L'histoire de Pandora (Chapitre 2 : Le premier jour.)

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Proposée le 30/06/2008 par Bolo_CxRousse

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Le lendemain matin, Pandora se leva de bonne heure et de bonne humeur. Il y avait longtemps qu'elle ne préparait plus les petits déjeuners des enfants qui étaient tous les deux majeurs et assez grands pour se lever seuls et prendre leurs responsabilités. Elle prit une douche froide pour raffermir ses chairs de quadragénaire puis, elle prit, nue, son petit déjeuner sur la terrasse.
Quand le jardinier fit son apparition au bout du jardin, Pandora se leva, et lui fit un signe de bienvenue. Puis elle retourna dans la maison pour enfiler un peignoir. Elle était sûre de l'effet qu'avait provoqué sa petite mise en scène. Le garçon s'approcha de la terrasse sur laquelle Pandora revenait vêtue d'un peignoir de soie si fin qu'il épousait toutes les courbes de son corps voluptueux de quadragénaire ne laissant aucun doute sur sa totale nudité sous le vêtement. Elle portait une paire de fines mules à hauts talons en soie rose également qui galbaient merveilleusement bien son pied et mettait en valeur les courbes harmonieuses de ses mollets. C'est elle qui parla la première.
« Vous êtes ponctuel et j'apprécie cela, jeune homme. Mais, au fait, comment vous appelez-vous ? »
« Je me nomme Rodr... »
« C'est sans importance ! » L'interrompit-elle sans ménagement. « Je vous appellerais Pedro. C'est simple à retenir et simple à prononcer. Et bien ! Qu'attendez-vous pour commencer ces bordures ? Que la pluie tombe dessus ? » Dit-elle en souriant de son bon mot mais sans se départir de son ton intransigeant.

Le garçon retourna à sa camionnette pour chercher le matériel nécessaire puis, il brancha la tondeuse à fil rotatif et commença par le fond du jardin. Pandora s'était étendue sur une chaise longue au bord de la piscine. Elle lisait distraitement une revue féminine. De ces publications dont tous les articles regroupés représentent environ une dizaine de pages et dont l'intérêt reste encore à démontrer alors que la publicité représente les 120 autres pages. Alors que Pandora n'arrivait pas à se concentrer sur un test concernant la bonne entente dans le couple, elle finit, exaspérée par poser sa revue pour s'apercevoir que ce qui l'empêchait de se concentrer n'était autre que le bruit incessant de ce moteur qui s'amplifiait au fur et à mesure que le jardinier s'approchait de la piscine. Pandora se leva et se dirigea vers le bruit d'un pas décidé, un petit sourire ironique aux lèvres. Elle ne tarda pas à repérer le câble, et le longea jusqu'à trouver une prise de raccord qu'elle arracha avec rage. Le bruit cessa instantanément, redonnant au jardin son aspect tranquille. Pandora rencontra le garçon sur le chemin du câble.
« La prise a du se débrancher. » Annonça t'il timidement.
« C'est moi qui l'ai débranché ! » Rétorqua t'elle rageuse. « Vous me cassez les oreilles avec votre engin à moteur ! Débrouillez-vous comme vous voulez, mais je ne veux plus entendre que le bruit des insectes qui butinent dans ce jardin ! »
« C'est que... Madame... Sauf le respect que je vous dois... Le travail risque d'être beaucoup plus long si je dois l'effectuer manuellement... » Avança t'il timidement.
« Que m'importe ! J'ai toute la journée devant moi ! » Rétorqua t'elle avec une franche mauvaise fois puisqu'elle savait pertinemment que le jardinier avait rendez-vous à trois heures.
« C'est que j'ai un rendez-vous après vous... » Fit remarquer maladroitement le jeune jardinier.
« Et bien annulez-le Pedro ! Que voulez-vous que j'y fasse ? Le téléphone est sur la table de la terrasse... »Annonça t'elle en tournant les talons sans demander son avis au garçon.

