karim fait baiser ma femme par deux potes

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Proposée le 18/07/2009 par fabien92

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Textes très crus

Cela faisait un moment que Karim et moi on discutait par téléphone et par mails ; on s'était rencontrés sur un site de rencontre entre cocufieurs et cocus, lui il était dans la catégorie « étalons » et moi dans la catégorie « maris cocus ». On avait échangé des photos de lui et de ma femme, je lui avais fait écouter la voix d'Hélène par téléphone. Elle ne se doutait de rien, mais vu qu'en 4 ans et demi de mariage elle avait eu déjà plusieurs mecs dont deux que je connais bien, je ne m'inquiétais pas du tout sur les chances qu'avait Karim de bien tirer son coup dès la première rencontre avec ma femme. Cela me faisait plaisir de savoir que ce macho allait bien prendre son pied au lit avec Hélène. J'ai toujours eu la vocation de la lopette qui sert d'entremetteur entre les jolies filles (y compris mes copines et maintenant ma femme) et les queutards, et ça me fais du bien de servir à leur plaisir, et aussi de sentir leur mépris et d'entendre leurs vannes sur moi, je ne sais pas pourquoi.

Mes potes savent plus ou moins que je suis cocu (l'un d'entre eux, Damien, à couché avec Hélène juste après notre mariage, lors d'une soirée ; mon copain Guillaume l'a fait aussi, mais pas devant les autres), et que je ferme ma gueule. Ils n'osent pas trop en profiter, pourtant ce sont des vrais mecs, des queutards, mais bon, comme ils m'aiment bien ils n'en rajoutent pas, ils font juste des petites plaisanteries quand ils voient Hélène.
Elle fait 1m68, elle a 27 ans, mince, brune, avec de très gros seins (100 bonnet D), et c'est ça qui met tous les mecs en rut : deux seins énormes, droits comme des obus, qu'elle met en valeur chaque fois qu'elle le peut. Elle m'aime bien aussi, elle savait avant notre mariage que je suis nul au lit, mais il y a beaucoup d'affection entre nous, et je n'ai jamais fais la gueule quand des mecs la draguent devant moi. En général les vrais machos sentent immédiatement que la voie est libre et que je ne suis pas un obstacle sérieux pour eux s'ils ont envie de la grimper ; ça se voit dans leur regard qu'ils le comprennent immédiatement, ça les fait toujours sourire. Et je pense qu'Hélène apprécie aussi mon attitude.

J'avais pas mal hésité par rapport à Karim ; 20 ans (moi j'en ai 29), beau gosse, grand (1m85) et large d'épaules, sportif, gros baiseur, avec une queue de 21 cm super large (j'avais vu les photos ...) et une vraie mentalité de macho dominant, il me parlait toujours avec mépris, au téléphone, me disait qu'il allait niquer ma femme dans mon lit, ça m'excitait mais j'avais peur de la réaction d'Hélène si je lui présentais un mec moi-même, qu'elle se vexe et me quitte. Un jour il m'a appelé, j'étais au bureau, il m'a traité de mytho, qu'il en avait marre d'attendre, alors j'ai craqué, je lui ai dis de venir la semaine suivante dormir chez nous, que je le présenterai comme un jeune collègue qui vient passer quelques jours à Lille pour le boulot. On fixe la date, et Karim me force à lui donner le numéro de portable d'Hélène, pour l'appeler au cas où j'annule au dernier moment, pour tout lui dire. En plus, je lui donne le vrai numéro, pour bien me sentir en son pouvoir. Le soir, j'explique à Hélène que mon jeune collègue Karim vient de Marseille passer une nuit à Lille et qu'on va l'héberger. Je lui glisse que c'est un gros macho et j'invente que le surnom qu'il a dans la boîte c'est « bite de cheval » ; il n'en faut pas plus pour qu'elle se mette à fantasmer en douce ...

Karim arrive le jour convenu, en début de soirée. Je lui avais dit que je cherchais à être cocu une fois de plus mais pas seulement, vu que ça je le suis déjà pas mal, mais que je cherchais surtout à me faire humilier, à ce qu'enfin un vrai mec me rabaisse comme je le mérite, et à ce que ma situation de cocu soit enfin connue d'un maximum de personne. Mon rêve c'est que mon numéro de portable circule sur le net avec des photos de ma femme et un texte qui explique la situation pour qu'un maximum de queutards appellent pour en profiter ... Karim m'avait répondu que ça n'est pas à moi de fixer les conditions, que je dois fermer ma gueule, mais qu'il avait lui aussi super envie aussi de m'humilier en public. Je ne pensais pas que ça allait aller aussi loin.

