Soirée coquine entre voisins

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Proposée le 27/08/2009 par Alister

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Ce ne sont pas les exploits de ma femme Isabelle que je vais vous raconter cette fois, mais ce qui s'est passé quelques temps après l'épisode du pique-nique entre ma voisine Laetitia et moi-même.

Cela s'est passé par une chaude soirée d'été un samedi soir : une fête de quartier était organisée là ou nous habitons et je devais normalement m'y rendre avec Isa avec l'idée de la prêter à quiconque voudrait s'occuper d'elle... Et j'aurais surement trouvé preneur !
Ce genre de soirée entre voisin se termine souvent en beuverie pour ceux qui restent les derniers.

Il se trouve qu'Isa était malade comme une bête ce jour là, une indigestion sûrement due à un aliment pas frais qu'elle avait du manger, elle a rendu toute la journée et n'était pas en état de venir avec moi.
Je ne voulais pas y aller sans elle, mais elle insista pour que je m'y rende pendant qu'elle se reposait entre deux séances de vomissement !!
Et je me suis dit que plutôt que de rester seul devant la télé, autant que je vois du monde.

Je me rendis donc sur les lieux vers 19h, la fête se déroulait à la salle des fêtes de notre quartier, et il y avait déjà pas mal de monde quand je suis arrivé.
L'endroit était à l'écart du centre ville, avec un grand parc boisé juste à côté.

Un apéritif ainsi qu'un repas étaient prévus, chacun des participants ayant donné sa contribution pour le déroulement de la soirée.

J'allais donc me retrouver seul, sans Isa, mais j'allais surement tomber sur des voisins ou des connaissances.

Je m'approchais du « bar » qui avait été installé sur des tréteaux à l'extérieur vu la chaleur qu'il faisait : d'immenses saladiers de punch étaient installés et quelques personnes s'attelaient au service.

Je pris un premier verre, et j'entendis quelqu'un dans mon dos qui me dit :

- Bonjour Monsieur, vous êtes venu seul ?

Je me retournais : c'était Laetitia ma voisine.

Elle me faisait maintenant face avec son regard pétillant, et son plus beau sourire.
Nous nous sommes fait la bise.

Laetitia m'a déjà fait fantasmer à plusieurs reprises notamment lors d'un barbecue chez elle et son mari un week-end (Isa me l'avait d'ailleurs fait remarquer).
Elle est de petite taille, brune, les yeux marrons avec un corps de rêve, musclé juste ce qu'il faut et une superbe poitrine.



Comme à son habitude, elle était resplendissante et portait une petite robe à carreau à fine bretelle, assez courte (elle lui arrivait à mi cuisse), très décolletée si bien qu'on apercevait une bonne partie du galbe de ses seins, et qui moulait superbement son corps de rêve.
Vu l'épaisseur des bretelles et la largeur du décolleté, je pouvais d'un coup d'oeil me rendre compte qu'elle ne portait pas de soutien gorge...

Je m'étonnais de ne pas voir son mari Eric.

- Mais ou est ton mari ?

- Il est parti en week-end avec les enfants dans ma belle famille, je bossais aujourd'hui et je n'ai pas pu avoir ma journée, ils sont donc partis sans moi. Et en plus, je n'avais pas trop envie de voir ma belle mère, me dit-elle en plaisantant. Et toi, où est Isa ?

- Ben moi, Isa est malade comme un bête, je suis donc venu seul.

- Eh bien, ce n'est pas grave, cela te dirait que l'on passe cette soirée ensemble ?
Deux personnes seules peuvent se réunir le temps d'une soirée pour repas, surtout s'ils sont voisins, me dit-elle en souriant.

- Oh je ne sais pas si tu le mérites, lui dis je en riant.

- Si monsieur, j'ai été très sage, c'est promis me dit-elle en prenant une voix de gamine et en mettant un doigt devant sa bouche.

Nous avons tous les deux éclaté de rire.

Nous nous sommes donc installés devant le bar et avons siroté plusieurs verres de punch tout en discutant de choses et d'autres.
Il était absolument délicieux, très frais et il passait tout seul... Même trop peut-être !

Nous sommes restés plus d'une heure devant le bar, en plein soleil, car vu le beau temps, des tréteaux avaient été installés à l'extérieur, mais la chaleur devenait vraiment accablante.
Je pense qu'à nous deux, nous avons du siroter une dizaine de verre, mais les effets pervers de ce breuvage qui se buvait comme un jus de fruit commençait à se faire sentir...
Surtout que Laetitia mangeait également les fruits qui ont une très forte concentration d'alcool.

