la fête de la musique

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Proposée le 4/01/2009 par lotrebord

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Nous sommes, Hélène et moi, mariés depuis quinze ans. Hélène porte magnifiquement ses 38 ans, brune, les yeux noisette, elle aime comme moi les sorties, la vie, les rencontres. Depuis quelque temps, dans nos ébats amoureux, je lui disais que j'aimerai la voir dans les bras d'une autre femme aussi jolie qu'elle. Elle ne disait pas non, laissait même entendre que cette expérience lui plairait mais l'occasion ne s'était pas présentée jusqu'à ce 21 juin dernier, jour de la fête de la musique.

Nous habitons un pavillon, près de Ris-Orangis, et ce jour là, nous avons décidé d'aller à Paris écouter les musiciens de la rue. C'est sur le parvis de Beaubourg qu'Hélène rencontra Geneviève, une amie de la fac qu'elle avait perdue de vue. Elle était assez grande, très svelte, les yeux verts sous des cheveux blonds.

Je proposais que nous nous installions à une terrasse de bar pour qu'elles aient le temps d'évoquer leurs souvenirs. Geneviève nous appris qu'elle avait été mariée cinq ans avant de reprendre sa liberté. Elle était visiteuse médicale, très volubile, assez délurée et semblait aborder sans complexe tous les sujets de conversation.

Hélène lui proposa de venir dîner prochainement à la maison.

- Es-tu seule ou as-tu un ami avec lequel tu peux venir ?

- Non, je suis seule et je préfère. Tu sais, avec ma profession je suis très sollicitée et j'aime l'aventure.


J'intervins :

- L'aventure ? Qu'entendez-vous par-là ?

- Tu sais Alain tu peux me tutoyer. Par l'aventure, j'entends profiter au maximum de la vie et je ne refuse aucune expérience, même les plus...coquines.

- Seulement avec les hommes ?

- Non, aussi avec des femmes.

- Et que préfères-tu ?

- Tout. Avec les femmes, j'adore surtout leur parfum.


La date du samedi suivant fut arrêtée et pour éviter à Geneviève de rentrer sur Paris de nuit, nous l'avons invitée à passer la nuit chez nous.

Sur le chemin du retour, en caressant la cuisse d'Hélène, je lui demandais si elle aimerait faire l'amour avec Geneviève.

- Oui ! Répondit-elle sans hésiter, j'en ai envie.

Je remontais sa jupe jusqu'à son string et lui ordonnais de continuer seule à se caresser en pensant à ce qu'elle ferait avec son amie.

- Je ne porterai rien sous une robe légère, aucun dessous pour être nue plus vite dans ses bras.

- Commences maintenant, mets toi nue.

Elle défit d'abord son chemisier, puis son soutien-gorge. Ensuite, elle réussit à faire glisser sa jupe pour rester en string.

- Poses tout ça sur la banquette arrière, puis enlèves aussi ce string mais gardes le.

Elle s'exécuta.

- Maintenant, écarte tes cuisses et caresses toi. Pense à elle.

Hélène commença à caresser sa chatte brune puis introduisit un doigt en gémissant.

- Tu aimes ça, hein ! Tu as envie d'être une gouine, je le vois bien.

- Oui, j'ai envie d'être une gouine, j'ai envie de l'embrasser, de la lécher.

- Maintenant que tu es mouillée, tu vas faire disparaître ce string dans ta chatte. Je veux qu'il soit imprégné de ton odeur, je veux qu'elle te l'enlève avec les dents pour le prendre dans sa bouche. Après, vous pourrez faire l'amour comme vous voulez.

Lorsque nous furent à la maison, je pris les vêtements de ma femme et la fit traverser le jardin comme elle était. Heureusement, avec le mur de clôture, on ne peut rien voir. Elle resta ainsi, debout dans le séjour, les mains sur les hanches, les cuisses ouvertes, elle tendit son ventre.

- Fais comme Geneviève fera, déshabilles toi.

Je me mis nu et, à genoux devant elle, la tenant par les fesses, extirpais ce petit morceau de dentelle qui disparu dans ma bouche. Je le suçais comme un bonbon puis le posais sur mon sexe en érection.

- Je veux que tu la remplaces, je veux jouir sans ton sexe. Utilise ta langue, tes doigts ou ce que tu trouveras, mais pas ta queue de mâle.

- Bien maîtresse, dis je...

- Viens dans la salle de bain, je vais faire ta toilette avant de te lécher.

Penchée au-dessus de la baignoire, elle offrait son cul que je savonnais avec un gel douche avant de le rincer et de mettre un peu de baume nivéal pour le parfumer. J'en fis autant sur sa chatte, trop fournie à mon goût. Jusqu'à maintenant, je n'ai pas réussi à lui faire épiler cette partie de son corps. Revenus dans le salon, elle se mit à genou dans un fauteuil pour m'offrir sa croupe.

Je l'entendis me dire :

- Lèches moi le cul salope,

Cet ordre eut l'effet d'un excitant et je fis au mieux pour introduire ma langue dans son anus. Elle se trémoussait, elle finit par gémir en me disant :

- Oh oui ! Geneviève, encore. Lèches ma chatte, bois mon jus.

