Galette des Rois

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Proposée le 16/03/2014 par Berndubo

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En ce début janvier je lançais sur Internet une invitation pour 4 couples de moins de 40 ans pour venir tirer la fève, mais en leur précisant des règles du jeu, qu'ils devaient impérativement accepter pour pouvoir participer. De nombreux couples ont répondu. Je leur avais demandé d'envoyer une photo d'eux, afin de sélectionner les couples au physique le plus agréable. Plusieurs ont décliné une fois connues les règles du jeu et finalement 4 se sont retrouvés chez moi le soir du 6 janvier.
J'avais en plus invité, pour assurer le service, un jeune garçon de 19 ans et une jeune fille de 20 ans que je connaissais, et qui, après une hésitation, au vu des règles du jeu, en ce qui concerne la jeune fille, avaient tous les deux accepté.

Les règles étaient les suivantes :

L'organisateur, en l'occurrence moi, ne participe pas, mais est seulement là pour s'assurer du bon déroulement de la soirée et du respect des règles.

L'organisateur coupe la galette en huit parts égales et la jeune serveuse sert les 4 messieurs et le jeune serveur sert les 4 dames, le tout accompagné de champagne pour tous.

Celui qui a la fève est déclaré roi ou reine selon le cas. L'organisateur lui remet la couronne et l'heureux élu doit choisir son partenaire royal de l'autre sexe, parmi les participants, à l'exception du conjoint avec lequel il est venu. Si c'est un roi, alors pour pouvoir mieux faire son choix, les 4 dames doivent retirer tous leurs vêtements sauf culotte et soutien gorge. A l'inverse si c'est une reine, les 4 hommes doivent se mettre en slip.

Le couple royal doit alors consommer le mariage devant l'assistance, qui peut guider les époux, demander certaines positions et les stimuler pour les amener tous les deux à l'orgasme. Pour preuve d'acte complet, l'éjaculation du roi doit être visible de tous. Il ne peut donc pas rester dans sa partenaire.

A partir de là les sujets, c'est à dire les 6 participants autres que le couple royal, devront se soumettre totalement, sans exception, aux ordres et désirs du couple royal, sauf brutalité, violence bien sûr, mais l'organisateur est là pour s'en assurer.

Le roi ou la reine pourront aussi demander au serveur ou à la serveuse des services particuliers.

Le serveur et la serveuse sont simplement habillés d'un pagne constitué d'un morceau de tissu accroché autour de la taille par une ficelle et ne couvrant que la partie avant du corps, plus la même chose pour la serveuse pour cacher la poitrine. Le serveur et la serveuse sont tous les deux intégralement épilés.

La pièce où se tient la réunion étant suffisamment chauffée, j'avais dit aux couples de venir habillés de manière légère pour 21h.

Jacques le jeune serveur et Michelle la jeune serveuse sont arrivés vers 20h30 à ma demande, pour avoir le temps de repérer les lieux et de se préparer. Ils ne s'étaient encore jamais rencontrés. Par chance les pagnes que j'avais préparés leur allaient très bien. Jacques, originaire du Cameroun, est un grand gaillard mesurant 1m85, pesant 78 kg, un beau corps de sportif bien musclé, mais bien proportionné et doté d'un membre particulièrement attractif pour les dames. Michelle, blonde, lorraine d'origine, mesure 1m70 pour 55kg et est dotée d'un superbe 90b, d'une taille fine et de jambes bien galbées, mises en valeur par de jolis talons. J'avais bien expliqué les règles de la soirée à tous les deux. Mais le pagne de Jacques s'est rapidement soulevé dès qu'il a aperçu Michelle en pagne, ce qui a bien sûr provoqué un regard appuyé de Michelle en direction de ce pagne qui ne pouvait pas rester vertical. Mais ils savaient que rien ne devait se passer entre eux ou avec les autres, sauf demande du roi ou de la reine.

Nos 4 couples arrivent de manière assez ponctuelle vers 21h. Jacques prend les manteaux de ces dames et Michelle ceux de ces messieurs pour les déposer dans un vestiaire. Ils entrent au fur et à mesure dans la salle de séjour, dont j'avais modifié la disposition. Un grand lit était au centre de la pièce, un gros fauteuil de chaque côté pour accueillir le roi et la reine et un grand matelas par terre au pied du lit. De chaque côté du matelas 4 chaises.

Je les invite à prendre place sur les 8 chaises qui entourent le matelas, en alternant un homme une femme et de sorte que dans un couple l'homme soit d'un coté du matelas et la femme de l'autre en face de son conjoint.

Avant de procéder à la découpe de la galette, j'invite chacun à se présenter par son prénom et je présente Jacques et Michelle, en rappelant les règles de la soirée. Pendant les présentations on a pu voir des regards très explicites de certains messieurs en direction des femmes et en particulier de la jeune Michelle, tandis que ces dames en faisait tout autant vis à vis de la gent masculine et bien sûr de Jacques.

Une certaine tension règne au moment où je coupe la galette, moi même espérant ne pas couper à l'endroit de la fève.

Comme convenu Michelle sert les 4 messieurs, qui en profitent pour regarder ses jolis seins à peine cachés par le pagne quand elle se penche. Jacques pendant ce temps sert ces dames qui lorgnent avec gourmandise sur son pagne qui se bombe en avant. En même temps je sers du champagne à tout le monde, y compris à Jacques et à Michelle qui n'ont pas eu droit à la galette.

Je lève mon verre à la réussite de cette soirée et invite les participants à commencer la dégustation de la galette.

Sans doute dans l'anxiété ou dans l'impatience de savoir qui va avoir la fève, chacun est très occupé à déguster, tout en observant les gestes masticatoires des autres. Jean a fini le premier sans avoir la fève et me remercie pour la qualité de la galette, ce qui vaut également l'approbation des autres convives. Je sers à nouveau un peu de champagne à ceux dont les verres se vident. Anne, Marc et Patrice ont également terminé, mais point de fève. Finalement c'est Hélène qui, sans avoir terminé, se lève et nous montre la fève, radieuse d'être reine. Je vais chercher la couronne et la lui dépose sur la tête, et tous spontanément l'applaudissent.

Je dis que ceux qui le désirent peuvent finir de manger, avant qu'Hélène choisisse son roi, ce qui lui laisse un peu de temps pour mieux examiner Marc, Patrice et Olivier, sachant qu'elle est venue avec Jean et qu'elle ne peut donc pas le choisir. Selon la règle, j'invite les 4 hommes à se mettre en slip, y compris Jean, même s'il ne peut pas être choisi.

