Merveilleuse Sylvia

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Proposée le 1/07/2008 par Sandratvtg

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Aimant réaliser mes fantasmes, je me rends cet après midi chez Sylvia qui les met en scène avec talent dans des jeux de rôles captivants.
Une voluptueuse brune en déshabillée provocant m'ouvre la porte en souriant.
Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules.
Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Sa robe de nuit s'ouvre sur un corset rose à dentelles noires contenant difficilement ses seins sublimes. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas retenus par des jarretelles excitantes qui me laissent admirer ses cuisses fuselées.
Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle m'invite à rentrer dans son univers.

Après l'échange de quelques mots pour me mettre à l'aise, elle me demande de décrire mon fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes, et je lui confie alors que j'aimerai pouvoir rentrer dans la peau d'une fille, c'est-à-dire porter une lingerie glamour, avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint et un clito ultra sensible pour jouir de multiples manières.

- Je rêve également qu'une transsexuelle me fasse l'amour ou bien qu'une sulfureuse dominatrice m'empale avec son gode ceinture pendant qu'un travesti me suce divinement la queue.
- Beau programme, tu me donnes des idées, me dit Sylvia d'un air inspiré.

Désormais, je m'adresse à toi au féminin et puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je vais t'aider à devenir une femme avec tous ses artifices.
Suis moi dans ma chambre, nous allons choisir tes dessous, me dit-t-elle en me prenant gentiment par la taille.
Une demi heure lui suffit pour faire éclater ma féminité et elle me place devant une glace pour que je puisse admirer ma métamorphose.
Je suis coiffée d'une perruque blonde bouclée très seyante qui adoucit mes traits.
Mes yeux allongés par le maquillage portent des faux cils, mes lèvres sont ourlées d'un rouge intense et un fond de teint achève ma transformation.
Je porte une guêpière rouge et noire d'où jaillissent deux superbes seins siliconés.
Le tout est recouvert d'une adorable combinaison en satin de même couleur qui s'arrête à mi-cuisses.
Un slip fendu en son milieu encadre ma queue d'un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe offerte au regard de Sylvia.
Complétant ma tenue, huit jarretelles excitantes maintiennent les coutures de mes bas bien alignées et mes cuisses sont ornées de deux ravissantes jarretières.
Je virevolte devant la glace et admire ma taille prise dans cette ensorcelante guêpière qui comprime ma poitrine 105c.
Je tire sur mes bas et caresse en frissonnant de plaisir le voile de nylon tendu sur mes jambes en admirant leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins.
Je fais quelques pas dans la chambre pour sentir la tension de mes bas.
Puis, je frotte mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement des fibres qui m'enflamme les sens.
J'exhibe involontairement mes fesses hautes et bien cambrées qui plaisent généralement aux femmes.
Sylvia n'y fait pas exception car elle m'interpelle en fixant ma croupe avec insistance :
- Viens sur le lit ma chérie, je suis impatiente de te faire l'amour.
Elle me renverse sur le dos et glisse sournoisement sa main sous ma combinaison satinée.
Je la sens remonter lentement le long de mes jambes et se refermer sur mes bourses qu'elle masse avec douceur.
Ne pouvant résister à ses caresses, j'écarte imperceptiblement les cuisses.
Elle s'en rend compte et m'adresse un sourire prometteur.
Avec perversité, elle continue à saper ma résistance en faisant vibrer ma verge sous ses doigts.
Puis, elle ouvre la fente de mon slip et m'enfonce lentement son majeur dans les fesses.
Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut et presse avec insistance ma prostate tout en continuant à me masturber d'une main experte.
J'ai très vite une érection spectaculaire.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert.
- Attends moi un instant, je reviens m'occuper de toi, me dit-t-elle d'un ton enjôleur.
Elle réapparaît rapidement enveloppée d'une longue cape rouge qui s'entrouvre sur un impressionnant gode ceinture noir.
Il est solidement fixé à sa taille et se balance lourdement entre ses cuisses à chacun de ses pas.
Il a un gland épais comme je l'aime et une hampe striée de grosses veines apparentes.
- J'espère qu'il te plait car il mesure six centimètres de diamètre et vingt cinq centimètres de long, me dit-t-elle avec perversité.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu'elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.
