Les braqueuses au cul nu

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Proposée le 21/01/2007 par marie-claire

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France, Région du Finistère

Christophe Bertignac, inspecteur de son état, était sur le point de déjouer le dernier braquage du gang dit « des braqueuses au cul nu », appelées de la sorte car elles aimaient plus à exposer leurs fesses que leur visage qui demeurait inconnu de tous. Elles avaient, semble-t-il, en commun d'avoir un postérieur des plus bandant. Inconnues, elles ne l'étaient peut-être pas de tous. Pas de Christophe en tous cas qui soupçonnait Sylvie, une ex-employée de banque quadragénaire d'origine hindoue qu'il connaissait particulièrement bien étant donné qu'elle lui gérait ses comptes et Annick, curieux hasard, qui travaillait elle aussi dans une banque et avait la particularité d'être absente à chacun des braquages. Pour la chef par contre il demeurait sans idée. La commissaire Marie-Claire Fankenmeiher lui avait ordonné de prendre l'affaire en main, il lui avait répondu qu'il aimerait qu'elle prenne son « affaire » en main en plaisantant.

La plaisanterie avait mal été reçue et il jouait à présent sa carrière sur cette enquête.

Christophe était donc en planque devant la banque centrale où il s'attendait à une attaque dont il redoutait qu'elle fût violente : la dernière fois une personne avait perdu la vie. Comme de juste, les sirènes d'alarme retentirent et il vit trois personnes cagoulées sortir précipitamment de la banque, une arme au poing et un sac en main. Elles sont toutes les trois vêtues d'un vêtement noir qui moule leur corps. Une découpe a été faite de manière à ce que leur postérieur demeurent sans tissu et soit nu. Sans aucun doute il s'agit là de trois culs de femme. L'une semble assez grande, presque le mètre 70, ce doit être Annick et celle au beau gros cul rose doit être Sylvie. L'autre cul est fameux aussi mais il reste anonyme pour l'instant. Christophe bandait comme un malade. Les trois femmes rejoignirent un complice installé au volant de la voiture et démarrèrent en trombe. Christophe les suivit sans se faire remarquer. Après un long chemin elles s'arrêtèrent près d'une vieille maison en bordure de plage et quelques arpents du port. La maison avait le regard éteint et semblait abandonnée. Elles entrèrent dans la maison sans s'apercevoir de la présence de Christophe qui se planqua rapidement à la fenêtre. Chacune à leur tour elles retirèrent leur cagoule. Christophe reconnut Sylvie et ensuite Annick, en la troisième il reconnut Judith Mérédith (kelly Madison) une femme au longs cheveux noir d'environ 35 ans bien connue des services de police et qu'il avait vu en photo. On la disait dangereuse et prompte à la gâchette. Elle avait exercé son talent criminel jusque-là dans la haute société en raison de sa pulpeuse beauté et de son air distingué. C'est par un hasard étrange qu'elle se retrouvait aujourd'hui chef de gang. Judith était aussi belle que vicieuse, son corps se disputant entre beauté, générosité et luxure. Grande et mince avec des seins de madone. Judith ordonna à son complice de préparer le hors-bord. Christophe en déduisit que les trois femmes se préparaient à fuir par voie de mer.

Christophe se fit bientôt découvrir. Le temps de s'appesantir sur sa fuite et les trois femmes étaient là, le fusillant du regard.

Elles le forcèrent à entrer sans trop de ménagement avant de le lier sur une chaise. Elles semblaient beaucoup s'amuser de leur propre nudité et de l'air agité de Christophe.

- Que va-t-on faire de lui, s'inquiéta Annick, il semble agir seul ?

Judith proposa de le mettre ainsi pied et point lié dans un hors-bord et de l'envoyer s'exploser sur un rocher, ce ne sont pas les rocher qui manque dans cette région et cela pourrait passer pour un accident.

- On l'excite on dirait ? Sa braguette va exploser..., releva Sylvie.