J'avais prévu des porte manteaux pour que chacun puisse ranger proprement ses vêtements. Marc et Patrice se sont déjà levés et commencent à se déshabiller, tandis qu'Olivier finit rapidement son morceau de galette, puis les rejoint pour se dévêtir lui aussi. Hélène regarde de loin ces trois corps masculins qui apparaissent petit à petit, de dos d'abord. Tous les trois sont maintenant debout et Hélène s'approche tout près de chacun d'eux. Aucun geste ne leur est permis vis à vis d'Hélène, elle seule a le droit de les toucher si elle veut. A l'évidence on devine l'effet qu'elle fait sur ces trois hommes à voir la bosse qui se dessine. Chacun a envie bien sur d'être choisi comme roi et Hélène, pour exacerber leur désir, effleure chacun d'eux dans le dos et parcourt leurs pectoraux, descend sur le ventre et leur cuisses en évitant soigneusement de toucher leur slip. Les autres participants commencent à se demander pourquoi ce choix dure autant. En fait Hélène avouera plus tard qu'elle avait tout de suite jeté son dévolu sur Olivier, le plus grand d'entre eux avec une renflement prometteur au niveau du slip.

Finalement elle saisit sa couronne et la pose sur la tête d'Olivier en même temps qu'elle l'embrasse à pleine bouche. J'applaudis et déclare le couple royal constitué, et qu'ils doivent maintenant consommer leur union, en invitant les autres participants à encourager le couple royal qui va devoir s'accoupler sur le lit devant nous. Olivier s'empresse déjà de finir de déshabiller Hélène pendant que celle ci tire d'un seul coup le slip d'Olivier pour voir jaillir un superbe membre déjà tout gonflé de désir.

Marc et Anne suggèrent qu'Hélène s'allonge sur le lit les cuisses le plus écartées possible, pour montrer sa chatte entièrement épilée et qu'Olivier commence l'exploration de celle ci avec sa langue. Tout le monde s'approche pour voir la langue parcourir les contours et la fente de cette chatte déjà toute luisante. Les autres femmes disent à Olivier de montrer comment il caresse les seins, et tout le corps de sa partenaire, qui commence à réagir par quelques soupirs. Puis c'est au tour des hommes de réclamer une fellation, le roi couché sur le dos sur le lit et la reine à genoux pour pouvoir enfoncer le plus loin possible dans sa bouche ce membre dilaté. La scène est excitante et on voit Anne qui commence à se caresser sous sa robe.

Il est temps maintenant de passer à la pénétration. Le roi se redresse, met la reine en position de levrette et alors qu'il est sur le point de pénétrer, Anne, toujours elle, s'approche, et tout en s'emparant du membre royal dit:

- Attends, je vais te guider.

Elle fais glisser le gland le long de la fente ruisselante pour qu'elle s'ouvre bien. Marc et Jean disent alors:

- Vas y baise la d'un seul coup.

Et Anne lâche le membre qui s'enfonce d'un seul coup sans difficulté dans cette chatte trempée, ce qui arrache un râle de plaisir à la reine. La pénétration en gros plan est magnifique. Tous essaient d'être au plus près pour voir cette copulation et ces deux sexes qui se pénètrent. Le roi baise la reine avec énergie et leurs deux corps se trouvent rapidement en rythme.
Patrice suggère alors que le couple se mette en 69, ce qu'il fait aussitôt, alors que Patrice se place juste derrière la reine pour mieux voir la langue du roi explorer goulûment la chatte grande ouverte de la reine. Les autres femmes sont au contraire proche de la reine et lui donnent des conseils pour bien sucer le beau membre dressé, en lui disant de l'avaler chaque fois un peu plus loin.

Le couple royal prend visiblement plaisir à ce jeu et au fait d'être observé de si près par ses sujets. Je remarque que cela fait aussi un effet notable sur Jacques dont le pagne est complètement soulevé, ce qui a pour objet maintenant de détourner le regard de Bénédicte vers Jacques qu'elle dévore visiblement des yeux, ce qui ne laisse évidemment pas insensible Jacques.

Je suggère que maintenant le couple royal finisse en beauté de consommer cette union et je rappelle la règle que le roi doit livrer sa semence de manière visible par tous, mais en dehors de la chatte de la reine.
Le roi retourne alors la reine sur le dos, laquelle s'écarte spontanément pour se livrer à l'assaut final du roi. Tout le monde regarde et la reine commence à gémir de plus en plus fort au fur et à mesure que le roi accélère la fréquence et la force de la pénétration. Cela excite Anne et Bénédicte qui se caressent toutes seules, et Jean et Patrice demandent à voir l'éjaculation dans la bouche de la reine. Celle ci d'un hochement de tête, au milieu de ses gémissements, semble ne pas vouloir, mais je rappelle la règle, à savoir que c'est uniquement maintenant que les sujets peuvent encore demander au couple royal certaines choses avant d'être totalement soumis après aux désirs et à la volonté du roi et de la reine.

Bénédicte profite des derniers instants de la pénétration pour toucher les couilles du roi et son membre, et prévenir du moment où il sera sur le point de jouir.

- Dans sa bouche, jouis dans sa bouche demande l'assistance, on veut voir gicler dans sa bouche et qu'elle avale ensuite.

Ça y est, le roi se retire d'un seul coup s'approche de la bouche de la reine qui finalement l'ouvre toute grande pour recevoir la semence royale qui sort en un jet puissant en quatre fois. Le roi ne peut se retenir de pousser cette sorte de rugissement, si caractéristique au moment de l'éjaculation.

- Montre nous ta bouche et ta langue avant d'avaler réclame Jean.

Et la reine s'exécute et on peut voir la bonne dose de sperme que vient de lui donner le roi, que tout le monde félicite. Avant d'avaler elle capte avec sa bouche les dernières gouttes en suçant ce gland, tout rougi par la pénétration endiablée. Tous les autres participants, ainsi que Jacques et Michelle, applaudissent.

Le couple roule ensuite sur le lit et reste enlacé dans un baiser visiblement passionné, montrant la parfaite osmose qu'ils ont trouvé semble t'il. Tout le monde attend la suite et je rappelle que à partir de maintenant c'est le couple royal qui va dicter ses instructions, et quelles devront être suivies à la lettre, sauf si elles débordent vers de la brutalité ou de la violence.

