Amour filiale 1

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Proposée le 20/08/2008 par Alain

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Découverte...


Cela faisait deux mois que Sandrine avait mis au monde « Emilie », une adorable petite fille de trois kilos. Emilie avait été comme on dit dans ces cas là : un accident. Ses parents, Sandrine et Hervé ne l'avaient pas vraiment voulu, mais malgré ses trente six ans, Sandrine n'avait pas voulu mettre fin à cette grossesse accidentelle. La petite était donc la sœur cadette de Thomas, un jeune homme de dix huit ans, qui suivait des études d'ingénieur et faisait la fierté de ses parents, grâce à ses brillants résultats.
Profitant de son congé maternité, Sandrine pouvait s'occuper à cent pour cent de sa petite Emilie. Et comme elle l'avait fait quelques années plus tôt, avec Thomas, elle avait tenu à nourrir sa fille au lait maternel. La doctoresse qui la suivait l'avait complimenté sur la qualité de son lait et comme elle en produisait une quantité abondante, elle lui avait conseillé de louer un tire-lait pour en faire profiter d'autres enfants, ce que Sandrine avait accepté de grand cœur.


La semaine s'était écoulée rapidement pour la nouvelle mère, et le vendredi arrivant, Sandrine allait retrouver ses hommes. Hervé, son mari allait rentrer de ses tournées, qu'il effectuait en tant que représentant en parfumerie, et Thomas, pensionnaire à la semaine au lycée, n'allait pas tarder à arriver lui aussi, par le train de seize heure trente. Toute heureuse de se retrouver en famille, Sandrine s'était surpassée : gâteau au chocolat pour son gourmand de fils et un succulent coq au vin, pour son époux.
A dix sept heures, Sandrine réveilla la petite Emilie en l'installant dans son couffin, afin de l'amener avec elle à la gare où Thomas devait les attendre...
Pour le trajet du retour à la maison, Thomas tint à s'installer à l'arrière de la voiture afin de s'occuper de sa petite sœur, qui bien réveillée, gazouillait gentiment.
Une fois arrivés, Séverine s'installa immédiatement dans le canapé :
— C'est l'heure de la tétée de ta petite sœur, annonça-t-elle à son fils aîné... Viens t'asseoir à côté de moi pour me raconter ta semaine.
Tout heureux de se retrouver en famille, Thomas vint s'installer dans le fauteuil faisant face au canapé où sa mère avait pris place, Emilie dans les bras. Intéressé par ce qui allait se passer, il regarda sa mère ouvrir son corsage, sous lequel elle portait un soutien-gorge d'allaitement.
— Alors, comment c'est passée ta semaine, demanda Sandrine en dégrafant le bonnet droit de son soutien-gorge, dégageant un sein au centre duquel se dressait, pareille à une petite bite, un téton étonnamment raide.
Le sein, bien que partiellement masqué, parut lourd et gonflé à Thomas soudain excité par cette vision. Lorsque pour la première fois, sa mère avait dénudé son sein devant lui, pour la séance d'allaitement, Thomas avait ressenti une gêne énorme, au point qu'il avait pudiquement détourné les yeux. Puis les séances se répétant régulièrement, il avait osé contempler la lourde poitrine de sa mère, y prenant un plaisir de plus en plus grand au fil ses jours.
De moins en moins choqué par la vision des lourdes mamelles de sa mère, Thomas n'avait pas été long à éprouver même un certain désir à la vue des fruits de chair gonflés. Alors que Sandrine, à l'aide d'une compresse, nettoyait le téton où, déjà, perlait une goutte de lait, l'adolescent éprouva un soudain désir, comme cela lui arrivait de plus en plus souvent. Dès que Sandrine approcha Emilie de son sein, la petite happa le bourgeon de chair turgide qu'elle téta avec voracité.
— Elle a l'air d'avoir faim, murmura Thomas, le regard fixé sur le sein offert à sa vue.
— Oui, d'habitude elle mange plus tôt mais comme j'ai dû aller te chercher elle a dû attendre...
— Elle est mignonne, elle n'a pas pleuré !... Moi aussi tu m'as nourri au sein ?