Pandora exultait à l'idée que le jardinier allait s'exécuter malgré qu'une simple protestation eue été amplement justifiée. Elle s'étendit sur sa chaise longue et lorgna du coin de l'œil en direction de la terrasse pour apercevoir avec jubilation le jeune homme qui feuilletait son carnet d'adresse à côté du téléphone. Après quelques palabres dont elle ne pouvait distinguer que des bribes, le garçon s'approcha d'elle pour lui confirmer qu'il avait annulé son rendez-vous de l'après-midi et qu'il allait retourner à son travail en essayant de ne pas faire de bruit. Pandora releva ses lunettes de soleil sur son front et fixa le jardinier droit dans les yeux. Elle voulait voir son regard fléchir. Elle voulait le sentir à sa merci. Elle put constater que le regard du garçon ne soutint pas le sien plus d'une seconde. Presque instantanément les yeux du jeune sud-américain se fixèrent sur le carrelage pour ne plus le quitter.

Il était temps pour Pandora de mettre la deuxième phase à exécution : C'est à dire assigner au jardinier des tâches qui ne sont pas de son ressort.
« Puisque vous avez l'après-midi complète pour tailler les bordures de massifs, que diriez-vous d'une petite pause rafraîchissante en ma compagnie, Pedro ? »

La maîtresse de maison avait volontairement appuyé sur le pseudonyme qu'elle lui avait imposé. Le garçon fit un signe affirmatif de la tête qu'elle interpréta comme un acte de subordination
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« Et bien vous trouverez tout ce qu'il faut dans le grand réfrigérateur du salon. Limonade et machine à glaçons. Vous trouverez un plateau, des verres et une carafe posés sur le bar juste à côté. Allons dépêchez-vous, sinon vous allez devoir faire des heures supplémentaires durant la nuit ! » Lui asséna t'elle sur un ton qui ne prêtait guère à discussion.

A la grande satisfaction de Pandora, le garçon se dirigea sans hésitation en direction de la terrasse et pénétra dans le salon en ayant prit soin de s'essuyer les pieds préalablement. Il revint une minute plus tard, soutenant un plateau chargé des deux mains. Il posa le plateau à côté de sa patronne sur une petite table qu'il approcha d'elle.

« Qu'attendez-vous pour faire le service ? »S'exclama Pandora, toujours allongée et les yeux fermés.

Le garçon s'exécuta en déposant plusieurs glaçons dans les deux verres puis, en versant la limonade par-dessus. Il tendit un des verres à sa patronne qui le surveillait du coin de l'œil, cachée derrière ses lunettes. Mais en vain, car Pandora avait bien l'intention de tester le niveau de soumission supportable par ce beau jeune homme un peu simplet. Le garçon attendit patiemment de longues secondes sans toucher son verre avant de se décider à s'adresser à sa patronne.

« Madame ! Votre limonade est prête. »
« Très bien, Pedro ! Posez-la sur la table, pour le moment. »

Pandora voulait guetter le moment pendant lequel le garçon allait commencer à boire sans qu'elle n'ait commencé elle-même. Elle constata avec satisfaction que le jeune homme restait hébété devant son verre en attendant qu'elle prenne le sien. Après deux interminables minutes, Pandora jugea qu'il n'était pas nécessaire de continuer l'expérience si elle ne voulait pas boire une limonade tiède... Puis lui vint une idée qui allait pouvoir être un préambule à la troisième phase de son plan. Elle se releva sur un coude et posa ses lunettes sur la table. Elle prit son verre et le porta à sa bouche sans un mot. Immédiatement après avoir prit la première gorgée, Pandora recracha celle-ci en direction du garçon, inondant son short et son tee-shirt.« Cette limonade est tiède ! C'est dégoûtant ! » S'exclama t'elle d'un air feignant le dégoût.

Puis, elle jeta le contenu du verre devant elle en ratant de peu le jeune jardinier qui avait eu le reflex de se déplacer sur le côté. Il était évident qu'en deux minutes sa boisson additionnée d'une demi-douzaine de glaçons n'avait pu se réchauffer. L'essentiel était de trouver un prétexte pour humilier le garçon et il devenait important pour la maîtresse des lieux que le jeune homme sache qu'il ne s'agissait que d'un prétexte. Elle se fit re-servir un verre qu'elle ne but qu'à moitié. Puis feignant de constater que son jardinier était trempé, Pandora l'invita à faire sécher son short et son tee-shirt sur le bord de la piscine. Après quelques secondes d'hésitation qu'elle sut réfréner d'un regard noir, le jeune sud-américain se retrouva en slip à côté de sa patronne qui jubilait intérieurement en découvrant le corps musculeux et bronzé de son catéchumène. Pandora se leva après avoir terminé la dernière gorgée de sa limonade et sans un mot se dirigea dans la maison. Elle en revint vêtue d'un maillot de bain blanc d'une pièce qui mettait en valeur par contraste le doré de sa peau. Ce maillot avait la particularité d'être importable en public car il devenait presque transparent dés qu'il était mouillé. Pandora avait bien l'intention de faire saliver son jeune 'invité'.