Ca y est le couple a récupéré et se redresse et se chuchote quelque chose à l'oreille.
Le roi ordonne alors aux trois autres hommes de déshabiller complètement ces dames. Ensuite la reine ordonne à ces dames de retirer le slip de ces messieurs. Les sujets du couple sont maintenant en tenue d'Adam et Eve.

Le roi et la reine sont maintenant assis chacun dans un fauteuil autour du lit, et le roi appelle alors Bénédicte.
- Approche.
Elle s'approche et le roi commence à caresser son corps, lui fait des compliments sur sa poitrine, et l'embrasse sur la bouche, ce que Bénédicte est loin de refuser. Il laisse glisser sa main sur son ventre et quand il arrive au niveau de sa chatte, il s'arrête et se détache de Bénédicte et déclare:

- Je ne veux pas de tous ces poils, je ne veux que des sexes parfaitement lisses.

Et il met Jacques le serveur à contribution.

- Va me chercher de la mousse à raser et un rasoir, tu vas me rendre ces chattes toute lisses, (sous entendu celle de Bénédicte et celle de Odile, Anne étant déjà complètement épilée). On va commencer par Odile.
(J'avais envisagé ce cas et donc préparé de quoi procéder à ce type d'opération.)

- Odile, allonge toi sur le lit, écarte toi, et Jean et Marc vous allez tenir les jambes d'Odile très écartées et bien relevées, pour que Jacques puisse faire du bon travail. Ensuite ce sera le tour de Bénédicte.


Aussitôt dit aussitôt fait. Jacques arrive avec la mousse et le rasoir, Odile s'étant spontanément écartée, excitée sans doute à l'idée de se confier à ce beau corps d'ébène.
Jacques enduit toute la vulve et autour de mousse et commence avec délicatesse à faire glisser le rasoir qui fait progressivement disparaître la toison d'Odile. Sans en demander l'autorisation, Bénédicte et Anne en profitent pour se pencher et admirer ce qui se cache sous le pagne de Jacques, complètement redressé, Jacques ne pouvant bien sûr pas rester insensible au spectacle de cette vulve qui apparaît petit à petit toute lisse.

De leur côté Jean et Marc sont aux premières loges et maintiennent bien écartées les jambes d'Odile pour que la vision soit intégrale, ce qui développe une belle érection chez tous les deux. La reine les observe avec envie visiblement, sans parler de Jacques vers lequel elle jette un regard concupiscent.
Avant de passer à Bénédicte le roi déclare :

- Je vais contrôler la qualité du travail. Odile tu dois rester dans cette position.

et se tournant vers la reine:

- Toi aussi tu vas contrôler

Le roi se lève et se met à genoux au pied du lit, commence à parcourir avec son doigt le pourtour de la vulve, constate qu'il glisse sans accroche et poursuit son investigation avec sa langue, cette fois, non seulement sur le pourtour, mais en profite pour décalotter le clitoris et déguster cette chatte qui devient tout excitée.
Les premiers soupirs arrachés à Odile, le roi fait signe à la reine de prendre la relève et lui dit :

- A toi viens voir cette petite salope et fais la bien mouiller. Messieurs vous pouvez approcher et regarder comment la reine va explorer Odile avec sa langue et ses doigts.

La reine ne se fait pas prier et Odile gémit de plus en plus fort, mais le roi invite la reine à arrêter pour frustrer Odile d'aller plus loin en direction de l'orgasme.

- Allez, c'est au tour de Bénédicte maintenant.

Bénédicte est toute excitée à l'idée de s'offrir, car elle espère bien que, une fois le travail de Jacques effectué, elle aussi va avoir droit à cette faveur du roi et de la reine. Elle se plie bien volontiers au jeu et trop ravie de montrer son anatomie intime à Jacques, dont elle aimerait bien goûter les charmes de plus près, se met en position.
Jacques ayant pris de l'assurance, termine le travail un peu plus vite que la première fois. La reine, voyant que le roi a repris un peu de vigueur, sans doute excité par ce qui vient de se passer avec Odile, elle prend l'initiative et, à la surprise générale, décrète en s'adressant au roi:

- Pas besoin de vérifier le travail de Jacques, qui a très bien fait avec Odile. J'ai envie que tu baises directement Bénédicte, que tu la pénètres d'un seul coup sans préparation, qu'elle se caresse le clito pendant que tu la pénètres. Pendant ce temps Jacques va s'approcher de moi.

Le roi se lève et invite Jean et Marc, qui tiennent les jambes de Bénédicte, a écarter chacun la grande lèvre qui est de leur côté, pour pouvoir entrer directement dans la vulve de Bénédicte. Le dard du roi est là tendu, tout proche de l'entrée de cette grotte de chair, et dès qu'il voit l'entrée bien dégagée par les lèvres écartées, il pénètre d'un seul coup, arrachant un cri à Bénédicte, qui se transforme immédiatement en soupir de plaisir, tandis qu'elle commence à se caresser sans aucune retenue, au fur et à mesure du va et vient dynamique du roi.

Pendant ce temps Jacques s'est approché du fauteuil où est assise la reine, qui s'empresse de détacher le pagne, pour faire apparaître un sexe magnifique de proportions qui soulève un mouvement d'admiration général. A peine est il apparu à la vue de tous que la reine plonge sa bouche dessus et entame une fellation qui arrache un petit gémissement à Jacques, qui visiblement apprécie cette récompense. Une ou deux minutes s'écoulent pendant que le roi pilonne Bénédicte, qui commence à sentir la montée progressive de l'orgasme, et que la reine parcourt avec gourmandise l'organe magnifique de Jacques. Puis la reine interrompt la fellation, s'enfonce un peu dans le fauteuil, remonte ses cuisses, les appuie sur les accoudoirs et, dans cette position d'offrande, dit à Jacques:

- Baise moi, j'ai envie de ta grosse bite, viens fais moi jouir.

Bénédicte dont l'excitation devient de plus en plus forte, essaie d'apercevoir la tige d'ébène qui lime la reine, et peut être imagine être à sa place. Il ne faut pas longtemps pour que Bénédicte et la reine exultent dans les cris salvateurs de l'orgasme, à peu d'intervalle l'une de l'autre. Le roi se retire, sans avoir joui, et Jacques fait de même sur un signe du roi.

Inutile de dire l'excitation des autres participants et l'envie des trois autres hommes de pouvoir aussi goûter les charmes de ces dames.
La reine ayant repris ses esprits, elle se concerte avec le roi pour la suite du programme.

