Samedi 10 Mai 2008, Gare de Paris Austerlitz, Train Corail n° 03631

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 5/02/2009 par WannaBeeeee

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Nous avons attendu ce moment et l'avons préparé dans les moindres détails. Hier, vendredi, tu es venue jusque Paris. Tu as passé la nuit à l'hôtel avec un de tes amants. Je n'ai pas besoin de te dire à quel point j'ai pensé à toi cette nuit : j'aurais voulu être celui qui passe le plus de temps avec toi.

L'aspect positif est que tu as préféré me garder pour la fin, même si le trajet sera plus court que le temps passé à l'hôtel. 2h53min, c'est le temps que devrait mettre ce train Corail pour aller jusque Limoges Benedictins. J'imagine que tout ce temps ne sera pas consacré à la réalisation de notre fantasme.

Paris Austerlitz, 9h53, quai n°8 en ce samedi 10 mai. Le Corail 03631 part à 10h17. J'ai cru que jamais tu ne serais à l'heure. Tu es sortie de l'hôtel habillée comme une allumeuse de première. Je t'ai observée de loin. Ton amant nocturne m'a fait sourire, à vouloir prolonger ces instants passés ensemble. J'ai bien vu que tu voulais quitter le pas de l'hôtel au plus vite. Que t'a t-il déclaré ? Je m'en fiche. Ce qui s'est passé jusque là ne compte plus, c'est ce moment où tu vas venir me rejoindre sur le quai n°8 qui compte le plus, en attendant le suivant, les suivants.

Et merde, je suis trop en transpiration à avoir couru pour prétendre être là depuis pas mal de temps. J'espère que tu ne vas pas me demander pourquoi je suis en gouttes, je ne saurais quoi te répondre. Je m'en fous : j'improviserais.

Tu me vois de loin. Tu te diriges vers moi.

Je fume ma clope, telle une récompense de l'idée de génie que nous avons eu. J'ai bien imprimé des étiquettes "Réservé" que j'ai mis sur la porte coulissante et sur les sièges de la cabine qui me paraissait la moins répugnante. J'ai mis en évidence ma veste sur un siège, ainsi que le string que tu m'avais donné la dernière fois, lors de notre première rencontre, et que j'ai lavé à la main : nous verrons bien si des hommes resteront dans les parages de la cabine en attendant le départ. En tout cas, pour le moment, personne ne rode autours.

Tu es là. Tu es magnifique, ma XXX. Allumeuse, et magnifique. J'ai bien vu : pas un seul homme n'a résisté à ton passage : ta jupe longue en lin blanc a fait son effet, d'autant que même moi, qui peut te dévorer des yeux sans gène, je vois bien que tu as respecté ce que nous avions dit : tu viens sans culotte ni string.

Nous allons nous installer à l'intérieur.

Personne d'autre que nous pour le moment. Dommage.

J'ai pris un siège du coin, tu es à côté de moi, au milieu de cette rangée de trois sièges. Le string est sur le siège face à toi, ma veste face à moi.

Je n'en peux plus de me retenir. Vivement que les gens arrivent, que le train parte.

"Je m'excuse, mais savez-vous si ces autres sièges sont réservés ? Avez-vous réservés vos sièges également ?" nous demande cet homme. C'est un homme, et comme convenu, c'est toi qui répond...

"Il ne faut pas prendre la permission de s'excuser. Oui, nous avons réservés, et non, nous ne savons pas si les autres le sont vraiment. Vous n'aurez qu'à vérifier plus tard" lui réponds-tu. Au vu du ton sec que tu prends, je pensais qu'il ne te plaisait pas, mais vu que tu lui dis de revenir plus tard, il est peut-être sur liste d'attente.

Ouh la, une maman avec ses petits en bas âges passe. Non, next, merci : le regard incendiaire qu'elle a lancé au vu du string me semble être un signe que ce que nous allons faire ne sera pas bien vu des autres frustrés.

