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Proposée le 8/11/2008 par ileautresor
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On était un mercredi après-midi.
Leika était rentrée rapidement chez elle et se préparait plus que convenablement: soutien-gorge et string, jupe descendant jusqu'à mi-cuisse et petit tailleur. C'était un grand jour: elle allait, pour la toute première fois, découvrir son père.
Sa mère n'a jamais voulu parler de lui jusqu'à ce jour où, la poussant un peu trop loin, Leika avait réussi à avoir le numéro de téléphone de son père.
Ils s'étaient donné rendez-vous à l'écart du centre-ville, à la terrasse d'un café. Arrivée bien à l'avance, Leika s'assit, tout en regardant les personnes qui trainassaient sur la place.
Elle arrêta ses yeux sur un beau jeune homme, la petite trentaine, bien habillé avec une chemise blanche, un pantalon en toile noir et des chaussures classes. Est-ce lui, se demanda-t-elle? puis, elle détourna son regard de cet homme pour continuer son tour mais revint sur ce charmant jeune homme.
Son regard accroché à lui, elle ne put défaire ses yeux de son sexe qu'en rougissant lorsqu'il la fixa également.
Est-ce bien elle, se demanda-t-il? une si belle fille...Je me souviens encore de sa mère. Elle lui ressemble....
Il se dirigea vers elle d'un pas décidé et s'assit face à elle.
- Est-ce bien toi, Leika? demanda-t-il? lui prenant la main. Tu ressemble à ta mère à ton âge, mais en dix fois plus belle.
Rougissant par le compliment, Leika demanda:
- Pourquoi l'as-tu laissé?
- Que t'a dit Emma là-dessus, répondit-il? tout en caressant la main de Leika, sans savoir si c'était paternellement ou amoureusement.
- Rien. A part qu'elle était tombée enceinte à 16 ans et que mon père en avait 14. Elle n'a plus eu de compagnon depuis...
- Je te laisse imaginer....avoir un bébé a 14 ans, tu crois que j'aurais pu....rendre heureuse ta mère?
- Peut-être pas, non. Mais la plaquer n'était pas une bonne idée non plus, dit-elle retirant brusquement sa main Pour elle, pour moi et pour mes grands-parents.
- Je ne pouvais pas lui apporter ce qu'elle voulait mais je ne voulais pas la voir souffrir a cause de moi....je n'ai pas pu. dit-il gêné. J'en suis désolé...
- Et elle, est ce qu'elle a pu?" lui lança alors Leika à la figure. Elle n'a pas eu le choix. Elle est arrivée chez elle avec pas un soutien, pour annoncer la nouvelle.
Elle e leva alors précipitamment et marcha un peu.
Embarrassé, honteux, Loïc la laissa faire, tout en la regardant de part derrière. Comme son petit cul est mignon! Il se leva alors et la rattrapa. Ils marchèrent un peu en silence puis Loïc frôla délicatement la main de sa fille.
- Les garçons doivent te courir après, je parie, lui dit-il, pour dévier la conversation. Tu es si jolie....
Leika regarda son père avec, dans les yeux, une lueur et hocha la tête timidement.
- Ils ont bien raison, ajouta-t-il. Et...tu es avec un garçon en ce moment ? "
- Ce n'est pas tes affaires, répliqua Leika férocement.
Loïc regarde alors vers le bas....se disant que c'est peut-être vrai
- Maman a encore besoin de toi déclara-t-elle, en se détachant. Elle n'attend qu'une seule chose: que tu reviennes vers elle
- Je peu comprendre, murmura alors Loïc,.....mais trop de choses ont changé.....mes sentiments entre autre.
- Vas la revoir. Au moins ça, lui demanda-t-elle. Pour t'excuser....
- D'accord, je le ferai, dit après quelques secondes de réflexion son père.
Soulagée par l'accord qu'il m'avait donné, Leika se laissa aller et reviens vers Loïc.
Sentant que Leika se relâchait petit à petit, Loïc la prit dans ses bras et, corps contre corps, il huma son parfum. Ce corps contre le sien et ce parfum réveilla en lui une excitation grandissante.
Ses mains descendirent alors jusqu'à ses reins. Il la serrait bien fort pour garder une trace de ce corps.
Voyant que Leika ne réagissait pas, Loïc aventura sa main un peu plus bas. Sa main glissa le long de sa jupe et vint se poser sur ses fesses.
Leika, n'ayant pas envie de perdre ce moment si intense avec son père, se laissa faire. Elle savait très bien à quel point c'était punissable mais elle avait envie de rester dans cette position éternellement. Elle ferma alors les yeux et, tandis que Loïc la guidait, elle déposa sa tête sur son épaule.
Troublé, Loïc eut envie de se séparer d'elle mais sentant l'excitation trop présente, il les dirigea vers le bois où il savait qu'à cette heure-ci il n'y aurait pas beaucoup de monde.
Leika ouvrit les yeux et regarda attentivement son père. Comme il est beau!