Avec une étrange lueur dans les yeux, elle s'approche de moi en caressant lentement la hampe de ce gode qui me donne des frissons.
- Maintenant lève toi mon ange, je veux te prendre debout et de face.
- Remonte ta combinaison.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en lui dévoilant mes jarretières.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d'un coup par la fente de mon slip ouvert.
Sylvia sourit en voyant mon érection.
Soudain, elle me plaque contre la cloison de la chambre en forçant mes cuisses avec son genou.
Puis, elle empoigne mes bourses pour dégager l'accès à ma grotte et me plonge son gode dans le ventre en me fixant droit dans les yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister.
Sylvia me cloue au mur comme un papillon et s'enfonce en moi par poussées successives.
Puis, elle s'aide de ses mains agrippées à mes hanches pour m'empaler plus efficacement.
- Te voila bien prise mon ange, me dit-t-elle admirative.
Son bassin collé contre moi, elle me donne de puissants coups de reins qui me font défaillir.
Excitée par mes gémissements de plaisir, elle redouble d'ardeur.
- C'est bien ma chérie, continue comme cela, me dit-t-elle en me relevant une jambe.
Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L'image que me renvoie alors le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe relevée contre sa hanche avec ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse qui laisse apparaître mes bas et mes jarretelles tendues à craquer.
Je vois l'énorme pieu rentrer et sortir de mon ventre et mon corps qui tressaute en cadence. Sylvia poursuit ses assauts en me masturbant d'une main experte.
- Je sens ta queue frémir et se durcir entre mes doigts, me sourie-t-elle.
J'ai soudain l'impression d'être une fille que l'on viole à la hussarde en la prenant contre un mur pour satisfaire ses pulsions.
Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m'avoir fait vivre ce fantasme.
- Viens, je vais t'achever sur mon lit mon ange, me dit-t-elle avec un sourire carnassier.
Elle m'allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance comme un métronome entre ses cuisses.
- Maintenant, écarte les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle d'une voix ferme.
Perchée sur ses cuissardes, elle contemple ma rosette qui s'ouvre comme une fleur.
Quant à moi, je reste fascinée par cette Maîtresse dominatrice qui tient à deux mains ce sexe démesuré qu'elle me destine.
Placée entre mes cuisses, elle ne peut plus attendre et c'est avec un regard brûlant qu'elle me pénètre avec une lenteur calculée.
Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland et je laisse échapper un cri lorsqu'il me transperce le ventre.
Pousse fort quand je force ta rosette ma chérie, m'ordonne-t-elle.
Je lui obéis en sentant alors le gode se ruer dans mes reins.
Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber sur moi de tout son poids en s'enfonçant cette fois-ci jusqu'à la garde.
Le souffle coupé, mes mains se referment sur le pal pour tenter en vain de freiner sa course.
Mais, Sylvia me baise si bien, que j'abandonne très vite toute résistance.
S'arrêtant un instant, elle me dit :
- Ce ne doit pas être tous les jours que tu prends un tel calibre dans les fesses?
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour qu'elle m'empale à nouveau.
Soudée à moi, elle me travaille l'œillet avec une habilité diabolique et tourne vicieusement le gode pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.
Elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d'une manière prodigieuse ce pieu qui m'enflamme le ventre.
Me voyant sur le point de perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m'empêcher d'éjaculer trop vite.
Je finis cependant par succomber à sa perversité.
Quand Sylvia perçoit mon souffle court et voit mes jambes prises de tremblements, elle sait que je ne vais pas tarder à jouir.
Elle me chuchote alors à l'oreille :
- C'est le moment ma chérie, laisse toi aller.
Savourant l'instant, j'essaye au contraire de prolonger mon plaisir le plus possible en contractant mes fesses pour retenir la sève que je sens monter dans mes reins.
- Tu ne vas pas me résister bien longtemps, m'assure-t-elle en riant.
En effet, pleine de ressource, elle gratte lentement mon frein avec son ongle.
L'effet est indescriptible et j'explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.
Elle plaque alors son bassin contre moi en poussant le gode au plus profond de mes entrailles.
Mon sperme trop longtemps contenu jaillit dans sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues arabesques blanchâtres sur ma guêpière.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s'échappe encore de mon sexe.
Sylvia me sent totalement à sa merci.
Elle me caresse les bourses et presse ma queue entre ses doigts pour finir de me vider.
