Une nuit agitée

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Proposée le 19/02/2009 par Nadie

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Elle est sortie sans moi, une fête entre copines, dans ses cas là elle ne prend pas la voiture. Elle a mis une robe trop courte pour la saison et trop décolletée pour être honnête.
Des heures plus tard, j'entends une voiture s'arrêter devant la porte, et j'entends qu'on à du mal à trouver la serrure, je me dis qu'elle a un peu trop bu et je me lève pour aller lui ouvrir, je suis dans l'escalier quand la porte s'ouvre enfin, c'est le chauffeur du taxi qui a ouvert, ils entrent dans le couloir, elle cherche dans son sac pour le payer. Le chauffeur est petit, baraqué, moustachu et chauve, grec sans doute. Elle est bien entamée, elle titube. De là ou je suis ils ne me voient pas. Le chauffeur commence a avoir les mains baladeuses et elle résiste pour la forme, mais très vite elle se met a caresser la bosse dans son pantalon, il lui soulève sa robe en lui caressant les fesses, je vois qu'elle n'a plus de culotte, je me dis que le chauffeur ne doit pas être le premier ce soir. Il baisse son pantalon, elle saisit la bite, pas très grande mais grosse, elle lèche le gland avec gourmandise puis enfonce la queue profondément dans sa bouche. Ca fait un moment que la mienne s'est mise à gonfler, je l'observe lui caresser les testicules avec expertise. Le chauffeur s'est assis par terre, il lui écarte les fesses, lui enfonce deux doigts dans sa chatte, elle gémit de plaisir. Le type finit par jouir dans sa bouche, rapidement, puis s'en va sans oser demander le prix de la course. Je remonte doucement me coucher bandant comme un cerf. Elle monte, et trop saoule ou fatiguée elle se couche sans se déshabiller, elle sent le sexe que c'en est pas croyable et ça m'excite plus encore. Je me colle contre son cul, elle se frotte contre mon sexe, je mets ma main entre ses jambes, son con dégouline, il a déjà servi ce soir, avant le chauffeur de taxi, cela ne fait aucun doute. Elle réclame la fessée. Je lui demande si elle la mérite, feignant de ne rien avoir vu. Elle me répond par l'affirmative. Je veux savoir si elle a été une salle fille ce soir, elle acquiesce. Je prends le martinet dans la table du nuit, c'est un godemiché avec des lanières de cuir, fait maison par ses petites mains de fées. Je lui fouette mollement les fesses. Elle exige plus de vigueur, je réclame plus de détails.
Alors elle me raconte comment après le souper bien arrosé entre filles, et après qu'elles eurent déposé les trois autres chez elles, cette chaudasse de Barbara l'avait entraînée dans un des derniers cinémas pornos de la ville. Elles avaient pris place à l'arrière de la salle. Très vite après le début du film, Barbara avait commencé à se caresser, puis elle aussi s'y était mise, puis elles se doigtèrent mutuellement, leurs gémissements ne tardèrent pas à attirer les branleurs éparpillés dans la salle, délaissant le spectacle de l'écran pour celui se déroulant au dernier rang. Le plus audacieux s'approcha d'elles, les observa en se branlant puis Barbara l'invita à s'approcher et elle enfourna sa queue dans sa bouche experte. C'est sembla-t-il le signal qu'attendaient les autres hommes présents dans la salle pour approcher à leur tour.
Ma femme avoue avoir paniqué un instant quand elle vit dix mecs autour d'elles, mais Barbara qui n'en était pas à son coup d'essai la rassura. Un des mecs la souleva de son fauteuil et y prit place, puis fermement, la rassit sur lui, son gros sexe s'enfonça en elle profondément, lui arrachant un petit cri, elle regarda Barbara qui malgré l'inconfort se faisait besogner par tous les orifices. Elle aussi voulait sa double pénétration. Au prix d'audacieuses contorsions elle parvint à prendre une queue dans son cul, une autre dans la bouche tandis qu'elle branlait un vieillard encore vigoureux. Une troisième femme s'était jointe au groupe, plus vieille mais pas moins salope. Les hommes présents s'en allèrent dans l'obscurité au fur et à mesure qu'ils avaient joui. Trop fatiguée, Barbara avait fini par la déposer a un arrêt de taxis.
Elle omit de me raconter ce qui s'était passé avec le taximan. Mais tout ce qui avait précédé méritait bien la fessée qu'elle réclamait. J'éjaculais finalement dans son cul plutôt excité à l'idée de toutes ses bites qui m'avaient précédé ce jour là.