On arrive à l'appart, je présente Karim à Hélène, il sourit de toutes ses dents, apparemment elle lui plaît à mort. Elle aussi a l'air émoustillée devant ce beau mâle (même si elle ne sait pas que je l'ai invité dans un but précis), et visiblement elle sent tout de suite que c'est un homme à femmes. Elle est habillée normalement, jupe mi-cuisses et tee-shirt clair, et Karim est en jean et en tee-shirt (un tee-shirt qui laisse bien voir qu'il a un super torse de sportif et des épaules larges, pas comme moi). D'entrée de jeu, Karim fait comme s'il était chez lui, il s'installe sur le canapé sans attendre que je l'y invite, il a l'air hyper à l'aise, il ne quitte pas Hélène des yeux, il la caresse du regard, ses seins, ses jambes, ses cuisses, tout y passe, et il n'arrête pas de lui sourire. Je lui sers un verre, on s'assied, et on commence à discuter, il me répond à peine, il parle surtout avec elle, lui pose des questions sur son boulot, ce qu'elle aime etc ... A plusieurs reprises, il m'envoie des petites vannes, il laisse entendre qu'il me trouve un peu nul, à un moment il me traite de maladroit parce que je fais tomber un verre.

Puis on passe à table et pendant le repas, ça continue, je parle à peine, lui fait comme si je n'étais pas là, il la drague ouvertement devant moi. Alors que penser à cette situation avant était excitant pour moi, en fait la vivre en vrai est très humiliant, et j'ai presque envie de tout arrêter, mais c'est trop tard, de toute façon il me tient. A chaque fois qu'Hélène se lève pour aller à la cuisine, Karim la suit pour l'aider ; la troisième fois qu'il la suit, ils restent un moment (5 à 10 minutes) tous les deux dans la cuisine, et je n'entends aucune parole (Karim m'a raconté ensuite que c'est à ce moment-là qu'il l'a embrassée et caressée, et qu'elle s'est laissée faire après s'être très mollement défendue). Quand ils reviennent dans le salon, Karim a nettement la banane, il avait compris qu'il allait se taper Hélène sans problème.

Après le dessert, on reste un moment sur le canapé, il continue de la draguer devant moi, à un moment il lui dit même « tu me plais vraiment, tu sais », elle sourit, je ferme ma gueule, de temps en temps il me lance des regards à la fois méprisants et narquois, mon attitude le fais bien marrer. Moi je fais un peu la gueule, quand même, bien que tout ça soit organisé avec moi au départ. Puis, voulant les laisser seuls, je leur dis que je suis fatigué, même s'il n'est que 21 heures, que je vais me coucher. Karim me dit bonsoir avec un grand sourire aux lèvres, Hélène me dit bonsoir aussi. J'en oublie de dire à Karim que je lui ai préparé un lit dans la chambre d'amis. Après m'être mis au lit, je me mets à gamberger, en me disant que je suis en train de faire une très grosse connerie, j'ai l'impression de ne plus arriver à réfléchir, je perds un peu la tête. Au bout d'un quart d'heure, je me relève et je reviens doucement vers le salon, pieds nus, le cœur battant, espérant que Karim n'arrive pas à ses fins. Bien sûr, la porte est poussée, et par l'entrebâillement je vois Karim en jean, torse nu, et Hélène déjà à califourchon sur ses genoux, elle n'a plus sa jupe. Il lui caresse les cuisses en lui souriant, il regarde son tee-shirt au niveau de ses seins, et tout d'un coup elle enlève son tee-shirt, il se retrouve avec ses deux seins dans le soutien-gorge sous ses yeux, il crie « putain, t'es bonne !! » il lui arrache presque son soutien-gorge et saisit un sein dans une main et se mets à lécher l'autre sein, à le dévorer presque, puis il passe sur l'autre sein, il est vraiment en rut. Après quelques minutes, il dit « j'en peux plus, y'a ma grosse queue qui me fait mal ! » et il l'attrape par la taille, la couche sur le canapé, lui écarte les cuisses, relève sa jupe et lui vire sa culotte, le tout en quelques secondes, et il plonge sa tête entre ses cuisses et il sort sa langue et se mets à lui lécher la chatte. En même temps, elle se met à se malaxer ses gros seins et lui, pour ne pas manquer se spectacle, lève les yeux sur ses seins tout en lui broutant le minou. C'est à ce moment-là qu'il m'aperçoit dans l'entrebâillement de la porte ; il continue alors à lui laper la chatte, tout en posant ses yeux alternativement sur ses deux seins qu'elle caresse, et sur moi. Quand il me regarde, je le vois sourire. A un moment, Hélène gémit « il ne faut pas faire trop de bruit, pour pas réveiller Fabien ... » et là ça fait franchement rigoler Karim, il lui dit « t'inquiète, ma belle » en me regardant et il se remet à lui bouffer la chatte comme un affamé, en lui malaxant les cuisses et les fesses.

