissement parisien.
Il a toujours aimé aller contre mon éducation voulant, dés que nous devions sortir, m'exhiber, me demandant d'arborer des décolletés profonds. Chose que je refusais, tout en disant : « oui, oui... » .
Je pense que tout a commencé ce jour ou nous sommes allés au cinéma, je n'avais, comme d'habitude, pas suivi ses recommandations et je m'étais vêtue d'un jean, d'une chemise et d'un gilet, lui consentant juste le fait de ne pas mettre de soutient gorge. Ma poitrine, déjà généreuse à l'époque était totalement invisible sous l'ensemble de tissu qui la recouvrait.
Je vous fais grâce de la description du film, cela n'a aucun intérêt (le film lui-même n'avait n'en avait aucun), mais dans l'obscurité de cette sale surchauffée pour des raisons purement pécuniaires, forçant ainsi la ronde des peu nombreux spectateurs de ce navet, devant le stand de boisons et autres glaces proposées à prix d'or, nous préférâmes Pascal et moi, nous délester des vêtements chauds qui nous couvraient. Je laissais donc mon gilet sur le siège vide à côté de moi, remarquant que nous étions seuls dans notre rangée.
« Il fait une de ces chaleur ici, murmurais-je à Pascal
_ Oui en effet, mais moi plus que la chaleur c'est le pseudo film qui est projeté qui me donne des suées... »
Sa remarque me fit rire tellement elle était vraie
« As-Tu vu ? nous sommes seul dans la rangée !
_ Que veux-tu, ce film est sûrement fait pour des esprits supérieurs et la majorité des spectateurs potentiels sont plus humbles que nous, ou alors ce film et vraiment une nullité et que tout le monde est au courant sauf les trois péquins de cette salle et nous... Mais puisque tu as remarqué qu'il n'y avait personne dans notre rangée, tu pourrais, peut-être, te faire pardonner le fait de me faire supporter la torture de ce film en entrouvrant ta chemise afin de me prouver que tu n'as pas de soutif ? »
J'étouffais mon rire, il perd jamais le nord celui là, et puisqu'il n'y avait personne qui pouvait me voir, je m'exécutais. J'ôtais les quatre premiers boutons de ma chemise dévoilant la naissance de mes seins.
« Cela n'est pas suffisant, ma chérie, tu ne me prouves rien, dit-il »
Je disais encore « oui, oui » en pensant « cause toujours » mais devant son insistance et l'ennui que me procurait le spectacle projeté sur l'écran blanc, j'ôtais donc trois autres boutons, protégée par l'obscurité de la salle.
« Voilà tu es content maintenant, dis-je un peu énervée
_ Voilà qui est mieux, tu es tellement plus attirante ainsi. »
Et tout en me disant cela, Pascal mis sa mains entre le tissu et ma peau, me prit un sein et le caressa avec force et lenteur puis il s'approcha de moi et m'embrassa tout en me pelotant.
Quand ce baiser prit fin, je me suis rendu compte que j'avais un sein totalement dévoilé, juste couvert par la main de mon mari. Quand ce dernier le lâcha je fus surprise de ne pas avoir envie de le cacher de suite, m'amusant de voir mon sein à l'air dans un tel lieu. Je sortais même le deuxième et les caressais par jeu.
« Regarde comment peu de choses comme l'entrée de deux nouveaux acteurs peuvent rendre le film bien meilleur maintenant, non ? Dis-je.
_ Bien meilleur en effet ! Puis-je faire la bise aux protagonistes ?
_ Bien entendu, rétorquais-je amusée. »
Et voilà mon époux m'embrassant les seins et suçant mes tétons aux milieux d'une sale de cinéma.
Nous nous amusâmes ainsi pendant un bon bout de temps jusqu'au générique de fin juste avant que les lumières luisent de nouveau.
J'eus juste le temps de refermer ma chemise avant que les plus courageux des spectateurs, puisque restés jusqu'à la fin alors que la moitié d'entre eux était partie avant soit exiger des dommages et intérêts au réalisateur ou bien alors se jeter d'un pont parisien pensant que leur incompréhension de ce film était du a leur faible intellect, ne se lèvent.
