Lucie, la meilleure amie de ma copine

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Proposée le 21/04/2014 par titou7564

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Ma femme, Sandra, a une amie prénommée Lucie.
Une très bonne amie d'ailleurs malgré les vingt ans qui les séparent.
Elles font du sport ensemble, mais surtout aiment parler pendant des heures.
Alors, régulièrement Lucie vient diner à la maison le vendredi soir.
N'ayant pas grand-chose à lui dire, je fais le minimum syndical, à savoir prendre l'apéritif avec elles, diner avec elles, puis, prétexter le travail le lendemain pour aller me coucher.
En ce dernier vendredi du mois de juillet, Lucie est donc arrivée vers 20 heures, assez court vêtue d'une robe d'été à bretelles, radieuse du haut de ses vingt ans à peine dépassés, et surtout, comme à son habitude joyeuse et souriante.
Nous avons donc pris l'apéritif, fort bien venu avec cette chaleur.
Nous avons discuté de choses et d'autres, les filles abordant assez régulièrement, à mon grand étonnement, des histoires de cul.
Nous passâmes à table, à peu prés une heure après, avec un taux d'alcoolémie, il faut bien le dire un peu inhabituel pour nous.
Je passais le repas à les écouter d'une oreille distante, peu intéressé par les histoires de cœur de la cousine de la copine de machin.
Je ne mis donc pas longtemps à la fin du repas pour prendre congés de ces deux femmes afin d'aller me coucher.
J'entendis encore quelques paroles, quelques rires, quelques chuchotements, quelques gloussements, puis plus rien, le repos, enfin.

J'entrouvris un œil, juste assez pour apercevoir l'heure sur le réveil... 1h45... toujours pas ma Sandra dans le lit... j'ai chaud, je vire le drap, je m'étire, je vais me rendormir...
Mais j'entends des chuchotements suivis de petits gloussements qui se rapprochent de la chambre...
Elles pourraient respecter ceux qui travaillent !!!
La porte s'entrouvre... enfin ma chérie me rejoint... elle ricane bêtement... elle s'assoie sur le rebord du lit à coté de moi... me caresse un peu le torse... puis descend vers mon sexe pour le prendre dans sa main.
Je suis dans un demi-sommeil, mais mon sexe, lui, ne semble pas contre cette intrusion.
Sandra : « tu vois ?, il dit jamais non ! »
... gloussements...
« Mon chéri, on a un truc à te demander...  »
... grognements... de ma part...
« Chéri... il faut que tu fasses un truc pour Lucie »
« Hhhmmm on verra quand elle reviendra... je dors là... je t'aime. »
« Lucie, allez demandes !...  »
Elle est donc encore là.
Je suis nu sur le lit... ma femme me caresse le sexe... et sa copine est là !
Cherchez l'erreur
L'effet fut immédiat, je me redressais d'un bond afin de saisir le drap que je croyais accessible.
Peine perdue puisque ma femme avait jugé bon de le balancer par terre.
« Qu'est ce que tu fous là ? »
« On a un truc à te demander avec Lucie. »
« Et ça peut pas attendre ? »
« Ben non ! »
« OK... allez-y... mais rapide ! »
« Merci mon amour... voilà... Lucie veut faire un cadeau à Fabien, tu sais son copain...  »
« Ouais... et ? »
« En fait elle euh... comment dire... elle voudrait... oh et puis merde t'as qu'a lui dire toi... après tout c'est pour toi !!! »
Lucie : « bon ok... alors en fait... je voudrais lui offrir... euh... mon... euh... enfin... mon cul quoi !! »
« Pardon ??? »
« Il a toujours voulu, j'ai jamais osé, mais là, on va fêter nos un an, j'ai envie de lui faire plaisir, mais j'ai peur... »
Je suis à présent bien réveillé et m'assieds dans le lit.
« Ok... et en quoi ça me regarde ? »
« Ben... j'aimerais que tu me montres... plutôt que tu me le fasses quoi !! »
« D'accord... vous êtes sur que ça va toutes les deux ?... Oous avez vidé les bouteilles ou quoi ?
Sandra : « mais non mon amour !...
Lucie veut le faire comme un cadeau... mais elle a peur d'avoir mal... et du coup de gâcher la surprise de Fabien... je lui ai donc proposé que tu le lui fasses pour la préparer... comme ça pas de mauvaises surprises... c'est bien comme idée non ? »
« Vous n'êtes vraiment pas bien... tu veux que j'encule ta copine c'est bien ça ? »
« Je l'aurais pas dit comme ça, mais en quelques sortes, oui. »
Je ressentis alors quelques fourmillements dans le bas ventre et vis mon sexe se tendre légèrement à l'idée de ce qui pourrait suivre.
