feu d'artifice

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Proposée le 26/04/2009 par jean

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Le feu d'artifice
Cet été là, j'avais 23 ans et j'étais moniteur de voile. Selon l'habitude, ce genre de job est un vrai piège à filles, mais ce n'était pas vrai dans ce cas là : l'école pour le compte de laquelle je travaillais avait comme client des associations de jeunes à problème, qui venaient en groupe accompagnés de leurs éducateurs. Le contrat prévoyait de façons explicites qu'il n'était pas question d'avoir une relation avec des clients, sous peine de renvoi. Au cours de la semaine qui venait de se terminer, j'avais eu un flirt assez poussé avec une éducatrice d'un groupe, mais la présence dans la même chambre que nous d'une autre monitrice de voile m'avait empêché de conclure : c'était une fille plus âgée que moi qui digérait mal le fait que je sois responsable du stage : elle estimait que cette place (et le salaire qui allais avec) lui revenait de droit plutôt qu'au gamin que j'étais. Mais mon CV maritime en avait décidé autrement ! Quoiqu'il en soi, j'ai du passer pour un fameux nigaud auprès de ma - presque - conquête !
Le stage était fini, et je restais seul dans ce petit port de plaisance, dans l'attente du groupe suivant. J'avais deux jours à patienter, le temps de faire une lessive, de dormir et de lire !
Le premier soir, après avoir (mal) mangé dans une gargote , j'allais me promener sur le port quand je vis un attroupement sur la jetée : de l'autre coté du bras de mer, on tirait un feu d'artifice. Je me joignais à la foule et me trouvais placé derrière une dame qui devait avoir trente ans. Grande, avec de longs cheveux roux, elle était vêtue d'une robe en jeans sans manche et fendue assez haut, mais je n'y prêtait pas beaucoup d'attention : la trentaine était passé pour elle et du bas de mes 23 ans, ce genre de femme me paraissait trop âgée pour moi (quelle erreur !). A un moment, un groupe de jeunes passa devant elle, les bras chargés de verres de bière, et la bousculèrent, de sorte qu'elle tomba sur moi. Dans un geste - réflexe, je la rattrapais et mes mains se posèrent sur ses seins : je constatais à cette occasion qu'elle ne portait pas de soutiens - gorge. Troublé, je l'aidais a se remettre debout en m'excusant, mais elle répondis que ce n'était pas grave, qu'elle trouvais cela agréable. Me tournant le dos, pour regarder le feu d'artifice, elle me prit la main gauche et la passa sous sa robe par un bouton pression défait sur son ventre, et l'appuya sur son pubis, à travers le tissus fin de sa culotte. Je commençais par frotter doucement mon médius le long de sa fente, pour finir par tourner avec le gras de mon doigt à l'emplacement de son clitoris. Consentante et complice, elle écarta les jambes pour me laisser de l'espace. J'écartais alors les légers tissus de sa culotte et passais deux doigts sur ses grandes lèvres, un troisième doigt venant se placer le long de la divine couture humide. Puis ce doigt força doucement l'entrée, et fis des allers-retours entre l'intérieur doux et trempé et son clitoris qu'il venait agacer... Je la sentis se crisper, trembler de tout son corps : elle jouit juste au moment ou, dans le ciel, éclatait le bouquet final du feu d'artifice. Elle me regarda un bref instant, murmura : "merci", et partit.
Je passais une grande partie de la soirée et de la journée du lendemain à essayer de l'apercevoir quelque part, dans quelque endroit discret où elle aurait pu me rendre la pareille : peine perdue, je ne la revis jamais !