Dans le métro qui nous ramenait chez nous, mon mari me fit remarquer que le wagon était plus vide que la salle de cinéma et que, puisque je n'avais pas remis mon gilet, je serais la plus gentille des femmes de lui montrer comment un décolleté, aussi profond que celui que j'avais lors de la projection, pouvait embellir cette rame. Mais ici il ne faisait pas sombre et je m'y refusais. Alors il s'accroupit devant moi tendit la main jusqu'au premier bouton et le fit tourner autour de sa couture jusqu'à que cette dernière cède et que le bouton lui reste dans la main.
« Mais t'es malade ? Lui dis-je »
Mais sans me répondre et arborant le plus bête des sourires, il prit le second bouton et fit de même. Je trouvais ça si invraisemblable que je le laissais faire en me disant que son geste était si puéril qu'il allait s'en rendre compte et s'arrêter de lui même. C'est quand il prit le troisième boutons que je me rendis compte qu'il ne faut jamais penser que Pascal fait les choses sans aller jusqu'au bout et je réagis en l'empêchant de faire de même avec le quatrième bouton.
Au profit d'un arrêt de la rame, Pascal se rassit
« J'aurais pu aller plus vite pour enlever tes boutons mais je voulais savoir jusqu'où tu me laisserais aller. Regarde, le wagon est toujours vide et le prochain arrêt est le nôtre, alors, fais cet effort qui te coûte tant et enlèves les boutons qui m'empêchent de voir tes seins en pleine lumière »
Je refusais de nouveau.
Alors au démarrage de la rame de métro, Pascal reprit sa position, ressaisit le quatrième boutons et... tout en retombant en arrière de par le freinage brutal du véhicule de la RATP se retenant à ce qu'il avait sous la main, c'est a dire ma chemise, il m'arracha la totalité des boutons restant.
Il resta quelque temps à me regarder, à regarder sa main qui tenait ma chemise puis de nouveau à me regarder, quand il éclata de rire en essayant de me dire un « désolé » inaudible, étouffé par son exclamation de voix. Quand à moi j'étais furieuse parce que maintenant comment allais-je refermer ma chemise pour sortir de ce métro qui venait juste de redémarrer. C'est alors que Pascal en essuyant ses larmes de rire me tendit mon gilet.
« Regarde tu n'es pas nue, tu as ton pantalon et ton gilet. Mais si tu n'avais pas de quoi te couvrir, tu rentrerais quand-même à la maison ? Ce sont les imprévus, leurs circonstances et nos façons de les aborder qui nous donnent de l'expérience. Par ailleurs, je t'en propose une d'expérience. Dans moins d'une minute nous devrons sortir de cette rame pour entrer chez nous. Il y a le quai, un escalier puis environ 600 mètres de rue pour arriver à la porte de notre immeuble. A toi de voir si tu utilises ton gilet ou non.
La rame s'arrêta à notre station je me levais pour voir si mes seins étaient visibles ou non sous ma chemise ouverte. Les pans de celle-ci, malgré le fait de n'être plus attachés, avaient repris leurs place. Seul des mouvements brusques risquaient de dévoiler ma poitrine. Je redonnais mon gilet à Pascal, en lui offrant un sourire
« OK j'essaie ».
Nous descendîmes de la rame.
Au début, ce fut facile car le métro était désert jusqu'à sa sortie. Mais dans la rue, je soupçonnais, chaque seconde, que mes seins étaient visibles de tous. Chaque fois que je regardais si c'était le cas, c'était ce mouvement qui les dévoilait.
Je ne devais plus regarder, mais cette impression que ma poitrine n'était plus couverte me hantait, au point d'essayer de voir dans les yeux des passants que nous croisions ce qu'ils percevaient, lutant contre moi même pour ne pas croiser les bras.
Pascal était à mes côtés. J'essayais de lui prendre la main, mais vu notre différence de taille, je me résignais à ne pas le faire car cela avait pour fait d'ouvrir ma chemise.
J'étais excitée par le risque que je prenais de me montrer les seins nus, dans la rue, à des inconnus, je désirais même connaître la réaction qu'aurait quelqu'un qui me verrait ainsi, mais la crainte de me faire voir était plus forte que ce désir.