Pandora longea lentement le bord de la piscine en examinant d'un œil discret les réactions du jardinier. Celui-ci regardait fixement son verre comme pour éviter tout regard indiscret qui serait mal interprété. Profitant que le garçon ne la regardait pas, Pandora poussa dans la piscine les deux vêtements qui séchaient sur le bord.

« Oups ! J'ai fait tomber vos vêtements à l'eau ! » S'exclama t'elle sans pouvoir retenir un petit rire facétieux. « Je vais aller les chercher. » Ajouta t'elle en plongeant dans la piscine.

Elle ne tarda pas à récupérer les deux vêtements mais au lieu de les essorer et de les étendre au bord de la piscine, Pandora fit quelques longueurs sur le dos en observant le jeune jardinier qui semblait sincèrement ennuyé.
« Ne vous en faîtes pas, Pedro ! S'ils ne sont pas secs ce soir, vous pourrez au moins rentrer chez vous au frais. » S'exclama t'elle d'un ton moqueur.

Elle déposa enfin le tee-shirt et le short sur le bord de la piscine sans avoir pris la peine de les essorer préalablement. Puis, Pandora sortit de la piscine sûre de l'effet qu'elle allait produire sur le garçon assis par terre en slip. Son maillot de bain ne cachait absolument rien de son anatomie. Les traces de bronzage au niveau des fesses et des seins étaient visibles comme si elle ne portait pas de vêtement. C'est surtout la fente de son pubis intégralement épilé qui se distinguait sans peine sous le tissus diaphane qui moulait le mont de vénus comme une seconde peau. Le visage du garçon était devenu tout rouge, trahissant son émoi et sa confusion. La maîtresse de maison jubilait intérieurement devant ce jeune homme décontenancé. Elle connaissait son pouvoir d'attraction sur les hommes malgré sa quarantaine débutante. Elle tordit ses cheveux au-dessus de l'eau pour les essorer, se penchant habilement en avant pour mettre son postérieur en valeur. Elle sentait le regard du jeune homme derrière elle et cela lui procurait une satisfaction au-dessus de ses espérances qui se traduisait par une sorte de picotement au niveau de l'échine. Elles'étendit nonchalamment sur sa chaise longue prenant soin de gonfler sa poitrine et de ne surtout pas croiser les jambes afin que son pubis soit bien visible. Elle ne tarda pas à défaire les brides de son maillot afin de rouler celui-ci sur son ventre en dénudant totalement sa poitrine bien faite.

« Et bien Pedro ! Au lieu de me reluquer avec ces yeux de merlan frit, allez terminer cette bordure et revenez ici dés qu'elle sera terminée pour voir si je n'ai pas besoin de vous » Dit-elle d'un ton anodin, les yeux toujours clos.