10h12 Apparemment, le train est maintenant blindé et seul notre cabine offre des sièges vides. Un couple dans la mi-trentaine prends l'initiative de s'asseoir, nous affirmant qu'ils bougeront si quelqu'un réclame ces places. Et merde, ils sont laids. la femme se mets à côté de toi, l'homme en face, près de la porte, sur le siège à côté du string.

L'homme nous demande si nous savons quelles circonstances ont amené ce string sur le siège.

"Oui", lui affirme-je d'un ton calme et serein.

Je te lance un "Bébé ?" droit dans les yeux, tu comprends que c'est le moment.

Tu le saisi, puis relève ta jupe effrontément devant lui. Ta chatte est offerte en panorama à son regard ahurit. N'a t'il jamais vu de chatte ou bien la tienne est-il si appétissante ? J'opterai pour la deuxième possibilité.

Et merde, la femme est offusquée et intime à son homme qu'ils changent de cabine ou bien qu'ils restent debout dans le couloir et qu'elle va prévenir les contrôleurs si nous nous avisons de recommencer.

Connasse ou mal baisée. Quand je vois la trique que tu viens de donner à cet homme, je crois qu'elle est mal baisée. Très mal baisée. Et il me faudrait un sacré coup dans la gueule pour pouvoir lui faire quoi que ce soit. Dommage, mon petit père. Va suivre ta femme autoritaire.

Il me fait doucement sourire, car cette situation ou la femme prends le dessus sur lui me rappelle nous à nos débuts. Tu te souviens lorsque je pensais que tu voulais être dominée ? Jusqu'au jour où j'ai compris que parceque justement tu subissais ton quotidien, tu avais besoin de mener quand tu baises. Et donc, de dominer. Et j'ai accepté que tu me domines plus souvent que je ne te domine. Lorsque je vois le bout de chemin fait jusque maintenant, je suis même prêt à complètement m'abandonner à toi juste une fois, afin de voir jusqu'où tes pulsions dominatrices nous mèneront.

Il est vrai que c'est toi qui avait eu l'idée du train. Mais je doute que nous puissions la réaliser à son bout. J'ai un mauvais pressentiment là maintenant. Allons-nous trouver un homme qui voudra nous joindre ? Je t'ai déjà dit que si nous devions le faire que tous les deux, je le ferais avec plaisir.

Le train part, une famille s'installe dans la cabine. Tant pis pour eux.

Le père est face à moi, les deux enfants à ses côtés, et tu as la mère à tes côtés. Et merde, les enfants. Merde merde merde.

Je vois que le père n'a d'yeux que pour toi. Une chance ? J'en doute. Pour l'instant, nous sommes coincés.

...

Une heure que nous sommes partis. Toujours pas de contrôleur. La mère et les enfants se sont endormis. Toi aussi. Pffffffff, ça ne ressemble en rien à ce que nous pensions faire. J'en ai marre.

Je te réveille délicatement, pendant que je vois que le père me donne l'impression de ne pas avoir bouger depuis le départ, comme statufié par tant de charme de ta part. Le con, il va nous faire un arrêt cardiaque avec l'idée que j'ai en tête: au prochain arrêt, tu vas libérer ta place et venir sur moi.

Sitôt dit, sitôt fait. Un petit vieux vient s'installer après que je lui aie expliqué que non, cela ne me dérange vraiment pas que tu viennes t'asseoir sur moi. Et voilà : à peine installé, il s'endort. Tant mieux, en fait. Dans la cabine, sont éveillés le père de famille puis nous deux.

Et voilà. Puisque la statue ne bouge pas, voyons si le fait que je soulève ta jupe de derrière et déboutonne mon pantalon va le faire sortir de son monde.

Waouh, tu sens comme je suis dur ? Cette statue va être notre premier devant qui nous allons nous donner, alors autant le marquer à vie.