Il est temps pour Odile et Anne de pouvoir s'exprimer ainsi que pour, Jean, Marc et Patrice d'avoir leur part de plaisir, sans oublier la jeune Michelle qui est restée très sage jusqu'à présent.
Je suggère à Jacques et Michelle de servir à boire à tout le monde avant de continuer. Tous apprécient ce rafraîchissement, mais attendent avec impatience ce que le couple royal va décider.
La décision arrive finalement et le roi prend la parole:

Voilà vous allez faire une petite ronde. Je vais vous expliquer. Jean, Marc et Patrice vous allez vous allonger par terre sur le matelas, en position sur le dos, suffisamment rapprochés pour former un petit triangle, la tête de l'un étant proche des pieds du suivant. Vous ne changerez pas de position. Par contre Anne, Odile et Bénédicte vous allez vous mettre à quatre pattes, la chatte à hauteur de la bouche d'un homme et votre bouche à la hauteur du sexe du suivant. A mon signal ou à celui de la reine, vous aurez droit à un cunnilingus et vous ferez en même temps une fellation. Au nouveau signal vous avancerez d'un cran, cette fois en vous empalant sur le sexe que vous suciez juste avant et vous pourrez embrasser à volonté la bouche de l'homme sur lequel vous êtes empalées. Au signal suivant vous avancez d'un cran pour le cunnilingus par l'homme que vous embrassiez avant et la fellation du suivant et ainsi de suite.
Jean, Marc et Patrice essayez de ne pas jouir trop vite, tandis que Anne, Odile et Bénédicte vous devez tout faire pour les exciter au maximum.

J'avoue que je trouvais l'idée originale et que je n'y aurais pas pensé. Nos six sujets semblent ravis de ce programme et on voit Jean et Marc commencer à bien bander.

Mais avant de commencer, je demande aux trois hommes de se mettre en position et Michelle va venir vérifier en se mettant à quatre pattes que les distances et les positions des trois hommes sont bien adaptées. Mais pas le droit de lécher Michelle, ni pour elle de procéder à une fellation ou de s'empaler.

Nos trois gaillards sont fort déçus, car ils découvrent sous le pagne le corps juvénile superbe de la jeune Michelle, à portée de bouche, de mains et de sexe. Mais les ordres sont les ordres. Impatients, nos hommes se mettent rapidement en place et se calent dans les bonnes positions au fur et à mesure que Michelle avance de place en place.

Bien maintenant Michelle relève toi et viens près de moi. A vous les femmes de vous mettre en position de départ du manège, la reine vous donnera l'ordre de commencer.

Anne, Odile et Bénédicte trouvent rapidement leurs marques et peu importe par qui elles commencent, puisqu'elles ont compris qu'elles vont goûter à nos trois hommes à tour de rôle.
Sans plus attendre, et, devant l'érotisme dégagé par ces corps nus prêts à se livrer, la reine fait signe de commencer. Très vite on entend le bruit caractéristique d'une langue fouillant une vulve toute humide ou celui d'une bouche glissant sur un chibre tout dressé et mouillé de salive. Bénédicte commence à onduler et à gémir sous les coups de langue manifestement experte de Jean. Anne et Odile se délectent des sexes de Marc et de Patrice. Elles font glisser leur langue de haut en bas avant d'engouffrer le gland soudainement dans leur bouche.

Notre roi est fort occupé à caresser le corps souple de Michelle et titille de sa langue les pointes toutes dressées de ses seins superbement galbés. Il lance d'un seul coup:

Allez mesdames on avance d'une position, mais je veux voir les bites de ces messieurs vous pénétrer lentement pour leur première entrée. Ne vous précipitez pas, car d'ailleurs, Michelle tu vas aller guider chacune d'elle. Tu vas d'abord bien écarter les grandes lèvres, ensuite frotter plusieurs fois doucement le gland sur ces vulves toutes mouillées et seulement ensuite faire pénétrer ces bites dans ces petites chattes toutes gourmandes. Commence par Anne, puis Odile et enfin Bénédicte.

Michelle se lève et se met à l'oeuvre. Le spectacle est superbe et d'ailleurs la reine s'est approchée tout près pour voir ces premières pénétrations et faire quelques commentaires sur les membres tout raides de ces messieurs. Une fois toutes empalées le roi dit:

Maintenant vous pouvez vous vous laisser aller. Messieurs montrez nous comment vous faites jouir ces dames. Michelle reviens ici à coté de moi, je veux voir si cela t'a bien excitée.
Le spectacle est superbe. Ces reins qui se creusent pour mieux s'enfoncer sur ces membres dressés, tandis que les bouches se fondent dans des baisers passionnés, cela excite la reine qui passe de place en place pour regarder de très près ces accouplements. Elle tire par la main Jacques pour qu'il s'approche lui aussi et je l'entends qu'elle lui murmure à l'oreille quelque chose comme : « tout à l'heure je voudrai te voir toi aussi pénétrer ces chattes humides». Le roi est maintenant très occupé avec la jeune Michelle, qu'il a fait s'allonger sur le dos en écartant les cuisses pour se délecter avec sa langue de cette vulve juvénile.

Trop occupés le roi et la reine en oublient de faire avancer le manège. Heureusement les gémissements de plus en plus précis de Bénédicte et d'Anne les ramènent à donner les ordres de mouvement, histoire de frustrer ces dames d'atteindre complètement l'orgasme.
Jean, Patrice et Marc résistent toujours, malgré le rythme de plus en plus effréné des pénétrations.

Les gémissement se font de plus en plus intenses et rapprochés et à un moment c'est l'orgasme pour Bénédicte qui est en train de baiser avec Patrice, lequel la pilonne encore plus fort, jusqu'à ce qui lui aussi dans un râle sourd et grave se retire brusquement de Bénédicte pour lâcher 4 jets puissants qui inondent les fesses et le bas du dos de sa partenaire, qui s'écroule sur lui.

L'orgasme était tellement fort que tous se sont arrêtés pour regarder ce qui se passait. Le roi se lève et ordonne :

Bénédicte et Patrice vous ne bougez pas. Anne et Odile vous allez commencer par lécher et extraire avec votre bouche les dernières gouttes du sexe de Patrice, puis avec votre langue récoltez toute la semence sur les fesses et le dos de Bénédicte, que vous allez donner ensuite dans la bouche de Bénédicte pour qu'elle l'avale. La reine te dira Bénédicte quand tu auras le droit d'avaler.

