Ute finit bien la journée

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 28/05/2009 par Nadie

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Episode précédant:

Ute cherche l'amour:

Ute et Erik arrivèrent chez la marraine de celui-ci. Une dame d'une cinquantaine d'années, habillée trop jeune pour son âge, d'une jupe de cuir trop courte et d'un chemisier noir, léger et transparent laissant voir une poitrine opulente débordant d'un soutien gorge noir à balconnet vint leur ouvrir. Elle eut un regard interrogateur à l'adresse de son filleul.
Erik lui dit : « je t'ai amené une surprise.»
« Elle m'a l'air bien jeune, cette surprise. » répondit-elle à Erik tout en regardant Ute avec un peu de mépris.
Erik rétorqua : « Ne t'y fie pas, elle a de bonnes dispositions. »
Elle s'écarta pour laisser passer Ute et Erik. Dès que la porte fut refermée. Erik et sa marraine s'enlacèrent fougueusement. Leurs langues se mêlèrent. Erik regardait Ute en embrassant sa marraine, de sa main il parcourait les fesses de la quinquagénaire, il lui souleva la jupe, Ute put constater qu'elle ne portait rien dessous.
Erik dit à Ute : « C'est comme çà que je veux que tu sois quand tu es avec moi, compris ? »
Ute hocha la tête.
Ils se dirigèrent vers une chambre, il y avait des miroirs partout, et un lit énorme.
Erik dit : « Vera, je veux vous regarder, je veux que tu t'occupes de Ute, elle est pleine de bonne volonté mais elle manque de pratique. »
Vera répondit : « Tout ce que tu voudras mon Ricky, mais tu t'occuperas de moi avant de t'occuper d'elle ! ».
« Bien sûr petite marraine, tu sais que c'est toi ma préférée. »
Vera entraîna Ute vers le lit et l'y allongeât, s'assit près d'elle et souleva le tee-shirt de l'adolescente. Celle-ci frissonnait un peu malgré la chaleur ambiante. En découvrant la poitrine de Ute, Erik eut un regard moquer et dit en s'adressant à Erik : « C'est quoi, ça, si petit si mignon ». Elle dégrafa avec dextérité le soutien gorge de Ute, puis lui enleva le tee-shirt. Puis elle se mit à parcourir de la langue la frêle poitrine de la jeune fille, les bouts des seins se dressèrent sous les caresses de la langue, la main de Vera s'aventura entre les jambes de Ute. Les miroirs sur lesquels se posait le regard de Ute lui renvoyaient l'image d'Erik nu dans un fauteuil bien en face du lit, ne perdant pas une miette du spectacle qu'elle et Vera lui offraient, ce grand sexe turgescent, ce gland violacé, accroissaient encore l'excitation de la jeune fille. La langue de Vera s'attarda sur le nombril de Ute, tandis que de ses mains elle pinçait ses mamelons procurant à Ute un plaisir mélangé de douleur qui la faisait gémir.
La langue de Vera s'immisçait maintenant entre les lèvres de Ute, cherchant le clitoris.
Ute qui jusque là était restée passive commença à caresser les cheveux de Vera.
Ce fut à se moment qu'Erik les rejoignit sur le lit, il glissa trois doigts dans la chatte de Vera, la lécha un peu puis la prit par derrière. Puis il ordonna à Ute de venir les lécher, lui et Vera.
Soumise Ute obeit, elle se mit à lécher la bite d'Erik et la chatte de Vera, profitant de la vue imprenable, et d'un point de vue bien différent de tout ce dont elle avait profité jusque là.
Vera hurlait de plaisir sous les coups de boutoir de son filleul, sans craindre de déranger les voisins puisque la maison était isolée. Ute était jalouse de « la vieille » qui se faisait bourrer sous ses yeux. Erik semblait être un amant hors du lot, cela avait l'air interminable et Vera semblait prête à mourir de plaisir, elle transpirait et était toute rouge. Erik ordonna à Ute de lui serrer les couilles, Ute commença à malaxer les testicules et trouva cela terriblement excitant. Vera finit par jouir et Erik qui s'était retenu jusque là se laissa aller aussi. Il dit à Ute de lécher tout ce qui coulait de leurs deux sexes encore imbriqués. Ute fit ce qu'on lui demandait, et si elle n'aurait pas pu dire qu'elle trouvait ce foutre mêlé de cyprine bon, elle ne pouvait pas dire non plus que cela lui déplaisait.

