Safari au Kenya

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Proposée le 22/08/2009 par evasion971

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L'atterrissage à l'aéroport de Nairobi se fit tôt le matin. Le temps était chaud et sec en ce mois de mars. Une fois les formalités douanières effectuées, Heather descendit les escaliers, prit un caddy et récupéra ses bagages sur le tapis roulant. Elle arriva devant le hall principal où des dizaines de pancartes fleurissaient pour récupérer les voyageurs. Elle trouva la pancarte adéquate où l'attendaient les organisateurs de ce séjour. De nombreux hommes se retournaient sur elle, détaillant ostensiblement les charmes de la jeune femme. Un Kenyan en tenue décontracté, accompagné d'un Français, s'inclina devant elle.

- Mlle Heather Chambellan ?

- C'est moi.

- Je suis Kimaati, votre guide, et je vous présente Ylan, le photographe animalier.

Heather sourit.

- Enchantée !

- Bienvenue au Kenya ! C'est un honneur de vous compter parmi nous.

Heather se lançait dans un safari privé, au cœur des réserves les plus célèbres où se concentre l'essentiel de la faune du pays, sous la direction et la protection d'un guide professionnel. Il avait été établi un programme ambitieux qui la mènerait sur les vastes plaines du Masaï-Mara à la concentration animale impressionnante, passerait par Amboseli où se détacherait la silhouette majestueuse du Kilimandjaro puis découvrirait Tsavo et ses terres contrastées et, enfin, profiterait de la superbe plage de Mombasa. Elle s'attendait à vivre, au Kenya, une expérience sensorielle intense.

L'humour de Kimaati était communicatif. Heather se détendit. Ils embarquèrent tous les trois à bord d'un 4X4 vers la réserve du Masaï-Mara pour une journée entière consacrée à un safari-photo. Ils empruntèrent une route goudronnée mais chaotique jusqu'à 37 kilomètres de l'entrée du parc.

Le Masaï-Mara était un immense parc national de 1 800 km2, le plus giboyeux du Kenya. Il présentait un écosystème riche et varié qui abritait quasiment toute la faune présente en Afrique de l'est. Il offrait un spectacle féerique.

Sur la piste orange vif, le 4X4, vaisseau moderne de l'aventure, bondissait dans les ornières profondes creusées par les pluies diluviennes et durcies par le soleil de feu. Une âcre odeur de terre chaude, d'herbe sèche mouillée où se glissaient des parfums d'ortie et des relents poivrés dans les nuages de poussière rose que les vents d'est, chargés du sel de l'Océan indien et qui balayait presque constamment la savane, enlevaient en tourbillons capricieux.

Ils se mirent à la recherche d'animaux sauvages dans la savane, c'était le game drive. Kimaati roulait à 10 kilomètres à l'heure et prenait le temps de s'arrêter. L'expérience du guide-chauffeur s'avérait précieuse car il savait conduire dans les endroits où se cachaient les créatures les plus farouches, tout en enseignant leur mode de vie et les légendes les concernant.

Au bord de la route, une élégante Masaï les gratifia d'un geste de bienvenue. Elle avait le crâne soigneusement rasé qui mettait en valeur l'extrême régularité de son visage aux pommettes hautes et au nez fin, paré de longs pendants d'oreilles et du collier traditionnel, en plateau de perles minuscules, rouge, vert, bleu.

Dans les herbes blond gris, postés de loin en loin comme des sentinelles de chaque côté du chemin, des babouins curieux se baissèrent brusquement pour ne pas être vus. Deux autruches grandes comme des girafes sur le ciel sans fin se dandinaient vers un grand acacia. Jaillirent soudain, d'on ne sait où, des nuées de gazelles minuscules en bonds gracieux sur leurs sabots vernis. Puis, une troupe de zèbres prit le relais et galopa devant la voiture avant de s'égailler dans la prairie.

Leurs croupes rebondies, soyeuses, striées de noir et blanc qui moutonnaient au ras du moteur furent d'un irrésistible effet. Semblables à deux gros rochers gris, une troupe d'éléphants broutait l'herbe tranquillement face à un troupeau monolithe de buffles sombres qui ruminaient, placides, perdus dans leurs songes sous le bandeau de cornes argentées. La moindre mare, dans les fourrés, abritait des colonies d'hippopotames dont seuls dépassaient, au ras de l'eau boueuse, tels des navires à la dérive, les têtes énormes et luisantes en forme d'étuis à violon. Et puis, sur les rives de la Mara qui irriguait les prairies de rêve, tout un peuple de crocodiles sommeillait. Ainsi se baladaient-ils parmi les animaux sauvages sans troubler leur tranquillité, comme s'ils étaient invisibles ! Pouvoir se mêler à eux, les observer à loisir, passer des moments d'une profonde sérénité à d'autres d'une violence inouïe... procurait des sensations d'apaisement rares ainsi que des émotions intenses. C'étaient des moments privilégiés qu'ils étaient avides de vivre. Ylan trouva de nombreuses occasions de photographier la faune et les paysages kenyans.

