fantasme d'une jeunette

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 28/04/2009 par loups

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

C'était un de ces soirs où une fille a besoin de se sentir désirée, de se sentir belle. Après une semaine stressante, sans perspective de réconfort amoureux après mon dernier fiasco sentimental, je décidai ce soir de m'accorder quelques frissons, ne serai-ce que pour m'assurer que je le pouvais encore. Il était prévu, avec quelques amies, que nous sortions en boite. L'idée de me laisser aller, n'être plus qu'un corps dans la foule emportée par la musique, me convenait très bien.
Je m'était depuis peu initiée à la littérature érotique. Enhardie par mes récentes lectures, je décidai ce soir d'être un peu moins sage que la normale. J'abhorre le vulgaire, mais un peu de sexy ne fait jamais de mal... J'avais donc mis pour l'occasion un joli string en dentelle noire, discret et classe, et des bas noirs-transparents remontant jusqu'à mi cuisse. Afin de ne pas être trop salope, ma robe était tout de même assez longue, sans être prude, s'arrêtant un peu plus haut que mes genoux. Suggérer sans vraiment montrer, telle est ma définition du sexy. J'avais lâché mes cheveux blonds qui tombaient sur mes épaules dénudées par ma robe à bretelle légèrement décolletée. Je rehaussait mon 85B par un soutient gorge avantageux, et me perchais sur des talons à peu près confortables qui me conféraient une silhouette très acceptable.
Ainsi parée, je me sentais sure de moi, impression renforcée par les quelques tequila que je commandai au bar. Une fois sur la piste, désinhibée par l'alcool et un peu excitée par mes timides libertés vestimentaires, je m'abandonnai complètement, espérant dégager assez de magnétisme pour qu'un mâle tente sa chance. Comme souvent dans ce cas, je fermais les yeux, et les rouvris pour voir que mes amies, avec qui je dansais quelques instants auparavant, avaient disparu. J'avais du me déplacer sans m'en rendre compte, et la foule compacte de danseurs m'empêchait de les retrouver. Cependant, avant que j'ai le temps de m'inquiéter de cet état de fait, deux mains vinrent prendre mes hanches et m'attirèrent vers un corps étranger. Surprise, j'eu le temps de remarquer que ce corps était celui d'un homme, et d'un homme plutôt bien foutu. Je jetai un cou d'œil derrière moi et reconnu le jeune homme qui avait soutenu mon regard à l'entrée. Charmée par le délicieux sourire qu'il me fit, je me retournai, profitant au passage de la délicieuse sensation de ses mains autour de mon corps, et entamai une danse plutôt aguicheuse. Mes bras étaient passés autour de son cou, et je m'amusais à me rapprocher puis a m‘éloigner de lui, afin de lui offrir tour à tour une vue sur ma poitrine et la sensation de nos corps collés. Nous échangions des sourires complices, et soudain, il prit le contrôle de la situation, à ma plus grande satisfaction d'ailleurs. Ses mains, qui jusque là se contentaient de suivre les mouvement de mes hanches avec le légèreté, devinrent pesantes, guidant mon mouvement. Je me prêtais avec joie a ce petit jeux, qu'en tant que novice, je trouvai un peu provocant mais extrêmement agréable. Puis il m'enserra la taille, glissant ses mains derrières mon dos, juste au dessus de mes fesses. Nos bassins étaient a présent collés, et je posais mon front sur son épaule, me laissant totalement aller à cette étreinte qui déjà s'apparentait plus à des préliminaires qu'à de la danse. Prenant de plus en plus d'assurance, mon beau mec commençait à glisser ses mains vers mes fesses, mes rapprochant encore plus de son corps.