Ils allèrent s'asseoir sur un banc où Leika se coucha, sa tête sur les genoux de son père. Il commença alors à lui caresser les cheveux tout en lui murmurant des "Que tu es belle...".
- Loïc, lui dit-elle, n'ayant pas l'habitude de Papa, puis-je venir dormir chez toi pour mieux te connaitre?
Déconcerté par la demande, Loïc hocha la tête, une lueur vive dans le regard, et la remis debout. Il sentit son excitation grimpée d'un coup et eut du mal à camoufler la bosse que faisait son pantalon de toile. Il l'emmena jusque chez lui, un appartement 4 pièces dans un assez grand immeuble.
En entrant, Leika atterrit directement dans le salon-salle à manger séparé de la cuisine par une table de travail. Sur le côté, en entrant, il y avait la chambre de son père, qu'il lui laissa. Et dans le fond de l'appartement, la salle de bain, avec une assez grande douche et lavabo.
- Je vais me changer, pour être plus relax, lui dit Loïc. En attendant, ne téléphonerais tu pas à ta mère?
Il lui montra où était le téléphone puis s'éclipsa.
Leika se débarrassa de ses chaussures et prit le téléphone en main. Puis, se ravisant, elle le raccrocha et fit un message écrit à sa mère: " Je suis chez Loïc quelques jours. Ne dis rien. Je veux pouvoir juger. Bisous."
Puis, elle alla toquer à la porte de la chambre de son père qui lui dit d'entrer; ce qu'elle fit.
Elle le découvrit en caleçon, plié en deux, en train de chercher dans ses vêtements. Elle s'assit sur le lit, tout en le regardant de haut en bas.
Loïc, ayant bien perçu qu'elle le fixait, fit durer le plaisir en changeant de jambe d'appui à plusieurs reprises et en faisant bouger ses fesses. Puis, son pénis déjà bien tendu, il se retourna et dit, tout en s'approchant du lit:
- Tu me fais de l'effet on dirait...
- En effet, dit Leika d'un ton assuré. Montres-le moi...
Loïc ne se fit pas prier. Son boxer se faisant trop petit, son engin n'attendait qu'une seule chose: qu'on le libère.
- Tu l'aime? demanda Loïc
- C'est un sexe comme les autres, mais il est beau, répondit Leika.
Surpris par ces mots et par l'âge de sa fille, Loïc lui demanda si elle en avait déjà vu.
- oui, et plus d'un, lui répondit-elle.
- Plus d'un? dit-il, offusqué. Mais à quel âge as-tu commencé?
- oh, murmura-t-elle...et toi?
- Oui, j'avoue, c'est un mauvais exemple.
Mon sexe te donne envie? demanda-t-il, un peu gêné.
Sans répondre, Leika se leva et alla dans la salle de bain.
Ne croyant pas les révélations que lui avait faites sa fille, Loïc sentit son excitation s'accélérer.
- Tu vas le dire à maman? demanda Leika, criant de la salle de bain dont la porte était restée ouverte.
Tout en se déshabillant, elle attendit une réponse de la part de Loïc qui ne vint pas. Elle se pencha alors, à moitié nue, vers le couloir et le découvrit, la matant.
Loïc la regardait avec une lueur féroce dans ses yeux. Il approcha de sa fille mais ne fit rien.
Gênée par ce regard, elle rougit et se retourna pour continuer à se déshabiller. Elle essaya de fermer la porte mais Loïc la tenait fermement ouverte. Leika rougit alors mais comprit très rapidement que son père n'allait pas la laisser comme cela. Elle se déshabilla donc et s'approcha de lui, nue.
- oh la la, ma chérie, comme tu es magnifique, nue, lui murmura-t-il, la prenant par la taille.
Son sexe déjà bien tendu et dur, il descendit ses mains vers ses fesses qu'ils malaxa délicatement.
Fermant les yeux, Leika commença très rapidement à émettre de petits gémissements, ce qui donna encore plus envie à Loïc. Elle déplaça alors une de ses mains vers ses seins qu'il pétrit vigoureusement.
N'en pouvant plus non plus, elle se laissa glisser et, à genou, prit le pénis de son père et l'engouffra goulument dans sa bouche.
Tout en jouant avec ses doigts délicats contre les couilles de son père, elle le fit reculer jusqu'à ce qu'il s'assoit dans le divan. Ensuite, elle vint lui lécher tout son torse, jusqu'à arriver à ses bourses..
Tenant encore bien sa verge, pour qu'il n'éjacule pas encore, elle remonta alors vers ses tétons qu'elle mordilla, ce qui le rendit fou.
N'en pouvant plus, il la fit lâcher prise et éjacula sur sa figure. Puis, il l'embrassa goulument.
- Merci, lui dit-il d'une voix timide et gêné.
Elle se retourna sans rien dire et alla dans la chambre.
Ceci est la première partie d'un roman que j'ai commencé en binome avec qqn. La suite arrivera.