Pendant que nous discutions, j'avais énormément de mal à la regarder dans les yeux et mon regard glissait irrémédiablement dans son décolleté...
Elle s'en rendit d'ailleurs compte, mais ne fit rien pour rectifier la situation.

Il faut dire qu'elle était tellement jolie et agréable, j'irais même jusqu'à dire bandante, que même le moins virulent des hommes aurait eu envie de s'attirer ses faveurs.

Puis nous sommes passés à table, car nous commencions à mourir de faim.
Elle se plaça face à moi, j'avais une vue directe sur la plus belle poitrine que j'avais pu voir ces dernières années.

Laetitia devait faire du 95C, ses seins semblaient ronds et fermes et on pouvait même distinguer en y regardant bien la forme de ses mamelons sous sa robe moulante.
Même sans soutien gorge, sa poitrine remontait assez haut et son décolleté laissait apparaître un galbe très prononcé.
Même Isa n'avait pas une aussi jolie poitrine.

Cette fois ci nous nous sommes attaqués à la bouteille de rosé qui se trouvait devant nous, nous avons rapidement vidé quelques verres, car il faisait vraiment très chaud dans la salle.

- Doucement, lui dis je, tu vas rouler sur la table si tu continues comme ça !

- On ne vit qu'une fois, me dit-elle, j'étais trop sérieuse à une époque quand je vivais avec mon ex, mais depuis quelques temps, j'ai décidé de vivre maintenant.

Nous avons discuté de nos vies respectives, de notre passé de bringueur et de dévoreur de vie quand nous étions étudiants, et sous ses airs d'ange, Laetitia semblait être un joli petit démon qui ne laissait pas sa place à une autre dés qu'il était question de faire la fête et de s'envoyer en l'air, qu'elle soit en couple ou pas.

Elle m'expliqua ce qui s'était passé avec son ex : ils vivaient ensemble depuis environ quatre ans quand il a obtenu une promotion ou il était obligé de déménager.
Elle me parla même crûment en m'expliquant que sexuellement, leur libido était plutôt en berne les derniers temps.
Ils vivaient à l'époque en centre ville dans un appartement.

Elle ne voulait pas partir, et elle l'avait prévenu qu'elle n'aimait pas rester seule et que s'il partait, même en revenant le week-end, elle n'était pas sure que leur couple tiendrai le choc.

Elle me dit que c'est à cette époque que son côté « salope » s'est réveillé, elle sortait régulièrement en trompant son ex petit ami à plusieurs reprises lors de soirées en boîte plutôt arrosées et même parfois en semaine avec des collègues de travail.

Je ne sais pas pourquoi elle se confiait à moi de cette manière, certes nous nous connaissions bien, mais delà à me raconter les détails de sa vie intime, je ne comprenais pas pourquoi.

- Je pense que mignonne comme tu es, les postulants ne devaient pas manquer lui dis-je les yeux rivés dans son décolleté.

Cette remarque est sortie toute seule, j'ai même regretté un instant mes paroles ne sachant pas comment elle allait réagir.

- Oh oui, j'avais beaucoup de succès à l'époque, mais je vois qu'apparemment, j'ai encore de beaux restes, me dit-elle sur un ton ironique en arborant un petit sourire coquin.

- Ce n'est pas moi qui vais te dire le contraire, lui dis-je en répondant à son sourire.

- Promis, je ne dirais rien à mon mari ni à ta femme, cela pourrait créer des scènes de ménage, s'exclama-t-elle en riant.

Tout en mangeant et en discutant, nous avons fini par vider la bouteille de rosé.

Mais Laeti semblait ne pas vouloir en rester là avec l'alcool : après un apéro chargé et un repas bien arrosé, elle voulu prendre un verre de digestif.

- Je n'ai plus l'habitude de boire, mais j'ai envie de m'amuser ce soir, depuis que je suis mariée avec Eric, je n'ai plus fait aucune bringue et puis si je suis saoule, tu viendras me coucher, me dit-elle en riant.

Je l'ai accompagné et nous avons pris un calva fait maison, qui était franchement très fort, mais nous avons fini notre verre et en avons repris un après le café.