— Oui, mon chéri, et tu étais très vorace... Tu n'en avais jamais assez... J'ai toujours pensé qu'il était préférable de nourrir son bébé. Certains disent que ça abîme la poitrine, ce n'est pas vrai et le bébé démarre mieux qu'avec les laits en poudre.
— Quel goût qu'il a ton lait ?
— Bof... je ne sais pas ! Mais ta petite sœur a l'air d'aimer ça !
— Tu me laisseras y goûter ?
— En voilà, une drôle d'idée, mon chéri, s'esclaffa Sandrine, amusée par la demande de son adolescent de fils... Laisse ta sœur se nourrir, on verra après !
— En attendant, je peux prendre une part de gâteau au chocolat que j'ai vu dans la cuisine ?
— Bien sûr mon grand !

Thomas alla se couper un morceau du succulent gâteau au chocolat, qu'il vint déguster dans son fauteuil, face à sa mère, les yeux fixés sur sa petite sœur tétant le sein gonflé.
Quand au bout de dix minutes, Emilie fût enfin repue, Séverine proposa à Thomas de prendre sa sœur, afin de se réajuster. Mais comme elle s'apprêtait à remettre son sein dans sa prison de tissu, Thomas s'affola :
— Maman... Tu m'avais promis de me faire goûter ton lait !
— Ah, c'est vrai, s'esclaffa Sandrine...Tu as de la suite dans les idées... Tiens régale-toi !
Saisissant l'extrémité de son mamelon, Sandrine le pressa pour en faire jaillir le liquide nourricier. Une giclée blanchâtre fusa de son téton, atteignant le visage de l'adolescent qui espérait. Tous deux éclatèrent de rire de la mésaventure. Thomas décida alors de diriger les opérations :
— Laisse-moi te téter, comme quand j'étais petit !
— Bah, je ne sais pas si c'est bien raisonnable, s'interrogea Sandrine... Tu ne crois pas que tu as passé l'âge ?
— S'il te plait maman !
— Ça te ferait plaisir ?
— Oh oui !... Je t'en prie !
— C'est bon, vient mon grand bébé... Viens téter maman.
Tout heureux d'avoir eu gain de cause, Thomas s'empressa de déposer sa petite sœur dans son lit, avant de s'agenouiller devant sa mère, toujours installée dans le canapé. Appliquant avec émotion sa bouche sur le mamelon boursouflé, il entreprit de suçoter goulûment le téton délaissé par Emilie.
— Et, doucement mon gros bébé, s'exclama Séverine ! C'est fragile tu sais !
Modérant sa fougue, Thomas posa ses mains de chaque côté du sein qu'il suçotait, le pressant fortement, comme il l'aurait fait avec un fruit, pour en extraire le jus. Tandis que ses lèvres en ventouse, aspiraient le téton durci, ses mains comprimaient la peau tiède, s'étonnant du velouté de la chair.
Sous les attouchements de son fils, Séverine ressentit une étrange sensation ; cela n'avait rien à voir avec les tétées d'Emilie. Sous la bouche tendre mais virile qui la suçait, une douce torpeur embrasait sa poitrine. Les lèvres de son fils aspiraient fortement son téton extrêmement durci, le mordillant même par moment. Un peu honteuse, elle dût reconnaître qu'elle éprouvait un certain plaisir à être ainsi tétée par son propre fils. Elle se retint pour ne pas agripper Thomas par les cheveux afin de lui presser le visage sur son sein douloureusement gonflé.
— Alors, comment trouves-tu mon lait, demanda-t-elle pour se donner une contenance.
— Super ! répondit Thomas sans lâcher le mamelon qu'il avait aspirer entre ses lèvres... !
Sandrine était partagée entre la raison qui lui commandait de cesser ce jeu érotique, et le plaisir qu'elle éprouvait sous les sucions de son fils.
" Pourtant, nous ne faisons rien de mal tenta-t-elle de ce raisonner afin de justifier son attitude face au plaisir qui peu à peu naissait en elle "
Alors qu'elle tentait de reprendre ses esprits, une bouffée de chaleur lui irradia le creux de des reins, la grisant, l'empêchant d'agir pour faire stopper son fils. Au contraire, elle souhaita que ce dernier continue à lui procurer ce bien être qui l'envahissait sournoisement.