Puis, elle sort lentement le pal de mon ventre et décroche les sangles qui lui ceignent la taille.
Satisfaite, elle s'allonge sur moi et m'embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins magnifiques contre ma poitrine.
Un moment plus tard, le désir me reprend lorsqu'elle fait glisser ses jambes contre les miennes en me faisant sentir le contact électrique de ses bas.
Insatiable, elle poursuit en pressant mon gland décalotté entre ses cuisses gainées de nylon.
Lorsque je bande comme un fou, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.
Avec l'instinct d'une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe s'ouvre alors sur ma queue et l'engloutit avec une rare voracité.
Survoltée, Sylvia s'active et se tortille un long moment sur ma verge avant d'exploser de plaisir en m'inondant de cyprine.
- Je vais te faire découvrir une autre de mes spécialités, me dit-t-elle enfin calmée.
Elle se lève et sort d'un tiroir une seringue remplie de lubrifiant.
Avec des gestes précis, elle se penche sur moi et m'enfonce la canule dans les fesses en poussant lentement le piston pour que le gel tapisse entièrement ma muqueuse.
Puis, elle me fait asseoir sur le lit, le dos appuyé contre le mur.
Avec un regard torride, elle ouvre la fente de mon slip et plonge trois doigts dans mon fourreau en tournant habilement son poignet pour faire rentrer progressivement les autres.
- Tu es déjà bien ouverte ma chérie, me dit-t-elle.
Elle localise très vite mon point G et le presse avec la pulpe de ses doigts en m'arrachant des soupirs de bonheur.
Profitant de mon relâchement, elle me soulève avec sa main qui m'embroche et bloque son coude contre le matelas pour que je finisse de m'empaler moi-même par le poids de mon corps.
Stupéfaite, je vois disparaître peu à peu son poignet dans mon ventre.
Egalement troublée par ce spectacle, elle tourne lentement son bras de gauche à droite pour m'enfiler le plus loin possible.
Dans le même temps, elle me suce divinement la queue en s'arrêtant par moments pour me gober les bourses.
Lorsqu'elle me voit sur le point de jouir, elle me mordille le gland et lèche mon frein jusqu'à ce que j'éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle s'étrangle un instant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres avant de le déglutir rapidement.
Lorsqu'elle retire sa main de mon ventre, une coulée de gel glisse le long de mes cuisses et s'infiltre dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, s'exclame Sylvia en m'essuyant l'œillet.
- Je te propose de faire une pause pendant laquelle tu pourras te changer.
Ayant remarqué mon goût immodéré pour la lingerie, elle me laisse choisir dans son armoire ma nouvelle tenue d'alcôve.
Après une longue hésitation, j'opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin sur l'avant et en voile à l'arrière, rehaussée de fines bretelles roses.
Devant le miroir, je plaque fébrilement sur mon ventre un porte jarretelles - serre taille de couleur rose qui à l'apparence d'un corset.
J'accroche mes bas à résille aux jarretelles et j'enfile comme une seconde peau une paire de longs gants en soie qui accentue mon côté glamour.
Une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant met ma poitrine en valeur.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur brune pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m'admirer un instant devant la glace tout en me plaçant les seins dans les balconnets.
Je me trouve à la fois plus sexy et provocante que dans la tenue précédente.
Sylvia se colle contre moi en me pressant tendrement les bourses.
Entre deux baisers, excitée par la taille de mon sexe, elle me murmure à l'oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue et n'oublie pas que tu dois me laisser un libre accès à tes fesses, me dit-t-elle d'un ton sibyllin.
La séance d'essayage m'ayant fortement excitée, j'ai mon sexe dressé qui pointe avec insolence à travers mon déshabillé transparent.
- Laisses moi te vider les couilles, sinon tu ne résisteras pas longtemps au traitement que je te réserve, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Sans attendre mon avis, elle me culbute sur le lit en riant et relève ma nuisette et mon déshabillé sur mes seins.
Puis, elle m'enfonce son majeur dans les fesses pour me faire jouir.
Sortant un vibro de dessous l'oreiller, elle l'applique avec précision le long de mon frein jusqu'à ce que les vibrations fassent apparaître un peu de liquide lubrifiant à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, je m'occupe aussi de ton clito qui va bientôt exploser, me dit-t-elle d'un air coquin.