La nuit était tombée : pour l'occasion un dj avait été réquisitionné pour mettre un peu d'ambiance.

Le DJ commença par passer un zouk très sensuel.

L'alcool commençait à produire son effet, même moi qui suis plutôt résistant, je commençais à avoir la tête qui tournait.

Laetitia me dit qu'elle avait une folle envie de danser.

Je lui répondis que je passais un coup de fil à Isa pour savoir comment elle allait.

- Laisse là ou elle est, elle est malade et doit surement dormir à cette heure ci, me dit-elle.

Après tout, elle avait raison et je lui répondis par un sourire.

- T'es partante demandais-je à Laetitia ?

- Plutôt deux fois qu'une, montre-moi de quoi tu es capable.

J'ai donc enlacé Laeti par la taille et je l'ai plaqué contre moi.

Immédiatement, j'ai senti le contact de sa poitrine contre mon torse et son parfum enivrant cumulé au contact de son corps me fit perdre la tête.

Pendant que nous dansions, mes mains ont bien vite glissé des ses hanches jusqu'à ses fesses.
La aussi, ses fesses étaient fermes, musclées et je me rendis compte que j'étais entrain de peloter la femme de mon voisin qui était tout de même une femme mariée et mère de deux enfants.

Elle répondit à ces attouchements en se collant de plus belle à moi, et en commençant à frotter son bas ventre contre le mien, en donnant parfois des petits coups de reins vers l'avant alors que nous nous déhanchions sur ce zouk langoureux.
Je sentais le haut de son string à travers sa robe, alors que mes mains vagabondaient sur ses fesses.

Elle me regarda fixement et son regard semblait me dire « Continue ».

C'est ce que je fis, mais cette fois le frottement de la naissance de son entre-jambe contre mon sexe provoqua chez moi une érection monumentale.
Elle le sentit bien d'ailleurs et ralentit ses frottements pour bien profiter de cette sensation.

Mes yeux étaient plongés dans son décolleté, je pouvais même voir maintenant ses tétons qui pointaient à travers sa robe, signe qu'elle semblait aimer le contact de mon membre

Puis, elle me murmura à l'oreille :

- Tu vois, je te l'avais dit que j'avais encore de beaux restes... Tu te débrouilles plutôt bien, me chuchota-t-elle à l'oreille

- Je te retourne le compliment ma jolie, lui ai-je répondu sans réfléchir.

- Et bien cher voisin, heureusement que nos conjoints respectifs ne sont pas là pour nous voir, sinon je pense qu'il y aurait des scènes de jalousie... Et ce n'est pas les personnes présentes qui vont aller raconter quoique ce soit, ils savent que l'on se connaît très bien. Mais c'est dommage que l'on ne soit pas connu plus tôt quand on était étudiants, je pense que nous aurions fait un tas de choses ensemble...

- Il n'est jamais trop tard, lui dis-je sans réfléchir, sans penser au fait qu'elle puisse mal le prendre, car ma remarque était tout de même osée.

Nous nous sommes regardés dans les yeux, et je pense que nos regards ont parlé pour nous.
Elle me décocha son petit sourire coquin.

Après deux morceaux très collé-serré, ou plutôt devrais-je dire frotti-frotta, nous avons fait une pose car nous mourrions de chaud et de soif.

- J'ai envie d'une cigarette, me fît Laeti.

Je ne l'avais jamais vu fumer, elle se dirigea vers Lionel, qui habitait un peu plus bas dans la rue et qui lui aussi semblait un peu éméché.

Lionel était un peu plus âgé que nous, la cinquantaine, il était marié et avait des enfants qui étaient déjà grand.

Il était très bel homme pour son âge, assez grand, musclé, les cheveux grisonnants avec de jolis yeux bleu clair.

Il était venu avec sa femme ce soir, mais lui était collé au bar alors que sa femme discutait avec des femmes des alentours.

Il lui proposa du feu et alluma sa cigarette.

Je vis qu'il chuchotait quelques mots à l'oreille de Laeti, elle prît la nuque de Lionel et lui répondit.
Leur discussion dura quelques minutes, et je décelais comme une certaine complicité entre eux, mais je n'y prêtais pas plus d'attention que cela.

Puis nous nous sommes dirigés vers le bar ou nous avons pris chacun une bière que nous avons vidé presque cul-sec et nous sommes sortis prendre l'air dans le parc à quelques dizaines de mètres de la salle des fêtes.

