SAFARI 2

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Proposée le 1/02/2009 par jessey

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SAFARI 2

SEJOUR AU KENYA (DEUXIEME EPISODE)

J'acceptais l'invitation de Kiprogut et j'allais m'asseoir sur la pierre posée près du feu de camp. J'espérais qu'aucune trace ne vienne marquer mon bas de jogging. Le feu crépitait à la suite de l'énorme branche morte que Kiprogut avait positionné en travers du foyer.
Je me mis à apprécier cet instant de bivouac..la nuit étoilée...le foyer...la présence du Masaï...les véhicules...le grand baobab...les tentes...cette sensation qui envahissait mon ventre après ce rapport presque indécent avec Willy.
J'imaginais le Belge et ce qu'il pouvait éprouver de s'être payé comme cela une jeune de 24 ans...et mon Fred qui dormait et qui ne s'est pas douté que sa jeune épouse l'avait trompé à ses côtés sans qu'il s'en aperçoive. Devais-je lui avouer cette faute ? Comment le prendrait-il ? De toute façon afin d'éviter tout incident grave durant ce séjour il n'était pas question que je lui avoue ma faute avant notre retour en métropole. Comment avais-je pu accepter de me faire pénétrer par ce gros belge sans charme...je ne connaissais même pas la forme de son sexe, pour ne pas l'avoir vu. Tout ce que je savais c'est qu'il avait rempli pleinement mon ventre et qu'il éjaculait une quantité assez impressionnante de sperme. Je sentais remonter de mon jogging cette odeur caractéristique du sperme qui séchait entre mes jambes.
Je me mis à allumer une nouvelle cigarette pour retrouver mon calme intérieur. A trois mètres de moi Kiprogut revint s'asseoir sur son mini banc. Il était grand, mince, le type Masaï parfait. A ses côtés un fusil à lunette était posé sur une natte. Le feu se mit à augmenter d'intensité éclairant de son halo un rayon plus important.
C'est à cet instant que je fus surprise du spectacle qui me frappa la vue. Kiprogut en se rasseyant sur son mini banc avait dégagé son pagne laissant apparaître une forme que je reconnus comme étant son sexe. Non je ne rêvais pas, Kiprogut m'offait une vue imprenable sur son sexe qui pendait à la hauteur de ses jambes repliées. Diable il ne portait rien sous son pagne ! Son sexe au repos me semblait étrangement long. Est-ce vrai que les noirs ont un sexe plus développé que les blancs ? beaucoup d'histoires érotiques décrivent les noirs avec un sexe monstrueux. Pour ma part je n'en ai jamais vu sauf dans les revues porno que j'ai pu comme toutes les filles compulser. Mais là j'avais sous mes yeux un sexe de taille hors norme au repos. Mon regard ne quitta pas cet appendice qui pendait sous les jambes de Kiprogut dont je ne distinguait pas entièrement les formes du fait de l'ombre. J'étais comme fascinée par ce membre. Kiprogut vit que je le fixait et se tourna vers moi avec un large sourire. Un instant surprise dans mon voyeurisme, j'eus peur que le Masaï puisse s'apercevoir que je le mâtais. Jetant ma cigarette consumée dans le feu, je répondis à son sourire.
-Mam n'a pas sommeil cette nuit ?
- Non pas tellement j'avais besoin de respirer un peu.
- La nuit est belle Mam, vous pouvez rester si vous voulez !
-Non je vais aller me recoucher...tout va bien ?
-Tout est calme, à cette heure la terre se repose.
Je me levais de mon siège en pierre dans l'envie d'aller satisfaire un pipi et de me nettoyer mon sexe engluée de sperme qui commençait à sécher et me gênait.
-Bonne nuit Kiprogut, à demain.
-Doux sommeil à vous Mam.