Ma femme le remarqua, d'autant qu'elle avait sa main posée dessus depuis le début de la conversation.
« Ah je vois que l'idée fait son chemin... tu vois Lucie, je t'avais bien dit que mon homme savait se montrer serviable !! »
Ma femme me regardait avec un grand sourire, Lucie, dans l'encadrement de la porte également.
Bien que trouvant l'idée saugrenue, je n'eus pas le cran de refuser, d'autant que si je n'avais pas grand-chose à lui dire, la plastique de Lucie ne me laissait pas indifférent.
Je regardai alternativement les deux copines :
« Bon, si ça peut vous faire plaisir, c'est ok pour moi. »
Je mis dans ma voix toute l'intonation de celui qui accepte une telle chose uniquement pour faire plaisir !
« Super, t'es un amour. Allez Lucie, en piste. », lança Sandra.
« Tu enlèves ta robe et ta culotte et tu t'empales sur mon chéri... »
Romantique à souhait... sur que ça va m'aider !!!
Lucie s'exécuta en faisant glisser une par une les bretelles de sa robe le long de ses épaules, puis la robe le long de ses hanches puis de ses jambes.
Elle fit ensuite glisser sa culotte, qui était en fait un joli string rouge, le long de ses jambes jusqu'à ses pieds et se retrouva nue devant moi, à demi éclairée par la seule lumière venant du couloir.
Elle était belle, la taille fine, les jambes élancées, longues, magnifiques.
En fait je crois que je ne l'avais jamais vraiment regardée comme une conquête potentielle, juste je la trouvais jolie.
Sandra : « Allez ma chérie, tu t'humidifie ton petit trou pendant que je fais de même avec mon homme, puis tu te positionnes sur lui à califourchon en lui tournant le dos »
Sans broncher, Lucie se mit deux doigts dans la bouche, puis les dirigea maladroitement vers son postérieur afin de s'humidifier l'anus, pendant que ma chérie prit mon sexe dans sa bouche.
Elle me lécha le gland, puis le prit en bouche en prenant soin d'y déposer un maximum de salive.
Après un « C'est prêt ! » distillé avec toujours autant d'élégance par ma Sandra, Lucie se positionna comme conseillé un peu plus tôt.
Elle approcha son cul de mon sexe, je saisis ce dernier d'une main pour le guider, l'approcha de son objectif, posa mon gland contre sa rondelle encore vierge, tenta de m'y enfoncer lentement mais sans succès.
Je ne voulais pas forcer davantage pour ne pas lui faire mal.
Je regardais donc ma femme avec un air interrogatif quand celle-ci renchérit :
« Moi c'est pareil, je n'y arrive pas comme ça directement, seulement quand on fait l'amour avant et que je suis bien excitée ! »
« Allez mon chéri, bouges toi un peu, montres ce que tu sais faire ! »
Ne voyant pas de réprobation dans le regard de Lucie, qui s'était assise à coté de moi, j'entrepris de l'embrasser tendrement dans le cou.
Je lui caressai le dos, descendit le long de ses cuisses, remonta sur le ventre, puis les seins.
Ma bouche descendit lentement vers sa poitrine et du bout de la langue, je léchai ses mamelons, roses de jeunesse, qui se tendirent comme pour mieux se faire baiser.
Je sentis sa respiration s'accélérer, son pou augmenter.
Elle était gênée, tout comme je l'étais.
Je dirigeai alors ma main droite, qui jusqu'à lors caressait gentiment l'extérieur d'une de ses cuisses, vers son entre-jambes.
D'un doigt je caressais sa fente, ainsi que son petit bouton.
Elle poussa un profond soupir et se cambra.
Elle était déjà très humide et je voulu la goûter.
Je la fis donc basculer doucement vers l'arrière afin de la faire se coucher sur le dos, puis je positionnai ma tête entre ses cuisses et commençai à la lécher.
Je pris évidement soin de le faire tout le long de son sillon, du pubis que je découvris totalement rasé, à son anus, objectif suprême de notre séance.
Ma femme se tenait assise à ses cotés en lui tenant la main.
Ma langue s'attarda sur son clitoris en de petits mouvements circulaires alors que mon doigt s'insinuait dans sa fente mouillée de désir.
Il s'y enfonça lentement et s'agita en son antre.
Puis il ressorti humidifié, pour se diriger vers son petit trou, déjà préparé par ma salive.
Il s'introduisit lentement, une phalange, puis l'autre, tandis que Lucie soulevait son bassin.
Était ce le plaisir ou la douleur, je ne sais pas, toujours est il qu'elle ne me repoussa pas.
Je continuai donc à la lécher pendant que mon doigt fouillait son intimité.