Le garçon se leva immédiatement et retourna à son labeur simplement vêtu de son slip. Pandora exultait. Les deux premières phases avaient fonctionné à merveille. La troisième se déroulait sans encombre alors qu'elle n'en était qu'à son premier jour avec Pedro. Elle avait la certitude que ce garçon avait des capacités intéressantes qu'il fallait exploiter. Elle sentait qu'elle pourrait obtenir tout ce qu'elle voulait de cet esprit naïf et malléable. Il suffisait d'opérer par pallier car dans son esprit simple, un peu trop de précipitation risquait d'avoir un effet néfaste. Il fallait qu'elle l'habitue à rester en contact avec elle. Il fallait qu'il s'accoutume à la proximité de son corps dénudé. Il fallait qu'elle l'apprivoise afin d'obtenir de lui une parfaite soumission et une obéissance sans faille. Elle s'était fixé pour but de façonner son esprit de manière à ce qu'il ne conteste jamais un de ses ordres et qu'il se conforme naturellement à tous ses désirs. Elle savait que la route risquait d'être longue avant que le garçon se trouve agenouillé nu devant son lit en attendant qu'elle lui fasse signe d'officier avec sa langue entre ses cuisses. Mais elle saurait être patiente, d'autant plus qu'elle prenait un réel plaisir pervers à dévoyer le jeune sud-américain. Ce n'est que quand cette cinquième et ultime phase serait accomplie que Pandora passerait au plan suivant qui consistait en un savant dressage de sorte qu'il soit capable de prévenir ses moindres désirs et qu'il soit totalement assujetti à elle. La quadragénaire rêvait tout éveillée au moment quand Pedro la considèrera comme une sorte de déité envers laquelle il vouera une adoration sans limite. Bercée par le discret cliquetis du taille-haie, Pandora s'imaginait adulée par ce beau jeune homme au corps athlétique quand, tout à coup, les cliquetis cessèrent. Pandora ôta promptement son maillot de bain et s'étendit à plat ventre sur le carrelage du bord de la piscine. Le garçon fit son apparition quelques secondes plus tard.
« J'ai finit cette bordure, Madame. Désirez-vous quelque chose ? » Annonça t'il la voix enrouée par l'émotion que lui procurait la vue du corps intégralement nu de sa patronne.

Heureuse de constater l'effet escompté sur le jeune homme, Pandora lui répondit d'un air ensommeillé.

« Ce n'est pas quelque chose, mais plutôt un service que je voudrais vous demander Pedro... » Elle laissa s'écouler quelques secondes afin de ménager son effet. « Je voudrais que vous m'enduisiez le corps d'huile protectrice car je crains d'attraper un coup de soleil. »

Le garçon resta quelques instants immobile. Il semblait paralysé à l'idée de toucher ce corps et d'avoir à résister à la tentation de le caresser.


« Vous n'avez pas compris ce que je viens de vous demander Pedro ? Faut-il vous le dire plusieurs fois ? » S'exclama t'elle comme si elle venait de sortir de sa torpeur.