Mon dieu que tu es trempée, ma XXX. Et merde, ne nous retenons pas, ne nous cachons pas. Juste restons silencieux, pour le moment. Ils dorment tous sauf lui. Viens t'empaler sur moi et que ta jupe ne soit qu'un léger voile de notre indécence.

Viens glisser sur ma queue raide et la lubrifier, ma XXX.

Le challenge est de taille : je ne dois pas jouir rapidement, parceque nous n'avons pas eu le temps d'enfiler une capote. Comment rester zen lorsque tu me fais bander comme un cerf et que le regard de notre public voit que tu as les yeux qui frétillent ? Je ne sais pas ce que tu viens de faire, mais lui a les yeux qui brillent et pour la première fois il vient de bouger, comme si il essayait de décoincer sa queue de son slip, de son pantalon.

Tu prends alors le soin de descendre ton string que tu avais remis tout à l'heure devant les frigides jusque tes genoux. Que fais-tu ? Je t'observe...

Tu va chercher quelque chose là-haut dans les bagages et tu... Nooooooon, p'tite maline, va. Tu fais tomber ton string jusque tes chevilles.

"Non, je ne trouve pas", dis-tu à voix basse. Je sais que tu ne cherchais rien. Que vas-tu... ?

"Oups, de toute façon, il est trempé et ne me serre pas la taille." Ben oui, c'est ça. je te vois venir... Nooon, alors là, tu es culotté, si je peux me permettre. La poubelle étant pleine des merdes que les gosses se sont avalés dans la première heure, tu poses ton string à côté de la poubelle.

"Ne... ne... ne... ne le laissez pas ici, c'est provocant. Si vous voulez, je pourrai le jeter à l'extérieur, nous descendons au prochain arrêt." nous dit la statue. Tiens, il parle maintenant ? Vas-y, c'est cadeau. Moi aussi je me suis caressé en reniflant les effluves de ma XXX. Toujours est-il que nous savons qu'il est complice maintenant.

"Mesdames, Messieurs. Nous arrivons bientôt à la prochaine station : deux minutes d'arrêt." nous dit la femme qui a la même voix partout en France. Tiens, ce doit être la seule voix féminine française que je n'ai pas fait jouir au téléphone.

Et voilà : ta jupe est humide au niveau de ta chatte, mon pantalon est marqué de ton empreinte, et la famille se casse. Beaucoup de monde quitte le train. Peut-être que notre dernier espoir est le contrôleur.

Le train repart. Il nous reste 30 minutes de trajet.

Bing, LES contrôleurs.

"Madame, Monsieur, bonjour. Nous avons entendu dire qu'un couple dans cette cabine avait une attitude outrageuse, pas loin d'être répressible par une amende. Les avez-vous vus ?"

Il se fout de nous ? Nous avons tous les deux des têtes affolées, excitées, et il croit quoi ? Que ce n'est pas nous ?

Deux des trois continuent leur routine. Celui qui reste te fait baisser le regard lorsque tu me regardes, pour me faire comprendre que ce sera lui.

Et bien, c'est parti. Je l'invite à rentrer, fermer la porte, mettre les rideaux.

"Monsieur le contrôleur, est-ce vraiment outrageux d'agir ainsi ?" lui demande-je sur un ton faussement anodin.

Je soulève alors ta jupe, tu te cambres, posant tes bras sur l'extrémité du siège où la statue était. S'il était encore là, il pourrait se délecter de la vue de ta poitrine. Je pose une main sur tes fesses, afin d'écarter un peu et que je glisse ma main sur ta chatte.

Il ne bouge plus. Et merde, encore une statue. Je crois qu'en fait c'est même le signe qu'il nous fallait.

"Regardez, est-ce outrageux de faire ce que je viens de faire ?", lui faisant signe des yeux de vérifier par lui-même que caresser ta chatte n'est en rien outrageux, mais bel et bien un délice. Il bande comme un taureau, il va nous suivre.

Bingo, je le savais. J'ai des pouvoirs de persuasion que j'ai développés en vendant des parfums à des anglais stoïques.