Comme je ne protestait pas, il s'enhardit et m'embrassa le cou, d'abord doucement puis plus franchement, allant même jusqu'à me mordiller. Qu'un inconnu pareil trouve si vite mon point faible me combla, et ma respiration, déjà bien saccadée, s'accéléra au point qu'il ne pouvait plus l'ignorer. Gardant sa main gauche sur mes fesse, il cadenassait toujours notre position collé-serré, tandis qu'avec sa main droite il commençait à descendre un peu plus, caressant doucement ma cuise. Nous ne bougions presque plus, oublieux de la musique. Le mouvements de foules (et peut-être aussi un peu lui) nous avait emmené dans un coin de la piste, et personne ne faisait attention a nous. Non pas que je m'en serais aperçu d'ailleurs, mais je préfère continuer de le croire aujourd'hui encore. Décidément de moins en moins timide, mon inconnu remontait sa main droite, en passant cette fois sous ma robe. Bien sûr, il ne tarda pas à atteindre ma peau, me déclenchant des frissons incontrôlables. Il releva alors sa tête, qui jusque là était restée enfouie dans mon cou, m'accorda un magnifique sourire et m'embrassa. Nous avions tout les deux le souffle court, et ses doigts légers qui caressaient à présent l'intérieur de ma cuisse, associés à ce baiser fougueux et délicieux, n'étaient pas pour arranger mon état . Je venais en plus de remarquer, contre mon ventre, une bosse que je sentais durcir et qui était très probablement son sexe, et bien que cette impression ne fut pas encore vérifiée, elle m'arracha un sourire de victoire.
Je décidai qu'il était tant que je m'active un peu à mon tour, et mes bras jusque là agrippés à ces épaules se desserrèrent. Il m'appuya contre le mur, et tandis que je caressait franchement ses fesses fermes sous le pantalon léger, souleva un peu ma jambe. Sa main gauche continuait de me maintenir tout en malaxant mes fesses, tandis que la droite, de plus en plus aventureuse, s'avançait de plus en plus vers mon string minuscule, manœuvre facilitée par ma jambe relevée. Bien que consciente d'être totalement vulgaire et offerte aux regards de quiconque regardera dans ce soin, je ne pouvait m'empêcher d'être incroyablement excitée, et n'avait aucune envie de ralentir le rythme. Ses doigts atteignirent mon string. Sentir que seul un malheureux bout de tissus le séparait de moi me rendait folle. Je l'embrassais encore, n'hésitant plus a mordre le lobe de son oreille et a donner de petit coups de langues dans son cou. Il jouait avec moi, se contentant de promener son doigt le long de mon string sans aller plus avant. Impatiente, je glissais alors une main vers la bosse qui tendait à présent de manière évidente son pantalon, et malgré ma position peu adaptée le frottait doucement. Coïncidence heureuse, ce mouvement me faisait frotter au passage mon clitoris, ce qui achevait bien sur rien de m'exciter. Il grimaça un peu, fermant à moitié les yeux, et je compris que cette intimité toujours plus poussée lui plaisait vraiment. Avec un sourire très aguicheur, il joua de ses doigts habiles pour contourner la barrière du sous-vêtement et introduisit un premier doigt. Je dut mordre sa lèvre pour m'empêcher de crier. Il était visiblement très fier de son petit effet, et entama un va et vient qui failli me couper les jambes. Je l'arrêtai un instant et le repoussait un peu. Il parut décontenancé.
Le voir ainsi, tout penaud, se tenant debout à quelques centimètres de moi sans savoir comment réagir me fit fondre. Il était décidément vraiment mignon. Je m'approchait de lui, mis mes bras autour de son cou, collai mon corps au sien, savourant la sensation de son excitation contre mon bas ventre. Je lui glissait alors à l'oreille :
« J'ai très très envie de toi, mais pas ici. ».
Il sourit, m'embrassa, et me prit par la main pour m'éloigner de la piste. Il me remorqua ainsi, ravie, jusqu'à la sortie, où le videur blasé nous mit à chacun un petit tampon sur la main.
Nous avons alors échangé un regard, puis éclaté de rire, il m'attira à lui et m'embrassa, tendrement cette fois. « T'es super jolie tu sais » je souris, un peu perdue par ce changement de comportement. Prenant soudain conscience d'un petit manquement à l'étiquette, je lui demandais son nom. Nous sommes alors parti dans un nouvel éclat de rire.
« Guillaume, et toi ? »
« Laura »
« Désolé, je n'ai pas vraiment l'habitude de se genre de choses. » Il était tellement mignon en disant cela que je me sentis soudain gênée.
