L'histoire de Pandora (Chapitre 3 et 4. Le 2ème et le 3ième jours)

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Proposée le 3/07/2008 par Bolo_CxRousse

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Deuxième jour
Au sortir du lit, le vendredi, Pandora se leva de mauvaise humeur. Elle savait qu'elle n'allait pas revoir son catéchumène avant cinq longues journées. Elle décida qu'elle allait parfaire son bronzage en le rendant intégral. Qu'importe si son mari s'en apercevait, elle ne faisait rien de mal dans une propriété privée, loin des regards indiscrets. De toutes façons, l'éventualité que son époux fasse attention à ce genre de détail était véritablement infime. Le pauvre homme ne rentrait pas tous les soirs à la maison et lorsqu'il honorait la famille de sa présence, c'était pour répéter inlassablement qu'il était exténué... Pandora décida désormais que dans la journée, elle déambulerait totalement nue dans la propriété. Elle n'avait rien à cacher à Pedro son petit chien soumis et les rares visiteurs annoncent toujours leur présence au portail ou au téléphone. Pandora savait qu'elle jouait avec le feu car son mari pouvait faire irruption dans la maison à n'importe quel moment. S'il la surprenait en train de se promener nue dans le jardin, il ne lui serait pas difficile d'expliquer sa décision de pratiquer le bronzage intégral. Mais s'il la surprenait avec Pedro, cela risquait d'être assez rock 'n roll. Elle se rassura en se disant qu'en vingt ans de mariage son époux n'est jamais rentré avant vingt heures, même au tout début de leur vie de couple. Après avoir prit son petit déjeuner sans être passé par la salle de bains préalablement, Pandora s'étendit à plat ventre sur une serviette au bord de la piscine. Le soleil commençait à sérieusement lui cuire les fesses quand elle se décida à se retourner. Elle n'arrivait pas à tranquilliser son esprit malgré la chaleur débilitante. Elle imaginait mille scènes dans lesquelles, elle testait les aptitudes à la soumission de son catéchumène. Elle fantasmait sur sa toute puissance sur lui. Elle le voyait prosterné devant elle la suppliant de l'autoriser à lécher la semelle de ses chaussures ou le visage rejeté en arrière implorant qu'elle daigne l'abreuver de ses divines déjections. Pandora n'aurait jamais imaginé qu'un homme puisse un jour réveiller ce genre de fantasmes qui devaient très certainement sommeiller depuis très longtemps dans son subconscient. Elle n'aurait surtout pas imaginé prendre ce plaisir malsain à dominer un être naïf et sans défense. Elle se rendit rapidement compte qu'elle avait déjà échafaudé mille scènes dans lesquelles sa cruauté, son despotisme et son sadisme ne semblaient pas rencontrer de limites. Elle n'ignorait pas qu'il y a un grand fossé entre un fantasme et sa réalisation, mais elle restait persuadée qu'elle pourrait exaucer une grande majorité de ses vœux avec ce jardinier bien obéissant. La journée sembla terriblement longue malgré la demi-douzaine d'orgasmes que s'octroya la quadragénaire. Pandora décida qu'elle allait faire du shopping le samedi après-midi, pour faire passer le temps.

Troisième jour
Après une séance de bronzage intégral qui dura toute la fin de matinée, Pandora se doucha et s'habilla pour sortir. Elle prit la voiture grise qui a un plus grand coffre que la rouge. Elle mangea sans appétit dans un fast-food puis, elle commença à déambuler dans les galeries marchandes. Comme bon nombre de femmes ainsi que d'hommes dans des proportions plus raisonnables toutefois, Pandora aimait acheter convulsivement n'importe quoi quand elle ressentait une contrariété. Elle fit ainsi l'acquisition de deux robes et de deux paires de chaussures hors de prix. Elle acheta quelques sous-vêtements pour elle et pour sa fille ainsi qu'un large ceinturon à la boucle impressionnante dont elle se demanda aussitôt avec quoi elle allait le porter. En passant devant une animalerie, il lui vint subitement une idée. Pourquoi ne pas offrir un petit cadeau de bienvenue à son catéchumène ? Elle entra dans la boutique et demanda un collier, pour un très gros chien, prétexta t'elle. La vendeuse lui en proposa plusieurs mais celui qui retint son attention tout de suite était en cuir noir piqueté de gros clous à section carrée. La vendeuse l'informa que le collier était réversible si le chien tirait trop fort sur sa laisse. Les clous s'enfonçant dans la peau tendre au niveau du garrot, sans toutefois blesser l'animal, décourageaient l'animal de traîner sa maîtresse là où il le désirait.