Je sortis mon paquet de Kleenex de ma poche de jogging, puis je me dirigeai vers le jerrican d'eau accroché à la roue de secours du Range bâché pour imprégner deux mouchoirs en papier en vue de me faire une petite toilette, puis disparaissant derrière l'énorme boabab, je cherchais un endroit discret pour faire ma petite besogne. Après m'être accroupie pour faire mon petit besoin naturel, j'entrepris de me nettoyer méticuleusement ma chatte souillée. Cela pris quelques minutes. Mais au moment de me relever et de remonter mon jogging je lâchais un cri de surprise en voyant en face de moi Kiprogut dont l'image se détachait de la lueur lointaine du feu de camp. Je ne l'avais pas entendu venir. M'avait il suivi ? M'avait il mâté alors que je faisais pipi et que je me lavais le sexe ? Je sentis une chaleur envahir mes joues n'osant me relever de peur de lui montrer mon ventre nu et mon sexe. Mais ce que je vis me fit bondir à nouveau mon cœur. Kiprogut se tenait à moins de deux mètres de moi, les bras le long du corps immobile mais il arborait son sexe en pleine érection pointant de façon indécente devant lui. J'étais comme fascinée par cette vue et excitée. Véritablement cette première nuit de safari me livrait des surprises inédites dans ma vie.
Le Masaï comprit que la vue de son sexe me troublait au plus haut point. Je restais accroupie assise sur mes talons n'osant toujours pas me relever. Mon regard ne quittait pas ce sexe. Il n'allait pas me violer quand même ? Si je criais... cela déclencherait une alerte dans tout le campement alors la gorge serrée j'osais parler.
-Il y a longtemps que tu es là ?
-Il est dangereux qu'une femme comme vous s'écarte du camp Mam !
-Et alors ?
-Je vous ai suivi pour vous protéger Mam !
-Bon tout va bien, que veux-tu ? Lui demandais-je en bredouillant
-Je vous ai vu Mam...
-Veux tu me laisser me rhabiller s'il te plait !
-Mam vous êtes une belle femme blanche, mon sexe vous désire.
Je me dis que cela ne pouvait que se voir. Avant que je puisse répondre le Masaï avança d'un pas son sexe impressionnant toujours dressé entre les pans de son pagne.
-Tu n'es pas sage Kiprogut !
Le sexe de l'homme noir était à présent à moins de cinquante centimètres de moi. Je le voyais à présent plus distinctement dans la pénombre. Il était d'une beauté extraordinaire, tel un pieu nervuré il exhibait un gland décalotté impressionnant. Kiprogut restait toujours les bras le long de son corps élancé.
-Ton sexe est beau ! Je me surpris de lancer ce commentaire.
-Il vous désire Mam
-Tu as une femme ?
- Non, ma dernière femme est morte il y a 3 ans tuée par la foudre.
-Tu as des aventures ?
-Il y a longtemps qu'une femme ne m'a pas apporté du plaisir.
Mon regard admirait ce sexe dont la grandeur devait approcher voir dépasser les 20 cms, légèrement recourbé vers le haut.
-Tournes toi que je me rhabille.
-Je vous ai vu Mam...pourquoi vous cacher ?
Je me dis que s'il était dans un tel état c'est que le spectacle que j'avais donné en était la cause...alors je me redressait en remontant mon jogging sur mes cuisses. Son regard excité fixait mon ventre et ma petite toison blonde que je taillais en forme de ticket de métro. Voyant qu'il en prenait plaisir avant de remonter entièrement mon bas de jogging je lui laissait admirer mon ventre plat et mon pubis sous lequel saillait le haut de mes lèvres rose. Je vis son sexe palpiter et cela me donna une pulsion extraordinaire dans le bas ventre. J'avais envie de toucher son sexe, de le prendre dans ma main.
Kiprogut resta immobile son regard de feu ne quittait pas mon sexe presque recouvert par mon jogging. Puis je le remontai lui privant de cette vue qui l'émoustillait tant. Je trouvais cette situation presque grotesque et c'est alors que j'osais l'inimaginable pour moi, tendre ma main et la poser sur le membre tendu du Masaï. A ce contact je le sentis tressauter de plaisir. Je ne pouvais pas quitter ce pieu des yeux et le sentir sous ma main m'électrisa. De l'autre main que je passais sous la hampe nerveuse, je me mis à le caresser en remontant vers le gland gonflé. Je pris celui-ci dans le creux de ma main et en apprécia la douceur. Je sentis dans ma main perler de son méat quelques gouttes de liqueur séminale.
-J'aime Mam !
-Il est beau ton sexe Kiprogut...il est vraiment beau
Après l'avoir caressé plusieurs fois, je ressentis l'envie de l'avoir dans ma bouche et de le sucer. Je le redressais pour mieux le voir impressionné par les dimensions de ce bâton parcouru de veines gonflées.