Le garçon attrapa le flacon d'huile solaire sur la petite table et le déboucha. Il s'approcha avec précaution de sa belle patronne et versa quelques gouttes du liquide sur le dos de celle-ci. Après quelques secondes d'hésitation, il commença à étendre d'une main mal assurée l'huile sur le corps doré de sa patronne. Voyant que celui-ci ne cessait d'oindre son dos, Pandora lui fit remarquer justement que les parties de son corps qui devaient être protégées en priorité étaient celles qui n'étaient pas encore bronzées. La seule partie encore blanche de ce côté était les fesses dodues de la maîtresse de maison. Le garçon fit tomber quelques gouttes sur chaque globe et sa main ne tarda pas à étendre voluptueusement l'huile sur toute la surface de peau blanche. Pandora ressentait dans son entrejambe toute la sensualité qui se dégageait de la caresse facilitée par le pouvoir lubrifiant de l'huile. Les mains de garçon avaient prit de l'assurance. Il longeait sensuellement la raie culière puis, ses mains empaumaient les deux globes fessiers et les contournaient pour mourir au niveau de l'entrejambe. Pandora sentit quelques gouttes tomber sur ses cuisses et ses mollets. Les mains ne tardèrent pas à les étaler avec expertise. L'entrejambe de Pandora était inondé maintenant. Les deux paumes longeaient lentement les cuisses fuselées avec sensualité. Puis elles prolongeaient la caresse jusqu'aux chevilles qu'elles massaient avec beaucoup de délicatesse. Pandora se sentait bien. Elle n'aurait jamais soupçonné la sensualité exacerbée de ce garçon. Elle ne pouvait pas imaginer que son plaisir à cet instant précis n'était rien à côté de l'expérience qu'elle allait vivre dans quelques secondes. Elle sentit des gouttes tomber sur la plante de ses pieds. Pandora étant chatouilleuse de nature, elle faillit interrompre la séance à cet instant car elle ne voulait pas se montrer devant son catéchumène dans une posture qui ne serait pas à son avantage. Bien mal lui en aurait prit. Celui-ci plia la jambe droite de sa patronne afin de rendre son pied plus accessible. Ses mains enserrèrent délicatement le mignon peton de Pandora et entreprirent alors un massage d'une sensualité inouïe. Jamais Pandora ne ressentit la moindre sensation de chatouille. Bien au contraire, il lui semblait que le plaisir que lui procuraient ces mains sur son pied se diffusait le long de ses jambes pour venir se concentrer dans son vagin maintenant inondé. Alors qu'elle ne s'y attendait pas, Pandora sentit un orgasme sourdre de son bas ventre. Elle eut juste le temps de rabattre son pied au sol avant de sentir les convulsions envahir tout son corps. Elle était essoufflée et avait toutes les peines du monde à dissimuler son émoi. Pedro s'empara du second pied sans avoir versé d'huile dessus. Pandora faillit avoir une attaque en sentant la bouche du jeune homme entourer son gros orteil et le sucer avec délicatesse. A peine remise de sa surprise, elle sentit la langue du jardinier s'insinuer amoureusement entre ses doigts de pieds. Elle ne put, cette fois, réfréner l'orgasme qui la submergea emportant la totalité de son corps dans des spasmes violents. Elle s'entendit l'invectiver de sa voix devenue rauque. Elle l'encouragea à ne pas cesser mais avec des mots obscènes qu'elle n'aurait jamais cru possibles de sortir de sa bouche de femme bien élevée. Elle se retourna sur le dos dévoilant ainsi son pubis épilé et ses beaux seins en forme de poire. Le garçon n'eut pas besoin de recevoir d'ordre pour plonger immédiatement entre les cuisses écartées de la femelle en chaleur et calmer d'une langue agile, le feu qui brûlait dans le vagin luisant de Pandora. Excitée par les caresses que cette langue lui prodiguait, Pandora étreignit des deux mains, la chevelure du garçon pour l'obliger à enfoncer son organe buccal encore plus profondément. A aucun moment le jeune jardinier ne tenta de se soustraire à cette pression qui devait sûrement l'étouffer. En même temps que le plaisir physique que lui dispensait Pedro, Pandora percevait une sensation de toute puissance qu'elle n'avait jamais éprouvée auparavant. Pendant que le garçon officiait consciencieusement dans le vagin de Pandora parcouru de spasmes. Celle-ci songeait que ce n'était pas la première fois qu'elle se sentait belle et séduisante. Son mari lui avait prouvé en de trop rares occasions combien il la trouvait désirable. Mais c'était la première fois qu'elle se sentait littéralement adulée. Le jeune Pedro ne semblait pas se lasser de lui prodiguer cette caresse si intime mais si dégradante quand elle est dispensée par une personne qui n'est pas intimement lié à vous. Ses lèvres aspiraient le clitoris de sa patronne devenu presque douloureux à force d'être érigé. Sa langue parcourait le vagin de haut en bas avec une lenteur calculée. Sa bouche baisait les petites lèvres avec une sensualité inimaginable. Il avalait les abondantes sécrétions de sa patronne avec des bruits de déglutition qui l'excitait. Ce garçon semblait expert dans l'art de savoir faire jouir une femme avec sa bouche.

Quand Pandora sentit qu'il ne fallait pas aller plus loin car elle craignait que la séance tourne à l'orgie et qu'elle ne voulait en aucun cas que ce jardinier inconnu la pénètre, elle repoussa le visage de son catéchumène luisant de sécrétions. Elle sourit devant l'image de ce beau jeune homme barbouillé du plaisir de sa patronne qui ne semblait rien demander d'autre que de lui procurer du plaisir en faisant abstraction du sien. C'est bien ainsi qu'elle voyait maintenant les relations de couple. La femme impose et le mâle dispose. Allait être sa nouvelle ligne de vie. Elle demanda à Pedro de se lever puis, elle se positionna debout devant lui.

« Enlève ton slip ! » Lui ordonna t'elle en le tutoyant pour la première fois.