« Mon chien est très obéissant. » S'exclama t'elle fièrement, tout à la joie de pouvoir parler de Pedro en ces termes sans que personne ne puisse soupçonner qu'il ne s'agit pas réellement d'un animal de la race des canidés. « Mais je vais tout de même vous prendre ce collier clouté. Je le trouve tellement ravissant ! Je voudrais aussi deux laisses : Une très courte pour les promenades auprès du corps et une avec enrouleur pour qu'il puisse s'ébattre sans s'éloigner. »Ajouta t'elle d'une voix trop affable pour être honnête.

La vendeuse empaqueta les objets avec un large sourire pour cette maîtresse qui semblait prendre grand soin de son animal de compagnie et ne pas regarder à la dépense quand il s'agit du bien-être de son compagnon canin. En sortant du magasin, un sourire énigmatique aux lèvres, Pandora songea qu'il n'était pas encore temps d'imposer ces instruments de coercition à Pedro. Mais elle préférait les avoir sous la main pour le jour où elle sentira qu'il sera prêt à accepter cette humiliation supplémentaire. Et puis ça l'excitait de penser que ces deux laisses et ce collier seront cachés dans une commode de la chambre conjugale et que son époux dormirait juste à côté. Stimulée par ces pensées perverses, la quadragénaire se dirigea aux toilettes dans lesquelles elle ôta sa fine culotte de dentelles blanches afin de sentir l'air climatisé du centre commercial caresser sa vulve glabre. Elle alla s'asseoir à la terrasse intérieure d'une buvette pour ressentir tout le bonheur du contact de sa chatte brûlante sur la fraîcheur des sièges en bois vernis. Elle se remit à penser à ce qu'elle allait faire subir au pauvre Pedro dont elle ignorait le vrai prénom. Mais c'était sans importance : Un esclave porte le nom qu'on lui donne. Il n'a pas d'autre identité que celle que sa propriétaire veut bien lui donner. Elle pourrait tout aussi bien ne pas lui octroyer de nom et simplement le siffler ou claquer des doigts pour l'appeler... Le garçon se présenta devant elle et toussota pour marquer sa présence car la belle quadragénaire semblait perdue dans ses rêveries.

« Oh ! Excusez-moi, jeune homme ! » S'exclama t'elle devant le serveur qui ne devait pas avoir plus de dix ans de moins qu'elle. « Je pensais à mon chien. Il est si docile, si bien dressé. C'est un amour... »
« Il n'y a pas de mal à aimer les bêtes, Madame. Bien au contraire ! Comme je dis toujours : Ceux qui aiment les bêtes, aiment les gens... » Répondit niaisement le garçon.
« C'est bien vrai ce que vous dites. » Rétorqua Pandora sur le même ton mièvre en songeant que cette phrase pouvait avoir un double sens car elle aimait Pedro l'humain comme on aime son chien.

Le garçon prit commande et lui apporta son grand verre de soda empli de glaçon avec la promptitude des professionnels expérimentés.

De retour à la maison, la quadragénaire rangea son matériel canin dans la commode de la chambre comme prévu. Elle se déshabilla pour essayer ses nouvelles chaussures qu'elles ne porteraient qu'en présence de Pedro. Elle se contempla dans la glace de la chambre totalement nue à l'exception de cette paire d'escarpins aux talons aiguilles impressionnants. Cette paire avait la particularité de ne comporter qu'une bride transparente traversant le coup de pied à hauteur de la naissance des orteils. L'autre particularité de ces chaussures était l'originale semelle transparente qui permettait de distinguer la plante des pieds de celle qui les portait. Le plastique de ces semelles se serait bien vite opacifiée au contact du sol rugueux des trottoirs en temps normale mais ils n'avaient aucune chance de s'user sur le carrelage lisse du bord de la piscine, d'autant plus que Pandora ne comptait pas trop les garder aux pieds étant donné que son catéchumène les lui ôterait très rapidement pour présenter ses hommages à sa future propriétaire. Pandora détailla son corps nu dans le miroir. Elle était encore très bien faite pour une femme de son âge ayant vécut deux accouchements. Son petit ventre rond ne la gênait nullement et ses seins en forme de poire la ravissaient. Son minou épilé était véritablement irrésistible, sans parler de ses longues jambes effilées au galbe harmonieux. Ses fesses un peu potelées étaient en totale harmonie avec le reste du corps. Son visage un peu carré encadré de longs cheveux châtains clairs était illuminé par deux grands yeux bleus qu'elle prenait grand soin de maquiller pour les mettre en valeur. Pandora ne voyait aucune objection à ce que Pedro soit subjugué par sa beauté. Elle essaya les deux robes ainsi que l'autre paire de chaussures qu'elle destinait à un usage plus conventionnel. Elle se déshabilla de nouveau. S'enduisit le corps de crème protectrice contre les coups de soleil puis, elle descendit s'allonger nue sur sa chaise longue.

A suivre... (Un rêve de Pandora.)