Tout d'un coup il arrête de la lécher, il se met à genoux sur le canapé, entre les cuisses de ma femme, et il commence à ouvrir son jean, qui dissimule mal une énorme bosse sous la toile tendue à craquer ; Hélène pousse un petit gémissement, devinant ce qu'il va lui arriver. Karim sort une bite monstrueuse, il regarde Hélène dans les yeux, il me regarde ; elle n'a toujours pas compris que je suis derrière elle. Il s'installe bien entre ses cuisses, prends sa grosse queue dans sa main, la décalotte, et la pose entre les lèvres de la chatte de ma femme ; puis il commence à la pénétrer, assez fermement, pendant qu'elle se remet à gémir, sentant ce gourdin qui lui entre dans le vagin. Il lui dit « elle est bonne, ta chatte, salope », et il relève de nouveau la tête pour me regarder en souriant. Il a l'air très fier de lui, ce jeune salaud, et il continue à la limer, en donnant de grands coups de reins entre ses cuisses. Il se couche sur elle, je vois son cul qui monte et qui descend. Il a un visage très concentré, il la pilonne, il fait son boulot de queutard qui lime une chatte de femme mariée. Puis il se met à pilonner plus vite, il accélère le rythme, Hélène se met à haleter, et là il ralentit le mouvement, recommence à donner des grands coups de queue au fond de son vagin, il regarde ses seins, lui caresse les hanches et les cuisses, lui roule une pelle, lui lèche le cou, tout en continuant à la baiser comme un bon bourrin. Visiblement il prend son pied, et à ce moment-là, je me dis que c'est tout ce qui compte pour moi, je comprends que je suis prêt à tout pour que ce mec passe une nuit géniale à soulager son énorme queue entre les cuisses de ma femme. Elle aussi d'ailleurs a l'air de prendre son pied comme jamais, elle gémit, fait onduler ses hanches, lui caresse le dos, les épaules, les fesses, l'embrasse, lui dit « plus fort ... », « vas-y ... ». J'ai nettement l'impression d'être de trop dans cet appart ...

A un moment, il lui dit « retourne toi, j'ai envie de te niquer en levrette » ; là je comprends que ma femme va avoir le visage tourné vers la porte et qu'elle risque donc de me voir, alors je disparais, je retourne discrètement dans mon lit. De la chambre, j'entends un peu les bruits de leur accouplement, cela dure encore un bon moment, je suppose qu'ils alternent les positions et font durer le plaisir. Puis plus rien. J'entends des bruits d'eau dans la salle de bains, puis doucement Hélène qui rentre dans la chambre, et qui vient se coucher à côté de moi en faisant un minimum de bruit. Je suis certain qu'elle sait que je ne dors pas et que j'ai tout entendu, mais qu'elle ne veut pas en parler. Donc je me tais, je reste immobile, me disant que je ne vais pas réussir à dormir après ces émotions, mais que visiblement ça s'arrête là pour cette nuit. Cinq minutes plus tard, quelle n'est pas ma surprise quand je vois, dans la pénombre, Karim entrer nu dans la chambre et passer de mon côté du lit. Il s'approche de moi, me pousse du bras, et me dis, tout haut « allez, tire-toi, laisse moi la place ». Je reste interdit quelques instant, Hélène ne bouge pas et elle ne dit rien, je pense qu'elle est aussi surprise que moi. Karim insiste, sa voix devient plus autoritaire : « allez !! ». Je me lève, lentement, en hésitant sur la conduite à tenir, mais je ne trouve rien à dire, alors je sors du lit, il s'y installe à ma place, et immédiatement enlace Hélène. Elle ne se fait pas prier, et ils recommencent à s'embrasser, sous mes yeux, à se caresser, bref ils vont passer la nuit à faire l'amour. Je les observe quelques secondes, puis je sors, définitivement exclu.

