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Proposée le 23/11/2008 par aya

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Je n'en reviens toujours pas de ce qui s'est passé. Depuis plusieurs années, je te regardais à la télé en fantasmant sur ton physique élancé et musclé, ta virilité, ta personnalité et sur ce regard qui, à chaque fois me faisait craquer. A voir les cotes d'écoute, je n'étais pas la seule à espérer -sans trop y croire- l'espace d'un instant être là, avec toi même si tu étais beaucoup plus âgé. Te voir t'approcher de ces actrices me donnait simplement envie de m'évader, de m'imaginer dans tes bras. Combien de fois ai-je revu tes scènes intimes sur Internet? Je ne sais plus...

Tu étais dans mes pensées latentes depuis longtemps mais jamais je n'aurais cru te croiser, au marché près de chez moi. Un sosie me suis-je dit. Personne autour de toi, t'étais assurément quelqu'un d'autre et d'ailleurs pourquoi être là? Je ne pouvais laisser l'occasion d'une vie passer et par curiosité plus qu'autre chose, je me suis approchée et ai simulé un intérêt soudain pour des poivrons et des carottes.... Avec toute ma timidité je t'ai demandé si tu connaissais cet étrange légume juste à côté des fèves. Dans ta réponse, avec le timbre de ta voix et sa chaleur et son accent, j'ai tout de suite su que c'était toi... Ton regard et ce sourire en coin m'ont happé de plein fouet au point où j'ai senti une décharge d'adrénaline parcourir tout mon corps. Les papillons dans le ventre, les seins tout à coup bien durs et pointés, les joues rougies et cette étrange sensation au fond de mon ventre trahissaient complètement l'attrait que j'éprouvais pour toi... Difficile d'expliquer cette vulnérabilité.

Tu as remarqué l'effet que tu me faisais en me dévisageant de la tête au pied, en t'attardant sur mes seins, et tu as continué cette conversation un bon moment, le temps que je sois vraiment à l'aise. Sans comprendre pourquoi, moi, la jeune fille ordinaire aux cheveux bruns et aux yeux bleus avait capté ton attention. Je sentais ton regard et ton sourire de plus en plus persistants et ton corps lentement se rapprocher du mien. Mais au risque de ne plus te revoir, je ne pouvais tomber dans tes bras comme cela, telle une fan désespérée. En prétextant une obligation, je t'ai laissé en disant à quel point j'étais contente de t'avoir croisé. C'est à ce moment que tu m'as proposé qu'on se revoit en me glissant ton numéro de mobile et en ajoutant que tu ne serais ici que quelques jours encore. Je t'ai regardé en te disant que j'y penserais... Avec un sourire tu m'as demandé mon nom et j'ai confirmé en toute subtilité le tient... Greg, c'est bien ça? ... "Oui".