Puis pascal s'arrêta, me tira vers lui, passa ses mains sous ma chemise qui s'ouvrît sous l'impulsion de ce mouvement, il me serra contre lui et m'embrassa fougueusement. Il retira une de ces mains et la glissa sur un de mes seins. Ce ne fut pas très long, parce qu'il fit en sorte qu'il n'y eut personne qui puisse nous voir. Le fait de me caresser les seins dans la rue alors que j'avais le désir secret de me faire remarquer me donna des frissons dans tout le corps qui m'ont paru durer une éternité.
Pascal prit soins de remettre ma chemise en place avant de nous desserrer et de reprendre notre chemin.
J'étais vraiment excitée et dans un coup de folie, je décidais de faire les derniers mètres en courant et sautant avec les seins complètements dénudés et je poussais le vice à enlever ma chemise pendant que Pascal pianotait sur le digicode de la porte du hall de notre immeuble. Ma peur c'était transformée sur 600 mètre en jeu.
Une chose était devenue limpide, j'aimais l'exhibition, mais pas pour me montrer mais pour le risque de me faire voir.
J'ai souvent renouveler l'opération allant bien plus loin que le risque de montrer mes seins.
Le must pour moi aujourd'hui, c'est de sortir avec, sous un manteau, une veste ou un châle, des vêtements dont la transparence n'est masquée que par les motifs des tissus, une ambiance tamisée et par un comportement plus que normal de ma part qui font que les personnes que je croise ne se rendent pas compte que je suis quasi nue devant eux.

Il y eut une monter en puissance sur mes capacités d'exhibition.
Aujourd'hui, nous n'habitons plus Paris mais Pascal y travaille toujours.
Il y a trois ans de cela, il se mit sur l'ordinateur de la maison et m'appela
« Regarde, ma chérie, j'ai trouvé un site internet de chat par vidéo et je nous ai inscrit ainsi nous pourrons nous voir à midi et parler ensemble.
_ C'est super ! On pourra se voir ! C'est chouette »
Dès le lendemain, à 12h30 (heure de notre RDV informatique), nous pouvions nous voir et communiquer ensemble.
Pascal qui pense au sexe trois fois par respiration me demandait de lui montrer mes seins rebondis et mon sexe glabre (merci gilette). De me masturber et tant d'autre choses qui m'amusaient à faire et puisque j'étais dans l'intimité de ma maison et, que ce n'était, que pour mon mari. Je n'y trouvais donc aucun problème et je m'exécutais sans aucune résistance et même beaucoup de plaisir.
Mais au bout de quelque minutes, je reçus des messages venant d'autres internautes me demandant des choses incompréhensibles et obscènes pour moi a l'époque telles que :
Tu viens avec moi en salon PV
Montre-moi encore tes charmes
Tu me fais jouir
Tu me donnes ton MSN
Etc., etc.
Je demandais donc ce que cela voulais dire a mon mari
« Tu vois sur ce site, même si tu ne parle qu'à moi tous le monde peux te voir, t'entendre et donc t'admirer et même te demander des choses, à toi de les accepter ou non. Il y a une centaine de personnes actuellement sur le site et tu as potentiellement une centaine de spectateurs. »
J'aurais du être furieuse d'avoir été prise au piège de la sorte. Mais non, car c'est fou ce qu'un écran d'ordinateur dépersonnalise les gents que l'on y voit, ils n'ont pas d'existences réelles, ils n'ont même pas de noms, mais des pseudos. Encouragée par les divers éloges des internautes (que l'on entend plus après plus de 10 ans de mariages, n'est ce pas mesdames ?) mes refus ont fait suite, au bout de quelques jours, à des acceptations. Je me suis exhibée comme jamais à des étrangers, allant même à me masturber avec mes vibromasseur, jusque là réservés à notre couple. J'ai été jusqu'à pratiquer des fellations à mon mari et lui demander de me sodomiser avec des godes pour le jeu de l'exhibition et le plaisir des autres et maintenant du mien.