On voit Anne, qui arrive la première et qui, en pressant avec ses doigts le gland de Patrice, en fait sortir quelques gouttes qu'elle s'empresse de lécher. Cette opération arrache un petit cri de plaisir à Patrice, dont le sexe était encore tout dur, mais qui finit par retomber tandis que Odile et Anne s'affairent à bien nettoyer les fesses et les reins de Bénédicte. Cette dernière garde bien la bouche ouverte, à la demande de la reine qui vérifie que Anne et Odile recrachent bien tout le sperme récolté. La reine dit alors:

Venez tous voir ce qu'il y a dans la bouche de Bénédicte. Approchez vous. Bénédicte fait le bien tourner avec ta langue dans ta bouche. Allez maintenant tu peux avaler.

Nos six sujets ont bien mérité un petit rafraichissement, tellement cet exercice leur a donné chaud et en particulier à Bénédicte et à Patrice. Michelle et Jacques nous servent un peu de champagne pour ceux qui veulent, et aussi un peu de punch que j'avais préparé en y ajoutant du ginseng râpé très très fin, le ginseng ayant, parait il, des vertus aphrodisiaques.

Jean et Marc ont gardé une belle érection, sans doute un peu frustrés d'avoir été interrompu dans leur élan avec Anne et Odile, qui elles aussi auraient bien envie de jouir comme Bénédicte. Mais le roi et la reine se concertent rapidement à nouveau. Bientôt le roi annonce:

Le temps que Patrice et Bénédicte récupèrent un peu de leurs forces, Anne et Odile vous allez devoir vous soumettre au trépied, c'est à dire vous faire pénétrer dans vos trois orifices simultanément. Nous avons Jean, Marc et aussi Jacques que je suis obligé de mettre à contribution pour vous satisfaire. On va commencer par Odile. Anne va préparer les queues de nos trois étalons et, dès qu'elles seront suffisamment prêtes, tu les introduira respectivement dans chacun des trois orifices en commençant par la chatte, puis le cul et enfin la bouche. Odile va commencer par se mettre en levrette. Ensuite quand je vous le dirai ce sera au tour d'Anne.

Anne voyant que Jean et Marc continuent à bander, elles les sucent un peu pour les maintenir tout en commençant à masturber doucement le sexe imposant de Jacques. Tout ceci se passe devant Odile qui en relevant la tête voit ces trois membres qui vont s'emparer d'elle dans un instant. Elle ne peut s'empêcher de se caresser le clito, déjà excitée et sans doute impatiente de vivre cette épreuve. Anne voit bien que le sexe de Jacques est nettement plus gros et plus grand que celui des autres, aussi il ne pourra pas pénétrer dans le cul d'Odile et elle le réserve pour sa chatte. Jacques se couche donc sur le dos et Odile s'avance spontanément prête à s'empaler. Tout le monde est subitement aux aguets et guette le moment ou ce dard superbe va enfin pénétrer, dès que Anne aura finit de le lubrifier avec gourmandise avec sa bouche.

La reine qui s'est rapprochée à quelques centimètres pour sucer une ou deux fois ce dard dit:
Anne tu le fais pénétrer très doucement, on veut voir comment il va forcer sa route et jusqu'où il peut s'enfoncer.

Tout en continuant à masturber très doucement le sexe de Jacques, comme si elle regrettait de devoir s'en détacher, Anne l'introduit dans l'ouverture luisante de mouille d'Odile qui n'attendais que cela. Le glissement progressif du sexe dans ce vagin qui s'empale sur lui est magnifique. Odile ne peut retenir un gémissement de plaisir. Les premiers va et vient débutent doucement et Anne poursuit son ouvrage en mouillant un, puis deux doigts, pour les enfoncer dans le cul d'Odile qui se cambre bien. Simultanément elle tient la queue de Marc, l'approche et l'aide à perforer ce deuxième orifice. Odile se raidit un peu au début de cette nouvelle pénétration, mais comme Marc fait doucement, elle se détend progressivement complètement et se laisse aller. Pendant que Anne termine la préparation de la bite de Jean pour l'introduire dans la bouche d'Odile, la reine s'est penchée derrière Odile et ne peut s'empêcher de caresser, à défaut de pouvoir les lécher, les couilles de Marc et de Jacques et les encourage:

Allez, baisez moi cette salope, plus fort plus vite, faites moi la jouir, montrez que vous êtes des vrais étalons.

La reine attire à elle Patrice qui, au vu du spectacle, recommence à bander. Elle le suce, lèche son sexe et lui dit:

Avoue que tu aimerais aussi t'occuper d'Odile, comme les trois autres, mais viens plutôt t'occuper de moi.

De même le roi a attiré Bénédicte près de lui et commence à la caresser de partout, tout en la disposant pour qu'elle puisse bien voir la triple pénétration.

C'est excitant, n'est ce pas ? Tu aimerais être à la place d'Odile et te faire enfourcher par Jacques, avoue? Je le sais, par ce que je te regardais tout à l'heure quand je te baisais au début, et tu jetais les yeux vers la reine qui se faisait enfiler par cette colonne de chère toute noire. Mais moi aussi tu vas voir comme je vais encore te faire jouir comme une chienne.

Sur le matelas, les râles et les gémissements sont de plus en plus fort. Bientôt on entend Marc qui ne peut plus résister et dit qu'il va jouir. Il se retire et éjacule sur le dos d'Odile, pendant que Jacques continue son pilonnage et que Jean occupe la bouche.

Le roi, tout en continuant à prendre Bénédicte en levrette, voyant la situation dit:

Anne suce bien le gland de Marc pour prendre ses dernières gouttes et lèche tout le dos d'Odile pour bien enlever tout ce sperme. Ensuite Odile se retournera pour que Jaques puisse la prendre en venant sur elle.
Anne s'exécute, Odile se retourne et on voit à nouveau le superbe dard de Jacques recommencer la pénétration. Odile gémit de plus en plus et Jean ne vient même plus dans sa bouche tant le spectacle en vaut la peine. Jacques la pilonne de plus en plus fort, arrachant à Odile chaque fois un râle de plus en plus profond, il accélère de plus en plus, et là, d'un seul coup c'est l'orgasme total d'Odile, avec une éjaculation incroyable, une femme fontaine comme on dit. Jacques s'est retiré, car Odile est prise de spasmes sous l'effet de cet orgasme particulièrement intense. Jacques a le ventre complètement trempé par l'éjaculation d'Odile. Au bout d'une dizaine de secondes environ, il décide de la pénétrer à nouveau et très vite Odile a un deuxième orgasme aussi fort que le premier, avec à nouveau une éjaculation, certes un tout petit peu moins forte, mais important tout de même.