Alors je m'accroupis sur mes talons et approcha l'énorme gland de ma bouche. Kirpogut bougea enfin et posa ses mains effilées de Masaï sur mes épaules. Ce contact déclencha en moi une excitation intense et ma bouche goba avec difficulté le gland de l'homme noir. Je le suçais à présent appréciant son gout d'ambre. Je fis à cet homme l'hommage de son sexe. Kirogut posa sa main droite derrière ma tête et donna le rythme à celle-ci dans de longs va et vient . J'étais comme sur une autre planète, bercée d'érotisme, de plaisirs de sentir dans ma bouche ce sexe dont ma langue parcourait le moindre repli. Ma main serra ses bourses gonflées dont je sentais les boules dures. Il devait y avoir longtemps que Kiprogut n'avait pas eu une telle caresse.
Je ressortis le sexe de ma bouche afin de reprendre ma respiration elle était luisante de ma salive.
-As-tu déjà reçu une telle caresse d'une femme blanche
-jamais Mam...c'est merveilleux.
Kiprogut qui en voulait encore plus me poussa ma tête vers son sexe. Je me mis à le sucer avec encore plus d'entrain. Fred mon Fred ta petite femme devient une salope lubrique...comment puis-je te faire cela ? Pourquoi ? est-ce grave ? Méritai-je toujours ta confiance et ton amour ? Je suis devenue ta femme officiellement il y a quelques mois et dans la même soirée pour la première fois un homme autre que toi a joui dans mon ventre, celui que je réserve à nos futurs enfants et là je suce cet homme noir au sexe enivrant.. ? Avant que je pus répondre à mes questions je sentis le sexe de Kiprogut se tendre encore plus, signe qu'un torrent se préparait de monter de ses entrailles. Je n'aimais pas que Fred jouisse dans ma bouche, là j'hésitais à ce moment crucial de la jouissance de cet homme à sortir le gland turgescent de ma bouche. Je me surpris à aspirer la pointe de celui-ci déclenchant l'orgasme de Kiprugut. Je sentis battre le flot sous ma main qui enserrait sa hampe et en longs et puissants jets son sperme remplit ma bouche allant jusqu'au fond de ma gorge. Ce liquide chaud, visqueux au gout indéfinissable, mi salé, mi sucré, mi acide mi....mi...débordait de chaque côté de mes lèvres. Je n'avais jamais avalé de sperme de ma vie et là j'eus envie de le faire. Prenant mon courage je me mis à déglutir en plusieurs fois cette liqueur chaude . Je sentis couler dans ma gorge et tapisser celle-ci le sperme voluptueux de Kiprogut. Aspirant les dernières gouttes par un profond suçon, je me surpris à déposer un bisous sur le membre dressé et encore secoué de spasmes.
-Tu as aimé ?
- Oui Mam, vous êtes une déesse... je suis honoré par vous. Kiprogut est très fier.
-Allez je vais me coucher, mais dis moi où je peux trouver une canette de coca ?
Afin d'éliminer ce gout qui envahissait ma bouche et mon haleine, j'avais à présent une grande envie de Coca.
-dans la glacière Mam près de la voiture de tête.
-Merci ...Bonne nuit Kiprogut
-Bonne nuit à vous Mam.
Je regardais le Masaï retourner vers son feu, puis j'allais chercher une canette de Coca. Les longues rasades me firent le plus grand bien. Je rotais encore faisant ressortir de mes entrailles le gout du sperme qui en tapissait certainement les parois.
Je me dis que pour une première fois, cette expérience était grisante et merveilleuse. Le séjour ne faisait que commencer.
J'allumais une dernière cigarette, puis après l'avoir soigneusement éteinte je retournais vers la tente. Un moment avant de rentrer je restais immobile devant l'entrée à l'écoute des bruits. Rien à priori tout le monde dormait du sommeil des justes. Avec mille précautions je me renfilais dans mon sac de couchage. Un coup d'œil vers Willy, celui-ci ronflait doucement tourné vers Suzanne. Fred n'avait pas bougé. Avec un grand sourire complice, je remontais le haut de mon duvet sur ma tête...heureuse de ce que j'avais vécu et culpabilisante aussi.


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