Je me suis étonnée à aimer donner du plaisir à distance à des hommes qui se masturbaient sur mon image et jouissaient en direct pour moi. J'ai même fait quelque conquêtes féminines, mais là encore une certitude, je suis une Hétéro... à 100% (enfin... jusqu'à présent). Souvent je recevais des messages de mon mari, qui venait juste de se connecter, alors que je m'exhibais pour je ne sais quel pseudo de France, de Belgique ou du Canada.
Mais les exhibitions virtuelles manquent de risque et de spontanéité. J'en parlais à Pascal qui me dit que le risque existe que s'il y a proximité et que sur le net, si un mec te fait braire tu le zappe et c'est tout.
Un jour, il me rappela que nous devions recevoir le chauffagiste pour l'entretien de la chaudière et que ce pauvre bonhomme passe son temps a genoux la tête dans la chaudière à frotter les bruleurs.
« Puisque tu m'as avoué regretter le risque d'être surprise, voilà ce que je te propose quand le chauffagiste arrive, appelle moi au boulot et reçois le en tenue... enfin comme tu veux mais si c'est sexy c'est mieux. »
Le jour venu, je recevais le chauffagiste en minijupe petit haut sombre enfin sexy mais pas trop. Cet homme était vraiment quelconque mais il n'était pas venue pour moi, et tant qu'il était au goût de ma chaudière, cela me suffisait.
J'emmène l'homme sur son lieu de labeur et prétextant je ne sais quel urgence, je téléphone a mon mari.
« Bonjour Pascalou, le bonhomme est arrivé.
_ OK il est comment ? A ton gout ?
_ Heu .... Non.
_ Ce n'est pas grave. Maintenant mets toi nue.
_ Hein !!!! Mais ça vas pas ta tête a toi !! Tu délire !!!
_ C'était pour voir si tu étais toujours gênée de te montrer, vu ce que tu as fait ces derniers temps sur le net.
_ Ok je préfère ! Mais là ce n'est pas pareil, le gars il est dans la même pièce que moi, enfin pas maintenant mais... Bon je me comprends... ! Alors que dois-je faire.
_ D'abord vas avec le téléphone prés du mec et demande lui si tout va bien »
Je m'exécute
« Monsieur tout vas bien ?
_ Oui merci »
Je reprends la conversation avec mon mari
« Voilà c'est fait.
_ Tu es habillée comment ?
_ Ma mini jupe noire un string un mon petit haut noir.
_ Pourquoi je ne suis pas là moi ? Alors tu vas dans un premier temps exciter sa curiosité. Tu vas dire à haute voix comme si tu parlais à une amie les mots ‘string' et ‘soutif' et dire la phrase suivante : moi les soutifs, je les supporte plus »
Je feins un dialogue fictif, en appuyant sur les mots clefs, et en jetant un œil vers le travailleur manuel, je le vis tendre l'oreille et avoir un léger rictus. « Les hommes sont plus facile à ferrer que les poissons » aime dire Pascal et il n'a pas souvent tort
« Voilà c'est fait, dis-je à pascal en m'éloignant de la chaufferie. Et maintenant ?
_ Exhibes toi un peu va près de lui et place toi dans un angle mort, caresse toi tortille toi et dès que tu te sens prête, retires ton string en le regardant »
Je fis ce que me dit mon mari et cela était terriblement excitant, je posais le téléphone, je pris des poses de Pin-up, je simulais une fellation avec un manche a balais enfin bref je m'amusais à m'exciter puis quand j'ai senti le moment venu, j'ôtais mon string mais cela n'était pas aisé car comme j'avais mi des hauts talons je risquais de trébucher donc de me faire remarquer a enlever ma dentelle. La chose faite et sans aucune cascade de ma part, je trouvais amusant de mettre ma culotte près de la boîte a outils de ce pauvre hère qui, le nez dans la chaudière ne soupçonnait pas ce qui ce passait derrière lui.
« Voilà ! C'est fait, chantonnais-je au téléphone
_ maintenant réponds que par oui ou non, es tu excitée ?
_ Oui
_ Veux-tu continuer ?
_ Oui
_ Alors sorts tes seins et caresse les.
_ Ca y est
_ Ça t'excite ?