Tout le monde applaudit, tandis qu'Odile enlace Jacques et embrasse son sexe doucement, comme pour le remercier de ce cadeau de plaisir qu'il vient de lui procurer.

Jacques et Jean n'ont toujours pas joui et Anne semble frustrée. C'est alors que le roi, qui prend toujours Bénédicte en levrette, s'arrête une seconde pour dire à Anne de se mettre en position à son tour pour être prise par Jacques et Jean, qui ne se font pas prier. Anne a sa bouche libre, puisque Marc n' a pas repris ses esprits et que Patrice est maintenant très actif avec la reine.

Très vite c'est la confusion, car on entend Bénédicte gémir avec le roi, idem pour la reine et Patrice, tandis que Anne ressent le plaisir avec ces deux sexes qui la liment, Jean en sodomie et Jacques dans sa chatte. Jean finit par se retirer et vient jouir dans la bouche d'Anne, suivi peu après par Jacques qui envoie trois ou quatre giclées impressionnantes sur le ventre et les seins d'Anne.

Bénédicte finit par aussi exulter sous les assauts du roi et la reine ne tarde pas à succomber elle aussi à l'orgasme, pour finir en avalant ce que Patrice lui fait gicler dans la bouche.

Tout ceci se termine à quelques minutes d'intervalle et on voit tous ces corps fourbus allongés un moment, qui sur le lit, qui sur le matelas.

Je demande à Michelle, qui a été épargnée par ces exercices, mais n'a rien perdu du spectacle, de m'aider à servir à boire à nos quatre couples et à Jacques qui l'a bien mérité.
Tous bavardent un petit moment et éprouvent le besoin de se rafraîchir à la salle de bains. J'avais prévu suffisamment de serviettes pour tout le monde.

Bénédicte qui est déjà passée par la salle de bains, s'arrange pour y retourner quand Jacques y va. Je ne saurai pas dire ce qu'ils ont fait, mais le brouhaha des conversations a peut être couvert le bruit de gémissements particuliers.

Finalement chacun commence à se rhabiller, il se fait tard et les corps ont besoin de se reposer. je vois des visages fatigués, mais visiblement heureux de leur expérience. Je les appellerai dans quelques jours pour en savoir plus.


Nos 4 couples viennent de partir et il est presque minuit et demi. Restent Jacques et Michelle qui commencent à mettre un peu d'ordre dans la pièce, pendant que je range la salle de bains.
- Alors comment avez vous trouvé cette soirée? Pas trop surpris ou choqués'
- Non c'était super excitant cette idée du couple royal et des sujets soumis à leurs désirs, dit Jacques.
- Je craignais que ce soit un peu bestial, mais au contraire, comme les couples étaient très sympas et ont tous joué le jeu, j'ai découvert plein de choses, dit Michelle toute guillerette, en regardant Jaques avec un sourire aguicheur.
- En tout cas vous avez été tous les deux parfaits dans votre rôle et je suis sûr que les couples ont particulièrement apprécié votre présence. Ils m'en parleront, j'en suis sûr, quand je les appellerai pour savoir si la soirée leur a convenu.

Je réalise soudain que Jacques et Michelle ne vont plus avoir de bus et de métro pour rentrer chez eux, aussi je leur propose l'hospitalité pour la nuit.

- Ecoutez, comme il est tard et qu'il n'y a plus de transports en commun, je vous propose de rester dormir ici et vous pourrez tranquillement repartir demain matin. Je n'ai malheureusement que le grand lit et le matelas par terre où ont eu lieu tous les ébats. Je vais chercher des draps et des couvertures. J'espère que cela vous convient, car moi je vais dormir dans ma chambre. Il me reste trois serviettes propres, en voici deux pour vous.
- Oh merci, c'est super sympa, car on aurait été obligé de prendre chacun un taxi, répond Jacques.

Je reviens avec draps et couvertures et je les trouve tous les deux, tout proches l'un de l'autre, parlant à voix basse.

- Sur ce, je vous dis bonsoir. Si vous avez soif, vous savez où se trouve le frigidaire.

Je passe rapidement à la salle de bains me brosser les dents et entre dans ma chambre en laissant la porte à peine entrouverte et j'éteins la lumière. Je ne m'endors pas tout de suite et je commence à percevoir un léger bruit, comme un gémissement de plus en plus distinct. Il n'y a aucun doute nos deux jeunes tourtereaux, qui n'ont rien fait ensemble de la soirée, se sont trouvés et n'ont pas pu résister au désir. Ma curiosité est tellement forte que je me lève sans bruit, et, sans allumer la lumière, je me dirige vers l'entrebâillement de la porte.

La lampe dans le coin de la salle de séjour est restée allumée et éclaire légèrement le lit sur lequel Michelle et Jacques se livrent l'un à l'autre. Au moment où j'arrive, ils sont en position du 69, Jacques sur le dos et Michelle me faisant face, en train de sucer avec délectation le membre de Jacques. A l'évidence ils ne m'ont ni vu ni entendu, et Michelle, se relève, se retourne pour venir s'empaler très lentement sur ce dard splendide dressé. Ce doit être leur première pénétration, car elle est très progressive, comme si Michelle était trop étroite. Le spectacle est magnifique de voir deux beaux corps se livrer complètement, se sentant seuls au monde. Les gémissements trahissent le plaisir partagé. Je décide de ne plus les observer et retourne me coucher, sans toutefois pouvoir gommer cette image de ces deux beaux corps en pleine copulation. Je ne peux m'empêcher de rester attentif à ces râles de plus en plus explicites, annonciateurs de l'orgasme imminent. Michelle exulte superbement, suivie de Jacques qui vient visiblement de jouir lui aussi. Au bout d'un moment je vois la lumière s'allumer dans la salle de bains, j'entends l'eau couler et je finis par m'endormir.
Je serai réveillé trois fois dans la nuit par leurs râles énamourés. Peut être ont ils fait l'amour encore d'autres fois, sans que cela m'ait réveillé, je ne pourrai pas le dire.