A ces mots, je me rends compte qu'elle me fait vivre mon scénario de rêve car je me sens vraiment femme dans cette lingerie érotique qui dévoile mes seins somptueux, ma croupe attirante et mon clito ultra sensible.
De plus, Sylvia est une merveilleuse Maîtresse qui sait me faire vibrer.
- Sais-tu que la jouissance anale est ma spécialité mon ange, me chuchote-t-elle à l'oreille en activant son doigt dans ma croupe.
Incapable de lui répondre, je la supplie du regard pour qu'elle continue ses caresses.
Pour prolonger mon plaisir, elle soulève le vibro de mon frein dés que la première goutte de sperme perle à la surface de mon gland et le repose quelques secondes plus tard pour faire couler la suivante.
Elle s'arrête lorsqu'elle me voit sur le point d'exploser.
Puis, plongeant ses yeux dans les miens, elle recourbe son doigt dans mes fesses en massant avec insistance mon point G.
Elle sourie quand mon anneau se contracte plusieurs fois de suite sur son majeur.
- Tu jouis du cul, me dit-t-elle.
Quelques secondes plus tard, je râle de plaisir lorsque s'échappe de ma verge une coulée de sève ininterrompue, due aux pressions expertes de Sylvia.
Lors de cette longue éjaculation continue, je ressens un plaisir intense qui me donne un bonheur sans égal.
Sans me laisser de repos, elle me bande les yeux en me réservant d'autres surprises.
- Enlève ton déshabillé et suis moi, me chuchote-t-elle en glissant sa main sous ma nuisette pour me flatter la croupe.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle m'aide à monter deux marches et à m'allonger sur une surface ferme.
Je devine qu'il s'agit d'une table médicale quand elle place mes talons aiguilles dans les étriers.
Elle m'écarte les jambes au maximum en me disant que cela est nécessaire pour la suite.
Lorsqu'elle retire mon bandeau, je reste sidérée en découvrant mon nouvel univers.
Je me trouve dans une petite pièce dont les murs et le plafond son entièrement recouvert de glaces.
Un objet insolite est placé entre mes jambes, mais mon regard est surtout attiré par la tige métallique qui pointe vers moi et sur laquelle est embroché un gode impressionnant.
- C'est une fucking machine que je vais essayer pour la première fois sur toi, jubile-t-elle.
- Jusqu'à présent, j'utilisais des godes ceinture de toutes tailles pour satisfaire mes clients.
- Mais, de nombreuses fois j'aurais aimé qu'ils me prennent pendant que je les sodomisais.
- Maintenant, je peux leur offrir des sensations plus fortes tout en prenant également mon plaisir.
- Tu vas me faire l'amour pendant que cette petite merveille t'empalera.
- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moments.
Notamment la profondeur des pénétrations, la vitesse et les vibrations de l'engin.
- Je peux aussi l'équiper d'un sexe dont les anneaux s'élargissent progressivement de trois à dix centimètres de diamètre ce qui comble les plus exigeants, me dit-t-elle en me jetant un regard équivoque.
- Mais rassure toi, je vais utiliser ce gode de cinq centimètres de diamètre qui me semble parfaitement adapté à ton cas.
- Je commence dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d'excitation.
Auparavant, elle m'attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l'abdomen.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir immobilisée de la sorte.
- Je t'attache pour t'empêcher de bouger et éviter que la machine ne te blesse pendant la séance.
- Mais, on n'en n'est pas encore là, rajoute-t-elle déçue en s'apercevant que je ne bande toujours pas.
- J'ai un nouveau jouet qui va te remettre en forme, me dit-t-elle en alignant la couture de mes bas.
Elle sort d'une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixée une pompe.
Je reconnais un vacum, qui sert à faire le vide d'air en gonflant la queue qui est à l'intérieur. Avec ça, tu vas bander rapidement, me dit-t-elle.
Elle glisse mon sexe dans le cylindre et actionne la pompe.
Je sens ma verge s'étirer et se dilater fortement.
Sylvia s'arrête de pomper lorsqu'elle atteint les vingt centimètres sur la graduation du verre.
Mais ce qui m'étonne le plus, c'est son diamètre exceptionnel.
Satisfaite, Sylvia le sort du tube et me glisse très vite un anneau pénien pour que je garde mon érection.