Pedro ne se fit pas prier et Pandora put découvrir un sexe de taille démesurée mais complètement flasque. Le garçon n'affichait, en effet aucune érection qui, en général témoigne du désir qu'un homme ressent pour sa partenaire. Bien que déçue par cette découverte, Pandora ne lui posa aucune question et lui ordonna de retourner à ses bordures tel qu'il était, c'est à dire complètement nu et le visage maculé de traces blanchâtres.
« Quand tu auras terminé cette bordure, tu viendras vérifier que je n'ai pas encore besoin de toi. Si ça n'est pas le cas, tu prendras tes vêtements et t'en iras. Je t'attends mercredi après-midi. » Lui lança t'elle.

Sur ces mots Pandora tourna les talons sans avoir à vérifier si le garçon allait suivre ses ordres. Elle savait qu'il les suivrait. Pandora se fit couler un bain dans lequel elle s'immergea avec volupté. Elle n'aurait jamais imaginé qu'elle pouvait faire passer les 5 paliers à Pedro en une seule demi-journée. Ce n'est qu'après une bonne heure que Pandora sortit délassée de son bain moussant. En entrant dans la chambre, elle aperçut par la fenêtre Pedro qui attendait patiemment debout devant sa chaise longue les yeux baissés. Qu'il était beau ce jeune homme au corps musculeux ! Il était encore plus à croquer avec son regard de chien soumis. Pandora enfila une robe d'hôtesse qu'elle avait achetée à Paris durant leur voyage de noce. D'un seul tenant, la robe noire était fendue jusqu'à la taille sur les pans de devant et derrière ne dissimulant rien de la raie des fesses ni des lèvres intimes de celle qui la porte. La poitrine était à peine couverte, de sorte que les tétons érigés de Pandora étaient entièrement visibles. Pour finir, il suffit de savoir que ce vêtement était totalementtranslucide et qu'aucunes parties du corps de celle qui le porte n'étaient dissimulées au regard de l'observateur. Pandora enfila une paire de sandales dorées à talons aiguilles vertigineux. Elle descendit dans cette tenue indécente rejoindre son catéchumène qui l'attendait bien sagement debout devant la piscine. Quand Pandora s'installa dans la chaise longue, le garçon s'agenouilla dans un même mouvement. Pandora eut la surprise de voir le garçon se prosterner pour baiser ses pieds qui étaient encore au sol. Malgré le petit picotement agréable qu'elle ressentit, la quadragénaire se libéra de l'emprise du garçon et étendit ses jambes. Elle l'examina pendant quelques longues secondes puis, elle lui ordonna de la déchausser. Le jeune garçon s'exécuta avec empressement.

« Baise mes pieds Pedro ! » Lui Ordonna t'elle d'un ton sec mais sans animosité.

Lorsque les lèvres du garçon se furent déposées sur les deux pieds de sa patronne, celle-ci ajouta d'un air solennel :

« Ce sera désormais ta façon de me souhaiter le bonjour et de prendre congé de moi. Rechausse-moi maintenant. »

Pedro enfila les belles sandales sur les pieds mignons de sa patronne avec une agilité insoupçonnable puis, il prit congé sans un mot, non sans s'être plié en deux pour saluer sa patronne et sans oublier de reprendre ses vêtements qu'il enfila au fond du jardin avant de sortir par le portail. Pandora se laissa aller quelques instants à rêver à toutes les possibilités qu'offrait ce jeune sud-américain. Elle se voyait déjà adulée par ce bel athlète qui se prosternerait devant elle systématiquement et qui masserait avec vénération ses pieds dans sa bouche. Elle se reprit un instant plus tard, car il était temps pour elle de se changer et de reprendre son train-train habituel de femme au foyer. Elle n'avait nulle intention de gâcher cet après-midi extraordinaire en s'astreignant à faire à manger. Elle appela la pizzeria d'à côté pour passer commande de deux grandes pizzas royales pour vingt heures. Durant toute la soirée, Pandora resta songeuse. Elle ne pouvait enlever de son esprit la vision de son beau catéchumène agenouillé entre ses cuisses pour lui offrir l'orgasme le plus révélateur de sa vie. L'énorme sexe non érectile de Pedro hantait aussi ses rêveries éveillées. Ces enfants ne s'aperçurent même pas que leur mère semblait naviguer dans un état second. Ils se chamaillaient comme d'habitude seulement là, leur mère n'intervenait pas comme d'habitude.