Je regarde l'heure : il n'est pas encore 22 heures. Je m'apprête à me coucher dans la chambre d'amis, pendant que Karim et Hélène s'éclatent dans le lit conjugal, quand on sonne à la porte. Je devine immédiatement que ce sont Vincent et Fabrice, deux amis qui sortent souvent en célibataires, même s'ils sont mariés tous les deux, et qui parfois viennent nous voir pour prendre un verre après leur soirée au restau. Bêtement, je m'approche de la porte, je ne veux pas ouvrir, et je dis « Qui c'est ? ». La vois de Vincent réponds « C'est nous, ouvre ! ». J'entrouvre la porte, et je leur dis que je vais me mettre au lit et qu'Hélène est déjà couchée, donc qu'il vaut mieux qu'ils repassent un autre soir. Je n'ai pas envie que mes copains entendent les gémissements de plaisir de ma femme et du mec qui est en train de la tringler dans mon lit !

Vincent a l'air vexé, il me dit « T'es vraiment con, qu'est-ce que t'as ce soir ?!? Laisse-nous entrer !! » Et il s'avance. Je ne peux pas le repousser, donc je suis bien forcé de les laisser entrer. Je les conduits immédiatement au salon pour les éloigner de la chambre, en leur proposant donc de leur servir un verre. Et là, catastrophe : les vêtements de Karim sont étalés par terre ! Je les ramasse en bredouillant, Vincent et Fabrice n'ont pas l'air de trop comprendre ce que ces vêtements font là, ils s'installent sur le canapé, je leurs sers un verre en leur disant qu'ils ne peuvent pas rester longtemps chez nous ce soir. Vincent est en jean et en tee-shirt, Fabrice en survêtement lycra, visiblement ils ont envie de se détendre. Mais à plusieurs reprises, on entend, un peu les grincements du lit et les gémissements d'Hélène, et la voix de Karim. On ne les entend pas très fort, mais je me mets à rougir, je suis en train de me taper la honte de ma vie. J'essaye de couvrir ces légers bruits en discutant ; heureusement ça se calme, on n'entend plus rien à un moment. Et tout d'un coup, Karim passe la tête par la porte du salon, il a juste un de mes caleçons sur lui, il est très serré là-dedans, il a les cheveux mouillés de sueur. Il ne savait pas que mes potes étaient là, il les regarde l'air surpris mais pas gêné, il leur dit « Bonsoir », ils répondent « Bonsoir », eux ont l'air surpris mais en 2 secondes ils ont compris et leur visage s'illumine d'un sourire narquois, ils me regardent d'un air amusé.

Karim est franchement une belle bête, en caleçon ; il a un vrai corps de sportif. En plus il a neuf ans de moins que moi. Il entre dans le salon, la surprise est passée, il se comporte comme un macho bien fier de lui, il voit que mes deux potes ont compris qu'il baise ma femme depuis un moment pendant que je prends un verre avec eux au salon, et ça le rend encore plus fier de sa supériorité de mâle. La situation a l'air de lui plaire et même de le faire vachement rigoler, même si elle est inattendue ; c'est vraiment un jeune queutard fier de lui. Sous le caleçon, on voit parfaitement un très gros paquet, et il ne fait rien pour le cacher. Il me demande si j'ai un jus de fruit à lui proposer, et il attend ma réponse en souriant, debout devant moi. Je me lève et vais lui cherche un jus d'orange à la cuisine. J'entends qu'il parle avec Vincent et Fabrice pendant ce temps, mais je ne comprends pas ce qu'ils se disent. Quand je reviens avec le jus d'orange, je l'entends qui est en train de leur dire « Franchement, elle a des seins super gros, ça fout la trique ... » et il s'interrompt. Je lui tends le verre de jus d'orange en me disant que je n'ai jamais eu l'air aussi con et aussi minable de toute ma vie : servir un jus d'orange devant mes potes à un mec presque à poil qui vient de sauter ma femme et qui en parle, super à l'aise, à mes copains, dans mon salon !!!

