Sexe en plein air

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Proposée le 1/07/2009 par douce-langue

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Histoire hard avec consentement pas évident de premier abord et soumission, merci de ne pas lire si vous n'appréciez pas.

Je m'appelle Luisa, 20 ans. Je suis du sud.
Je vais vous raconter une soirée bien étrange qui m'est arrivée il y a environ un mois...

Je suis bisexuelle, je n'ai en réalité connu qu'un homme dans ma vie, j'avais 17 ans et ça n'a pas duré. Je préfère les filles, entre femmes c'est tellement plus sensuel, doux, passionné, érotique...
Je suis célibataire depuis un peu plus de 2 mois. Je suis de nature très gourmande niveau sexe, alors passer plus d'une semaine sans rapport, c'est très difficile pour moi!
Les hommes ne m'attirent pas vraiment, ils ne m'excitent pas, du moins en général...

Il y a 1 mois, j'ai fait une soirée plutôt arrosée chez des amis. Je n'ai pas le permis alors on est venu me chercher. Mais quand il a fallu repartir, et bien c'était à pied!!!
Le chemin étant long, j'ai opté pour le raccourci qui passe par le parc du château.
Mes amis passent leur temps à me dire de ne pas passer par là, que c'est dangereux, qu'il y a plein de pervers la nuit dans ce parc. Ils ont raison, je l'ai appris cette nuit là....

Donc j'étais relativement «pompette», joyeuse, et habillée assez légèrement : c'était le début de l'été.
Je marchais doucement, tout allait bien, l'entrée est éclairée mais ensuite il faut passer au milieu du parc, c'est sombre.
La nuit était plutôt chaude, et la chaleur, l'alcool et le manque de sexe font que je m'émoustille assez vite.
Je me suis rendue compte que les murmures, les soupirs des personnes cachées dans les ombres commençaient à réellement m'exciter, mes amis avaient raison, il y a du monde la nuit par ici.
Aussi j'ai commencé à hâter le pas, mais j'ai ressenti un petit malaise. Je me sentais suivie... Et effectivement un homme m'a rattrapée, et s'est saisi de mon bras.
« Alors jeune fille, on se promène seule la nuit, c'est pas très prudent. »
Je suis restée immobile, muette. C'était un homme d'une quarantaine d'année, peut-être plus. Pas de charme apparent, habillé en jogging et t-shirt, légèrement bedonnant, banal...
Il me tenait fermement le bras, presque à me faire mal.
J'ai su de suite ce qu'il voulait, et je me suis aperçue que je mouillais... La situation m'excitait, moi qui n'aime pas vraiment les hommes.

« Dis moi tu sais que tu es plutôt mignone, j'ai bien envie de voir ce qu'il y a sous cette jupe »
J'ai repris mes esprit et j'ai essayer de me dégager, mais il m'a maintenue et m'a amenée contre un arbre, d'où nous étions moins exposés.
Ma respiration s'est accélérée, c'était dû autant à ma peur qu'à mon excitation. Je sentais que mon shorty était vraiment mouillé à présent. Il s'est collé à moi, fort, et sa main est passée sur l'intérieur de mes cuisses en remontant, je les ai serrées autant que j'ai pu, mais avec un de ses genoux il m'a forcée à les écarter. Il a lâché mon bras pour défaire mon chemisier noir. Pareil j'ai essayé de résister :
« Non arrêtez! »
« Hummm j'aime bien les rapports de force, tu peux te débattre mais on sait bien tous les deux qu'une fille ne traverse pas le parc en tenue légère en pleine nuit sans vouloir attirer l'attention. Regarde coquine, tu mouilles comme pas possible, ta petite culotte est trempée. Ca te plait ce que je te fais. »
Et oui effectivement il avait raison, ça me plaisait... Je mouillais comme une folle.

Il s'est écarté un peu, et j'ai vu son sexe qui formait une bosse sous son jogging. Il m'a demandé de retirer mon shorty et mon soutien gorge, je pouvais garder sur moi ma jupe et mon chemisier ouvert. Il avait mis le feu en moi, j'ai fait exactement ce qu'il m'a dit. Il a mis mes sous vêtement dans sa poche, et s'est mis à me caresser les seins. Il pinçait mes tétons, puis ensuite les léchait, les mordillait... Il me faisait du bien, au point que je n'ai pas pu retenir des soupirs. Mon sexe dégoulinait de plaisir. Il voyait bien que j'aimais tout ça.
Puis il s'est reculé, a baissé son pantalon et son caleçon. Il m'attrapa par les cheveux et m'a dit « Tu me fait bander très dur. Met toi à genou, et soit une bonne cochonne, suce moi. »
Sa queue était assez grande mais surtout épaisse, son gland été bien proéminent. Trois ans que je n'avais pas vu de sexe d'homme. Il n'avait pas lâché mes cheveux. J'ai pris cette belle queue dans ma main et j'ai commencé à le lécher, d'abord du bout de la langue, doucement. Puis avec toute ma langue, j'ai léché chaque centimètre de ce membre très dur. Puis je l'ai pris en bouche, j'ai eu du mal parce qu'il était gros, mais son gland chaud et doux avait bon goût. Je me suis excitée toute seule, et j'ai été une bonne cochonne. Je l'ai sucer comme une petite salope que j'étais devenue....
Il gémissait, ses gémissement étaient ponctués de phrases du genre « Putain t'es bonne » « Tu suces trop bien » « Lèches moi les couilles ». Et plus il me disait ce genre de choses, plus j'étais excitée et plus je le sucer goulument.... Il m'a immobilisé la tête avec ses deux mains, et s'est mis à me baiser la bouche, comme si il me prenait ma chatte. J'ai manqué plusieurs fois de m'étouffer. Puis il s'est immobilisé, j'ai senti son sexe se contracter, et il m'a jouit dans la bouche. J'ai senti plusieurs longue giclées de son sperme sur ma langue, et au fond de ma gorge. Il m'a dit d'avaler, ce que j'ai fait en bonne petite cochonne.

Il s'est rhabillé, et m'a dit qu'il gardait mes sous vêtements en souvenir de cette petite séance de sexe en plein air. Il m'a demandé de me relever, de me retourner, de soulever ma jupe et là il m'a mis une bonne claque sur ma fesse droite, je n'ai pas pu retenir un cri de surprise et de douleur. Ma fesse s'est mise de suite à chauffer et ma chatte à mouiller...
Je me suis refagotée comme j'ai pu et avant de partir, il m'a demandé mon numéro de téléphone, j'aurai pu lui en donner un faux mais je n'en ai rien fais. Puis il m'a dit « Rentres chez toi et fais toi du bien petite salope, je t'appellerai. »

Il m'a envoyé un texto il y a une semaine qui disait « Mets la même tenue que la dernière fois mais sans sous-vêtement, je t'attends à minuit à l'entrée du parc. Dorénavant je t'appellerai salope et toi tu m'appelleras Monsieur, et tu me diras vous. »..............