le manoir

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Proposée le 1/06/2008 par sophie47

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Il fait nuit et froid. Le brouillard enveloppe tout, rendant les paysages oppressants. La voiture m'arrête devant un manoir. Je descends, et ne sachant trop où aller, et monte le large perron de pierre.

La lourde porte de chêne n'est pas fermée.... Elle grince lorsque je la pousse et le son résonne lugubrement dans le silence de la nuit.
Je me retrouve dans un hall de marbre noir et j'essaie d'ouvrir plusieurs portes mais elles sont fermées. Soudain, comme par magie, deux petits bougeoirs s'allument, découvrant un couloir que je n'avais pas vu. J'avance lentement et les bougeoirs s'allument au fur et à mesure pour me guider.

Les courants d'air glaciaux dans cette demeure font vaciller les frêles flammes des bougies, rendant les ombres menaçantes. J'arrive au bout du couloir et je vois une porte est entrouverte. Elle s'ouvre plus largement devant moi, découvrant une bibliothèque éclairée par une énorme feu de cheminée.

Une silhouette se découpe devant ces flammes, celle d'un homme juste vêtu d'un tablier foncé qui laisse apparaître son dos et une partie de ses fesses. Il semble nettoyer le dessus de la cheminée avec un plumeau de plumes d'autruches. J'approche, mes pas étouffés par le lourd tapis de laine, et il sursaute quand il me sent derrière lui mais je l'empêche de se retourner. Je m'aperçois alors que je ne suis pas beaucoup plus habillée que lui.... Juste une guêpière de cuir noir, un foulard de soie rouge et des bas de dentelle.

Je dénoue mon foulard et lui bande les yeux. Il semble désapointé.
Je le prends alors par la main et l'oblige à s'allonger sur le tapis en remarquant a forme qu'a pris le tablier, la forme d'un tipi.....

Je le soulève, libérant un sexe dressé comme un pieu, fier et frémissant, puis prends le plumeau et le passe sur tout son corps, longuement. Il frémit et gémit.
Puis je viens m'accroupir à portée de sa bouche.... Sa langue ne tarde pas à me lécher et titiller mon clito et ses mains viennent se poser sur mes seins. Je le laisse faire, accompagnant sa bouche de mon bassin, ma chatte offerte à ses caresses.
De longues minutes s'écoulent, le silence seulement troublé par le bruit des flammes et le bruit de sussions de sa bouche.... Je sens mon sexe s'ouvrir, réclamer plus et plus, couler sur sa bouche.
Soudain, n'y tenant plus, je recule et viens m'asseoir d'un seul coup sur son membre qui a encore grossi, me semble t il.....

Ma chatte s'ouvre, accueillant avec impatience ce pieu dressé.... Ses coups de reins me font gémir..... ses mains toujours refermées sur mes seins.
Puis lentement, en le faisant languir (et moi de même) je viens titiller son gland de mon anus. Je force doucement et lentement, sentant ce sexe m'envahir au plus profonds de mon corps. Je fais de lents va et viens, toujours plus profonds, puis n'y tenant plus, je m'empale de plus en plus vite, de plus en plus fort, criant de plaisir , jusqu'à ce qu'une multitude d'étincelles éclatent dans mon corps, que ses longs jets de sperme ne font qu'accentuer.

Je finis par me blottir quelques instants dans ses bras, le temps que cessent les tremblements de mon corps, puis je me relève et m'éloigne dans le couloir.

A nouveau les bougeoirs s'allument pour me guider vers la sortie
La voiture est là.... Je monte à l'arrière, laissant une petite traînée de sperme sur le fauteuil de cuir, mais quelle n'est pas ma stupeur quand je reconnais mon foulard au cou du chauffeur, quand je m'aperçois qu'il porte juste un tablier foncé.

Il se retourne pour me sourire et je te reconnais.........