Mes deux potes n'en reviennent quand même toujours pas de cette situation ; pour des mecs normaux, laisser un gars baiser ta femme dans ton lit et lui servir un jus de fruit, c'est incompréhensible. Fabrice dit tout haut « Elle est vraiment super cochonne, cette Hélène ! » et Vincent ajoute « Et avec un mari comme Fabien, c'est pratique ... » ; après un instant, il ajoute en rigolant « Faut pas s'étonner que des mecs en profitent !! tu te souviens de Damien, comment il avait tiré son coup avec elle ? ». Cette remarque semble les détendre. Karim le regarde alors et dit « Et vous alors, vous en profitez pas ? ». Vincent et Fabrice se regardent, mi-gênés mi-excités, ça commence à chauffer dans les caleçons ... Ils me regardent aussi, et Karim leur dit « Pas la peine de le regarder, c'est un vrai cocu, je ramone la chatte de sa nana depuis le début de la soirée, je l'ai baisée sur le canapé, dans le lit, et elle en redemande, pendant que ce connard attend sagement que j'ai fini de me vider dans sa meuf », et il se met à rigoler en se touchant la bite. Vincent et Fabrice me regardent à nouveau, cette fois en rigolant franchement, et moi je baisse les yeux, sans savoir quoi dire. C'était mon rêve de me faire humilier comme ça devant des potes, mais la réalité est beaucoup plus dure à vivre en fait, ça n'est pas aussi simple que de le fantasmer. Voir le regard à la fois méprisant et rigolard de deux de mes copains sur moi, c'est très excitant et humiliant à la fois, mais en le voyant je sais aussi qu'ils vont répéter ça à mon groupe d'amis ; même s'ils savaient tous qu'Hélène me trompe, ils ne me verront plus jamais de la même façon, peut-être que ces mecs refuseront de rester amis avec un garçon qui jette sa femme dans les bras d'un queutard de 20 ans, bref ce moment va peut-être changer ma vie sociale et le regard des autres sur moi, pas seulement en fantasme mais pour de vrai.

Karim reprend « Mais putain elle est trop bonne, je vous jure, elle suce super bien la queue, elle adore se faire bouffer les nibards, ils sont hyper bons, super gros, et elle gémit comme une chienne quand tu lui défonce la chatte, elle en redemande ... franchement, si vous êtes des vrais mecs, pas des lopettes comme Fabien, faut en profiter, une meuf comme ça c'est génial à baiser !! ». Vincent répond « Ben on la connaît depuis longtemps, ce n'est pas évident ... » et Karim lui demande alors « Et t'as jamais eu la gaule en matant ses seins ?? ». Vincent et Fabrice se regardent en souriant, et Fabrice dit « Ouais, mais Fabien c'est un copain, et il est là ... ». Karim se tourne vers moi et me dis, sur un ton autoritaire « Bon ben vas-y, lopette, dis-leur que t'es d'accord pour qu'ils pinent Hélène ! ». Je baisse la tête et je murmure un petit « oui ... ». Fabrice touche sa queue à travers le survêtement, son geste dessine un énorme morceau bien raide, très large, et il murmure « Oh putain ... j'y crois pas ... » ; Vincent le regarde, il est tout rouge et il lui dit « Bon ... on y va ... ? ». Fabrice se lève ; il a du mal à marcher tellement il bande, Vincent aussi. Ils marchent d'un pas un peu hésitant, ils passent devant moi. Karim se marre, lui est très à l'aise, il me regarde, et il dit « Tu vas avoir ce que tu voulais !! ». Il leur montre le chemin jusqu'à la chambre, je les suis du regard sans pouvoir dire un mot, Vincent et Fabrice me regardent encore une fois sans rien dire puis ils disparaissent tous les trois dans le couloir qui va vers la chambre. J'entends Vincent qui dis d'une voix rauque « je n'ai pas amené de capotes » et Karim répond en riant « ça fait rien ». J'entends aussi Fabrice dire « Et Fabien ... » et Vincent répondre après une hésitation « T'inquiète, apparemment c'est ok ! » et il ajoute plus bas, reprenant visiblement confiance « J'ai trop la gaule, là, alors merde, il est cocu, tant pis pour lui, on ne sera pas les premiers à baiser cette salope depuis leur mariage ».