Il te caresse.

Je me mets alors contre la fenêtre qui donne sur l'extérieur.

Et tu commences à me sucer, après m'avoir déclaré "Tu sais ce que je veux, alors dis-lui".

"Monsieur le contrôleur, nous allons voir ensemble ce qui est outrageux ou non." lui dis-je.

"Arrête de le vouvoyer, merde." me dis-tu.

"C'est quoi ton petit nom ?", lui lances-tu avec ton regard de biche.

"François" dit-il sans plus.

"Alors François, mon ami et moi n'avons pas de billet, et je suis prête à payer en nature le prix du billet pour lui et moi. Et je veux que tu me lèches la chatte avec application, et si tu te débrouilles bien, je te ferai une petite surprise. Tu veux me lécher ?"

Il ne répond pas et le fait sans attendre. Waouh, chapeau ma XXX, tu sais comment prendre les choses en main. Faut que j'en prenne de la graine.

Et tu me lèches les couilles maintenant.

Lui, il n'en peut plus. Faudrait pas qu'il explose en vol non plus.

Ta chatte est trempée et luisante, car je vois que sa barbe de deux jours brille. J'aurais bien aimé te lécher la chatte, mais je ne vais pas passer après lui. Alors je vais préparer ton trou du cul pendant que tu lui suces la bite. Il est assis sur un siège, tu es cambrée sur lui. Il te pose la main sur la tête. Il a vite pris ses aises, le bougre.

Et moi, je suis derrière toi. Je t'écarte les fesses pour mettre de la salive. Je vais glisser mes doigts de la main droite dans ton cul pendant que ma main gauche va te titiller la chatte.

Ton petit cul de salope en rutte va être mien, pendant que ta chatte sera sienne.

Tes petits gémissements sont le signe que tu es prête.

Tu vas être doublement pénétrée, ma XXX.

Nous relevons les accoudoir d'une rangée, je m'installe dans le coin, m'affalant afin de pouvoir glisser dans ton cul royalement, puis, lorsque tu seras bien en place, c'est lui qui viendra te mettre sa queue de contrôleur corrompu dans ta chatte.

Tu viens reposer ton cou et ta tête sur mes épaules, afin que je puisse t'embrasser dans le cou pendant qu'un de mes bras entoure ta taille et que l'autre bras s'occupe de tes seins. Et je te fais rebondir sur moi afin que tu prennes le rythme à suivre.

Et je veux te trouer, ma XXX.

François et moi allons te défoncer et tu vas te souvenir de ce trajet plus que de ta nuit avec l'autre.

Tu es ma petite chienne que je partagerai toujours avec parcimonie : jamais en ma présence quelqu'un d'autre que moi ne pourra t'enculer. Ton cul est mon réservoir à sperme.

Lorsque tu es sur le point de jouir, tu nous fait signe de nous écarter afin que tu puisses cette fois-ci poser tes mains contre les vitres des portes coulissantes, avec les rideaux ouverts afin de pouvoir éventuellement te montrer à quiconque le souhaite.

Et là, stupeur : 4 personnes. Le mec "je m'excuse", le mec de la mal baisée, la statue qui est toujours là et un des deux autres contrôleurs sont déjà là, en train de se caresser. Ils nous écoutaient et peuvent désormais nous voir. Devant ce public plus nombreux que prévu, tu es sur le point de jouir. Tu demandes à François d'aller de l'autre côté, rejoindre les autres dans le couloir, pendant que je te finis.

Au moment où nous jouissons tous deux simultanément, les quatre autres le font également sur la vitre. Puis ils s'en vont.

François veut ouvrir la porte afin de nous dire quelque chose, mais il semblerait que la poignée est pleine de sperme. Il arrive toutefois à l'entrouvrir et nous dire :

"Dimanche prochain, je serai contrôleur dans le Paris-Limoges de 12h50. Vous n'aurez pas besoin de billet."

Et bien voilà :-) Avec la SNCF, tout est possible...