— Doucement mon chéri, parvint-elle à articuler d'une voix enrouée.
— Humm grogna Thomas, qui leva les yeux vers sa mère pour y voir le consentement qu'elle semblait lui accorder... J'adore le goût de ton lait Maman... C'est délicieux !
De plus en plus perturbée, Séverine se laissa emporter par un plaisir perfide. Ses reins s'embrasaient et elle sentait bien que cette bouffée de chaleur ainsi que l'humidité qu'elle sentait sourdre de son sexe, n'avait rien à voir avec l'amour filial... Il fallait qu'elle se ressaisisse à tout prix songea-t-elle. Ce n'était pas possible qu'elle éprouve ainsi du plaisir parce que son fils s'amusait à la téter...
Alors que sa raison tentait de lui faire entendre raison, ses sens réagissaient à contrario, acceptant complaisamment le plaisir qu'ils ressentaient. Incapable de réagir, Sandrine se sentait dans l'incapacité de repousser Thomas dont les lèvres, arrondies autour de son téton, étiraient exagérément celui-ci, tandis que ses mains malaxaient et pétrissaient la masse de son sein gorgé de lait.
Finalement, c'est le bruit de la voiture d'Hervé, son mari, qui tira brusquement les deux protagonistes de la douce torpeur dans laquelle ils étaient plongés inconsciemment !
— Tiens, voilà ton père, murmura Séverine en écartant à regret son buste de la bouche de Thomas... Ne dis rien à Papa de tout ça, continua-t-elle, les joues rosies par l'émotion. Il ne comprendrait pas !
— Tu me permettras de recommencer alors, s'empressa de demander Thomas, qui avait pris un tel plaisir à sucer l'opulent sein, que sa virilité dans son slip était devenue aussi raide qu'un gourdin ?
— Je sais pas, répondit évasivement Sandrine en songeant elle aussi à l'ineffable plaisir qu'elle avait ressenti, on verra... Tu sais, ça ne se fait pas ce qu'on vient de faire ! Je l'ai fait, pour te faire plaisir.
— Puisque tu as trop de lait, tenta de plaider Thomas !
— Oui, mais il est préférable de le tirer pour l'offrir à d'autres bébés dont la Maman manque de lait, répondit faussement Séverine en réajustant son corsage. Essuie-toi la bouche, tu as plein de lait autour ! Et n'oublie pas, c'est notre secret !
— Promis Maman.

Dans la douceur feutrée du cocon familial, la soirée se passa avec la banalité des questions habituelles. Comment c'était passée la semaine ; chacun informant les autres sur son emploi du temps. Alors qu'installés sur le canapé, ils regardaient un épisode d'un feuilleton policier à la télévision, Hervé se leva :
— Je m'excuse de vous quitter, je monte me coucher, je suis fatigué.
— Je donne le sein à Emilie, qui pleure déjà, et je te rejoins, le prévint Sandrine.
— Tu me permets de rester un peu avec toi pour regarder ma petite sœur, demanda aussitôt Thomas, soudain impatient d'assister à la scène ?
— Non, répondit abruptement Séverine, sachant pertinemment pourquoi son fils tenait à rester !
— Pourquoi tu ne veux pas, interrogea Hervé qui s'apprêtait à quitter la pièce ?
— Il doit être fatigué, tenta d'élucider Sandrine !
— Non ça va, Maman, je t'assure... Je te tiens compagnie le temps de la tétée et après je monte !
— Bon, d'accord acquiesça Sandrine soudainement émue, car inconsciemment elle se doutait bien comment allait se terminer la séance d'allaitement... Mais tu iras te coucher tout de suite après, sans t'attarder devant la télé !
— Oui, M'an !
— Je monte changer la petite. Tu devrais, toi aussi, te mettre en pyjama, ce sera fait !