Je reste dans le salon, comme un con, puis je passe dans le couloir et j'écoute ce qu'il se passe dans la chambre. Après quelques minutes, où Karim explique sans doute à ma femme ce qu'il va se passer et où elle dit sans doute qu'elle est d'accord, je commence à entendre le lit grincer, puis les gémissements d'Hélène, et des voix de mecs qui lancent des « putain ... ohhh putain ... !!! » et des « elle est bonne, elle est TROP BONNE !!! ». Mon ventre est complètement noué, ma gorge est sèche, mes jambes ne me portent pratiquement plus. Je me demande comment ils s'y prennent exactement, et si ça ne leur fait pas bizarre de sauter une nana qu'ils connaissent depuis des années, avec qui ils ont dîné chez nous plusieurs fois et qu'ils la connaissent en tant qu'amie.

Je m'approche jusqu'à la porte de la chambre, le cœur battant hyper vite, les jambes toutes molles. La porte est à moitié ouverte, je vois Vincent habillé et Karim en caleçon, assis tous les deux sur des fauteuils qui sont près de la porte, ils tournent le dos au lit sur lequel Fabrice est en train de faire l'amour à ma femme. Ils tournent le dos au lit comme pour les laisser baiser tranquillement, mais en même temps ils tournent la tête vers le lit pour voir comment Fabrice se la tape. Il la prend en missionnaire, il est couché sur elle, il la ramone vigoureusement, son cul avance et recule au fur et à mesure qu'il enfonce sa pine entre les cuisses d'Hélène, il lui lèche les seins de temps en temps ; elle a replié les cuisses autour des hanches de Fabrice et elle lui caresse les épaules en gémissant. Karim me voit, il tourne la tête vers moi et me sourit en se mordant les lèvres. Vincent voit que Karim s'est retourné, il se retourne et me voit aussi, il hésite puis se lève vers moi, l'air pas trop à l'aise, il m'entraîne discrètement vers le milieu du couloir, approche sa bouche de mon oreille et me murmure « T'es sûr que t'es ok ? Karim dit que c'est ok pour toi, et Hélène a dis qu'elle a super envie, que tu la baises jamais ... Alors ça te dérange pas ? On reste potes quand même ? ». Je bredouille quelque chose comme « Ben quand même ... Je suis plus sûr ... » et Vincent répond, collé à mon oreille « de toute façon Fabrice est déjà en train de la baiser, moi j'ai la plus grosse gaule de ma vie, c'est trop tard pour s'arrêter, non ? Et c'est pas la première fois qu'un mec grimpe Hélène dans ton dos, t'es au courant quand même !! ». Je me dis que mon copain Guillaume a encore du se vanter, et que bien sûr Vincent se souvient aussi de la nuit que Damien avait passée à limer Hélène devant presque tous mes potes. Et Vincent ajoute « Là faut que je la baise, j'en peux plus, elle est super bonne, Fabrice se régale, Karim l'a sautée aussi, et vu que toi t'es un gros cocu, tu ne vas pas me faire chier, allez ! ». Je réponds « Non ... non ... », Vincent ajoute, sur un ton plus doux « et on reste copain, ok ? » et je réponds « Oui ... ». Il sourit, me tapote la joue et me dis, tout bas : « c'est génial d'avoir un pote comme toi, marié à une chaudasse comme Hélène ! Putain le pied !! Elle m'a toujours fais bander, ta meuf, avec ses gros nibards ! ». Il sourit encore, et retourne s'asseoir dans la chambre. Je vois que Karim l'interroge du regard, et Vincent lui fait un petit signe de la tête en rigolant, d'un air de dire « c'est bon, il laisse faire, pas de souci ». Le moment est quand même cruel pour moi, et je me dis que mes copains ne vont plus avoir beaucoup d'estime pour moi, s'ils n'en ont jamais eu.