Au loin, des guerriers masaï, les cheveux tressés enduits d'argile rouge, vêtus du pagne rouge traditionnel, à la silhouette longiligne et armés de leurs fines lances, arpentaient l'immensité des prairies. Le soleil se couchait sur la savane du parc national du Masaï-Mara dans les flots d'une lumière or orangé rose, irréelle. Aussi féerique qu'éphémère, le spectacle dura 5à 6 minutes. C'était l'heure pour les lionnes de se préparer à la chasse, les lions s'étiraient. Dans leurs pupilles d'or, s'affichaient clairement leur vif intérêt pour des troupeaux innocents. Heather put observer que les lions étaient des bêtes très sensuelles : ils se léchaient, se mordillaient et se frottaient les uns contre les autres en signe de solidarité avant la chasse ou de camaraderie pendant la sieste d'après-dîner. La toilette était tout un art et les mâles prenaient un soin vaniteux de leur crinière, leur attribut sexuel le plus voyant. Dans les hautes herbes, image spectaculaire des animaux amoureux, un lion et sa femelle copulaient.

Ils s'installèrent au Bakary Safari Camp, lieu d'hébergement, situé sur les rives du fleuve Mara, au cœur des terres massaï. Répertorié en tented camp le Bakary Safari Camp était un campement de 15 tentes de luxe, spacieuses, bien décorées, au charme authentique, pourvues de salles de bains avec eau chaude et toilettes. Le site était exceptionnel, noyé dans une nature luxuriante. Ils se dirigèrent vers les chambres en vue de se rafraîchir et se préparer pour le dîner.

Quelques instants plus tard, les trois acolytes réapparurent au bar où de petits beignets de crevettes et des chips de noix de coco ouvrirent leur appétit. Ils discutèrent gaiement puis s'attablèrent. L'accueil fut très chaleureux. Le personnel était sympathique, dévoué et souriant. Comme boissons alcoolisées, ils sirotèrent des bières brassées localement. Pour les alcools forts, ils commandèrent du Kenya Gold, une liqueur au café, et du Kenya Cane, un rhum blanc fabriqué avec de la canne à sucre. Heather goûta une spécialité culinaire kenyane, nyama choma (viande grillée), accompagnée de patates douces. Ylan et Kimaati optèrent pour le plat irio kiyuku composé de purée de pommes de terre, de pois et de maïs. La cuisine était excellente. Elle essaya en dessert le ndizi, plat de bananes cuites à la vapeur dans des feuilles de bananier. Pour accompagner son dessert, elle prit un thé bouilli avec du lait et du sucre.

Après dîner, ils apprécièrent la nature sauvage autour d'un feu de camp. Puis, ils allèrent se coucher. Des Masaï étaient postés pour surveiller le campement. En cas de danger, chacun disposait d'un sifflet permettant de donner l'alerte.

Au bout de quelques heures, Heather avait du mal à s'endormir. Elle avait bu nombre de boissons alcoolisées et le rhum l'émoustillait vite. Elle alla retrouver Ylan dont la chambre se trouvait à côté de la sienne. Elle entrebâilla la porte et marcha sans faire de bruit. La moustiquaire n'était pas fermée. Elle se glissa sous les draps. Le corps d'Ylan luisait d'une fine couche de transpiration. Il dormait paisiblement dans la position fœtale.

Elle se colla à lui sans peur ni prudence. Elle portait une nuisette noire, coquine et sexy, chic et stylée, en fine résille et dentelle. Sur l'arrière, le décolleté et le laçage permettaient d'épouser parfaitement les formes de son corps. Le string assorti épousait le renflement de son sexe. Elle sentit l'odeur du parfum musqué qui émanait du corps d'Ylan.