Quand Thomas redescendit, vêtu de son pyjama, il constata que sa mère aussi, s'était changée pour la nuit. Par-dessus sa chemise de nuit, elle avait enfilé une robe de chambre en soie. Le jeune homme s'installa dans le fauteuil qu'utilisait son père, habituellement, alors que sa mère s'asseyait sur le canapé, face à lui.
— Tiens, change de chaîne, mon grand, il y a des variétés sur la 2 ! Ca t'intéresse ?
— Bof, tu sais, moi la télé.....
— Bon, et bien éteins-la, moi non plus ça ne me passionne pas !
Ce disant, Séverine ôta sa robe de chambre, apparaissant aux yeux de Thomas, vêtue seulement de sa chemise de nuit qui lui arrivait à mi-cuisses. C'était la première fois que le jeune homme voyait sa mère si peu vêtue. Son regard ne pouvait se détacher des cuisses qu'il découvrait : deux colonnes de chair charnues et terriblement aguichantes pour l'adolescent qu'il était. Inconsciente de l'émoi qu'elle créait chez son fils, Séverine baissa les bretelles de son léger vêtement de nuit, dégageant son buste revêtu du soutien gorge d'allaitement.
Alors qu'il focalisait son attention sur les masses charnelles que dénudait la chemise de nuit extra courte, Thomas sursauta à la demande de sa mère :
— Tu ne veux pas m'aider, mon chéri ? Dégrafe mon soutien gorge, s'il te plaît !
Tout en retenant sa chemise de nuit au niveau de sa taille, Sandrine pivota sur elle-même, tournant le dos à son fils afin de lui faciliter la tâche. La gorge nouée par une émotion érotique, Thomas s'exécuta d'une main tremblante. Dès l'attache défaite, les seins lourds et gonflés se libérèrent.
— Ouf, ça fait du bien, geignit Séverine, en massant doucement ces chairs meurtries... Ils sont tellement gonflés que ça arrive à être douloureux !
— Si tu veux, je peux boire un peu de ton lait pour te les dégonfler, comme cet après-midi, s'empressa de proposer Thomas !
— Tu crois que je n'ai pas compris ton manège, tout à l'heure, devant ton père, releva Sandrine ! Je ne suis pas dupe, tu sais...
— Mais Maman, je ne suis pas souvent avec toi ! Laisse-moi un peu profiter de toi et de ma sœur.
— Oui, oui, mais tu sais, ça ne se fait pas qu'un grand dadais comme toi, tête sa mère ! D'abord, je n'en ai pas parlé à ton père car il n'aurait certainement pas apprécié !
Tout en morigénant doucement son fils, Séverine ne put s'empêcher de songer au trouble qu'elle avait ressenti quand celui-ci lui avait sucé l'un de ces seins. Elle se demanda même si, inconsciemment elle ne souhaitait pas retrouver ce délicieux trouble qu'elle avait connu, quand elle avait accepté que Thomas assiste à la tétée d'Emilie.
— Pourtant, il m'a semblé cet après midi que ça te faisais du bien...
— M'ouais, rétorqua Séverine en se sentant rougir, mais c'est parce que j'ai tellement de lait que ça m'a soulagé, tenta-t-elle de ce disculper !
— Et moi, j'avais l'impression d'être redevenu ton petit bébé.
— Oui, un gros bébé, reprit Sandrine en riant.
Tout en parlant, Séverine s'est retournée face à son fils, les seins libres de toute entrave. Thomas sentit une bouffée de chaleur lui envahir le visage ; c'était la première fois qu'il voyait sa mère ainsi dénudée. La vue de ces seins lourds, outrageusement gonflés du fait de l'allaitement, aux mamelons étrangement foncés par contraste avec la chair laiteuse des volumineuses mamelles, affola complètement Thomas. C'était aussi la première fois qu'il pouvait contempler une poitrine féminine, autrement que sur les pages glacées d'une revue. Statufié, il demeura sans voix, les yeux rivés sur les seins énormes que sa mère lui offrait généreusement.
