trois filles, deux pucelages, et moi

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Proposée le 21/05/2009 par jean

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L'histoire qui suit est vraie, au détail prêt, mais réclame une introduction.
Pas mal de mecs ont un jour fantasmé sur l'idée de faire l'amour avec deux filles, mais en réalité, peut être est il préférable que dans bien des cas, que cela reste un phantasme ! D'abord, il faut accepter le fait que dans bien des cas, elles ne soient pas toutes les deux des canons : la vraie vie n'est pas comme dans un film X, ensuite il faut savoir remballer son ego si nécessaire. Je veut dire par là qu'au moment où vous vous retrouvez avec deux charmantes créatures au lit, votre ego se prend pour un géant. Or, viendra bien un moment ou votre érection faiblira (le plus tard possible, mais...), à ce moment, il est fort possible que ces dames continuent entre elles : Vous pourriez tout aussi bien aller fumer une cigarette sur la terrasse : Elles ne le remarqueront peut-être même pas ! Si, comme moi, la présence d'un deuxième homme vous rebute, une jolie solution s'offre à vous : une troisième fille... Mais il faut un sacré coups de bol pour avoir cette opportunité !

Bien avant le début de cette histoire, un ami m'avait offert un briquet zippo, rescapé du Vietnam =, il portait sur une face l'insigne d'une unité de para, sur l'autre, une phrase en Anglais qui disait : "Si tu as envie d faire l'amour, souris quand tu me rend le briquet." J'avais ce zippo depuis si longtemps en poche, que j'avais oublié cette phrase !
J'ai fait la connaissance de Stéphanie deux ans avant le début de cette histoire, au cour de l'une de ces soirées d'étudiant dont notre Université a le secret. Ivres, nous avions finis la nuit ensemble : et ce n'était pas bien glorieux ! Mes souvenirs de cette fin de nuit se résument à un brouillard ; nous avions fait l'amour sur un matelas nu dans un décor minable. Dans le peu de souvenirs que j'en ai, je la vois me chevauchant... Le reste est perdu dans une brume alcoolisée !

En ce mois de janvier, j'étais à l'armée (mes études était finies). Je rentrais chez moi chaque vendredi soir, passant chez ma grand-mère pour lui donner mon linge et passais ensuite dans un petit restaurant où se réunissait après match l'équipe de volley-ball de l'université dont j'avais fait partie au temps de mes études. Ce soir là, j'eus la surprise d'y voir Stéphanie qui y mangeait, seule ! Un peu gênée (autant que moi en vérité), elle me convia à sa table. Nous devisâmes de chose et d'autre, et la conversation évolua vers son mémoire de fin d'étude, avec lequel elle éprouvait quelques problèmes. Ayant fini le miens quelques mois auparavant, je lui proposais mon aide, qu'elle accepta. Nous convînmes donc d'un rendez-vous pour le dimanche après-midi.
Au jour dis, je sonnais chez elle, portant mon gros sac vert qui contenait mes treillis et un peu de documentation pour Stéphanie. Elle m'ouvrit, vêtue d'un jeans serrant et d'un petit haut qui laissait ses épaules nues et montrait qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, malgré une forte poitrine, sur laquelle mon regard s'attarda un instant. Suivant mes yeux, elle fit un petit sourire coquin ! Son appartement était assez grand, ce qui est inhabituel pour une étudiante mais elle m'expliqua qu'elle cohabitait avec deux autres filles, lesquelles habitaient en province, où elles rentraient les week-ends. Nous nous mimes au travail, durant une heure, fort proche l'un de l'autre : Je sentais son parfum, sa cuisse contre la mienne, et mon regard s'attardait sur ses seins régulièrement... et ce qui devait arriver arriva : nos bouches se joignirent ! Je lui caressais les seins avec frénésie, et ne compris pas comment elle se retrouva nue.
