Première sodomie

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Proposée le 11/08/2008 par P_Libertin

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Bien des années ont passées depuis ma première fois à Chamonix. Je suis maintenant marié et ma femme et moi pratiquons couramment le libertinage.
Je travaille à Bruxelles. Un jour après le boulot, j'en profite pour visiter un sauna gay. Rien de passionnant à écrire. J'y ai bien sucé quelques bites, et on m'a masturbé, mais la seule fois où un homme a voulu me sodomiser, il voulait le faire sans préservatif ! Allons donc, le sexe sans protection avec un inconnu au bout de 10 minutes ... incroyable !

Ce fantasme de me faire pénétrer est trop fort. Quand je fais l'amour avec ma femme il me vient même parfois l'idée d'un homme qui me pénètre ! C'est décidé, je vais le faire. Je surfe sur un site de rencontre libertine. On y a déjà rencontrer plusieurs couples très charmants et ... très chaud. Mais cette fois, je cible mes recherches sur "homme pour homme". Je finis par trouver un homme qui se dit décidé et expérimenté. Je l'appellerai ici, Andrée. On échange quelques mails et je lui explique que je désire me faire sodomiser pour la première fois. Au début, il n'y croit pas trop. Beaucoup d'hésitant également sur ce genre de site. Les gens ont du mal à passer du virtuel au réel.

On fixe un rendez-vous pour mercredi, fin d'après-midi.
Je commence ma journée très tôt pour pouvoir me libérer. Que cette attente fut longue. J'avais le ventre noué comme un adolescent à son premier rendez-vous. J'arrêtais d'y penser. Je n'ai pas du faire grand chose ce jour là. Midi passe, je m'éclipse dans une salle de réunion pour l'appeler. Il est agréablement surpris de m'entendre et me donne son adresse. Il insiste pour être bien certain que ça va être ma première fois. Devant cette insistance, je lui dis simplement que j'ai déjà essayé un des godes de ma femme, mais sans vraiment éprouver du plaisir.

Je quitte le boulot et prends la route. La boule au ventre ne m'a pas quittée. Je me gare devant chez lui, dans une rue calme. Un couple de jeunes gens jouent au badminton dans la rue.
Andrée vient m'accueillir. Son annonce n'était pas accompagnée d'une photo de son visage et je suis un peu surpris : il est assez âgé. Il doit avoir la 50aine. Peu m'importe s'il est en forme. Il salue le couple de la main.