Ute finit bien sa journée:

Erik déposa Ute devant une station de métro. Toujours odieux il lui ordonna méchamment de descendre de la voiture. Elle était toujours vierge, Erik et Véra l'avaient humiliée et elle y avait prit un certain plaisir, comme elle avait pris plaisir à les observer baiser, de près et sans avoir à se cacher pour mater. Mais elle était frustrée qu'Erik ne lui ait pas fait l'amour. Elle se demanda combien de temps encore il jouerait ainsi avec sa patience.
C'était l'heure de pointe, le métro qu'elle devait prendre jusqu'à la gare était bondé. Ute était debout accrochée à une main courante. Les gens étaient serrés les uns contre les autres. A travers la toile fine de sa robe, contre ses fesses elle sentait une présence, d'abord elle s'en sentit incommodée, puis très vite elle sentit un léger mouvement de va et vient qui semblait s'accorder au roulis de la rame de métro. Elle sentit aussi que ce qui était ainsi à son petit cul était le sexe durci d'un homme. Elle pouvait voir son visage en reflet dans une vitre du wagon. L'homme la regardait fixement, sans honte et sans le moindre scrupule. La tête encore pleine de son après midi chez Vera, du sexe long et gros d'Erik, Ute sentit monter en elle une chaleur qui n'avait rien à voir avec l'agglutinement des passagers, elle sentit qu'elle mouillait à nouveau, elle se prêta au jeu avec l'étranger, soutenant son regard et l'accompagnant dans ses mouvements de va et vient, poussant sa croupe contre le bas ventre de cet homme physiquement quelconque et qui avait l'âge d'être son père. Il lui semblait que le visage de l'homme devenait de plus en plus rouge. Le métro arriva à la station ou Ute descendait. Elle quitta le wagon très excitée et sans un regard pour l'étranger, avec l'idée de remettre cela à la première occasion. Ute avançait vite dans sa découverte des choses du sexe.

Bien qu'elle fut incapable de mettre un nom sur les pratiques elle semblait avoir de bonnes dispositions pour le voyeurisme et le frotteurisme. Erik ne se doutait pas à quel point cette jeune fille qui l'avait contraint à faire son éducation sexuelle était une élève douée. Mais Ute pour sa part ignorait à quel point Erik s'était mis en tête de faire d'elle une vraie salope, une chienne en chaleur.

Ute n'attendit pas longtemps son train de banlieue qui devait la ramener vers sa petite ville de province. A la façon dont elle croyait voir les garçons et les hommes la regarder Ute pensa que ces pensées vicieuses devaient se lire sur son visage et cela accrut encore son excitation.
Dans le train à moitié vide elle choisit de s'asseoir juste en face d'un homme d'une cinquantaine d'années, alors que toutes les autres banquettes étaient vides. Elle le dévisagea, elle le sentit mal à l'aise, elle remonta un peu sa jupe, écarta un peu les jambes de manière à laisser entrevoir à l'homme sa petite culotte. Le visage de l'homme s'empourprait, elle se leva s'appuyant sur les cuisses de l'homme, elle lui fit signe de la suivre. L'homme hésita une seconde et se leva à son tour. Ute entra dans les toilettes du train et laissa la porte entrouverte.
L'homme la suivit après s'être assuré que personne ne le voyait. Il referma la porte et la vérrouilla. Ute lui dit : « Lèche moi ! ». Puis elle rabattit le couvercle de la toilette et monta dessus de manière à ce que l'homme puisse la besogner sans avoir à s'agenouiller sur le sol pas très net, elle ôta sa culotte et releva sa jupe. L'homme s'approcha et enfouit sa tête entre les jambes de Ute, qu'elle tenait bien écartées. Elle lui dit encore : « Branle-toi, je veux voir ta bite ! », l'homme ouvrit sa braguette et sortit un membre de moins gros calibre que celui d'Erik mais que Ute prit plaisir à voir aller et venir dans la paume de l'homme tandis que le bout de sa langue titillait son clitoris, de sa main libre il écartait les fesses de la jeune fille et caressait son petit trou de cul. Ute prit son plaisir alors que le train arrivait à sa gare de destination, elle sauta de la cuvette et même sans enfiler sa culotte sortit du wagon, laissant l'homme se finir tout seul.