premiers émois parisiens

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Proposée le 3/04/2009 par ionien

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C'était il y a bien longtemps, j'avais 17 ou 18 ans, un de mes copain m'avait dit :

- vas voir à la Coupole, il y a des vieilles qui cherchent...

Le samedi suivant, en fin d'après midi, j'étais dans les lieux, le coeur battant la chamade.

La lumière était tamisée et l'atmosphère un peu glauque. Une majorité d'hommes pas tous jeunes se tenaient près du bar. Assises à des tables, quelques femmes solitaires, le regard hautain déclinaient, la plupart du temps, les invitations à danser. Parfois, l'une d'elle se levait et suivait un inconnu sur la piste.

Fasciné par ce spectacle, j'enviais l'heureux élu sans oser tenter ma chance.

Dans mon costume prince de Galle, je me sentais gauche, fasciné par ces femmes d'un autre age qui étaient les vraies maîtresses du jeu.

J'en étais là lorsqu'elle s'est approchée de moi, brune, pas très grande, 40, 50 ans, je ne saurais dire.
Ni jolie ni laide, légèrement potelée, elle me regardait dans les yeux.
D'une voix autoritaire, elle me dit :

- Viens danser avec moi.

Comme un automate, je la suivais sur la piste et me retrouvais enlacé contre elle.
Elle dégageait un parfum lourd, légèrement ambré.
Je sentais ses formes contre moi, j'étais troublé par la plénitude de son corps.
Sa hanche frottait contre mon entre cuisse et, un peu désemparé, je sentais ma queue prendre du volume.
Dans la pénombre, sa main descendit constater l'état de mon excitation.

- Mais, tu bandes petit salaud, tu as quel age ?

Je mentais, rajoutant quelques années à mes 17 ans pour atteindre une majorité rassurante.

- Je ne te crois pas mais ce n'est pas grave, tu es monté comme un homme. Suis moi, nous allons chez moi, je sens que je vais me régaler...

Je me retrouvais dans la rue, à coté de cette inconnue sans même connaître son prénom.
Il ne s'était pas passé plus de 10 minutes depuis qu'elle m'avait abordé près du bar.

Elle héla un taxi et lui indiqua une adresse.

L'air absent, regardant le paysage de la rue défiler, sa main discrètement ouvrit ma braguette et se glissa sous mon slip.
Les yeux fixés sur la nuque du chauffeur qui à priori avait du en voir d'autres, je sentais sa main enserrer ma bite, décalotter mon gland et, du bout des doigts, imprimer une douce caresse qui ne tarda pas à produire son effet.
Me mordant les lèvres pour ne pas crier, j'explosais une première fois dans sa main.
Négligemment, comme si rien ne s'était rien passé, sans même me regarder, elle essuya sa main sur mon slip et porta ses doigts à sa bouche pour goûter mon sperme.
Soumis et honteux, je remontais ma braguette car nous arrivions devant son immeuble.

Je n'avais pas dit un mot, si, juste « 21 ans » lorsqu'elle m'avait demandé mon age.

Dans l'ascenseur, elle caressa ma poitrine et dit :

- Tu me plais bien, maintenant tu vas être très gentil avec moi.
La règle du jeu est simple, si tu fais ce que je te demande, si tu es ma petite pute, je te donnerai une récompense sinon tu peux partir. Tu es d'accord ?

Sans attendre mon assentiment, elle m'embrassa rapidement sur les lèvres et ouvrit la porte donnant sur le palier. Ce contact, bien que très furtif lié à la verdeur de ses propos, venant de la part d'une femme de son age m'électrisa et je me remis à bander.

C'était un immeuble assez récent, de bon standing et pendant qu'elle s'affairait à sortir les clefs de son sac, je pu enfin la regarder. De fait, je ne vis pas grand-chose car elle portait un manteau de fourrure qui ne me permettait pas de la détailler mais il émanait de sa personne une autorité naturelle qui me fascinait.

La tête me tournait un peu alors que je rentrais dans son appartement me demandant ce que ses paroles sous entendaient.

Excité et tendu par l'incertitude de ce qui allait se passer, je décidais de n'opposer aucune résistance à cette femme et de jouir au maximum de la situation dans laquelle je me trouvais.
Avec elle tout semblait permis, elle serait ma maîtresse et je serai son jouet.
J'en avais rêvé, je m'étais masturbé en y pensant les jours précédent et j'étais prêt à tout pour être à la hauteur.