Il est 8 heures environ quand je me réveille. Tout est calme et je me dirige sans faire de bruit vers la salle de bains pour prendre une douche. Nos deux tourtereaux sont visiblement encore endormis, car tout semble immobile sur le lit de la salle de séjour. La sensation de l'eau chaude et du savon qui mousse est revigorante. Je repense à cette soirée et à nos 4 couples qui s'en sont donné à coeur joie.
Soudain alors que je me savonne le dos, je sens deux mains qui étalent la mousse sur mon dos. Surpris, je me retourne brusquement et me retrouve enserré entre les bras de Michelle qui vient plaquer son corps entièrement nu contre le mien, et s'empresse de poser ses lèvres sur les miennes, pendant qu'elle parcourt mon dos et mes côtés avec ses mains.

Comment résister à un tel appel. Sans un mot, nos bouches se fondent l'une dans l'autre, nos langues se fouillent à perdre haleine, tandis qu'à mon tour je fais glisser mes mains pleines de savon sur tout son corps et nos deux corps finissent par glisser l'un contre l'autre en douceur, sans effort, lubrifiés par cette eau savonneuse. Il faut bien un moment reprendre son souffle, et c'est alors que Michelle me murmure à l'oreille, sans doute pour ne pas réveiller Jacques qui doit dormir:

- Viens, toi aussi fais moi l'amour, j'ai envie de toi qui n'a rien fait hier soir.

Sur ce elle se recule un peu et commence à parcourir avec sa main droite mon sexe qui s'était déjà redressé.
Devant un tel empressement, tout en prenant la pomme de douche pour rincer nos deux corps, je lui dis :

- On va aller dans ma chambre, moi aussi j'ai envie de toi, de découvrir ton si beau corps.

Rapidement on se sèche. Tout en s'embrassant à nouveau, je la soulève dans mes bras, pour la porter, sans faire de bruit, dans ma chambre. Jacques visiblement ne s'est pas réveillé.

Cette fois, tandis que je ferme la porte, elle s'est déjà allongée sur le lit, toute offerte sur le dos. Elle tend ses bras pour m'inviter à venir sur elle. Lentement je me penche en avant jusqu'à ce que nos deux corps se touchent. Nos bouches se cherchent et se trouvent sans peine, nos mains commencent leurs explorations réciproques. Sa peau est un vrai régal à parcourir, tellement elle est douce. Je m'efforce de me faire les mains aussi légères que possible, de sorte que ces effleurements la font frissonner. Le galbe de ses seins tout fermes affolerait un mort. Je me recule, pour admirer cette superbe odalisque, et lui décris à voix basse la beauté de son corps.

Je me rapproche à nouveau, elle est brûlante de désir. Je commence à lui murmurer à l'oreille:

- Je t'ai entendu cette nuit avec Jacques; il t' a bien fait jouir. Tu avais envie, car je t'ai vu plusieurs fois au cours de la soirée regarder en direction de son dard superbe. Cela t'excite visiblement de voir une belle bite toute dure ? Racontes moi les choses coquines que vous avez faites.
- Oui quand j'ai vu la façon dont les femmes prenaient du plaisir quand Jacques les pénétraient, cela m'a fait envie. En plus il a un beau corps tout musclé. Alors quand tu nous a proposé hier soir de rester pour la nuit, je me suis dit qu'il ne fallait pas rater l'occasion. Je n'ai pas eu besoin de beaucoup le provoquer et il ne s'est pas fait prier.
- Il t'a bien caressée ? C'est lui qui t'a demandé de le sucer ? Avoue moi tout

Pendant ce temps, allongé sur le côté je continuais à caresser son corps d'une main, qui s'acheminait progressivement maintenant sur sa chatte, visiblement déjà toute mouillée. Michelle prenait aussi visiblement plaisir à me confier ses secrets les plus intimes sur sa nuit passée.

- Oui il m'a amenée dans cette position tête bêche, car il m'a dit qu'il voulait bien voir de tout près ma chatte, pouvoir bien écarter les lèvres et y enfoncer sa langue, afin de goûter ma mouille. C'était divinement bon. Dans cette position son sexe tendu était tout près de mon visage, tellement gros que j'ai hésité. Doucement il a appuyé avec ses deux mains sur ma tête, de sorte que ma bouche est venue toucher le bout de son gland, et là j'ai compris qu'il fallait que je me laisse aller. Il est très gros, il me remplissait la bouche. Mais finalement c'était terriblement excitant. J'avais peur de la pénétration et quand il m'a demandé de me retourner, je lui ai dit mon appréhension et de faire doucement. Il a été merveilleux, car il m'a pénétrée très progressivement. Je me sentais complètement remplie par cette colonne de chair, dure, épaisse, qui me forçait à m'ouvrir complètement pour lui permettre le passage.

Je continuais à caresser son clitoris et la fente de plus en plus mouillée avec mon index, tout en lui mordillant le creux de l'oreille. Elle commençait à onduler, et la pointe de ses seins était toute dressée.

- Et alors je vous ai entendu jouir tous les deux. Il a joui en toi?
- Non il s'est retiré à temps et a aspergé mon ventre et mes seins. Je l'avais vu jouir hier soir sur Anne, mais ce n'est pas la même chose quand tu vois de face ce qui sort de sa grosse bite et t'arrose.
- Et les autres fois où vous avez fait l'amour, il t'a aussi prise par derrière ?
Non je n'ai pas voulu car il est vraiment trop gros, mais j'aimerai bien essayer aussi un jour, quand j'ai vu comment Odile avait l'air d'apprécier de se faire prendre simultanément devant et derrière par deux hommes.

J'étais de plus en plus excité par cette description et par ce corps qui s'offrait à moi. Tandis que j'enfonçais doucement un doigt dans sa vulve trempée, je guidais sa main vers mon sexe tendu, en même temps que je me plaçais au dessus d'elle. Sans que je dise rien, c'est elle qui, en écartant ses cuisses au maximum, tira mon sexe en avant pour le faire pénétrer doucement dans sa chatte. Bien qu'étroite, elle était tellement lubrifiée que la pénétration s'est faite toute seule. Dans un gémissement de plaisir elle me dit, tout en relevant ses cuisses au maximum, pour que je m'enfonce le plus loin possible en elle:

- Oh prends moi, j'ai tellement envie que tu me fasses l'amour.

