Je veux faire plaisir à ma femme. La situation m'échappe.. (2).

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Proposée le 14/04/2014 par chevalierdufiel

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« Gérard, viens débarrasser, nous avons fini ».
Je quittai la cuisine, nu et honteux pour débarrasser la table. Marc était affalé sur le canapé, Marie était à genou, entre ses jambes, elle caressait son sexe, long et mou.
Elle semblait l'implorer. Marc appréciait mon meilleur cognac.
« Tu es très accueillant Gérard, ta femme, ton cognac... On va finir par être complices ! ».
« Bon, je vais être magnanime. Je vois que tu as du mal à satisfaire Marie, ta charmante femme. Je veux bien t'aider. Je m'occupe de sa sexualité, et pour me remercier, tu t'occupes du ménage, des courses, des repas, et de mon bien-être. Tu deviens ma petite boniche. Tu es d'accord ? »
Tremblant, je ne pu répondre que : « Oui, Maître. » J'étais une vrai lopette...
Marie eut un petit sourire.
« Pour te récompenser de ta soumission, je vais t'offrir une jolie tenue de soubrette. Tu vas adorer. Par contre, je ne veux plus voir ces petites érections ridicules qui t'amènent à souiller le tapis. Je vais te procurer une cage pour ton petit bout. Je te laisserai te branler quand je serai satisfait de toi. Ce sera la récompense à ta soumission. Content ? »
« Oui, Maitre Marc. »
« C'est bien. Le cas du cocu est réglé. »
Marie semblait de plus en plus excitée en caressant le sexe de Marc, elle gémissait. Il bandait de plus en plus fort. Gérard ne s'habituait toujours pas à ce braquemart.
« Marie, ma petite pute, mets-toi en position, je vais essayer ton cul. C'est super d'avoir un nouveau jouet. Il faut le découvrir. Allez, dépêche-toi. Ne me contrarie pas. »
Marie se mit en position de levrette sur le canapé. Même si elle quémandait ce sexe si puissant, elle appréhendait de l'accueillir entre ses fesses. Gérard qui ne bandait pas assez dur pour l'enculer...
Enfin, elle allait découvrir ce plaisir que lui avait détaillé Sylvie.
Marc se positionna derrière Marie, il prit son gland dans sa main et appuya sur sa rondelle. Elle se crispa.
« Détends toi, tu verras, tout va rentrer. Tu as le cul serré. Un incapable ton mec, même pas capable de t'assouplir. Tout le boulot pour moi ! Il n'est pas prêt de se branler ! »
A genoux, les mains dans le dos, je vis ma femme se faire enculer... Par un tronc d'arbre... Elle pleurait, mais ses larmes laissèrent la place à des gémissements...
« Ho, Marc, c'est bon ce que tu me fais... Continue... Je n'ai jamais connu cela... »
Marc lui administra deux claques.
« Salope, tu me vouvoies, je suis ton maître, pas ton copain. Tu me dois respect et soumission. Je suis bien gentil de t'éduquer... Et il y a du boulot ! »
Et il ressortit entièrement son sexe avant de le replonger dans son cul. Il accéléra les mouvements, il était puissant, dominateur, c'était un mâle qui couvrait sa femelle.
Il se libéra dans sa pute. Elle jouit comme jamais. J'étais admiratif. Chacun à sa place...
La tension retombait. Marc récupérait. Marie semblait toujours très excitée. Elle suçotait le sexe de Marc, espérant le faire rebander.
« Pause chérie ! calme-toi. Je sais que ce sont les pilules qui commencent à agir. Il va te falloir quelques mâles pour te rassasier... Je vais te prêter ou te louer. Je ne pourrai pas te culbuter en permanence... Ici, à part moi, il n'y a pas de mâle. Ce n'est pas ta petite lopette de Gérard qui pourra te satisfaire... »
Marie acquiesça, ce qui me fit rougir... J'étais déjà ridicule...
« Marie, as-tu une idée de qui pourrait te baiser ? Y-a-t-il un homme sur lequel tu fantasmes depuis longtemps ? Un homme qui pourrait me donner un coup de main ? »
Marie hésitait...
« Non, je ne sais pas... Peut-être... »
« Oui, Marie. Dis-moi. Un proche ? »
« M. FERNANDEZ, je fantasme sur lui depuis longtemps. Il est si viril... »
Je craquais :
« Non, Marie, pas ça ! »
« Allons bon, Gérard, si ta femme le souhaite. Tu veux son bonheur ? Où est le problème ? »
« Il s'agit de mon patron... Vous ne pouvez pas me faire cela... »
« Gérard, tu délires mon ami. Tu oublies les termes de notre contrat. Je m'occupe de la sexualité de ta poufiasse. Toi, tu obéis et tu cèdes à tous mes caprices. »
Et il m'envoie une gigantesque claque. Je me mets à pleurer.
« Bon, ça suffit ! Ta femme veux se faire sauter par ce FERNANDEZ. Tu l'appelles et tu lui expliques que ta meuf veut se faire démonter par son dard. Tu verras, vos rapports vont changer... »
Reniflant, je pris le téléphone. J'étais anéanti. Mon patron m'avait toujours impressionné. Il était très directif et semblait me prendre pour une merde. La proposition que j'allais lui faire n'allait pas changer les choses...
« Allo, M. FERNANDEZ ? Oui, c'est Gérard. Excusez-moi de vous déranger.... Oui, je sais que vous n'avez pas que ça à faire... Je souhaiterais vous inviter à dîner. »
« Gérard, tu lui dis que Marie veut se faire sauter par sa grosse queue ! »
Marc me regarda, l'œil sombre.
« M. FERNANDEZ, je vous invite à dîner, mais aussi à sauter ma femme. Oui, Marie. Elle a envie de vous... Non, ce n'est pas une blague. Je serai là, je vous regarderai. C'est notre maître Marc qui dirige les opérations... Il s'occupe de la libido de ma femme désormais. »
Un immense éclat de rire me répondit.
« Je suis ravi de répondre favorablement à ton invitation Gérard. Tu fournis les préservatifs ? »
Je raccrochais, minable. Je venais de demander à mon patron de sauter ma femme. Comment pourrais-je retourner au bureau...
A suivre...