Découvrant le regard admiratif avec lequel son fils fixait sa poitrine dénudée, Sandrine sentit un étrange sentiment l'envahir. Faisant mine de ne pas se rendre compte du désir qui brillait dans les yeux de Thomas, elle se pencha pour prendre la petite Emilie. L'adolescent sentit le désir prendre possession de son jeune membre viril, en voyant les deux seins finement veinés, pendre de façon terriblement excitante.
Aussitôt dans les bras de sa mère, Emilie happa le téton qu'on lui offrait.
— Et bien, on dirait qu'elle a faim, ma petite sœur, marmonna Thomas d'une voix rauque !....
— Oui mais ne t'inquiète pas, mon chéri, lui répliqua Sandrine, elle t'en laissera suffisamment !
Telle qu'elle s'était installée dans le profond canapé, face à Thomas, Séverine, jambes écartées, dévoilait largement le haut de ses cuisses. Victime de ses jeunes sens en ébullition, l'adolescent oublia que celle qui lui révélait ainsi et ses seins et l'intérieur de ses cuisses était sa propre mère, celle qui l'avait mis au monde.
N'étant pas sotte, Séverine s'était rapidement rendu compte du désir qui illuminait le regard de son fils. Bien sur qu'elle aurait dû resserrer ses jambes, repousser sa fine chemise de nuit sur ses cuisses trop dénudées, mais le fait de se sentir désirée lui procurait, aussi étrange que cela paraisse, un étrange plaisir. Peut-être même du fait que le garçon qui la dévorait des yeux était son propre fils !
Tandis que songeuse, elle allaitait sa fille, un étrange phénomène fréquent lors d'un allaitement se produisit : la succion d'Emilie sur le sein qu'elle tétait provoqua l'écoulement de lait, sur l'autre sein. Saisissant ce fait comme un signe du destin, Séverine interpella son fils qui la fixait médusé :
— Tiens, regarde, mon grand, si tu veux venir en profiter, dépêche-toi, le lait coule tout seul.
Thomas qui n'attendait que ça ne se fit pas prier. S'agenouillant vivement devant sa mère, il emboucha, comme il l'avait fait l'après-midi même, le mamelon libre et aspira goulûment le lait nourricier qui s'en écoulait.
— Doucement, petit goinfre, s'esclaffa Séverine... Regarde ta sœur comme elle est délicate, elle !
Décidément songea Séverine, ses deux enfants paraissaient aimer son lait ! Son fils suçait avec une véritable passion son sein, qu'il palpait des deux mains, lui procurant un étrange mais sensuel plaisir... Alors que la petite Emilie s'était endormie sur l'autre sein, visiblement repue, Séverine osa un mouvement qu'elle ne se serait pas crue capable. Fermant les yeux afin de se concentrer sur le plaisir qui montait en elle, elle gonfla sa poitrine de façon à tendre son sein en avant, afin de mieux l'offrir aux lèvres chaudes et humides de son adorable fils. Une douce humidité avait pris naissance au plus intime de son sexe, tandis que son bas ventre était parcouru de mille frissons voluptueux. Sans plus réfléchir, elle décida qu'il lui fallait aller au bout de cette étrange aventure, mais avant elle devait se débarrasser de sa petite fille endormie.
— Attends, mon chéri, je vais mettre ta sœur dans son lit et je reviens de suite.
Profitant de l'absence de sa mère, Thomas porta une main curieuse au niveau de son bas-ventre où son membre faisait une bosse disgracieuse sous le fin tissu de son pyjama. Glissant sa main dans son pantalon, il referma ses doigts autour de sa verge en érection pour entamer une douce masturbation. Mais le bruit des pas de sa mère revenant le rejoindre l'obligea à vivement retirer sa main de son pyjama. Comme il s'était réinstallé dans le fauteuil, Séverine le prévint :
— Ne bouge pas mon chéri, je vais m'asseoir sur tes genoux... Il y a si longtemps que nous n'avons pas été tout seul...Et puis aujourd'hui c'est à moi de me faire cajoler...