Je la suivais dans la salle de séjour ou elle me planta après avoir mis un disque de jazz au prétexte qu'elle allait se mettre à l'aise.
La pièce était meublée de manière confortable, fauteuils et canapé club en cuir, grande bibliothèque et quelques tableaux contemporains dénotaient une certaine aisance.

Un bruit de douche me parvint. Donnant sur un couloir, je vis une porte ouverte, probablement celle de la salle de bain. Je m'approchais discrètement, le cœur battant pour tenter de la surprendre dans son intimité.

Je l'aperçu derrière le rideau opaque de la douche, nue, elle me tournait le dos. Je la devinais plus que je ne la voyais. Ses fesses et ses cuisses soulignaient sa féminité.

Elle était là, nue, à portée de main, en train de se préparer pour moi.

Je n'en pouvais plus, j'avais l'impression que j'allais jouir, comme ça, rien qu'en la regardant. Craignant de me faire surprendre et de compromettre la suite, je retournais dans le séjour sans faire de bruit pour ne pas éveiller ses soupçons.

Mon pantalon me serrait et n'arrangeait pas mon état. Je passais ma main pour remonter ma bite et lui laisser un peu plus d'espace tellement elle était grosse. J'imaginais ses seins, son ventre, sa chatte...

J'étais en plein délire érotique quand elle revint vêtue d'une sorte de kimono en satin qui laissait soupçonner ses formes. Elle avait défait son chignon et ses cheveux flottaient sur ses épaules.

Elle passa devant moi, sans me toucher et alla s'asseoir dans un fauteuil. Les jambes croisées, cuisses à moitié découvertes, elle me regardait, souriante, sans aucune gène.

- Va nous servir à boire, là, dans la malle, tu trouveras ce qu'il faut. Pour moi, ce sera un whisky, un Vat 69.

Je servais deux verres et lui portais le sien. Alors qu'elle se penchait légèrement pour le prendre, j'aperçu le haut de sa poitrine, deux gros nibarts à la peau légèrement veinée

- Petit voyeur, ça t'a plu ? Regarde.

Sans plus attendre, tout en me fixant avec un sourire équivoque, elle passa sa main par l'échancrure de son vêtement pour libérer deux seins, lourds, légèrement tombants mais somptueux, aux larges auréoles brunes ornées de grosses tétines qui me narguaient. Elle les caressa doucement pour me les faire admirer. Elle faisait rouler les bouts entre ses doigts et semblait y prendre un réel plaisir.

Elle avait légèrement ouvert les cuisses et je distinguais l'ombre de sa toison.

Rouge de confusion, je restai là, planté, debout devant elle, ne sachant pas quoi dire ni faire. Pour me donner de la contenance, j'avalais une rasade de whisky.

- A toi maintenant, ouvre ta braguette et montre la moi. Allons, ne sois pas timide, approche que je te vois un peu.

Je m'activais à la satisfaire mais, malgré mon excitation, l'émotion avait fait son œuvre. A mon grand désarroi, c'est un sexe à moitié bandant que je lui présentais.

- Qu'il est mignon, viens, je vais m'occuper de lui.

Doucement, sa main se referma autour de ma queue.

Sous la caresse, celle-ci repris de la vigueur. Elle m'astiquait savamment la tige
Je fermais les yeux, j'étais dans un état second.

Maintes fois, je m'étais fais des films de cette soirée, j'avais envie que cette relations soit tout sauf ordinaire.

J'aurais voulu la caresser aussi mais j'en étais incapable, je ne pouvais que subir...tout mon corps vibrait sous ses caresses, j'étais en sueur, un pantin désarticulé en proie au plaisir. Ses doigts me caressaient exactement là où j'en avais envie.

Je regardais ses seins, à la fois lourds et fermes d'apparence, j'avais envie de tester leur souplesse, de les caresser, les pétrir doucement, de sucer ces mamelons tendus.
Mon désir augmentait, je sentais mon sexe grossir encore.

Sa bouche s'approcha de ma queue, l'engloutit délicatement. Je sentais la douceur de ses lèvres sur mon gland, sa langue autour ma queue, elle m'aspirait savamment, lentement, pour faire venir mon plaisir de loin. Elle passait alternativement sa langue sur tout mon sexe sans oublier de s'attarder sur mes couilles, m'absorbant par moments jusqu'au fond de sa gorge.

De ses cuisses, elle m'emprisonnait une jambe contre laquelle elle se frottait. Je sentais les ondulations de son bassin alors que sa bouche chaude et moelleuse me pompait la bite.

Elle me regardait fixement comme pour jauger le plaisir que je sentais monter du plus profond de moi.

