une bonne douche pour bien commencer sa journée...

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Proposée le 19/05/2009 par loups

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Ce soir là, pour la première fois depuis un moment, je dormais chez mon homme. C'était à l'époque où j'étais jeune, et dormir chez son mec signifiait alors dormir chez ses parents. Il avait une grande maison, de trois étages, et sa chambre ainsi que sa salle de bain étaient au dernier étage. Ceci nous permettait une certaine intimité, si ce n'est son frère qui dormait dans la chambre voisine.
Nous avions fait l'amour avant de nous endormir, et il m'avait encore une fois étonnée par son habilité à me donner du plaisir. Malgré ma bonne volonté, je n'avais pu m'empêcher de gémir, et tans pis pour l'autre, tout seul dans sa chambre.
Le matin, je me réveillai avant mon amour. Je me collai un peu à lui mais, voyant qu'il était visiblement décidé à dormir encore une moment, fini par lui chuchoter à l'oreille :
« je vais prendre ma douche ! »
Il réagit par un léger grognement et, après l'avoir embrassé, je me glissai hors du lit.
Une fois dans la salle de bain , je me débarrassai de ma nuisette et me mit avec délice sous une douche brûlante et revigorante, qui me fit du bien après cette nuit plutôt torride. Derrière le bruit de l'eau, j'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir. Persuadée que mon homme avait finalement eu envie d'une petite douche coquine, je ne pris même pas la peine de jeter un cou d'œil et restai dos au rideau de douche, le visage tendu vers l'eau.
En effet je senti bientôt un corps masculin se coller à moi, des mains glisser sur mon ventre et une bouche embrasser mon épaule. Mais, je ne saurais dire à quoi, je senti que cette étreinte était différente. Peut être un léger tremblement dans les mains d'habitudes confiantes propriétaires, une façon d'embrasser...
Lorsque je me retournai je tombai nez à nez avec le frère de mon homme, qui s'empressa de retirer ses mains d'un air penaud, tachant tant bien que mal de cacher une érection naissante. Il s'excusa en bredouillant, mais alors que j'aurai du me sentir offusquée et gênée, je sentais mon corps qui hurlait de frustration devant le brusque arrêt de ses caresses.
C'est vrai que ce frère, plus âgé, m'avait toujours attirée. Il avait quelque chose de distingué, d'inaccessible, qui chatouillait mon désir de conquête. Et puis l'interdit a toujours quelque chose d'excitant, et dans le classement des interdits le frère est plutôt bien placé... néanmoins, je n'aurais jamais pensé l'attirer moi aussi, et encore moins prendre un tel plaisir à ses caresses.
Tandis que ses pensées tourbillonnaient dans ma tête, je restai interdite, et lui, toujours en s'excusant de façon de plus en plus faible, me regardait d'un air interrogatif.
Finalement, face à mon absence de réaction, il sembla décider que retenter sa chance était la bonne option, et il s'approcha lentement de moi. Un peu effrayée par ma propre envie, je reculai un peu, jusqu'à me trouver dos au mur de la douche, mais mon mouvement de recul était démenti par mes yeux brûlants qui ne lâchaient plus les siens.
Il avait comprit que mon corps l'appelait, et ne prenait à présent plus de précautions. Sa bouche s'accrocha à la mienne, dans un baiser passionné, ses mains couraient sans retenu sur mon corps, malaxant mes fesses, meurtrissant mes seins. Mon esprit était parti ailleurs, ne voulant pas être complice de cet acte adultère que mon corps n'avait su refuser. Très vite, il eu une trique admirable, et mon corps instinctivement se pressa au sien, mes reins en bougeant me faisait caresser sa queue avec mon ventre. Il grogna un peu, et me glissa dans l'oreille :
« j'ai bandé comme ça toute la nuit, à t'entendre gémir à coté ! »
Flattée, je sourie, et ma main enfin se saisit de son membre. Appréciant cette bite douce et tendue vers moi, je commençai à le masturber, tache rendue plus facile par l'eau qui nous coulait toujours dessus. Se dégageant de notre baiser, il me fit comprendre en quelque pressions qu'il avait envie que je le suce. Ravie de repousser encore un peu le moment de non retour, où il me pénétrerai et où j'aurais vraiment trompé mon amour, je me mis à genoux et caressai cette queue, de ma main puis de ma langue.