Séverine s'installa comme elle l'avait annoncé, sur les genoux de son fils. Sa chemise de nuit maintenue autour de la taille, laissait à nu ses volumineux seins aux aréoles bistre. Se saisissant de l'un deux dans sa main en coupe, elle présenta le mamelon granuleux aux lèvres de Thomas, qui le happa aussitôt. Très vite, comme la première fois, la succion se transforma en une suave caresse, pour le plus grand plaisir de Séverine. Le bas-ventre parcouru de légers spasmes voluptueux, Séverine maintenait son sein qu'elle caressait en même temps qu'elle en offrait le bout tendu aux lèvres qui la tétait.
Tout en suçant avec passion le mamelon gonflé que sa mère lui présentait, Thomas avait posé ses mains sur les cuisses largement dénudées de celle-ci. Au fil des attouchements, les deux protagonistes s'échauffaient. Séverine respirait de plus en plus fort sous le plaisir qui insensiblement devenait plus insistant. Thomas tirait et mâchonnait vigoureusement son téton fièrement érigé, déclenchant d'incontrôlables spasmes dans le corps de sa mère. La vulve de plus en plus humide, Séverine murmura doucement à l'oreille de son fils :
— Doucement grand fou... Vas doucement ! tu sais c'est fragile les seins d'une femme, surtout quand ils sont pleins de lait, comme les miens... Mais j'aime ta façon de me téter... C'est bon tu sais !...
Et, ce qui devait arriver arriva... Alors qu'elle tentait de s'installer plus confortablement sur les genoux de son fils, Séverine sentit une raideur lui heurter les fesses. Immédiatement elle comprit à quoi correspondait cette dureté que son derrière écrasait. Son fils bandait ! Et il bandait pour elle ! Il bandait pour sa propre mère ! Elle en demeura extrêmement bouleversée. Alors qu'elle faisait tout pour que son propre plaisir passe inaperçu aux yeux de son fils. Non seulement Thomas ressentait le plaisir qu'il lui donnait, mais en plus il en éprouvait lui aussi ! La découverte de cette érection de la part de son fils eut pour effet immédiat de lui procurer une nouvelle éjection de cyprine brûlante. La source qui avait pris naissance quelques instants plus tôt au plus profond de son vagin s'était subitement transformée en une véritable fontaine.
Esclave de ses sens en émoi, Séverine n'eut pas le courage d'arrêter cette scène incestueuse, même si elle éprouvait un certain malaise à vivre cette situation. Malaise cependant évincé par le pernicieux plaisir qu'elle ressentait. De plus, la chaleur qui montait dans ses reins, la dissuadait de toute velléité. Son bas-ventre se crispait au fil des élancements voluptueux qui irradiaient son sexe. La bouche de Thomas ne cessait d'agacer son téton, alors que sous ses fesses, il lui semblait percevoir les soubresauts du membre raidi de son fils.
Tout en s'acharnant délicatement sur le mamelon gonflé, Thomas avait osé poser sa main sur la cuisse dénudée de sa mère. Comme celle-ci ne l'avait pas immédiatement repoussé, l'adolescent avait alors entreprit de caresser doucement la texture fine de la peau, sans pour autant oser trop s'égarer plus haut. Son autre main s'était naturellement posée sur le second sein qu'il pétrissait délicatement, pressant la masse souple entre ses doigts. Complètement affolée, faisant d'énormes efforts pour échapper à la volupté qui l'avait envahi, sans y parvenir, Séverine parvint à plaider d'une voix hachée :
— Tu te rends compte si ton père nous voyait !
Ce que la malheureuse n'avait pas anticipé c'est qu'en prononçant cette vérité, elle se rendait complice de la situation et par conséquent, consentante. Comme pour répondre à l'acceptation de sa mère, Thomas, glissa doucement sa main de la cuisse, où elle était posée, en direction de l'entrejambe que Séverine, de par sa position tenait écartée.
— Non, non Thomas, tenta de se défendre Séverine trop excitée pour être vraiment sincère... Ne fais pas ça... Arrête... Non chéri ! Je suis ta mère ....
Malgré ses protestations, bien faibles, Séverine ne fit rien pour empêcher la progression des doigts de son fils en direction de sa chatte. Lorsque ces derniers atteignirent l'endroit de l'entrecuisse où la peau est si douce, un long frisson voluptueux la fit se cambrer.