Et tandis que je commence un mouvement de va et vient progressif, elle me tire par la tête jusqu'à ce que nos deux bouches s'emparent l'une de l'autre. Je ne sais pas combien de temps a duré ce baiser fougueux, tandis que je pétrissais ses seins tout fermes et que mon sexe glissait de plus en plus facilement en elle. Il a bien fallu reprendre notre souffle et là, me redressant, je me perd dans ses yeux qui me fixent, exprimant mieux que n'importe quelle parole le désir presque animal qu'une femme éprouve parfois. Elle m'enlace les fesses avec ses deux jambes, comme pour que je ne puisse plus m'échapper. Je comprends qu'il faut que je la prenne plus fort en même temps qu'elle me supplie, au même moment:

- Prends moi fort j'ai envie de jouir.

Je n'hésite plus et commence à la pilonner. Sa respiration s'accélère soudain, je devine que l'orgasme n'est pas loin. Non seulement avec ses jambes elle me force à accélérer le rythme, mais elle enfonce ses doigts dans mon dos, comme pour que je sois encore plus imprégné de son corps tout entier. Et très vite c'est son cri sublime, l'orgasme salvateur, le haut du corps qui tressaille sans contrôle, la tête qui se renverse en arrière, les yeux qui se révulsent un peu, et ce liquide inondant sa chatte et mon sexe qui semble comme flotter. Je lui laisse quelques secondes de répit et je recommence au même rythme, ce qui la conduit très vite à un second orgasme. Elle est magnifique à voir quand elle jouit.

Je sens que si je continue, je vais moi aussi bientôt ne pas pouvoir résister. Aussi je décide de me retirer et de descendre rapidement au niveau de sa chatte pour la lécher. Certaines femmes n'aiment pas qu'on leur fasse un cunnilingus juste après avoir joui, car c'est sensible. Chez Michelle, non au contraire, le fait d'enfoncer ma langue et de parcourir son clitoris tout excité lui procure de nouveau du plaisir. Elle me prend la nuque avec ses deux mains, pour me dire de rester. Mes mains en profitent pour parcourir son ventre ses seins, dont je pince doucement les tétons. C'est incroyable ce qu'elle peut mouiller. J'ai a nouveau envie de la pénétrer et pour ce faire je me laisse glisser en remontant vers elle. Mon sexe trouve sans problème le chemin de sa vulve toute ouverte, et après quelques coups de reins, alors que nous sommes enlacés, je me retourne sur le dos de sorte qu'elle se retrouve sur moi, empalée.
Et je lui dis:

- A toi maintenant de me faire l'amour. Je t'offre mon sexe tout dur, enfonce toi, prends le comme tu as envie, fais le jouir. Je te dirai quand je serai sur le point de jouir.

C'est incroyable comme elle sait déjà utiliser la souplesse de ses reins, de sorte qu'elle peut faire explorer par le sexe du mâle toutes les parois de son vagin. J'en profite pour mouiller un doigte et l'enfoncer doucement dans son anus. Je craignais un refus total, mais comme je fais très doucement, après un petit mouvement de réticence initiale, à ma grande surprise elle se laisse aller. Mon doigt peut ainsi sentir ma verge qui pénètre de l'autre côté de la paroi, et cela visiblement l'excite, car je sens à nouveau sa respiration qui s'accélère, en même temps qu'elle s'empale plus profondément. Elle se cambre à nouveau et une fois de plus elle commence à jouir. Je sens que c'est aussi mon tour qui arrive.

- Attention tu vas me faire jouir. Recule toi. Prends le avec ta bouche.

Tout va très vite. Elle se recule, mais je mets mes deux mains derrière sa tête, et au même moment elle peut voir en gros plan une première giclée. Elle a juste le temps d'ouvrir la bouche et de se pencher sur mon gland, que la deuxième giclée arrive suivie du reste de l'éjaculation. C'est la première fois me dira t'elle qu'elle fait cela, et c'est pour cela qu'elle fait un effort pour retirer sa tête que mes mains emprisonnent. Une seconde après la fin de l'éjaculation je libère sa bouche et, tout en se redressant, elle recrache cette semence blanchâtre sur mon sexe et sur mon ventre.

Son visage est encore tout près de mon ventre et elle me fixe dans les yeux en me souriant, peut être heureuse de m'avoir aussi fait et vu jouir. Je lui dis :

- Tu es merveilleuse, tu fais super bien l'amour, tu es sublime. Tu es magnifique à regarder quand tu jouis.
- Oui c'était fabuleux comme tu m'as fait jouir. J'avais envie de toi en te rejoignant sous la douche, mais je n'imaginais pas la suite. Et toi c'était beau aussi de te voir jouir de tout près. J'ai encore le goût de ton sperme dans ma bouche, c'est chaud et doux.
Si tu veux me prouver que tu as vraiment aimé, prends doucement ma bite avec ta bouche, suce la doucement et lèche toute cette semence le long de ma bite et sur mon ventre.

Je suis surpris, et je ne m'attendais pas à ce qu'elle se livre à cet exercice avec autant de douceur et de volonté. De temps en temps elle relève la tête, tire la langue pour me montrer ce qu'elle a récolté, avec un sourire traduisant à la fois de la fierté et du plaisir de me faire plaisir. Je la tire soudain vers moi, l'enlace dans mes bras et nos bouches se fondent tout un moment dans un baiser profond, dont le goût se mêle avec celui de ma jouissance. Nos deux corps, trempés de sueur, restent collés l'un à l'autre un bon moment, immobiles, fusionnels.

On finit par se lever, direction la douche. Au moment où nous sortons de la chambre, on voit Jacques sortir de la douche. Les râles énamourés et les cris salvateurs de Michelle, pendant ses orgasmes, ont en fait réveillé Jacques, qui, voyant la porte de ma chambre fermée, par discrétion et délicatesse n'a pas cherché à entrer. Je lui en suis énormément gré et le lui dit pendant que Michelle prend sa douche.

Tout les trois avons assez goûté pour aujourd'hui les plaisirs de la chère et une fois tout le monde lavé, habillé, j'invite nos deux jeunes à prendre un petit déjeuner roboratif pour lequel ils ne se font pas prier.

Requinqués ils sont prêts à regagner leurs pénates. Je les remercie encore de leur contribution à cette soirée. C'était super me disent ils tous les deux.
- On est prêt à revenir si l'occasion se présente.

Je les vois s'éloigner par la fenêtre, tout guillerets. Je suppose qu'ils auront échangé leurs coordonnées.

Reste à attendre l'année prochaine, pour une nouvelle expérience de galette des Rois.