« Moi non plus ! Tu dois te dire que je suis une espèce de salope ou je ne sais quoi... » Il me prit à nouveau dans ses bras, m'embrassa.
« Je ne suis vraiment pas attiré par les salopes. Et toi, tu me plais beaucoup. » Je m'enflammais à nouveau face à cette déclaration, et mis dans mon baiser une fougue à laquelle il répondit tout de suite.
« tu me plais aussi, et au risque de te choquer j'ai vraiment très envie de reprendre où on en était ! » Il me prit par la main et m'emmena vers une petite rue à l'écart, au fond de laquelle était garée une petite twingo trois porte. « Je n'ai rien de mieux à te proposer » s'excusa-t'il en ouvrant la portière. Je me glissais devant lui en me contorsionnant pour atteindre les sièges arrières, sentant avec plaisir sa main caresser mes fesses au passage. Il me suivit et referma la portière, nous laissant dans la pénombre. Un peu trouillarde malgré les apparences, je lui demandai de verrouiller les portes, ce qu'il fit avant de se retourner à nouveau vers moi.
Il se saisit d'une mèche de cheveux, la repoussa derrière mon oreille et m'embrassa. Ce début tendre ne m'empêcha pas de me sentir vraiment chaude, d'autant qu'il se fit bientôt beaucoup plus dominateur. Tout en m'embrassant sauvagement, alternant cou de langue et cou de dents, il glissa sa main sous mes fesses et m'allongea sur la banquette, se positionnant au dessus de moi. Dans cette position, il fit glisser sa large main de mon genoux a la limite de mon bas, doucement. Il continua jusqu'à atteindre mon string, qu'il commença a enlever. Je surélevai un peu mon bassin pour l'aider, et il se contorsionna un peu pour le faire glisser jusque l'enlever totalement. La petite voiture n'était pas très pratique pour ce genre d'activité, mais nous permettait de détendre l'atmosphère, mélangeant rires étouffés et souffles échauffés.
Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait de moi. Il me saisit soudain par la taille et me remonta, jusqu'à ce que je sois assise sur la banquette, adossée à la portière. C'est seulement lorsque ses baisers s'aventurèrent dans mon décolleté, puis qu'il se glissa jusqu'entre mes cuisses que je saisi son objectif. J'en oubliais de respirer tant j'en éprouvais de plaisir anticipé, et lorsque ses mains soulevèrent un peu mes fesses et que sa bouche se posa à l'intérieur de ma cuisse, à quelque centimètres à peine de mon sexe bouillant, je ne pus retenir un léger cri. Il embrassa mon autre cuisse, si près que sa joue frôlait mon clitoris, alors que moi je frôlais l'hystérie. Enfin, je sentis sa langue me fouiller, d'abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus dure, de plus en plus profond. Totalement renversée par cette petite langue humide et fraîche qui me donnait tant de plaisir, je perdais tout contrôle, gémissant toujours plus fort, m'accrochant à sa nuque et au dossier de la banquette. Il s'arrêta finalement, je ne saurai dire combien de temps après puisque j'avais perdu toute notion de durée sous cette caresse experte. Il parut ravit de voir mon expression ravagée, m'embrassa le cou et les lèvres. Epuisée, je m'accrochais a lui. Presque animées d'attentions propres, mes mains s'aventurèrent vers sa braguette, et rapidement se frayèrent un chemin vers son sexe tendu. Impatient, il se débarrassa de son pantalon, je l'aidais à retirer son t-shirt pendant qu'il m'arrachait presque la robe. Nous étions tout les deux essoufflés, lui en caleçon, moi ayant encore mon soutien gorge et mes bas.