— Non ! C'est pas bien, mon chéri, ne fais pas ça, hahh......
Thomas avait enfin atteint son but ; ses doigts frôlèrent la chatte maternelle. L'adolescent demeura un instant surpris en constatant combien sa mère mouillait, les grandes lèvres étaient déjà béantes, brûlantes de désir. Délicatement, car pour lui c'était une découverte, il alla à la découverte de la géographie de la vulve d'où il est sorti, voilà quelques années. De son index il longea la fente humide et collante, étonné de ne sentir aucun poil. Ce qu'il ignorait c'est que, sa mère était une adepte des sexes glabres comme son père le lui avait demandé. Dans un sursaut de plaisir, Séverine resserra ses cuisses sur la main fouilleuse, non pas pour l'empêcher de progresser, mais pour mieux la sentir contre sa chatte ruisselante, acceptant ces attouchements incestueux :
— Qu'est ce que tu me fais là ? Hum, tu sens comme j'ai envie... murmura doucement Séverine... Va doucement, mon garçon !
N'ayant en fait aucune expérience sexuelle, Thomas glissa ses doigts dans la chatte visqueuse. Bien sûr il avait déjà chatouillé l'abricot de ses petites cousines mais aucune ne mouillait autant que sa mère !
— Mumm, gémit cette dernière, tu ne devrais pas faire ça... Mais ça fait rien ! Vas-y, c'est trop bon ! Enfonce bien ton doigt ! Oui, j'aime... Tu sens comme je m'ouvre pour toi, chéri... Tu aimes donner du plaisir à ta petite Maman... Hummm, plus haut, branle mon bouton...
— Maman, je voudrais te voir...
— Tu es fou, tenta de protester Séverine... Je ne peux pas... je suis ta mère...
— S'il te plait, maman... Je t'aime tellement...
Après un long moment de silence où tous deux demeurèrent immobiles, Séverine décida qu'au point où ils en étaient, elle pouvait très bien se montrer nue à son fils. De plus un certain désir la poussait à s'exécuter. Se levant elle se plaça face à son fils, terriblement émue par ce qu'elle accomplissait. Sa chemise de nuit dont le haut était déjà baissé, ne tenait que par les hanches, tomba lentement à ses pieds. La gorge nouée, elle se retrouva entièrement nue devant son fils aux yeux écarquillés. Quelque peu honteuse de cette exhibition, elle se plaqua vivement à Thomas, toujours assis dans le fauteuil, et l'enserra de ses bras. Le visage de l'adolescent se trouva plaqué à son ventre et, immédiatement, elle sentit les lèvres humides sur sa chair frémissante. Tel qu'elle était placée, debout entre les jambes de son fils, elle sentit la verge tendue le long de sa jambe. Terriblement excitée par cette situation, elle sentit sa chatte couler abondamment, tandis que la main de Thomas remontait entre ses cuisses qu'elle écarta largement pour lui faciliter l'accès. Elle mouillait tellement que l'index et le majeur de Thomas glissèrent, sans problème, dans son vagin dilaté.
Curieux de voir, enfin la chatte qu'il tripotait, Thomas courba son visage vers le bas ventre de sa mère. Tassé sur le fauteuil où il était installé, il arriva enfin, avec sa bouche, sur le mont de vénus qu'aucun poil ne masquait.
Séverine frissonna sous cet attouchement agréable, mais se garda d'empêcher Thomas d'aller plus bas. L'adolescent s'écarta un peu, pour enfin voir, l'objet de sa convoitise. Complaisamment, Séverine avança son bas ventre vers lui. Thomas put, alors, voir nettement ses doigts enfoncés dans la chatte de sa mère. De la mouille lui coulait dans la paume. Les grandes lèvres s'arrondissaient autour de ses doigts. Au sommet de la fourche, il vit distinctement le clitoris qui émergeait de son capuchon. Séverine tremblait de désir mais se gardait de faire le moindre geste, pour ne pas rompre la magie de l'instant.
— Tu as froid, Maman, s'inquiéta Thomas ?
— Non, mon chéri... J'ai honte c'est tout !