24h plus tard je t'ai rappelé, ivre de bonheur et d'attente. Tu m'as invité à ton hôtel pour ensuite sortir prendre un verre. Dans la douche, ma préparation physique fut mêlée de plaisirs érotiques multiples alors qu'en me savonnant, je t'imaginais toucher, embrasser et sucer mes seins, déposer tes mains sur mes fesses, sur ma vagin tout en te sentant tellement excité...
Petite robe et souliers talons hauts plus tard, j'étais devant ta porte, à cogner et à me demander ce que je faisais là. Tu m'attendais, fraichement douché alors que ton corps dégageait déjà l'odeur de ton parfum raffiné. En me faisant la bise, tu t'es approché et sans trop comprendre pourquoi, je t'ai enlacé le cou, pour t'avoir plus près de moi. Déjà je voulais te voir nu avec moi mais je résistai à l'envie immédiate de te dévêtir sur place pour te faire goûter à ma médecine spéciale. Mes appréhensions sur notre différence d'âge et ton statut m'ont fait reculer. Qui étais-je pour toi?
Tel un gentleman tu m'as invité à descendre prendre un verre dans un de ces coins branchés que tu connais et nous avons discuté de nous, de tout et de rien en se fixant dans les yeux et en se rapprochant de plus en plus, alors que tes fans n'arrêtaient pas de t'accoster. Après 1 heure de ce manège insoutenable, tous mes sens étaient en émoi. Je sentais l'électricité se dégager de nos deux corps. Je te voulais pour moi seule, au plus profond de moi. J'étais séduite, désireuse de ton sexe, de ta bouche, de tes caresses, de ton autorité. J'en avais la chair de poule. En me regardant, tu as deviné et en toute subtilité tu m'as invité à aller à ta chambre. Sur le chemin du retour, mon sexe bouillait et se liquifiait comme jamais. Ma petite culotte était trempée depuis plus d'une heure et je n'avais qu'une seule envie, la voir partir avec ta bouche.
Rendus à ta chambre, la porte fermée, toute inhibition est tombée. On se voulait, nos corps avaient besoin de sexe. Tu t'es penché sur moi, m'a embrassé férocement en commençant à enlever ma robe alors que je ne cherchais qu'à atteindre ce superbe engin en érection. Tu bandais complètement et durement et j'en étais tellement excitée. Je me suis frottée sur toi et sans attendre t'ai libéré de ton pantalon et surtout de ton slip. Qu'il était beau et gros.... Tu m'excitais tellement et j'avais peur de tout précipiter. En me prenant par les fesses tu m'entrainas sur le lit pour finir de me dévêtir alors que ta bouche prenait le relais et me couvrait de baisers. Ta fougue, et ta langue, dans ma bouche, sur mon cou, me propulsaient dans un autre monde. Tes mains sur mes seins, ta bouche sur mes mamelons : c'était tellement bon. Je n'en revenais pas de la chance que j'avais de réaliser ce fantasme ancré au plus profond de moi... Après que ta langue eu couvert mon ventre de baisers, tu t'es dirigé vers la zone chaude qui trahissait mon plaisir. Je n'avais qu'une envie, que tu me prennes autoritairement. Que tu glisses ce phallus au fond de mes entrailles pour me faire jouir comme jamais... Mais encore tu voulais me faire patienter. Avec ta langue, tu t'es approché de mon clitoris et tu l'as léché avec volupté, avec envie, avec fougue pendant que tes doigts pénétraient lentement ma fente liquifiée. Tu me suçais, me léchais : j'étais aux anges et je cherchais à te rendre la pareille. Je voulais ton sexe dans ma bouche, je voulais sentir ton plaisir, ton excitation... En quelques secondes on s'est retrouvé en 69. Moi sur toi, j'avais accès à ton pénis dans un état d'excitation suprême et à tes couilles bien velues. Ma langue s'est d'abord penchée sur ton gland pour ensuite caresser l'ensemble de ton membre et de tes couilles. Tu me suppliais de te prendre en bouche et après quelques baisers furtifs sur ton extrêmité, je me suis enfoncée pour bien absorber ton pénis jusqu'au fond de ma gorge. Tu halais de plaisir alors que ma bouche faisait un lent va et vient et que mes mains te caressaient les couilles et l'anus. Je voulais te voir bien écarté, bien vulnérable. Tes râles devenaient, tout comme les miens, de plus en plus forts, et soudainement, comme je le voulais, tu t'es retourné pour me prendre sauvagement. Je le désirais tellement et quand tu t'es penché vers moi pour tenir mes mains au dessus de ma tête alors que tes jambes cherchaient à repousser les miennes pour bien approcher ton sexe, la petite fille en moi se sentait possédée. Toujours en me tenant, tu m'as embrassé au même moment où ton gland s'est approché pour me pénétrer. Excitée comme je l'avais jamais été j'attendais avec une impatience folle que tu t'enfonces en moi et c'est en me regardant dans les yeux que lentement tu as avancé ton bassin et que ton pénis a glissé au fond de moi. C'était bon. C'était chaud, c'était dur. C'était tout ce que j'avais jamais désiré.
Au bout de quelques secondes , tes va et vient sont devenus de plus en plus persistants et profonds alors que tout comme moi tu cherchais à libérer cette envie ultime de jouissance. Nos corps se cherchaient, s'embrassaient et dansaient l'un avec l'autre. Tes râles, mes cris s'entremêlaient alors que tes couilles bien remplies cherchaient à déverser d'un moment à l'autre. Maintenant assise sur toi alors que tu honorais mes seins en les suçant et en les malaxait exactement comme j'aime, je sentais l'orgasme venir. Tu me disais que j'étais belle, et moi je te trouvais tellement sexy... Tu guidais mon rythme en me tenant les fesses et moi , la main sur mon clitoris, je me masturbais en retardant le moment fatidique. Au dernier instant, je t'ai pris la tête, t'es regardé dans les yeux et ai jouis bruyamment comme je l'avais jamais fait en sentant une immense explosion de sensations, tout comme un choc électrique, me traversant de la tête aux pieds. Au même moment, tu t'es laissé aller; j'ai senti tes jambes se contracter et par mouvements saccadés ton sexe s'est enfin déversé en moi. C'était extraordinaire.

Épuisés et heureux, on s'est allongés, on s'est embrassés et on s'est collés. Sans comprendre pourquoi, nos corps dépendants l'un de l'autre, se cherchaient et en voulaient encore.... Moi, plus que toi. Franchir le fantasme et aller au bout de cette chimie entre nous, malgré tout.

Comment te dire que je voulais que tu me domines, que tu me pénètres même aux endroits les plus tabous sans avoir l'air d'une pute?

A suivre...