Je ne sais comment j'ai réussi dans cet espace étroit, mais je parvint à m'agenouiller à terre, lui indiquant par geste de se coucher sur la banquette. J'entrepris de lui enlever son caleçon, il m'aida et se retrouva bientôt totalement nu. Je pris alors son sexe dans ma main, le caressant doucement. Je ne pouvait cacher mon admiration face à ce membre assez impressionnant, et lui lançais un regard sans équivoque pour lui montrer mon plaisir. Je me penchais vers ce pénis tendu de désir pour moi, en commençais a le lécher, profitant des quelques gouttes de ce liquide salé qui suintaient de son gland. Contente d'avoir pratiquer cette exercice sur plusieurs partenaires avant, et plutôt sure de moi puisque aucun d'eux ne s'en était plaint, au contraire, je m'appliquait à le sucer, en alternant cou de langue, aspirations et massage de mes lèvres. Ses doigts se crispaient dans mon dos et je l'entendait respirer de plus en plus vite, émettant même un râle de temps en temps. Il me demanda soudain de m'arrêter. Sa voix était sourde, et je compris qu'il tentai de se contrôler. Je relevais donc la tête. Il resta ainsi quelques instants, immobile, cherchant à calmer sa respiration. Puis il se redressa, s'assit totalement et me prit sur ses genoux.
« T'es plutôt douée, toi ! » il m'embrassa et d'une main défit les attaches de mon soutient-gorge. Il me malaxa alors les seins, et je me positionnais à cheval sur ces genoux pour mieux profiter de ses caresse. Sa bouche jouait avec mes tétons presque douloureux de désir, me mordillait ou me chatouillait avec sa langue. M'entendre gémir l'excitait de plus en plus, et il glissa le long de son siège. Je compris que nous allions enfin arriver à ce que nous désirions depuis le début, et me plaçais bien au dessus de son sexe érigé. J'avais un peu peur de ne pas pouvoir m'enfiler son énorme sexe, mais ses mains qui caressaient encore mon cul et s'approchait de temps en temps de mes orifices continuaient de m'exciter comme jamais, et je glissais à la perfection le long de son membre. La première pénétration me fit frissonner de partout, d'autant que ses main et sa bouche continuaient leur travail. J'entamais un mouvement de va et viens qui gagnait en vitesse, au fur à mesure que mon plaisir venait. Je pouvais voir sur son visage, pourtant peu éclairé, une grimace de plaisir qui flattai mon amour propre.
Soudain, ses doigts qui me malaxaient les fesses depuis tout à l'heure, se firent plus précis, et je ne pus retenir un vrai cri de joie animale lorsque l'un d'eux me pénétra par derrière. Cette sensation, moins subtile mais plus forte, ajoutée à notre mouvement de va et Vien, me dévasta, et je lâchai totalement les vannes lorsque je le senti se décharger en moi.
Il retira son doigt, m'arrachant une nouvelle plainte de plaisir, et me serra dans ses bras. Nous étions toujours l'un dans l'autre, l'atmosphère de la petite twingo était surchauffée et nous en sueur. Je me détachai de lui et nous nous sommes allongés quelques instants, serrés l'un contre l'autre sur la banquette.
Malgré mon corps endolori, cette proximité commençait a m'exciter de nouveau. Lui recommença à promener ses mains sur mon corps, suivant la courbe de mes reins, mon ventres, mes seins. Il évitait encore mon sexe, sachant sans doute que la taille de son membre laisse quelque séquelles, mais ma respiration a nouveau saccadée et la pointe de mes seins dressée suffisait pour l'informer de mon état. Je collai mon dos a lui, et cambrai mes reins pour frotter mes fesses a son sexe qui s'agitait de nouveau . Il me mordilla l'épaule, m'arrachant un léger grognement.
« j'avais déjà remarquer que t'aimait ça tout à l'heure... » je souris, et me tournais vers lui en me tortillant pour ne pas tomber de l'étroite banquette. Un de ses bras me retenait contre lui, et l'autre guidait sa main qui continuait de me caresser. Lorsqu'il vient à mes fesses, je retint ma respiration.
« ça aussi tu aimes hein ? » ces remarques, pourtant grivoises, étaient empruntes de tendresse. Il n'y avait pas de « ma salope » caché derrière ces mots, plus un « ma chérie ». Et ce respect m'excitait encore plus.
« J'aime pas mal de choses en réalité... » Cette petite réplique sembla lui plaire, il colla mon corps au sien au maximum et, en m'embrassant, promena ses doigts le long de ma raie, glissant sur le trou sans réellement s'y arrêter .Il continua ce manège un moment, jusqu'à ce que je craques .
