La prise de poste

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Proposée le 12/08/2009 par Kevin

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Je venais d'intégrer ce nouveau travail à la mairie de Lirunail. J'avais été embauché en tant que responsable informatique. J'avais sous mes ordres 7 personnes. Quatre femmes et trois hommes partageaient les deux bureaux du service. J'étais le seul avoir une pièce dans laquelle on pouvait mettre un bureau et trois fauteuils. J'avais un bureau de chef.

Françoise, mon adjointe âgée de 45 ans ressemblait à josiane balaslo dans gazon maudit. Son physique lui importait peu. Elle s'habillait en jean et polo usagés avec une préférence pour la couleur délavée.
Lydie avait le même âge que Françoise. Grande et mince, elle était le résultat d'une éducation post-soixante huit. Elle laissait vivre ses poils dans les robes multicolores de couleurs rouges et orangées.
Monique, la plus âgée, possédait un physique qui était un savant mélange de Françoise et Lydie. Elle avait adopté les poils de Lydie et les surplus graisseux de Françoise. Quant à ses habits, elle adoptait sans complexe les jeans de Françoise en rajoutant au gré de son humeur des empiècements de tissus.
Isabelle, la plus jeune, semblait en opposition avec ses collègues féminines. Sa carrière avait débuté dans un grand cabinet d'audit. Elle avait adopté le conservatisme vestimentaire de ces entreprises. L'aspect strict de ses tailleurs cachait mal des seins débordants, une silhouette sportive et un sourire ravageur.
Yves, Pierre, et Antoine avaient tous le même profil. Ils avaient entre 25 et 30 ans, étaient doués pour les sports et avaient de solides connaissances en informatiques.

A sa prise de poste, tout nouveau chef de service se doit de s'entretenir individuellement avec chacun de ses agents. Pour ne pas nuire à l'activité du service, je décidais donc de consacrer à chacun une matinée.

C'est Françoise qui réserva la première matinée. Elle se présenta dans mon bureau, comme à son habitude, en polo blanc usé jusqu'à la corde. Elle entra donc dans mon bureau, ferma la porte, décrocha le téléphone et se mit à califourchon sur la chaise en face de mon bureau. Elle commença par me présenter sa carrière de fonctionnaire. Je l'examinais attentivement. Ses seins de taille respectable remplissaient le polo. Le pauvre était sur le point de se déchirer. Ses tétons ressemblaient à des gros dés bruns et le coton du polo n'arrivait pas à les retenir. Je la matais en écoutant son discours d'une banalité confondante. Tout à coup, elle s'en aperçu.
Françoise : mes seins t'intéressent plus que ce que je te dis. Tiens, maintenant mon polo ne te gênera plus. Tu pourras les mater sans gêne.
Elle enleva rapidement son polo et me présenta ses gros seins. Ils reposaient sur le dossier de la chaise et, de ce fait, conservaient un aspect relativement jeune. Mon sexe se durcit d'un coup. Je me levais. Sous mon pantalon de costume clair, ma bite faisait une belle bosse.
Françoise : mais dis-moi, tu bandes.
Sans hésiter, elle prit mon sexe au travers de mon pantalon. Pour un jeune chef de service, la situation était complètement imprévisible. J'étais paralysé. Elle en profita pour faire descendre ma braguette et d'une main sûre, elle fit prendre l'air à ma bite. Elle ne fût pas à l'air très longtemps. Elle goba ma queue avec un plaisir jouissif et des bruits de succions incroyables. Je me lâchais et je mis mes mains sur ses gros seins. Je n'avais jamais caressé des tétons aussi gros et durs. Sa tête dodelinait doucement ce qui augmentait mon excitation. Sa langue léchait doucement le frein. Le moelleux de ses seins et la douceur de sa langue me donnaient un immense plaisir. Je jouis avec une force incroyable. Les giclées de sperme éclaboussaient totalement sa bouche. Elle avala le tout sans bruit.
Françoise : j'aime ce type de prise en main. Cela augure d'une parfaite collaboration.
Elle se rhabilla, bu une gorgée d'eau et quitta réjouie le bureau.
J'étais complètement désemparé. Je ne pus pas aller manger avec mes collègues et je restais cloîtré de honte dans mon bureau le restant de la journée.

Yves se présenta dans mon bureau pour la seconde matinée d'entretien. Il venait de courir une petite heure avant sa prise de poste. Il sortait de la douche quand il entra.
Yves : Ca sent toujours le sexe dans ce bureau. Je soupçonne le précédent chef d'avoir culbuté l'ensemble des stagiaires que nous avons eu. Il avait pris cette habitude quand le maire lui imposé un stagiaire, il prenait sa dîme. Garçon ou fille finissait avec le cul défoncé. Heureusement, tu n'es pas comme ça.

Il sourit.

Pour casser l'aspect hiérarchique de cet entretien, je m'assis en face du fauteuil d'Yves. Les premiers échanges furent cordiaux. Il avait relativement peu d'expérience professionnelle. Par contre, il avait une grosse expérience politique. Il me raconta par le menu les oppositions au sein de la majorité. Chaque adjoint possédait ses agents préférés et faisait avancer leur dossier selon leur désidérata. Lui faisait partie de l'écurie du maire. Je fis immédiatement le lien entre ce soutien et les propos d'Yves concernant les stagiaires. L'odeur de sperme me sauta au visage. Je revis les seins de Françoise et ses gros tétons. Mon sexe se dressa. Yves attentif à chacun de mes mouvements, aperçu ce changement de physionomie. Il prit cela comme une invite et se mit lui aussi à bander. Il avait un sexe d'une taille peu commune. Je me levais pour augmenter la climatisation de la pièce. J'espérais en cela changer l'air de la pièce qui se chargeait en testostérone. Il était entre moi et la commande. Au lieu de faire le tour du fauteuil, je me penchais. Il prit mon cul à pleine main et posa sa figure sur mon entrejambe Je faisais une tentative de me dégager mais sa musculature m'en empêcha. Il m'enleva mon pantalon rapidement. Il mit ma bite dans sa bouche. Pendant qu'il me suçait, il enleva complètement mon caleçon. Il se déplaça légèrement et me colla au bureau. A cet instant, il se leva, me retourna et m'encula avec une brutalité inouïe. Mes cris ne dépassaient pas l'espace du bureau. Cela avait été vérifié à de multiples reprises par mon prédécesseur. Il me lima jusqu'à éjaculer dans mon rectum. Il en éprouva un plaisir évident. Après s'être rhabillé et nettoyé la queue avec mes kleenex et ma bouteille d'eau, il partit.
Yves : Je savais bien que toi, tu n'étais pas comme ton salaud de prédécesseur.

Cet épisode finit de me déstabiliser complètement. Je passais une autre journée claquemuré dans mon bureau.

Il n'y eut pas de troisième jour au sein de la mairie de Lirunail. Je posais ma démission. Je n'ai jamais pu occuper d'autres postes de chef de services.