Je m'approche plus près de l'entrée de la chambre, sous les sourires narquois de Karim et Vincent, et à ce moment Fabrice, qui entretemps s'était mis à genou, avait retourné Hélène et la baisait en levrette, se mets à éjaculer dans le vagin d'Hélène en gueulant ; ça se voyait qu'il prenait son pied. Après avoir bien joui, il se calme un peu, laisse sa grosse bite dans la chatte de ma femme, lui caresse un peu les fesses, et dit aux deux autres, sans se retourner « alors il est où, le cocu, il fait la gueule ? ». Karim et Vincent explosent de rire, Fabrice tourne alors la tête et me voit, mais ça le fait juste sourire, il regarde sa queue et la retire lentement du vagin d'Hélène, il quitte le lit, passe à côté de moi, complètement nu, la queue pas complètement débandée, il pose sa main sur mon épaule et dis, sans me regarder « trop bonne, ta femme ... » et se dirige vers la salle de bains. Hélène se lève et l'y rejoint, en baissant les yeux, et Vincent la suit des yeux, il regarde ses fesses et commence à déboutonner son jean.

Quand Hélène revient, Vincent l'attrape immédiatement par la taille, l'approche du lit, il s'assied et sors sa grosse queue et lui demande de le sucer. Hélène, toujours sans me regarder, se mets à genou, attrape la queue de mon pote dans sa bouche et commence à le pomper et à lui lécher la bite comme une affamée. Vincent se lèche les lèvres et gémis, il apprécie la technique de ma femme, cela dur un moment, puis il la relève, la mets à quatre pattes sur le lit, approche sa queue de sa fente, et la pénètre doucement, en lui demandant « T'aime ? ça te fais quoi de te faire baiser par un ami ?? » elle ne répond pas, mais gémit comme une chienne en chaleur, et il accélère le rythme de sa pénétration, puis se met carrément à lui défoncer la chatte ; Karim se lève alors, fais tomber son caleçon, il bande de nouveau comme un taureau, et il vient enfourner directement sa queue dans la bouche d'Hélène. Mort de honte, je sors de la pièce sous leurs rires et je retourne au salon en me demandant pourquoi je me suis lancé là-dedans. Fabrice se repose en regardant la télé, complètement à poil. Il me dit, en me voyant arriver « t'es vraiment un pauvre type, on est trois mecs à enfiler ta femme sous tes yeux et toi tu dis rien ... ». Je ne sais même pas quoi répondre. Il ajoute : « eh Fabien, tu veux te prendre la honte de ta vie ? », je réponds « ben c'est fait ... » et il me dit « non, file moi ton téléphone ! ». Hagard, je lui donne mon portable ; il sort du salon, retourne dans la chambre, et revient quelques minutes après, visiblement très content de lui, il rigole tout seul. Puis il pianote un moment sur mon portable en continuant à sourire. Une fois cela fait, il me montre mon portable : sur l'écran, je vois une petite vidéo qu'il vient de tourner, où l'on voit ma femme en train de sucer la bite de Karim pendant que Vincent lui bourre la chatte ; Karim et Vincent regardent en direction du téléphone qui les filme, ils sourient et font des commentaires qu'on n'entend pas trop bien ; cela dure environ 30 secondes. Puis Fabrice me fais remarquer la liste de diffusion à laquelle il vient d'envoyer cette vidéo, avec un commentaire : dans la liste il y a son frère, et tous les mecs de notre groupe d'amis : Guillaume, Christophe, Damien etc ... Son commentaire dit « on baise Hélène à 3, Fab ferme sa gueule. à + ! Fabrice ». Je ne réponds rien, je baisse les yeux en me disant que la situation est encore pire que prévue. Karim est allé au-delà de ce que je pensais. Quelques minutes plus tard, deux réponses arrivent, l'une de Christophe et l'autre de Damien. Damien répond « je sais, c'est une pute », et Christophe répond « je l'ai baisée aussi, mais Fab le sait pas ».

Je me mets à pleurer doucement, et Fabrice me crie « oh ça va, fais pas le con, t'étais d'accord, t'adore qu'on baise ta femme !! Moi j'y retourne ! ». Il se lève et retourne dans la chambre, avec entre les cuisses de nouveau une énorme érection.