Ses mouvements de bassin se firent un peu plus rapides, son souffle s'accéléra, de profonds soupirs sortirent de sa bouche entrouverte... elle jouissait...
Ma bouche trempée de sa jouissance se retira, elle l'embrassa sur le ventre, puis la poitrine, le cou, les oreilles, la bouche...
Je me positionnai alors sur elle et la pénétra lentement. Son sexe était chaud et moite de sa jouissance.
Je fis quelques aller-retours puis décidai de changer de position.
Je roulais donc sur le dos et invitai ma partenaire à se positionner sur moi.
Son sexe avala le mien et elle s'allongea sur moi pour me gratifier de petits bisous sur le torse et dans le cou.
Alors que son bassin ondulait sur mon corps avec grâce, j'eus tout loisir de lui caresser la croupe, de redessiner ses fesses avec mes mains, de lui caresser l'œillet avec mon doigt, puis de glisser mon majeur à l'intérieur.
Elle se cambra de plaisir, je sus alors que c'était le moment.
Je lui fis soulever son bassin et me retirai. Elle se positionna assise sur moi, bassin relevé.
Je pris mon sexe dans ma main pour le diriger vers son orifice normalement prêt à l'accueillir.
Mon gland, humide de la salive de ma femme et de la mouille de Lucie entra lentement en elle.
Je m'arrêtai à la base du gland.
Elle laissa échapper un petit cri étouffé.
Je l'aidais à s'empaler un peu plus en appuyant doucement sur ses hanches avec mes deux mains libres tout en lui laissant le contrôle de la profondeur.
Elle laissa entrer encore deux ou trois centimètres, puis s'assit sur moi, d'un coup, laissant de fait s'enfoncer mon sexe au plus profond de ses entrailles.
Elle ondula du bassin de plus en plus vite en basculant sa tête en arrière et j'en profitai pour lui caresser le sexe avec ma main.
Je sentais son corps frémir et prendre du plaisir, tout comme moi.
Soudain, Sandra sorti de son mutisme :
« Tu jouis pas en elle mon amour... d'accord ? »
« Non ma chérie, ne t'inquiètes pas ! »
Dommage, j'aurais bien aimé !
Nous continuâmes encore quelques petites minutes le temps pour Lucie d'avoir un orgasme qui lui transperça les entrailles.
Elle ondula son corps avec force, se cambra, me griffa les cuisses, cria sa jouissance.
J'eus toutes les peines du monde à me retenir, et à peine son orgasme passé, je sortis de son intimité afin d'éviter l'accident.
Lucie s'écroula à coté de moi et me caressa le torse tandis que Sandra m'empoigna le sexe et amorça des mouvements de va-et-vient.
J'étais au bord de la jouissance, mais je me retins encore quand je vis la bouche de Sandra s'approcher de mon membre.
Je n'arrivais pas à croire ce qu'elle s'apprêtait à faire et pourtant, elle se mit à me lécher le gland lentement comme pour goûter l'intimité de son amie, puis avala entièrement mon sexe.
Surtout ne pas jouir maintenant, je voulais profiter de ce moment le plus longtemps possible.
Sandra continua à me lécher et à me sucer encore un moment.
Lucie, lovée contre moi intervint :
« Ne le fait pas jouir dans ta bouche s'il te plait Sandra... j'ai envie de le voir... Fait le sur son ventre si ça ne te dérange pas »
Sandra sortit mon sexe de sa bouche et me branla, d'abords lentement, puis de plus en plus vite.
Je ne tins pas longtemps et ma jouissance se répandit sur mon ventre en de longs jets discontinus.
Mon orgasme fut puissant alimenté certainement par le cocasse de la situation.
Sandra se pencha vers moi et se mis à lécher le sperme ainsi répandu.
Elle lécha jusqu'à la dernière goutte de ma semence éparpillée sur mon ventre et sur mon sexe, puis se penchant vers son amie, l'embrassa.
Elles mélangèrent, devant mes yeux hagards, leurs langues, leurs salives, mon sperme.
Lucie caressa mon sexe, à présent détendu, avec sa cuisse, et m'embrassa sur la joue, puis me dit simplement :
« Merci »
Sandra m'embrassa à son tour, et me dit :
« Merci mon amour, on te laisse à tes rêves... bonne nuit. »
Elles se levèrent et partirent.
Je restai là un moment sans bouger, en me disant que ma Sandra m'étonnera toujours.
Puis je saisis le drap, m'en recouvris, et m'endormis le cœur et le corps légers.

Quelques jours plus tard, Sandra eu Lucie au téléphone.
Leur anniversaire s'était très bien passé et Fabien était ravit de son cadeau.