_ Un peu sans plus... en fait, non
_ Remonte ta jupe jusqu'au début de tes fesses tourne lui le dos et fait mine de ramasser quelque chose »
Je ramassais très lentement le string que je venais de poser est dès que j'eus les épaules plus basses que mes fesses et que je sentais que ma jupe tendu voulait jouer à saute-moutons avec mon derrière bombé. Je jetais un furtif coup d'œil pour essayer de voir si j'étais observée. Mais je du me redresser avant de savoir si c'était le cas
Puis je redéposais comme si de rien était ma culotte près de la boîte a outil
« Tu l'as fait ? Me dit la voix de mon cher et tendre dans le téléphone
_ Oui
_ Es tu as aimé ?
_ Ouiiiii !!!
Je dois te laisser maintenant, j'ai du boulot, alors fais ce que tu veux et tu me raconteras ce soir OK ?
_ Oui à ce soir »
Mon mari, ce soir là, est entré assez tôt et ces premiers mots après bonsoir fut
« Alors raconte !
_ Donc je venais de lui montrer mon cul comme tu me là demander mais je ne sais pas si il l'a vu.
Je suis sortie de la chaufferie pour raccrocher le téléphone et quand je suis revenu il venait de finir et refermait le truc de devant enfin bref mais quand il a fait un essai de fonctionnement, la chaudière faisait un bruit de 2cv.
Nous nous sommes approchés près de chaudière et il enleva de nouveau le truc de devant et me dit que c'était rien de grave qu'il avait mal mis le machin des gaz brulés... bref un ventilateur alors comme il était de nouveau à genoux, je me suis rendue compte qu'il avait la tête au niveau du bas de ma jupe avec une vue ascendante sur le haut de mes cuisses. Je n'osais plus bouger car si je faisait un pas, le fait de desserrer les cuisses, lui donnerait l'occasion de mater ma foufoune. Alors je restais là avec, quasi, son nez sur mes cuisses.
Quand il du bouger un peu, j'en ai profité pour rejoindre mon petit coin hors de son champs de vision et là j'ai remonté légèrement ma jupe et je me suis masturbée un petit moment. J'avais envie de fermer les yeux pour mieux en profiter, mais comment éviter d'être vue si j'ai moi même les yeux fermés. Quand soudainement il m'a sorti, tout en gardant le nez dans la chaudière : « Ce n'est rien ma p'tite Dame mais, pour faire simple, il y a un truc qui vibre dans votre chaudière, je titille le bitoniau pour le lubrifier, heureusement que c'est un vieux modèle on peut y mettre ses doigts c'est plus pratique !! », et là j'ai éclaté de rire parce qu'il venait de me dire exactement ce que je faisais, titiller le bitoniau pour lubrifier, ..., y mettre ses doigts. J'étais morte de rire et tu sais ce que je lui ai dit : « je suis sure que même les plus jeunes modèles aiment ça aussi heu... les doigts ... lubrifiés... hein ? » il s'est retourné avec un air interrogatif qui venait de me faire comprendre l'énormité que je venais de dire.
Alors il a fini sont boulot, seul, parce que je suis sortie de la chaufferie afin de me faire oublier, surtout ce que je venais de dire, il a rangé ses outils, ma fait une facture et il est parti comme il est venu.
_ C'est drôle l'histoire du bitoniau, me dit pascal, et il n'a rien vu ?
_ J'en sais rien, ce gars n'a pas arrêté une seconde son travail. Mais regarde ce que j'ai trouvé, il a mit mon string sur la chaudière et par dessus sa carte de visite avec écris au dos :

« Cette culotte n'est pas a ma taille alors je vous la rends et je suis sur que les jeune chaudières, comme vous, aiment aussi être titillées. Merci pour TOUT et à la prochaine pour l'entretien annuel »
A ce jour je ne sais toujours pas ce qu'il a vu... et nous avons changé de chauffagiste

Voilà je pense que j'ai fait le tour de mes différentes exhibitions, mais les plus excitantes sont celles où je me suis faite surprendre et là je sais ce qu'il y a été vu...
Je vous les écrirais la prochaine fois si vous le désirez
Ecrivez moi
amicalement
Ana