Il faut savoir que la vie militaire générait chez moi une forte frustration du fait de l'absence de femme, aussi j'étais sur que le moindre attouchement sur ma queue déclencherait illico un orgasme, aussi, par précaution et pour être sur de la satisfaire, je m'allongeais entre ses cuisse pour la lécher longuement. Une mains faisait le tour de sa jambe et, posée sur son ventre, tirait sur la peau pour mieux ouvrir son sexe rasé (chose peu courante à cette époque). J'introduis ma langue en elle et obtins rapidement l'effet escompté : Elle se mit à gémir. J'étais impressionné par la taille de son clitoris, particulièrement long et dur, à tel point que je pus le saisir entre le pouce et l'index pour le branler ainsi qu'une petite bite. Ses jambes se mirent à trembler fortement et elle jouit. Je m'allongeais ensuite sur elle pour la prendre dans un missionnaire classique et jouis en elle alors qu'elle avait un second orgasme.
Repus, nous nous couchâmes cote à cote, l'une de ses jambes en travers de la mienne. Elle me caressait doucement et me dis : "Il y a un coté d'où je suis encore vierge, veux-tu être le premier ?" Ayant peur de mal comprendre ou de passer pour un idiot, je répondis d'un grognement qu'elle prit pour un assentiment. Aussitôt, elle se mit à quatre patte et me présentât son cul, qu'elle avait large et rond ! J'y glissait ma langue, puis mes doigts, elle grognait de plaisir. Ma queue ayant retrouvé sa vigueur, je posais mon gland sur sa rondelle et poussais : Elle hurla quand il passa. Craignant de lui faire mal, je fis une pose mais elle hurla : "Continue bordel" Une seconde poussée : j'étais dedans ! Ayant déjà jouis quelques minutes avant, je me montrais cette foi plutôt endurant et passait sans difficultés d'un trou à l'autre, ce qui déclencha chez ma partenaire plusieurs orgasmes consécutifs : j'étais assez fier de moi !
Avant de la quitter, elle me demanda, un peu inquiète, si je comptais la revoir, et me fis un grand sourire heureux quand je répondis par l'affirmative. Nous convînmes donc de nous retrouver chez elle le vendredi suivant (à cette époque, il n'y avait ni téléphone portable ni internet, souvenez vous).
Encore un détail qui a son importance : à cette époque, le règlement obligeait les militaires à rentrer chez eux en uniforme.
Le vendredi suivant, ayant posé mon sac chez ma grand mère, je ne pris pas le temps de me mettre en civil et me ruait chez Stéphanie, sonnait ; elle m'ouvrit vêtue d'une robe blanche une pièce(malgré la froidure de ce mois de janvier), à travers laquelle je pouvais voir ses mamelons érigés. Elle se jeta dans mes bras, m'embrassant amoureusement. Je passais ma main sur ses fesses et constatais qu'elle ne portait pas de culotte la coquine. Reprenant son souffle, elle me dis que ses deux colocataires, étudiantes comme elle, étaient présentes. Frustration, je n'allais pas pouvoir me la manger tout de suite ! L'appartement se trouvait au dernier étage. Lorsqu'elle passa, sur un pallier, devant une fenêtre, le spectacle de son cul en transparence m'incendia. Je ne pus résister à l'envie de lui caresser les hanches. Regardant par-dessous son aisselle, elle me jeta un regard qui signifiait clairement : "Vas-y." Sa main droite était sur la rampe, elle se pencha, appuya la gauche au sol, sur une marche et écarta ses pied pour les caler de part et d'autre d'un marche. Je troussais sa robe, me penchais et entrepris de lui lécher la chatte, mon nez entre ses fesses. Cela dura deux minutes à peine, durant lesquelles j'en profitais pour ouvrir ma braguette et sortir mon membre qui n'en pouvait plus, puis, je la pris d'un seul coup, allant et venant en elle frénétiquement. Elle se mordait la lèvre pour ne pas hurler. Nous jouîmes de concert et nous rajustâmes rapidement. Je vois encore dans mes souvenirs, la tache de sperme au sol, dans cet escalier !
Ses copines nous attendaient à la table de la cuisine : il y avait Claudine, surnommée Claudy, une grande fille mince aux cheveux court et brun, et Florence "Flo", une grosse blonde aux yeux clairs.