— Il ne faut pas, Maman, personne n'en saura jamais rien !
— Oui, tu as raison mon chéri, ce sera notre secret... Si ton père nous surprenait...
Voyant dans la réponse de sa mère un futur plein de promesses, Thomas posa délicatement sa bouche sur la chatte offerte, comme il l'avait vu sur les revues pornos qui circulaient au sein du lycée. Guidé par son instinct, il posa quelques baisers pointus sur le bouton dardé, faisant tressauter sa mère déjà vacillante sur ses jambes. Puis il enroba le clitoris dardé de ses lèvres, comme il avait fait précédemment avec le mamelon gorgé de lait, mais avec beaucoup plus de douceur. Séverine se cabra de plaisir sous la précision de la caresse.
— Oh oui, que c'est bon ce que tu me fais là... Mumm...
D'une langue agile Thomas entreprit alors de balayer le bouton gorgé de sang, jouant avec, tournant autour, le soulevant, le titillant. Du jus chaud et odorant lui engluait le menton.
Complètement bouleversée par le plaisir qui la ravageait par vagues successives, Séverine, plaqua agrippa la tête de son fils pour la plaquer à son ventre, dans une psalmodie de gémissements. Elle haletait de plus en plus vite. Cependant, Thomas avait réussi à introduire deux autres doigts dans la chatte écartelée et gluante, et ce fut alors toute sa main, sauf le pouce, qui coulissa de haut en bas dans la vulve béante de sa mère. Sous la double caresse, Séverine ne tarda pas à gigoter en tous sens,
— N'arrête pas !Branle-moi bien, j'aime beaucoup ! Oh oui !
Telle une chienne en chaleur Séverine frotta sa chatte en émoi sur la main tendue, tandis que, Thomas lui suçait le bouton qui avait encore grossi entre ses lèvres. Le silence de la pièce ne fut plus troublé que par un bruit de chair mouillée et de gémissements.
Malgré les vapeurs de la jouissance qui lui embrumait l'esprit, Séverine tendit le bras en direction l'entrejambe de son fils pour empoigner le membre raidi à travers le pantalon du pyjama.
— Mon Dieu, comme tu bandes, s'exclama-t-elle... C'est moi qui t'excite à ce point ?
— M'oui, grogna Thomas, sans pour autant abandonner sa succion sur l'organe érectile maternel.
Eprouvant un nouveau plaisir pervers, Séverine fit lentement courir sa main de bas en haut sur la protubérance qui déformait le tissu. Mais le contact, au travers de la toile, ne lui suffit pas ! Le pantalon du pyjama était retenu à la taille par un élastique qu'elle s'empressa d'écarter pour se frayer un passage vers l'organe érigé. Avec un petit gémissement de contentement, elle se saisit de la verge douce et moelleuse. La chaleur et la vigueur de la jeune bite de son fils finirent d'embraser ses sens. Avec passion, elle serra ses doigts le long de la hampe, tout en savourant la langue qui continuait à lui titiller le clitoris.
Ce fut alors au tour de Thomas d'avancer le bassin au devant de la main qui le masturbait. La tension était au paroxysme chez les deux acteurs et ce n'était que gémissements dans la pièce. Ce fut Thomas qui jouit le premier avec un jet de sperme qui embrasa la main et le poignet de sa mère. Celle-ci ne ralentit pas immédiatement sa folle masturbation, et l'émission de liquide séminal continua, lui poissant entièrement la main. Mais très vite, Séverine se cabra à son tour, explosant sous la double caresse de la langue et de la main. Tout son corps fut parcouru d'un long frisson, lui arrachant un feulement sauvage. Ses cuisses se resserrèrent sur le visage et le poignet de son fils.
La mère et le fils restèrent quelques secondes, tous deux, figés par leur jouissance respective. Puis, avec douceur, Séverine saisit le poignet de son fils pour retirer les doigts recouverts d'une mousse blanchâtre, preuve du plaisir qu'elle avait ressenti, de l'intérieur de sa chatte.
Sans un mot Séverine posa ses lèvres sur celles de son fils bien aimé pour l'embrasser tendrement.......



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