Nous nous sommes avancés dans le parc et nous sommes assis sur un banc pour reprendre un peu nos esprits.

- Donne moi une taf, lui demandais-je en lorgnant sur sa cigarette.

- Attention, si tu tires sur ma cigarette, tu vas deviner mes pensées, me dit-elle avec un petit sourire en coin et son regard malicieux.

Je répondis à son sourire.

Nous nous sommes assis sur un banc, il faisait encore chaud malgré l'heure tardive.

Le parc était juste éclairé par la lumière de la lune et les étoiles qui scintillaient dans le ciel.

Laeti s'allongea sur le banc et vint poser sa tête sur mes jambes : elle me décocha son regards coquin et s'adressa à moi.

- Je passe vraiment une très bonne soirée, me dit Laeti. Heureusement que tu étais là, car je ne pense pas que je serai restée au repas sinon... J'ai l'impression de me retrouver plus de dix ans en arrière quand j'étais étudiante.

- Je dois t'avouer que moi aussi, cela fait bien longtemps que n'ai pas passé une si bonne soirée.

- J'ai la tête qui tourne, je crois que j'ai trop abusé ce soir, je vais me reposer un peu.

Laeti était allongée sur le banc, les bras posés sur mes cuisses et pendants dans le vide hors du banc.

Elle avait fermé les yeux...

J'observais son superbe corps que venait caresser la pâle luminosité de la lune : j'avais vue plongeante sur son décolleté ainsi que ses jambes car le fait qu'elle soit allongée faisait remonter sa robe jusqu'à la naissance de ses fesses.

Des tas d'idées salaces me passaient par la tête : j'étais là, en compagnie d'une superbe femme qui s'abandonnait sur mes genoux...

Je me disais qu'il serait dommage d'en rester là, et même si je craignais un peu sa réaction.
Au pire, si j'essuyais un refus, on en resterai là et ce serait comme s'il ne s'était rien passé.

Je glissais ma main doucement à l'intérieur de son décolleté et je commençais à lui caresser la poitrine.
A mon grand étonnement, elle n'esquissa pas le moindre mouvement de recul et se me laissai saisir sa poitrine à pleine main.

Ses seins étaient ronds et ferme, comme je l'avais imaginé et mes caresses faisaient dresser ses tétons au travers de la robe.

Elle ouvrît les yeux et me dit :

- Je te trouve bien entreprenant ce soir... N'oublie pas que tu as une femme à la maison et moi un mari et des enfants... Mais cela ne me déplait pas... Continue....

Il ne fallait pas me le dire deux fois...

Je suis passé à la vitesse supérieure, et après m'être attardé sur ses seins, je laissais glisser mes mains vers ses cuisses et remonta sa jupe.

Elle portait un string en dentelle que je me suis empressé d'écarter pour libérer sa chatte.
Laeti était totalement épilée et avec mes doigts, je commençais à fouiller son intimité en m'attardant de temps à autre sur son "bouton du plaisir", tout en faisant glisser les bretelles de sa robe pour libérer sa poitrine.

Elle était déjà toute humide et semblait apprécier ce que nous étions entrain de faire, elle commença à gémir et à se caresser la poitrine.

De mon autre main, je descendais la fermeture de mon bermuda pour libérer ma verge qui était déjà tendue comme un arc.

Laeti la saisit d'une main et commença à me masturber langoureusement tout en continuant de se caresser la poitrine avec son autre main.

Mes doigts l'ont exploré de fond en comble pendant quelques minutes, jusqu'au moment ou elle s'est relevée.

Elle est venue s'agenouiller devant moi, les seins et les lèvres à l'air et elle commença à me sucer langoureusement tout en me fixant droit dans les yeux.

Je dois avouer qu'elle faisait cela vraiment bien, jamais je n'avais ressenti autant de bien-être et de plaisir, que ce soit avec mes ex ou même avec Isa: elle alternait entre me titiller le gland avec la langue ou le sucer réellement et engloutir ma verge toute entière dans sa bouche en me masturbant vigoureusement mais ce que je j'appréciais le plus quand elle me léchait les couilles en remontant vers le haut ma verge avec sa langue, avant de l'engloutir toute entière.