Avec un doigt enfoncé dans son petit cul et en aspirant son clitoris, je finis par la faire jouir. Ensuite, je me mis au-dessus de son visage, lui ordonnais d'ouvrir la bouche et éjaculais sur sa langue. Le sperme coulait sur son visage, elle était belle.

- Embrasses moi Alain, fais ma toilette salope dit-elle.

J'obéis, l'embrassais à pleine bouche, léchais son menton, ses lèvres et avalais mon sperme.

- Je vois que tu aimes ça dit-elle. Tu veux faire de moi une gouine... et bien, un jour je ferai de toi un pédé. Dis-moi que ça te plairait.

Après avoir hésité un peu, je finis par lui dire :

- Oui, si tu l'ordonnes.

Ensuite, il fut temps de dormir.

Geneviève vint le samedi suivant. Elle avait mis un short et un chemisier. Hélène, comme elle l'avait indiqué, portait une robe d'été, légère et rien en dessous. Comme cette robe n'avait pas de ceinture, chaque fois qu'elle se penchait, on pouvait apercevoir ces seins et même sa toison brune.

Geneviève en l'embrassant, remarqua aussitôt son parfum : Opium de Dior et, avec un petit sourire complice lui dit :

- Tu es vraiment désirable...

- Toi aussi Geneviève. Tu sais, Alain a l'esprit très ouvert, tu verras.

Chaque fois que ma femme passait près d'elle, Geneviève ne manquait pas une occasion de l'effleurer, de la caresser au travers du tissu.

La conversation se porta rapidement sur nos envies, nos fantasmes.

- Sais-tu Geneviève que tu as fait fantasmer Hélène après notre rencontre ? Elle m'a ordonné de faire avec elle l'amour comme si j'étais toi. Sans utiliser mon sexe.

- Et vous l'avez fait ? Racontez-moi.

- Alain a voulu que je sois nue en voiture pour rentrer.

- Toute nue ?

- Oui, enfin presque car il m'a ordonné de cacher sur moi mon string, non, pas sur moi, en moi.

- Oh ! Ma chérie, tu m'excites. Et ensuite ?

- Il me l'a ôté, avec ses dents et sa bouche et l'a mâchonné pour s'imprégner de mon parfum. J'aurai voulu que ce soit toi.

- Viens m'embrasser Hélène. J'ai envie de toi. Tu veux bien Alain ?

- Bien sur que je veux bien. Je te l'offre. Mais avant, je veux vous voir nues ensemble.

Geneviève dégrafa son corsage, fit glisser son short et apparue nue dans sa splendeur. Elle était épilée.

Geneviève, que préfères tu : une femme avec un minou épilé ou non ?

- Epilé, dit-elle, comme le mien.

- Alors, tu sais ce qu'il te reste à faire avec Geneviève. Avec moi, elle n'a jamais voulu mais je suis sur que tu sauras la convaincre.

Hélène avait enlevé sa robe et se laissait caresser par Geneviève. Elle l'embrassa d'abord dans le cou, avant de prendre ses lèvres. Ses mains palpaient les fesses de ma femme et son ventre. Elle se mit à genou pour lécher ce ventre et de nouveau debout, lui affirma entre deux baisers qu'elle serait beaucoup plus attirante avec le pubis sans poils.

Hourra ! Hélène accepta.

- J'ai toujours ma crème dépilatoire dans ma trousse, je vais m'occuper de toi tout de suite chérie. Suis-moi dans la salle de bain.

J'aurais voulu être là, je les entendais rire, chuchoter. Cela prit une demi-heure. Elles revinrent nues, aussi épilées l'une que l'autre. Hélène avait seulement en plus un suçon, juste au dessus de sa fente. Elles se tenaient par la main.

- C'est ma marque de propriété, dit Geneviève.

- Installez vous têtes bêches pour un 69 que je vous admire. Après, je m'en irais dans une autre pièce, si vous le désirez.

Ce fut un 69 magnifique. Elles se tenaient les fesses, mordillaient les lèvres de leurs chattes et jouir ainsi devant moi.


- Laisses-nous notre chambre demanda Hélène. Déshabilles- toi , branles- toi devant nous et vas te coucher dans la chambre d'ami.

- Oui, branles- toi devant nous appuya Geneviève.

Je me mis nu et debout, commençais à me caresser.

- Regardes cette pute, ça lui plait de s'exhiber...il faudra un jour qu'il m'obéisse.

- Je jouis rapidement et me retrouvais avec la main et le ventre inondés de sperme.

- Fais ta toilette salope. Regardes Geneviève ce qu'il va faire ce pédé. Je suis sur qu'il aime ça.

Je léchais ma main, ne laissant rien puis essuyais mon ventre avant de porter ma main à ma bouche. Ayant fini, je fus prié d'aller dormir et j'entendis ma femme dire à sa maîtresse :

- Je suis sur qu'il aimerait être enculé.