« tu veux me rendre folle ou quoi ? » marmonnais-je d'une voie rauque, entre deux coupures de respiration.
« c'était un peu l'idée... » sur ces mots, il m'enfonça son doigt, d'un cou sec et précis, dans lanus. Grâce à notre petite séance précédente, ce ne fut que légèrement douloureux, et lorsqu'il imprima un mouvement de vague à son doigt toujours planté en moi, cela devint franchement agréable. Et même carrément excitant. Je mordis sa lèvre et, dans un accès de chaleur incontrôlée, lui intimait :
« prend moi ! » Son regard étincela, il retira doucement son doigt, me faisant gémir encore un peu plus, et me retourna brusquement. Cette nouvelle assurance me surprit un peu, mais me ravit. Il me plaça a quatre pattes sur la banquette, et mit derrière moi. J'avais posé ma tête sur mes bras et me tendais vers lui au maximum. Je ne le voyais pas mais j'imagine qu'il devait courber la tête pour éviter le plafond trot bas de sa mini voiture. Je senti ses mains saisir fermement mes hanches. Il était maître de la situation et cela me convenait parfaitement. Il promena un peu son gland sur mon anus mais, conscient de sa taille, n'essaya pas de me prendre d'un cou. Il joua d'abord avec ses doigts, un , puis deux, testant l'élasticité de ma peau et m'arrachant de nouveau cris , de douleur et de jouissance mêlés. Alors seulement il me pénétra vraiment, enfonçant lentement son membre en moi. La première pénétration fut franchement douloureuse, mais aussitôt, il entama des petits mouvements de va et vient qui me comblèrent. Il se fit de plus en plus violent, et je sentis alors qu'il me pénétrait totalement ses boules qui frottaient ma fente. Je ne me tenait plus, gémissant et me tortillant. Lui aussi semblai apprécier, il grognait et marmonnait des phrases incompréhensibles. Il jouit à nouveau en moi et se retira. Nous étions épuisés tout les deux, et nous nous effondrâmes l'un sur l'autre en riant de notre bonheur partagé.
Allongés dans ses bras, je me souriais a moi même , profitant de son souffle apaisé dans mes cheveux.
« Au fait, tu es majeure ? »
« Dans 6 mois... » je sentais son léger rire dans on dos.
« tu as quel age toi ? »
« 19 ans »
« et eu...
-je me sentis rougir un peu
- tu as une copine ? » il rit encore
« non ne t'inquiètes pas. Et toi ? »
« célibataire aussi. ».
J'attendais, j'espérais qu'il me proposerait de se revoir, faire connaissance ou s'accorder une autre séance de sexe simple. Mais il restait silencieux, et la réalité finit par me rattraper.
« Ecoute, mes copines sont restées à l'intérieur, je dois les retrouver avant de partir. Je ne sais pas trop si ça se fait de te dire merci, ou je ne sais pas... » il coupa mon monologue embarrassé.
« tu aimerais qu'on se revoit ? » la voix était tendue, le débit rapide. Visiblement, il appréhendait ma réponse et avait attendu le dernier moment pour se lancer .
« ça me plairait beaucoup. Dans un contexte plus... normal ! »
Son sourire éclatant m'éblouit une fois encore, réveillant mon cœur et mon ventre. En riant, nous avons récupéré nos affaires et nous sommes rhabillés. Un exploit dans cette espace très réduit ! Il sortit le premier, me tint la porte et poussa même la galanterie jusqu'à m'aider à sortir en me tenant la main. Il me rajusta un peu, me recoiffant avec ses doigts tout en m'embrassant le visage.
Le vigile, en nous voyant arriver, s'accorda un petit sourire supérieur et nous laissa entrer, toujours main dans la main. Guillaume me donna son numéro, prit le mien et promit de m'appeler dés le lendemain. Puis il repartit, déclarant avoir besoin du repos du guerrier. Il m'embrassa en plein sourire et s'éclipsa. Je me glissai à nouveau dans le flot humain, encore fébrile et hypersensible, et partit à la recherche de mes amies. Je ne leur raconterais pas tout. Elles ne comprendraient pas...