A un moment, elle s'arrêta et me dit:

- Tu es plutôt gâté par la nature dis moi... Un peu plus qu'Eric d'ailleurs... J'aime ta bite: sa forme, sa grosseur, son gout..., termina-t-elle en me regardant et en se léchant les lèvres avec sa langue.

Puis, elle recommença à sucer pendant de longue minutes, j'avais l'impression que j'allais défaillir tant elle était experte.

Puis, elle se releva et me prit par la main :

- Viens, me dit-elle.

Nous nous sommes dirigés vers un bosquet situé par très loin du banc, elle la poitrine à l'air et à demie déculottée et moi la verge à l'air toute humide de sa salive.
Là ou nous allions, nous serions un peu plus tranquille et plus isolés, même si à cette heure tardive, il n'y avait plus personne dans le parc.

Arrivés derrière le bosquet, j'ai attrapé Laeti et l'ai embrassé profondément, tout en faisant finir de glisser sa robe et son string.

Elle fît de même avec moi et m'ôta mon tee-shirt, mon bermuda et mon boxer.

Nous étions tous les deux nus et la vue de son corps magnifique éclairé par les rayons de la lune avait quelque chose d'irréel.

Je me suis allongé sur l'herbe et je lui ai dit :

- J'ai envie de te bouffer la chatte, viens...

Elle ne se fît pas prier, elle vint s'agenouiller sur moi en me tournant le dos, me présentant ses lèvres encore écartées par mon « inspection ».

Cette femme avait des mensurations parfaites : après sa poitrine, je pouvais maintenant admirer ses fesses et ses cuisses musclées, sans un gramme de cellulite malgré ses 35 ans et les deux enfants qu'elle avait eu.
Elle avait un fessier à faire baver même les mâles les plus insensibles aux charmes féminins.

Et nous avons entamé un 69 d'anthologie.

Je pénétrais au plus profond de son intimité avec ma langue en prenant soin de ne pas épargner son clitoris, pendant qu'elle me suçait comme une déesse.

Vu ses gémissements étouffés et la manière dont elle se tortillait, elle prenait visiblement beaucoup de plaisir.

Puis elle s'arrêta net, se leva et se coucha à côté de moi en écartant les cuisses.

- Prend moi...

Je me suis positionné entre ses jambes, mais ne l'ai pas pénétrée tout de suite.

J'ai caressé son clitoris et sa vulve quelques instant avec mon gland mais elle ne semblait plus vouloir attendre.

- S'il te plait prend moi... Maintenant.

Je décidais de ne plus la faire languir, car moi non plus je n'en pouvais plus et je la désirais plus que tout.

Je l'ai donc pénétré d'un coup sec et j'ai entamé un va et vient énergique tout en l'embrassant profondément.

Elle avait enserré ma taille avec ses jambes pour que j'aille au plus profond d'elle.

Je ne peux pas vous expliquer ce que je ressentais à ce moment là : un mélange entre bien-être, béatitude, plaisir extrême, peur de se faire surprendre, trahison par rapport à Isa, j'avais l'impression d'être sur une autre planète ou d'être drogué avec je ne sais quelle substance...

Mais j'adorais cette sensation...

Nos corps ne faisait qu'un et ses ondulations du bassin alors que j'allais et venais en elle produisaient leur effet.

Mais j'avais envie de profiter encore plus de son corps et surtout de sa superbe poitrine.

Je me suis retiré, me suis allongé sur le dos et je lui ai demandé de venir sur moi.

Elle me chevaucha et vint s'empaler sur mon pieu en me faisant face, je pouvais ainsi profiter de ses seins et de l'expression de son visage.

Tantôt elle sautillait sur ma verge comme un acharnée et tantôt elle exerçait de légers mouvements circulaires du bassin qui manquait de me faire craquer à chaque fois, elle le ressentait bien d'ailleurs et ralentissait la cadence.

Elle me fixait souvent droit dans les yeux et fini par me dire le souffle court.

- Tu aimes...

- Je ne te savais pas si experte, t'es une sacrée cochonne sous tes airs de femme prude et bien rangée .

- Je sais on me l'a déjà dit...

Elle se pencha vers moi pour m'embrasser vigoureusement avant de reprendre ses sautillements.

Je voyais ses seins balloter au rythme des mes coups de reins, et j'en profitais pour les saisir à pleine main.

Elle commençait à crier de plaisir, si bien que je devais mettre une main devant sa bouche pour atténuer le bruit, car si elle continuait comme çà, on allait se faire surprendre.