Il me serre un verre et me complimente sur mon physique. Il me parle de lui, de son ancien couple, de comment il est arrivé à être gay après une vie d'hétéro. Je lui parle un peu de moi, de mon envie. Il m'avoue qu'il ne voit qu'un seul amant de manière régulière et qu'il n'a pas pour habitude de faire des rencontres. J'ai hâte de passé à l'action, mais je n'ose pas m'approcher de lui. La conversation est sur un domaine trop sentimentale.
Quand il me propose de passé dans sa chambre, je suis soulagé et très excité. On se déshabille chacun de notre coté. Je rassemble mes affaires au pied du lit. Quand je me retourne, il est déjà nu, allongé sur le lit. Il me sourit en flattant sa verge nonchalamment. Il bande déjà très fort ! Sa verge est tellement tendue qu'elle ne touche pas son ventre. Je n'en reviens pas, et avec le recul, je le soupçonne de s'être fait aidé.
Je m'approche, m'allonge à coté de lui et l'embrasse sur la bouche, avec la langue. Il est agréablement surpris par cette initiative et m'embrasse de plus belle. Sa langue est chaude et agréable. Il n'embrasse pas comme une fille. Moi, généreux, je n'ai aucune retenue et lui permet de fouiller ma bouche comme il l'entend.
Je pose ma main sur son sexe. Il est complètement rasé. C'est très agréable. Je me penche, approche mon visage et observe son sexe. Il a de très grosses testicules et en a un peu honte. Je ne trouve pas ça déplaisant. Je m'approche encore. Il sent bon. Ce genre de parfum d'homme, viril. J'ouvre ma bouche et fais glisser lentement sa hampe à l'intérieur, tout en enserrant sa verge d'une main. Il soupire tout en me caressant. Ses mains passent de mes cuisses à mes fesses. Petit passage par ma bite. Il retourne sur mes fesses et flatte mon anus d'un doigt humidifié. Il m'attire à lui et me demande de m'installer en 69. Je le suce sans retenue et je sens ma hampe rentrer dans sa bouche. Elle est chaude c'est très agréable. Je quitte son sexe tendu à l'extrême pour lécher sa bourse. Je voudrais descendre plus bas avec ma langue, mais ça position m'en empêche. Lui par contre, à tout le loisir de mater mon petit trou. Il abandonne rapidement mon sexe pour me titiller l'anus avec sa langue. Que c'est bon. Il alterne grand coup de langue bien mouillé avec de petite pénétration avec celle-ci. Pas de doute c'est en expert. Je dois sortir son sexe de ma bouche pour laisser passer mes gémissement.
J'ai trop envie, je suis au bord de l'explosion. Mon sexe n'arrête pas de suinter de liquide translucide. Je me retourne ver lui, lui demande où sont les préservatifs. Il m'annonce qu'il n'en a pas. Que comme je peux être considéré comme une personne à faible risque et que lui même à un compagnon fixe, il n'y a pas de problème. Je ne suis pas convaincu, mais je suis tellement excité que je passe outre cette précaution. Il me tend un tube de gel et me demande d'en disposer à mon anus. Il n'en veut pas sur sa verge.
N'ayant jamais pratiqué, je lui fais confiance.
Il reste sur le ventre, le sexe tendu. Je passe une jambe de chaque coté de son corps, mon cul à la vertical de sa verge. Je descends, approchant mon œillet lubrifié de son dard. Il me laisse faire. "Comme ça tu pourras régler la pénétration si tu as mal". Mais ça ne rentre pas, ça glisse avec le gel et mon impatience. Il me calme et je recommence.
Son gland écarte mon œillet. Ça y est, il me pénètre. C'est bon, je sens son gland franchir mes barrière. Un peu de douleur se mêle à mon plaisir, mais je n'ai pas envie de m'arrêter. Je continue à m'empaler sur son sexe. Il me rempli les entrailles. Quel différence avec un gode en plastique. Je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses. Il est complètement rentré. Je me relève pour sortir un peu son sexe. Ses mains puissantes sur mes anches m'empêchent de ressortir son gland de mon anus. Je ne suis pas encore prêt pour cela. Mon cul doit d'abord s'habituer à la grosseur de son sexe. Ses mains guident mes mouvements, mais je dirige la pénétration. Je soupir, le plaisir se fait de plus en plus fort. Les ondes qui traversent mon ventre n'ont rien en comment avec ce que j'ai connu jusqu'à présent.