Nous passâmes la soirée, ainsi que le font les étudiants du monde entier, à refaire le monde à l'aide de boissons diverse et de cigarettes, les miennes étant, à la mode militaire, dans ma poche de poitrine (j'avais évidement ôté ma vareuse et ma cravate). Vers minuit, j'étais le seul à en avoir encore et mis mon paquet sur la table, surmonté de mon briquet. Claudy se servit, lut la fameuse e petite phrase (dont j'avais oublié l'existence) et me rendit le briquet en faisant un petit sourire... Que je ne captais pas !
Devant mon incompréhension, elle repris le briquet et me le claqua dans la main, affichant cette foi un énorme sourire : Le message était clair ! Je ne sus comment réagir et jetais un coups d'œil rapide à Stéphanie, qui répondit par un imperceptible signe de tête d'acquiescement ! Mais comment amener les choses ? J'avais bien compris que Claudy et Flo formaient un couple de lesbiennes : Il fallait jouer subtil ! Claudy prit les choses en main : Elle amena la conversation sur la chirurgie esthétique, parlant des seins de Flo qui se les étaient fait refaire, complexée par leurs trop forte taille, et qui était, selon son amie, capable de jouir rien qu'en se faisant caresser les mamelons. Pour prouver ses dires, elle se leva, passa derrière Flo et ouvrit d'un coup sa chemise en jeans, révélant une poitrine encore forte. Elle souleva les seins de son amie pour montrer les cicatrices de l'intervention chirurgicale, puis commença à lui caresser tendrement les seins. De son coté, Stéphanie avait sorti ma bite sous la table et me masturbait doucement. Quelques instants plus tard, Flo produit un long gémissement rauque. Nous ne perdîmes pas de temps, et en moins de cinq minutes, Claudy et Stéphanie étaient allongées cote à cote tandis que Flo et moi étions sur le ventre, au coude à coude, en train de les lécher. Puis, je pris Stéphanie en missionnaire, et Claudy ensuite, dans la même position. Lorsqu'elles eurent joui toutes les deux, Flo me dit qu'elle aimerait essayer aussi mais qu'elle avait un peu peur, étant vierge ! Claudy s'assit, et je m'allongeais sur le dos, la tête sur son ventre, ses cuisses passant sur mes épaules et mes mains tenant ses chevilles. Stéphanie se mit à genou entre mes jambes et Flo me chevaucha, embrassant Claudy qui lui caresserait les seins. Ce fut Stéphanie qui plaça mon gland à l'entrée de la chatte de Flo et qui appuya fortement des deux mains sur les reins de Flo pour me faire entrer en elle. Un cri, un moment de stupeur, et Flo trouva le rythme, tandis que Stéphanie se masturbait et me caressait les couilles ; Claudy faisait de même : Je sentais sa main sur son clitoris, sur l'arrière de mon crane. Il y eu un moment exceptionnel quand nous éclatâmes dans un orgasme commun !
Nous sombrâmes dans le sommeil, à quatre sur ce matelas prévu pour deux, dans un entremêlement de bras, de seins et de fesses... Je me réveillais brièvement, torturé par la chaleur (il fait VRAIMENT chaud à quatre dans un lit), ayant le souci de boire un peu d'eau sans réveiller aucune de mes compagnes, puis replongeais dans le sommeil.
Je fut réveillé vers midi, par une douce sensation autour de mon membre : Flo apprenait sur moi l'art de la fellation sous la houlette de Stéphanie. Claudy faisait le petit déjeuner, revêtue en tout et pour tout de ma chemise d'uniforme.
A table, elles me dirent qu'elles étaient très contentes d'avoir trouvé un mec qui ferait l'élément mâle de leur ménage ! Ce qui dura six mois, jusqu'à la fin de leurs études, où elles retournèrent chacune dans leurs villes d'origine, et leurs familles respectives. Durant tout ce temps, nous passâmes des weekends torrides, mes amies se faisant jouir entre elles la semaine et étaient très attentives à moi les samedis et dimanches. Je perdis plusieurs kilos durant cette période !