Je repensais à sa réponse « On me l'a déjà dit », j'en déduisais que ce n'était surement pas la première fois qu'elle se donnait comme cela.

Mais avec la confusion et le plaisir, mes pensées furent vite ramener a cette beauté que j'étais entrain de m'enfiler dans une semi pénombre.

Ses cris continuaient de plus belle :

- OUIIII, C'EST BON.... HUMMMMMM.... OOHHHHH

C'est alors que j'ai entendu des bruits de pas dans l'allée toute proche.

A peine le temps de tourner la tête, et je vis Lionel qui nous regardait.

Isa ne stoppa pas son rythme, et regarda en direction de Lionel, qui remarqua ma gêne.

- Ne t'inquiètes pas, ce sera motus et bouche cousue, je ne dirais rien, me dit Lionel. D'ailleurs je serai mal placé car j'ai déjà eu l'occasion de m'envoyer cette cochonne. Si ma femme savait. Mais je ne voudrais pas vous déranger, si tu veux en profiter seul, je comprendrais, mais j'aimerai plus que tout me joindre à vous. Je sais par expérience que madame est demandeuse...

C'était donc çq : ils avaient eu une aventure ensemble, ou avaient une, je ne savais pas, mais d'un point de vue sexuel, il semblait très bien la connaître malgré leur quinze ans de différence d'âge, car Lionel devait avoir entre 50 et 55 ans.

Même si j'étais gêné, je me suis dit pourquoi pas, elle veut qu'on la baise et bien baisons la.

- Pas de soucis pour moi, lui dis-je.

- Oui, viens.... lui dit Laeti entre deux gémissements.

Lionel se déshabilla : j'étais impressionné par la taille et la grosseur de son sexe bien plus imposant que le mien et qui était déjà en érection.

Il vint se placer à la hauteur de Laeti et lui présenta sa bite qu'elle s'empressa de sucer.

De mon coté, je faisais mon possible pour aller au plus profond d'elle.

- Elle suce vraiment très bien cette petite, c'est un vrai plaisir à chaque fois... Tiens bouffe la, et régale toi, dit Lionel en me regardant.

Je voyais de longs filets de bave se dessiner entre la bouche et le sexe de Lionel à chaque fois que ce dernier sortait de la bouche de Laeti pour le masturber.

Au bout de quelques minutes, Laeti s'arrêta et dit à Lionel :

- Toi aussi prends moi, prenez moi en même temps.
-
- Tu vois, je t'avais dit qu'elle était demandeuse, ricana Lionel.

Elle semblait comme possédée, une vraie diablesse en quête de sexe.

Elle arrêta de sucer et branler Lionel et il vint se placer derrière elle, et il n'eut même pas besoin de lubrifier son œillet d'amour tant elle avait mouillé et la pénétra pour la sodomiser.

Elle poussa un cri à mi chemin entre la douleur et le plaisir et avant de s'enfoncer bien profond, Lionel pris soin d'obstruer sa bouche avec une de ses mains, alors qu'il la pelotait de l'autre.

C'était la première fois que je pratiquais la double pénétration, c'était étrange comme sensation.

Je sentais le membre imposant de Lionel s'enfoncer de plus en plus à travers la fine paroi de chair qui séparait les deux orifices de Laeti.

Nous étions obligé d'alterner notre va et vient chacun de notre côté, et la sensation de frottement du sexe de Lionel contre le mien me faisait vraiment bizarre, cela dit ne m'étais pas désagréable.

J'en arrivais presque à regretter de ne pas avoir participé aux expériences avec Isa (que ce soit avec Patrick, le peintre et son ami ou les pêcheurs, et cela me donnait pas mal d'idées pour la suite.

Mais je vous rassure, fidèles lecteur, il y aura d'autres épisodes à suivre...

Laeti n'en pouvait plus, les cris étouffés par la main de Lionel se étaient de plus en plus rapprochés et de plus en plus fort et elle se tortillait comme une anguille.

Je saisis ses fesses de mes mains et c'était moi maintenant qui avait le contrôle sur elle, et je la défonçais littéralement en lui donnant de grosses frappes sur les fesses.

De son coté, Lionel la défonçait également, il était perché sur son dos, une main sur ses seins et l'autre sur sa bouche pour atténuer ses gémissements.
D'ailleurs, Laeti pliait sous son poids, car Lionel et tout de même grand et baraqué, et son visage se rapprocha du mien.