Elle le caressa du regard. Ylan était un jeune homme sexy, aux cheveux noirs frisés, au teint mat et aux yeux sombres. Il avait un torse puissant, des petites fesses étroites et cambrées. Il lui avait tapé dans l'œil mais elle n'avait pas encore eu l'occasion de le lui montrer. Se trouver en tenue légère dans cette circonstance lui procurait un trouble délicieusement pervers. Elle lui caressa les cheveux. Lorsque sa main féminine se plaqua sur son torse lisse, il frémit. Alors, commença une lente exploration de son corps jusqu'à masser la bosse qui se formait dans son caleçon ! Brusquement, il se retourna, passa au-dessus d'elle et l'immobilisa. « Ça t'excite de faire des cochonneries pendant que je dors, hein ? Tu es une petite vicieuse ! »

Il se pencha pour lui arracher un baiser. Sa langue s'infiltra entre ses lèvres. Il semblait à Heather que son corps s'effritait. Elle répondit à ses baisers. Il embrassait bien. Il fit glisser les bretelles de sa lingerie. Elle eut un frémissement très perceptible quand il caressa ses flancs. Il fit glisser son string tout le long de ses jambes. Leurs corps se frottaient en se lovant l'un contre l'autre. Elle fit onduler son bassin pour mieux l'exciter. Ylan la pelotait lorsque sa main descendit vers sa toison, elle ouvrit largement les cuisses. Son huile naturelle se répandait partout. Il l'excitait apparemment beaucoup. Une bouffée de chaleur envahit son bas-ventre. Elle étouffa un gémissement quand les doigts s'enfoncèrent dans sa fente. Ylan attrapa un tube de lubrifiant et en appliqua sur sa chatte brûlante. Rapidement, elle sentit le contraste chaud froid. De ses doigts experts, il agaça son clitoris. Il en mit également autour des mamelons. Il traça méthodiquement des cercles concentriques tout autour des pointes qui durcissaient.

À la demande d'Ylan, elle sortit du caleçon sa queue dressée et entreprit de la branler. Elle se pencha pour prendre le gland entre ses lèvres. Elle colla ses lèvres, y écrasa la pointe de sa langue qu'elle remua vivement. Le jeune homme laissa échapper un profond soupir. Soudain, elle s'aperçut que deux mains enserraient sa taille et sursauta. Kimaati se tenait derrière elle. La stupeur la paralysa. Le Kenyan lui pétrissait les fesses. Désarçonnée par cette attaque inattendue, Heather jeta un coup d'œil à Ylan. Il souriait en observant Kimaati. Ce dernier murmura :
« Dis, tu veux bien me sucer aussi ? »

Debout, les hommes présentèrent leurs verges en érection. Ils étaient très différemment membrés. Ylan avait une queue normale alors que celle du Black était dotée d'un véritable mât de cocagne. À vue de nez, sa bite devait avoisiner les 25 centimètres de longueur. Elle était fine et paraissait encore plus longue. C'était un morceau exceptionnel. Elle s'accroupit entre eux. Elle emprisonna leurs bâtons de chair de ses mains, les lécha alternativement à petits coups de langue rapides et suça avidement, mouillant leur gland de salive, tournant sa langue, recueillant goulûment les gouttes de liqueur qui coulaient tout en lançant des regards de garce comme une invitation à la baiser sauvagement. Le contraste des peaux noires et blanches apportait un piment supplémentaire. Puis, ils firent mettre Heather à quatre pattes. Après avoir longuement léché son abricot au bord de l'orgasme, Ylan pratiqua un anulingus. Il continua son voyage vers le bas et la lécha tout autour de sa rondelle. La sensation de sa langue, titillant avec légèreté la peau de son œillet, la catapulta au septième ciel. Des exclamations, des petits cris, des plaintes et des halètements montaient du groupe et trahissaient une excitation de plus en plus vive. Ylan s'allongea sur le dos et demanda à Heather de s'asseoir face à lui, sur sa queue. La prenant dans sa main, elle l'introduisit dans son con. La sensation était forte. Il lui tenait le cul. Elle montait et descendait sur sa colonne. Elle la sentait profondément en elle. Comme elle tendait le cul vers Kimaati, il ajouta du lubrifiant sur son doigt et l'introduisit dans son anus. « J'espère que tu as faim parce qu'on va te faire un petit sandwich... »

Kimaati plongea vers sa divine couronne. Son sphincter s'ouvrit et se détendit. Cette sensation était intense : être enculée pendant que le vagin était pénétré. Elle était totalement remplie. Ylan et Kimaati bougeaient en mesure. Deux tiges de chair chaude entraient et sortaient, et glissaient l'une contre l'autre à l'intérieur d'elle. Elle eut du mal à retenir les plaintes de plaisir qui lui montaient aux lèvres. Des orgasmes partaient dans son ventre comme autant de fusées. Une odeur de foutre, de corps en chaleur et de transpiration les enveloppait. Dans une grogne de plaisir, Kimaati éjacula sur les fesses de Heather. Encore secouée par les derniers spasmes de la volupté, Ylan lui ébranla le corps et puis le remplit de son jet chaud. C'était son premier jour au Kenya.