Je suçai son gland avec douceur, puis laissai glisser son membre dans ma bouche, le pressant légèrement de mes lèvres, jouant toujours avec ma langue. Je reculai un peu ma tête, et vis qu'il était adossé au mur, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés. Heureusement, l'eau couvrait ses gémissements. Je repris ma pipe, et sa main sur ma tête m'indiquait le rythme, me forçant un peu à l'accueillir jusqu'au fond de ma gorge. Cette pratique ne me dérangeai pas vraiment, mais la taille de son pénis la rendait assez inconfortable.
Je me relevai donc, et ses doigts impatients glissèrent le long de mes fesses pour venir caresser l'entrée de mon vagin, tandis que de l'autre main il jouait avec mon clitoris. Me refusant à gémir trop fort, je l'embrassait pour couvrir mes cris, afin que lui seul puisse sentir l'intensité du plaisir qu'il me donnait, mes dents s'enfonçant dans sa lèvres lorsque la sensation était trop forte.
« j'ai trop envie de toi...faut que je te prennes... »
ces mots m'électrisèrent, je le fixai droit dans les yeux d'un air provocant, portant encore sur mon visage les marques de l'excitation. Dans une sorte de compromis avec moi même, je lui tournai le dos, me penchai en avant en cambrant les reins et appuyai mes mains sur le mur. Pendant quelques instants, je ne sentis rien d'autre que l'eau sur mon dos, cette douche qui depuis un moment grondait pour cacher nos plaintes de plaisir. Dans cette position, je ne trompais pas mon chéri, puisque c'était l'autre qui me prenait, tandis que je restai presque passive. J'étais prête à tous les arrangements avec ma conscience pour sentir cette bite interdite en moi, sentir les reins si fins et nerveux de ce frère s'activer pour notre plaisir.
Ses mains caressèrent mes fesses, remontèrent sur mes reins tandis qu'il approchait sa queue de ma chatte trempée par le double effet de la douche et de mon désir. Il me pénétra doucement, c'était un supplice délicieux qu'il nous imposait à tout les deux, l'attente, le retenue alors que nous ne voulions rien d'autre qu'une copulation brutale et bestiale. Lorsqu'il m'eu pénétrée jusqu'à la garde, je ressenti ces habituels frissons de bien être, comme une sensation de complétude inimitable. Il se retira alors, à moitié, avant de renfoncer violemment son membre au fond de mon ventre. Je ne pu retenir un cri, et priant pour que la douche soit assez bruyante pour couvrir mon plaisir, je me fis tringler au meilleur sens du terme. Il était brutal et précis, différent de son frère. Pas meilleur, pas moins bon, il explorait des gammes de sensations auxquelles je n'étais pas habituée, son membre fin et long me transperçant à chaque coup de rein. Reposant ma tête sur mon bras replié, je profitai de ma main libérée pour ma caresser le clitoris pendant qu'il me défonçait bestialement.
Mes jambes tremblaient, j'étais à tout instant susceptible de tout lâcher, et cette tension rajoutait a mon plaisir. Sa main remplaça la mienne, ses coups ralentirent et il entreprit avec art de me faire jouir des deux caresses. Les yeux fermés, je profitais de ces derniers instants. Lorsqu'il se retira, je me retournai et l'embrassai, le laissant jouir sur mon ventre.
Il devint alors tendre, me savonna, me rinça, et je me laissais aller, faible dans ses bras, me demandant déjà ce que j'allais bien pouvoir faire de cette histoire bizarre. Il sourit, m'embrassa sur la joue.
« tu l'aimes mon frère hein ? »
Piteusement, je sourie, hochant la tête, encore incapable de parler.
« t'inquiètes pas, moi je lui dirai rien. Tu peux le faire si tu veux, mais ça nous fera du mal à tous les trois. »
« je ne dirai rien ; Il ne me pardonnera jamais ça ! »
« exactement. Maintenant, ça, c'était vraiment bon, mais on peut pas se permettre de le refaire. Jamais. »
« je sais »
« une dernière chose : quand il te fait l'amour à coté, retiens toi de gémir, sinon je pourrai jamais me retenir de te rejoindre quand il dort... »
Il sourit, moi aussi. Il m'enroba dans une serviette et me renvoya à ma place, dans le lit de mon homme. Un peu repentante mais surtout excitée par ce nouveau secret, je me collai à lui, le réveillant en douceur. Je l'enfourchai alors et lui fis l'amour, offrant pour la dernière fois mes gémissements à son frère, qui ne manqua pas de m'adresser un clin d'œil autour du petit déjeuner...