Elle continuait de se frotter conte moi de manière de plus en plus convulsive, je sentais ses lèvres toutes mouillées sur ma jambe, sa respiration s'accéléra jusqu'au jaillissement de sa propre jouissance

Pris de vertige, serrant sa tête contre mon ventre, dans un râle, à grands jets, j'éclatais dans sa bouche.

Elle m'attira alors vers elle, et m'embrassa. Pour la première fois, je goûtais mon sperme dans sa bouche. Surpris puis excité par ce geste, je m'abandonnais à son désir et me laissais aller contre elle.

C'était bon, c'était chaud, c'était pulpeux. Je la caressais doucement, elle avait une peau soyeuse et des formes voluptueuses que je sentais au travers de ma chemise.

J'avais envie de lui rendre ce qu'elle m'avait donné.

Elle me pris par la main et me conduisit dans la salle de bain ou elle me déshabilla entièrement. Elle me détaillait d'un regard gourmand tout en effleurant légèrement les différentes parties de mon corps.

Je me laissais faire sans pudeur y prenant même un certain plaisir. J'exhibais fièrement ma virilité, et, de nouveau, j'avais l'impression d'être son jouet, sa chose.

- Tu me plais, on n'est pas prêts de dormir.

Après avoir réglé la température de l'eau, elle me poussa sous la douche, enleva son kimono et vint me rejoindre.

Je la serrais contre moi pour pouvoir jouir de ce corps qui se livrait sans retenue à mes caresses. Nos lèvres s'unirent dans un baiser fougueux pendant que mes mains partaient à la découverte de ses formes.

Elle avait un bassin un peu large sur des fesses rebondies que je malaxais avec avidité. Enfin, j'empaumais ses seins, deux masses lourdes mais assez fermes, deux gros nichons de femme épanouie aux tétines fièrement érigées comme je n'en avais jamais peloté de ma vie. Sensation détonante, enivrante que de les sentir aussi vivants, frémissants sous mes mains, je jouais avec ne me lassant pas de cette sensation exquise. J'en pinçais les bouts ce qui eu pour effet de la faire frémir. Elle me demanda de la téter et dirigea ma main vers son sexe.

Tout en lui léchant, suçant et mordillant les tétons, mes doigts descendirent le long de son ventre.

Passé le buisson de son mont de Vénus, je découvris sa chatte. Deux coussinets de chair, gorgés de désir s'évasant légèrement sur les pétales des petites lèvres bordaient un vallon humide que je m'empressais d'explorer.

D'un doigt, je pénétrais son intimité. Sous ma caresse, je sentais les frémissements et les contractions de sa chatte trempée de plaisir. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier pour mimer une pénétration.

Les yeux à moitié révulsés, la bouche ouverte, laissant échapper des jappements entrecoupés de mots sans suite, elle semblait prendre un plaisir animal à ce simulacre de copulation.

De son coté, elle avait empoigné ma bite qu'elle branlait frénétiquement tout en me caressant les couilles. Je bandais comme un âne.

Elle resserra soudain violemment les jambes emprisonnant ma main dans un étau délicieux, son corps tendu et vibrant tandis que je ressentais dans mes deux doigts, prisonniers de son intimité, les secousses convulsives de sa jouissance...

- Vas y, baise moi à fond ordonna-t-elle en se baissant à moitié et en se retournant pour m'offrir le spectacle de son cul somptueux et de sa chatte offerte toute luisante de mouille.

Galvanisé par cette vision, j'empoignais ma queue pour l'approcher de ses lèvres charnues, toutes roses, que je caressais avec mon gland. A ce contact, d'un coup de rein, elle s'empala sur mon pieu et, lui empoignant les reins, je commençais à la pistonner.

Son fourreau, chaud et palpitant, enveloppa ma queue d'une voluptueuse étreinte. Elle en voulait la salope et j'allais lui en donner.

La vision de sa croupe de femelle offerte m'affolait, je me penchais un peu pour attraper ses grosses miches qui ballottaient au rythme de mes coups de bite. J'étais comme un fou en l'entendant miauler son plaisir.

L'humidité brûlante de sa chatte détrempée venait huiler de son nectar mes bourses gonflées, et ses lèvres charnues enrobaient la base de ma queue de leur étreinte chaude et mouillée...

Je sentis son fourreau soudain se contracter autour de ma verge en une étreinte fabuleusement dense, j'eu l'impression qu'une main gantée d'un velours moite et torride pressait ma queue comme pour en faire jaillir d'un coup toute la sève.

Je criais en jouissant tandis qu'elle gémissait presque râlant du plaisir qui la secoua alors...