Christophe avait toujours été très attiré par Sylvie qui le savait, elle s'empressa de lui coller son cul au visage. Judith lui dit qu'il y avait mieux à faire et sortit le sexe de Christophe qui était énorme à cet instant. Elle commença à le sucer goulûment. Puis elle planta le sexe du jeune homme dans ses fesses qu'elle serra d'un coup de façons à bien emprisonner son sexe entre les deux joues roses de son petit derrière. Elle se fit aller pour le masturber. Quant Christophe fut bien chaud elle se retira d'un coup. « A vous les filles », lança-t-elle. Annick, qui était demeurée distante jusque là, s'approcha et elle mit le sexe du jeune homme entre ses seins et lui fit une branlette espagnole aussi appelée cravate de notaire. Ses seins ne sont pas énormes mais suffisant pour ce faire. A chaque fois que Christophe est sur le point de jouir la fille se retire. C'est maintenant au tour de Sylvie, elle commença à mettre ses gros nichons sur le sexe tout ému du jeune homme et lui fit elle aussi une branlette espagnole. Du haut de ses presque 40 ans, son corps plus mur et plus juteux convenait mieux à ce genre de pose. Derrière elle Judith se masturbait et des petits jappements lui échappaient de la bouche. Annick excitée vint lui embrasser les tétons qui étaient durs comme du plomb et s'intéressa à son corps généreux sans être trop expansif. Soudainement, n'y tenant plus Sylvie s'empala sur le sexe en rut de Christophe comme sur un manche et se fit aller sur lui comme une possédée.
Judith pendant se temps se rhabillait d'un petit maillot noir deux pièce qui soulignait le rose de son corps à la beauté perverse : « je vais voir où en est Igor », lança-t-elle.
Sylvie ne l'entendit pas, trop occupée à jouir. Christophe allait éructer sauvagement quand elle se retira lui interdisant toute joie ; il s'énerva tellement qu'il cassa ses liens d'un coup. Profitant de la surprise il se jeta sur un révolver laissé imprudemment à sa portée.
Christophe qui n'eut aucune peine à venir a bout des deux femmes désarmées, les menotta au premier radiateur venu, non sans plaisir, et partit à la poursuite de la jeune criminelle et de son complice, non sans s'être armé au préalable. Les côtes du Finistère n'avaient aucun secret pour Christophe dont le père était un ancien pêcheur. Judith était assise nue à l'arrière du hors-bord, dans une pose pornographique dont elle avait le secret. Elle présentait son sexe à son complice comme pour l'exciter tout en frottant son pied lascivement sur l'armature du bateau.

Christophe arriva et d'un seul bond, il invita Judith à se rendre.

« Tu me m'auras jamais » lui répliqua la jeune femme avant de demander à son complice de démarrer sauvagement le hors-bord.

Christophe sauta dans un autre bateau : la poursuite finale pouvait commencer.

Les bateaux battaient sauvagement les flots. La mer d'huile s'animait des ressacs jetés par les hors-bord comme autant d'écume.

Judith exhorta son complice à tirer et à augmenter la cadence déjà vive du hors-bord qui longeait les côtes au profil rocailleux.

Christophe répliqua ; il parvint néanmoins à blesser le conducteur à l'épaule. L'homme tenta en vain de ne pas répondre à la douleur qui lui cisaillait le dos en perdant connaissance. Sa vue s'obscurcit, ses forces l'abandonnèrent et il prit peu à peu la direction des rochers tandis que Judith tentait de le raisonner, affolée.

- Redresse on va droit sur les récifs !

Terrassé de douleur, Igor perdit totalement connaissance et laissa le bateau aller à sa perte. Ne pouvant d'où elle était corriger la trajectoire délétère de son engin qui prenait le chemin des récifs, Judith, le visage criard, hurla à pleine voix et son corps se cabra dans un geste d'ultime frayeur.

- AAAAAA

Le hors-bord parti s'exploser rageusement sur les rochers, ne laissant aucune chance à ses occupants.

« Ben Merde !...» s'exclama Christophe un rien surpris par l'épilogue de la poursuite.

Alors qu'il allait rentrer dans la maison pour embarquer les deux femmes toujours attachées à leur radiateur, une voiture arriva qui stoppa nette à ses pieds. C'était l'inspectrice Marie-Claire.

- Vous êtes comme la cavalerie vous, vous arrivez toujours en retard ! s'indigna Christophe

- Que s'est-il passé pour vous mettre le sexe dans cet état, interrogea la commissaire qui n'avait jamais vu une telle excroissance émergeant d'un pantalon.

- Je vous expliquerai... Mais une chose est sûre, c'est pas encore aujourd'hui que réussirez à me virer !

Sur quoi Christophe parti d'un rire, le pas léger...

FIN