- Ton gland cyclopéen va me donner du plaisir, me dit-t-elle.
Elle règle ensuite la hauteur de la machine pour appliquer le gode contre ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d'initiation, me dit-t-elle rassurante.
Elle appuie sur la télé commande et le pal rentre lentement de quelques centimètres dans mes fesses.
Sylvia en profite pour le lubrifier copieusement.
Puis, tout en me masturbant, elle me fait découvrir les multiples ressources de l'engin.
Au bout d'un moment, la poussée du gode devient si forte que mes fesses se soulèvent à chaque va et vient
Elle me fixe intensément pendant que la machine m'empale sur un rythme soutenu.
Gênée, je ferme les yeux pour mieux savourer l'instant.
S'arrachant à ce spectacle, elle se met à califourchon sur moi s'enfonce ma queue dans la chatte jusqu'à ce qu'elle fasse ventouse avec mon ventre.
Sans la décoller, elle me donne de puissants coups de reins, roule des hanches en mobilisant ses muscles intimes.
Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Parfois, elle s'arrête et fait tourner lentement sa croupe sur ma verge qui lui sert de pivot.
- Tu aimes ça mon ange me dit-t-elle d'une voix chaude en me voyant trembler de désir.
Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent cette scène excitante.
Regardant au plafond, j'admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.
Elle est sanglée dans son corset et s'active avec ardeur en se trémoussant sur mon dard avec une rare perversité.
Je vois aussi de multiples godes qui sortent et rentrent dans mes fesses en m'embrochant sous tous les angles.
Sylvia augmente l'intensité des vibrations et me dit d'une voix enflammée :
- Je règle maintenant la machine sur la vitesse la plus lente pour t'empaler à fond.
Dans le même temps, avec un regard suppliant, elle me tend un vibro pour que je la fasse jouir.
J'écarte ses lèvres en le posant avec précision sur son clito.
Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, elle perd peu à peu son contrôle.
Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle jouit en poussant un cri qui libère sa tension aussitôt suivie de ses gémissements de bonheur.
- Eh bien ma chérie, tu m'as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore oppressée.
Reprenant vite le dessus, elle m'amène à son tour rapidement au bord de l'orgasme.
- Maintenant, je vais te pomper mon ange, me dit-t-elle en entamant une irrésistible danse du ventre tout en amplifiant les va et vient du gode.
Ces talents conjugués au rythme infernal de la machine me mettent dans un état d'excitation intense.
Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l'attente du fabuleux orgasme que je sens monter en moi.
Messaline déchaînée, Sylvia me chevauche à un rythme effréné en m'écrasant les bourses.
Je m'agite dans tous les sens et il ne sort plus que des borborygmes de ma gorge.
Une vague de plaisir me submerge soudain en me faisant éclater la tête.
Je suis à la limite de la syncope quand mon sperme gicle avec force dans son fourreau..
Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui la désarçonne en partie.
Elle m'embrasse avec fougue et contracte puissamment ses muscles intimes pour pomper mes dernières gouttes de liqueur.
Puis, elle stoppe la course du gode en le laissant planté dans mes fesses.
Elle contemple avec fascination ce pieu plongé dans mon ventre et le retire d'un coup sec en me laissant l'œillet largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, commente-t-elle suavement
- Comme tu es déjà bien dilatée et que ta rondelle est souple, j'utiliserai un diamètre plus important la prochaine fois.
- Sois sans crainte, je t'appliquerai auparavant un gel lubrifiant antalgique et je ferai les pauses nécessaires pour que tu t'adaptes à ce calibre.
- Tu seras alors prête pour que je t'initie au double fist, me dit-t-elle en épongeant mon sperme qui coule le long de ses cuisses.
Puis, elle me libère de mes liens et replace mes jarretelles qui s'étaient détachées lors de nos ébats.
- J'ai encore plein de choses à te faire découvrir, me dit-t-elle d'un ton enjôleur en caressant mon périnée et en pressant mes bourses.
Puis, à regret, elle m'aide à me relever en me voyant encore toute étourdie de plaisir.
Je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie et je la quitte en ne pensant plus qu'à la revoir le plus vite possible. Sandra.

Je vous remercie de me donner vos impressions ou vos idées sur ce texte à : sandratvtg@yahoo.fr