Elle me fixait droit dans les yeux et son regard se dilatait ou se plissait de plaisir sous l'action de nos va et vient.

Lionel commençait à gémir, et je compris qu'il n'allait pas tarder à jouir.
Il accéléra ses mouvements et sa respiration était de plus en plus saccadée.

Ce fût chose faite quelques instants plus tard, je sentis sa verge se contracter à plusieurs reprises et il se vida en elle.
Il se retira au bout de quelques secondes et vint embrasser Laeti à pleine bouche.

- Je vous laisse, nous dit il en se rhabillant, finissez bien !

Laeti semblait anéantie : elle était maintenant appuyée sur ses avant bras et subissait désormais mes assauts.

J'étais comme fou, je la prenais sans ménagement et de manière très rapide.

Je sentais le foutre encore chaud de Lionel qui en s'échappant de son anus encore dilaté me coulait sur les couilles et sur la verge à chaque fois qu'elle entrait et sortait de Laeti.

A mon tour, je sentais que je n'allais pas tarder à craquer, et ce fût chose faite peu de temps après.

J'arrêtais mon mouvement effréné pour me vider un elle après un long râle de soulagement.
J'avais quasiment le souffle coupé tant cela était bon : j'avais l'impression d'avoir la verge parcourue par une décharge de 3000 volts et je profitais des sensations ressenties à chaque giclée.

Laeti s'affala sur moi et nous sommes restés tous deux, haletant et ruisselant de sueur pendant de longues minutes.

Quand nous eûmes repris nos esprits, elle m'embrassa tendrement comme deux amoureux à leurs débuts.

Nous nous sommes rhabillés, Laeti se contenta juste de remettre sa robe.

- Pas la peine de remettre mon string, je suis toute dégoulinante de votre foutre à toi et à Lionel, me dit-elle.

Elle m'enlaça et m'embrasse de nouveau.

- Merci pour ce moment, lui dis-je.
- C'était le paradis pour moi également, me répondit Laeti, mais si tu le souhaites, la nuit n'est pas encore finie...

Nous avons quitté le parc et sommes allés chez elle (à peine à 10 mètres de chez moi), et nous avons longuement discuté en prenant un dernier verre.


Après le moment que l'on venait de passer, elle me parla de son histoire avec Lionel.
Il avait réalisé des travaux chez elle il y a quelques temps, mais comme ils n'avaient pas beaucoup d'argent un deal avait été convenu entre Laeti et Lionel, comme quoi elle le remboursera en nature, sans bien sur que son mari soit au courant.

Elle m'expliqua qu'elle s'était déjà fait prendre une fois par Lionel, et une fois par Lionel et son fils (qui avait à peu prés nos âges) et tout cela chez Lionel quand sa femme n'y était pas.

Là encore je restais scotché car elle cachait vraiment bien son jeu.
Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences...
En tous cas, nous étions devenus très intimes en à peine quelques heures.

De mon coté, je lui expliquais les expériences d'Isa en détail et ma fascination à la voir se faire prendre par d'autres hommes.

Elle écouta mes récits avec attention et n'excluais pas l'hypothèse que l'on se fasse un plan à quatre un jour avec son mari Eric et Isa.

- Je ne sais pas s'il acceptera de me voir me faire prendre par un autre alors qu'il est là, mais je vais me renseigner discrètement et te tiendrai au courant, mais le connaissant, s'il a de quoi s'occuper avec une autre, cela pourrait le faire.

Elle s'approcha de moi et m'embrassa de nouveau.

- J'ai encore envie de toi.

Et moi aussi j'en avais encore envie vu l'érection qu'à déclenché son baiser.

Nous avons refait l'amour sur le canapé, elle était encore toute poisseuse de la double éjaculation qu'elle avait subi.

Après cela, j'ai regardé l'heure et me suis rendu compte qu'il était déjà trois heures du matin.

Je lui demandais pour prendre une douche, histoire d'être propre avant de rentrer me coucher auprès de ma femme.

Avant que je parte, nous nous sommes embrassés une dernière fois, en espérant remettre cela dés que possible, soit avec nos conjoints ou rien que nous deux.

Quand je suis arrivé, Isa dormait à poings fermés, je me couchais à coté d'elle à repensant à ma soirée et aux opportunités qui pouvaient en découler...