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Proposée le 5/05/2009 par jean

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J'AURAIS DU ETRE MAC..
Depuis plusieurs années, je passais une semaine, dans le cadre professionnel, dans cette grande ville du nord-est de la France. J'y gagnais des sommes folles mais je ne m'y amusais pas : en fait, c'était plutôt sinistre. Pour quelqu'un qui habite dans ma ville, ou les contact sont faciles (il est impossible de passer dans un bar ou l'on ne connaît personne sans y lier connaissances), cet endroit était un enfer : les gens y sont peu abordable. Le simple fait de demander l'heure à un passant y est presque vu comme une agression !
Les autres années, cela me convenais : je passais mes soirées seul, entre l'hôtel, les restaurants et le cinéma. Mais cette années là, ma copine venait de me quitter : je me sentais seul et pour tout dire en manque de sexe, voir même se simple tendresse. Je tentais de me renseigner auprès de mes collègues locaux pour connaître les opportunités locales : leurs réponses furent toute identiques : il faut de longs mois ici pour se faire accepter et tenter des approches !
Le quartier de la gare, où était mon hôtel était, un peu comme partout, le quartier « chaud » de la ville, mais cela se résumait à un sex-shop qui faisait aussi peep-show et à quelques prostituées africaine particulièrement défraichies. Pas de quoi passer de folles nuits !
Au bout de plusieurs soirées de maraude, je finis par trouver, dans une ruelle écartée, une boite louche, qui ne semblait par surcroit pas très prospère : une taulière aussi grosse que taiseuse, son mari et mac, assez âgé, qui semblait tout droit sorti d'un roman d'Auguste Le Breton et deux entraineuses qui s'ennuyaient ferme. L'une était tout sauf sympathique et ne décollait pas de son jeu de carte avec lequel elle faisait des réussites, l'autre, un peu dodue, semblait plus accorte. C'est à cette dernière que j'offris un verre, n'espérant pas grand-chose.
Au bout de quelques minutes, elle me proposa, comme il est de coutume dans ce genre d'endroit, de boire une bouteille de champagne (hum !) dans une pièce privée. Je n'avais rien à perdre, ayant les poches aussi pleines que les testicules, aussi j'acceptais ! Il m'en couterait, prévint elle, 350 euros et le règlement de la maison lui interdisait d'aller plus loin que la culotte (comprenez : elle ne pouvait pas l'ôter !). La pièce privée en question était en fait, séparée de la salle principale par un simple rideau, était minuscule et meublée en tout et pour tout, d'une table basse et d'une banquette.
Après quelques verre de ce champagne douteux, j'eu l'autorisation de lui caresser les seins, qu'elle avait plantureux, tandis qu'elle me caressait la hampe a travers mon pantalon de toile ; et je dus y mettre un certain talent car elle émit l'un ou l'autre soupir de bon aloi, et qu'elle troussa suffisamment sa jupe pour me permettre d'explorer un peu ce qu'il y avait dessous. A ce moment, la patronne entra sans préambule, histoire de nous rappeler les limites à ne pas franchir et demander si je voulais payer une seconde bouteille. Excité comme je l'étais, je sortis 350 autres euros et nous continuâmes nos jeux : je me retrouvais bientôt nu, elle gardant sa culotte. Ma bouche collée à l'un de ses mamelons, ma main descendit sur sa large culotte noire et entrepris de lui caresser la fente au travers du tissu. Elle me fit comprendre qu'elle appréciait le traitement en l'ôtant d'elle-même. Je l'allongeais sur la banquette, écartait ses jambe, et découvris une vraie chatte de jeune fille, à peine fendue. Je l'interrogeais du regard, et devant son assentiment, je passais doucement ma langue sur le sillon déjà humide, avant de la faire pénétrer plus avant et de faire de petits cercles sur son clitoris. Quand je la sentis frémir, je me redressais, elle m'enfila prestement un préservatif et j'entrais en elle, m'agrippant à ses larges hanches. »Tu n'es pas comme les autres toi » me dit elle après que j'aie joui : » tu m'as fait jouir très fort ! Mais il faut maintenant nous rhabiller vite ». Bien sur, je n'en croyais pas un mot, mais ce genre de compliment est toujours bon pour l'ego d'un homme !
Il était deux heures du matin, les lieux fermaient. Aussitôt dehors, je m'acheminais lentement vers mon hôtel quand, ayant envie de fumer, je fouillais mes poches à la recherche de mon paquet de cigarette et de mon fidèle zippo quand je trouvais dans une poche de cuisse, une enveloppe qui n'était pas censée y être. Elle contenait une petite carte, écrite au stylo d'une encre violette : juste une adresse et le prénom de la dame. 700 euros y étaient joints : le prix des deux bouteilles. J'étais sur le cul : le compliment était donc sincère !! Il me fallut un peu plus d'un quart d'heure pour trouver un taxi, et quinze autres minutes pour me rendre à l'adresse indiquée. Je sonnais à la porte, elle m'ouvrit et m'accueillit d'un vrai baiser. La table était mise pour un souper tardif : rosbif froid, salade de pommes de terre, vin rouge léger... Nous nous mimes au lit et fîmes l'amour très doucement, comme de jeunes amants avant de nous endormir... Au petit matin, je fut réveillé par l'odeur du café et une douce fellation qui se termina par une lente sodomie, elle tenait à me faire ce cadeau ! Je ne put partir que contre la promesse de passer chez elle la fin de mon séjour, ce que je fis. Mais en partant à la fin de la semaine, j'oubliais chez elle la fameuse enveloppe !
Dans le train du retour, je pensais en souriant aux paroles de Bernard Lavilliers : "on dis qu'il n'y a que les putes qui peuvent savoir aimer.....".