Je me retire et me place en levrette. C'est comme ça dans mon fantasme. Il se place derrière moi et rentre son sexe délicatement. Il est doux et attentionné avec moi. Il accélère ses mouvements. Je pousse mon cul vers lui pour lui signifier que je veux le sentir fort. Il comprend et je sens sa verge entrer plus profondément. Il m'accroche pas les hanches et me possède maintenant totalement. Son sexe touche quelque chose en moi qui m'envoie des décharges de plaisir à chaque pénétration. C'est fort, trop. Je hurle mon plaisir. Il me prend comme une bête.
Il se retire de moi, sans avoir jouit. Il est épuisé à me pistonner ainsi. Il se couche, mais j'en veux encore. Je m'empale à nouveau, mais cette fois je suis à genou et non accroupi. L'angle de son sexe dans mon cul est parfais. Je fais non pas des vas et vient, mais je balance mon bassin d'avant en arrière, très vite. Voilà, c'est là, les décharges recommencent. Il me masturbe, c'est trop. Je ne bande pas. Je n'en peux plus, je suis exténué.
André était au bord de la jouissance. Je fais disparaître son sexe entre mes lèvres. Par chance, il n'est pas souillé. Je fais coulissé l'entièreté de son sexe dans ma bouche, puis m'attarde sur son gland, sur la partie la plus sensible. Il ne tient plus. Il repousse ma tête. Il va jouir. J'écarte ses mains et reprends de plus belle son sexe. Juste à temps pour accueillir un longue saccade de sperme. S'en suive une autre, encore une autre, il m'emplit la bouche et continue d'éjaculer. Je ne veux rien en perdre. J'en recrache un peu dans la main pour pouvoir contenir le reste. Je joue avec son liquide dans ma bouche. Il a bon gout. Je l'avale lentement pour prolonger se plaisir. Je reprends son sexe en bouche. Je suis doux, je sais comment le gland peut être sensible à se moment. Il gémit encore et ses mains sur ma tête m'encourage à continuer cette caresse. Après quelques minutes de se traitement, il n'en peux plus et libère son sexe de mon étreinte buccale.
N'ayant pas encore jouit, il me masturbe avec agilité. Je l'embrasse sur la bouche. Le plaisir monte, je m'accroche à lui. Il accentue sa caresse et je décharge mon sperme sur son ventre.
Il se nettoie avec un cleenex. On discute gentiment. Je lui signale au passage, que mes fantasmes gays disparaissent toujours après avoir éjaculé. Pas d'importance pour lui. On a passé un bon moment et il apprécie que je m'offre à lui sans retenue.
Je cajole sans trop y penser son sexe. Qui commence à grossir. Cette odeur de sperme qui emplit la chambre, ce gout si particulier qui réside encore dans ma bouche, commence à provoquer en moi un désir nouveau. J'en veux encore. Il me masturbe à son tour et à notre surprise, je bande fort. Nos corps se touche, se confonde. Il me couche sur le dos, relève mes jambes, les places sur ses épaules. Il approche son gland et me pénètre sans s'arrêter, d'un coup jusqu'à. Je suis surpris. Il y va plus fort que la première fois. Mon anus est encore un peu dilaté et l'accepte sans douleur. La pénétration est différente dans cette position. Il alterne long et lent mouvement avec des saccades rapides. Au passage, il se penche et m'embrasse. J'adore sa langue. Il reprend un rythme régulier avec son bassin. Diabolique, le plaisir inonde tout mon bassin. Difficile de dire d'où vient se bonheur. Il m'enserre le sexe d'une main et commence à me masturber. Je ne bande plus, mais ce qu'il me fait par derrière se propage à ma verge. Je sens la jouissance monté, encore et encore. Normalement je devrais exploser dans une forte gerbe de sperme. Mais ça ne vient pas. Je suis arrivé à un plateau de jouissance, mais pas de délivrance. Je perds pied, ma respiration se fait courte et superficielle. Je ne parviens pas à gémir, à crier. Tout devient sombre, la chambre disparait, je ne voit plus Andrée. La jouissance est trop longue. Je n'entends pratiquement plus rien, je perds toute sensation à part cette jouissance. Au bord de l'inconscience, je laisse échapper mon orgasme. Pas de saccade, juste un flot continu de sperme sur mon ventre.
Je reprends lentement pied. André c'est retiré et posé à coté de moi, m'embrasse. Je me retourne pour lui faire face et nous nous enlaçons. Mon sperme s'étale sur son ventre. Nos langues s'échangent un long baiser. Torride.

Il me proposera de renouveler l'expérience, de devenir son deuxième amant habitué.
Sur la route pour rentrer chez moi, je repense à nos ébats, mais une image commence à s'imposer : pas de préservatif.
Quel con j'ai été. Et si ...
Une prise de sang quelques mois plus tard me soulagera. Mais je ne le reverrai pas.